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Critiques de Katharina Hagena (340)
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Le goût des pépins de pomme

Iris vient de perdre sa grand -mère maternelle: Berta.

Étonnée,le notaire lors de la lecture du testament,lui apprend ,qu'elle hérite de la grande maison de famille à Bootshaven.

Bibliothécaire à Fribourg, elle demande quelques jours de congé ,et prend à nouveau possession de la maison de son enfance.

Pièce après pièce, les souvenirs refont surface ,elle va nous raconter sur trois générations de femmes,l'histoire de sa famille où drames et heureux événements se succèdent, en une saga pleine de charme.

Un chouette de petit roman ,une saga où l'on se laisse emporter facilement,afin de ne pas employer d'anglicisme,je dirais un roman détente. ⭐⭐⭐
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Le goût des pépins de pomme

Katharina Hagena, dans son premier roman, se fait l'écho des souvenirs familiaux enfouis , des réminiscences de l'enfance , des saveurs ainsi que des drames ayant fragilisé beaucoup de familles allemandes.

Il se dégage de ses écrits une nostalgie imprégnée de douceur , elle nous renvoie avec tendresse aux goûts d'autrefois, de ceux qui ne nous quittent jamais , nous plongeant dans la douceur enivrante des parfums d'antan gravés en nous et qui nous bercerons tout au long d'une vie.

Un joli portrait générationnel de femmes que l'on découvre au détour d'un couloir , dans un jardin dégustant une pomme , dans la cuisine savourant de la marmelade.

"Le goût des pépins de pomme" , c'est le temps qui passe lentement, qu'on goûte avec délectation, qu'on apprécie et qu'on agrémente, petit à petit, de nos pensées les plus ensevelies en fouillant de vieilles malles contenant des vies disloquées, en ressortent nos racines et l'on demeure, alors , dans la résidence de notre histoire que seule la délicatesse de la mélancolie habite.



Un joli roman , tendre et touchant, qui emprisonne les souvenirs pour ne pas qu'ils s'évanouissent et se perdent dans l'oubli.

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Le goût des pépins de pomme

J'ai été envoûtée par l'histoire familiale d'Iris. Iris est la narratrice de ce roman, elle hérite de la maison de sa grand-mère à sa mort. Au gré de ses déambulations dans la maison et de sa réappropriation du lieu, elle ouvre les portes de sa mémoire, de ses souvenirs et des histoires de ses cousines, tantes, mère, et grands-parents. L'écriture est simple, et fait ressurgir avec beaucoup de délicatesse tout un pan de l'histoire familiale. Il m'est arrivé à la lecture de certaines scènes de revoir certaines scènes de mon histoire familiale, tant ces scènes étaient empreintes de nostalgie et très familières. La narratrice parle de son histoire de façon très intime, et elle entre en écho avec notre propre intimité. Les personnages sont attachants, ils pourraient être nos propres parents. Les descriptions sont très minutieuses, d'habitude cela peut me gêner mais là ça ne fût pas le cas tellement tout est à sa place, chaque chose est décrite pour une raison. Les dialogues sont acidulés tel le goût des pommes.



Dès le début on sait qu'il est arrivé quelque chose à la cousine d'iris, et pendant que le fil des souvenirs se dénoue, on voit petit à petit le drame arriver. La fin m'a chamboulée, je ne m'y attendais pas, l'autrice arrive à nous mettre dans le même état de stupeur que la famille d'Iris quand le pire arrive. Un merveilleux roman empreint de nostalgie.
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Le goût des pépins de pomme

J'ai découvert ce livre d'une façon originale, son auteure est née le même jour, même mois et même année que moi, et sa ville est jumelée avec ma ville de naissance (Nancy), beaucoup de coïncidences qui m'ont attirées. Très joli livre, histoires de famille, de non-dits que l'on découvre un jour. Jolie image pour illustrer ses non dits, la façon de chacun de manger une pomme. Style fluide, jolies descriptions de la nature. Intéressante double focale entre la vision que l'on a enfant et celui que l'on a adulte des choses qui nous entourent.
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Le goût des pépins de pomme

C'est l'histoire d'une maison et de pommiers.

Et la maison n'est qu'un prétexte à ouvrir la boîte à souvenirs. Parfois très anciens, ceux de la grand-mère, un peu moins anciens, la mère de la narratrice et ses tantes, et enfin ceux de la narratrice enfants. Avec comme nœud, la mort de sa cousine de la narratrice et héritière 10 ans auparavant.

C'est un retour dans les passés de 3 générations de femmes d'une même famille. Leurs rêves, accomplis ou non, l'influence de la famille. Mais aussi sur l'oubli et les souvenirs qui empêchent d'avancer ou s'effacent et engluent : la grand-mère qui perd la mémoire (Alzheimer ?) et la mort de la cousine, dont on se rapproche par cercle concentrique. Et finalement, cette mort m'a tout de même surprise, je m'attendais à quelque chose de plus prévisible (mais tant mieux hein). Ce qui est téléphoné en revanche, c'est l'histoire d'amour qui se noue au fil des pages.

L'idée que donne aussi le roman, c'est que cette maison est une île ou une presqu'île : peu de personnages, assez peu de notions de temps (on ne sait jamais trop l'heure ou le jour). Le village est-il vraiment aussi peu peuplé ou animé ou est-ce juste la perception de la narratrice ? On ne sait pas trop. Et ça crée une drôle d'atmosphère, une sorte de bulle de réflexion en retrait du monde.

Et les pommes alors ? Et leurs pépins ? C'est fou le rôle qu'elles jouent pour 2 générations : la plus ancienne et la plus jeune. Et toujours en arrière-plan pour les autres. Avec une importance très forte de la nature et du jardin, lieu qui relie chaque génération.



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Le goût des pépins de pomme

Trois générations de femmes dans ce roman sont représentées : Bertha la grand-mère, ses trois filles et Iris la petite-fille et narratrice de ce récit.

A la mort de Bertha, toute la tribu se retrouve dans la maison familiale à Bootshaven, (dans le nord de l'Allemagne), pour la lecture du testament. A la grande surprise d'Iris,elle hérite de la maison et doit décider si elle la garde ou si elle la vend. En redécouvrant chaque pièce de la bâtisse, des souvenirs heureux et malheureux se réveillent dans sa mémoire.

Un bon roman pour les vacances, très agréable à lire,touchant, original dans sa narration, on passe un bon moment de lecture !
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Le goût des pépins de pomme

J'ai été peu emballée par l'ensemble. Rien ne m'a vraiment plu, mais rien ne m'a vraiment gênée non plus.



Je n'ai jamais été dérangée par l'absence de linéarité dans un récit, mais là, on saute du coq à l'âne, parfois sans replacer le contexte et c'est un peu déroutant dans la lecture de devoir réfléchir en se demandant "mais de qui on nous parle ? ". Oui, je sais, je suis un peu fainéante quand je lis, mais j'aime bien me laisser porter par l'histoire, j'ai besoin qu'on me tienne par la main.



J'ai trouvé les personnages peu attachants, sans doute parce qu'on nous raconte des anecdote sans vraiment approfondir chaque personnalité. L'impression qui reste est celles de personnes assez égoïstes, se jalousant les unes les autres, on ne les voit jamais vraiment sous un jour favorable.



Je suis par contre d'accord sur le coté sensuel du récit avec les description de sensations et des souvenirs qu'elles réveillent.



Enfin, je trouve que le livre pose beaucoup de questions sans jamais y répondre.



Donc, un livre qui m'a plutôt déçue
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Le goût des pépins de pomme

Un livre qui fait du bien. Iris, jeune trentenaire vivant dans le sud de l'Allemagne hérite contre toute attente de la maison de sa grand mère maternelle. Elle se rend donc dans le petit village du clan situé dans la grande plaine du nord, près de Brême.

C'est alors l'occasion pour elle de nous faire revivre l'odyssée familiale de 1900 à nos jours avec également une (très) brève parenthèse sur le rôle de son grand-père durant la seconde guerre mondiale.

Le récit se déroule en été, dans un grand jardin où poussent une incroyable variété de plantes comestibles et décoratives dont la narratrice connaît tous les noms et qu'elle soigne avec amour.

Rassurez-vous, il est aussi question d'humains dans ce récit, mais surtout de femmes. Bertha la grand-mère, Anna sa soeur, Inga, Christa et Harriet ses trois filles.

Une saga familiale narrée avec une remarquable bienveillance, mais en toute honnêteté. Les hauts ne sont pas amplifiés et les bas rapportés sans fard.

J'ai particulièrement apprécié le fil rouge de ce récit, à savoir les riches heures que passe Iris entre les souvenirs que lui renvoie la vieille maison et ses flirts avec Max, le frère de son amie d'enfance qui est resté à Bootshaven.

Le lecteur francophone découvrira peut-être dans ce récit que l'approche au corps et à la nature n'est pas tout à fait semblable à celle qui domine dans l'Hexagone. Ici, on est davantage conscient du lien étroit entre les deux et de la nécessité de vivre en symbiose avec l'environnement. Ce dernier n'y est pas considéré comme un obstacle ou un simple décors, mais comme un partenaire à part entière qu'il faut respecter pour vivre heureux. Une belle leçon de sagesse de nos voisins d'outre-Rhin.
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Le goût des pépins de pomme

Relecture.

Au décès de sa grand-mère Bertha, Iris, à sa grande surprise hérite de la maison de celle-ci. Elle y a passé une partie de son enfance avec Rosemarie, sa cousine et Mira une amie.

Elle ne sait pas si elle doit accepter ou la laisser à sa mère, dont elle héritera un jour.

Elle y a été heureuse, profitant de ses grand-parents, de ses tantes Harriet et Inga mais cette maison est pleine de souvenirs, de secrets, de parfums et de mystères.

Max, le frère de Mira, notaire, tourne autour de cette maison et peut être aussi autour d'elle.

Monsieur Carlsen Lexow lui aussi va et vient dans cette maison comme si il en était un habitué alors qu'il n'ait qu'un voisin, pourquoi, que veut-il lui faire comprendre ?

Pourquoi Rosemarie est-elle morte à 16 ans, sans explication, sans un mot, trahissant leur amitié et l'union familiale ? Pourquoi a-t-on inscrit NAZI sur le poulailler ?

Il flotte dans cette maison un parfum de nostalgie, d'odeur, de robes anciennes, de parfum de pommes.....

Tout revient progressivement à Iris et ce qu'elle ignore elle l'apprendra de chacun des personnages, les présents mais aussi les absents et l'ensemble lui permettra de prendre la direction de sa vie et d'être en accord avec elle-même.

J'avais mis 4 étoiles à la première lecture, je n'en mets que 3 peut être parce que j'ai lui plusieurs récits de ce type. Il y a une langueur très agréable, un parfum d'autrefois, du passage de l'enfance à l'âge adulte, une belle écriture, limpide, précise sans être ennuyeuse. Un petit plongeon dans le passé pour faire remonter les senteurs d'antan.
Lien : http://mumudanslebocage.cana..
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Le goût des pépins de pomme

A la mort de sa grand-mère, Iris, la narratrice, apprend qu'elle hérite de la maison de famille située à Bootshaven, dans le nord de l'Allemagne. Elle est très surprise car cette maison aurait dû revenir à une des trois filles de Bertha : Inga, Harriet ou Christa (la mère d'Iris).

Iris décide de rester quelques jours de plus, sous prétexte de régler la succession, mais en fait pour reprendre contact avec la vieille demeure où elle a passé toutes ses vacances et prendre sa décision : Gardera-t-elle ou non la maison ? Au début elle pense que non...

La voilà revenue au temps de son enfance. Des souvenirs heureux ou douloureux affluent pendant qu'elle se réapproprie lentement les lieux comme elle ferait un inventaire (Iris est bibliothécaire alors l'inventaire elle connait !).

Elle retrouve le plaisir de nager nue près de l'écluse, de sentir le vent dans sa robe alors qu'elle dévale la petite route à vélo, de s'allonger et dormir sous le pommier au milieu des odeurs du jardin.

Elle redécouvre chaque plante, chaque armoire, chaque porte...

Peu à peu les êtres importants de sa famille sont dévoilés.

Le lecteur met en place le puzzle, événement par événement, personnage après personnage au fur et à mesure que les souvenirs se rejoignent ou qu'ils réapparaissent dans la vie d'Iris. Cela permet au lecteur (et à Iris) d'y voir plus clair...Elle nous parle d'Hinnerk, le grand-père, dont la forte personnalité a marqué la maisonnée, de Bertha sa grand-mère qui a perdu la tête à la fin de sa vie comme si elle ne voulait plus se souvenir du passé (jamais le mot d'Alzheimer n'est prononcé) et de leur trois filles : Inga, née un jour d'orage et capable depuis de transmettre des décharges électriques par simple attouchement, vit toujours seule mais attire toujours les hommes tant elle est charismatique ; Harriet qui a élevé seule sa fille Rosemarie, avec l'aide de Bertha et d'Hinnerk, après avoir été abandonnée par le père et qui est devenue "hippie" après la mort de Rosemarie, cherchant un sens à sa vie détruite ; et puis Christa, la mère d'Iris, l'aînée des filles, jalousée par toutes car la préférée du père et puis aussi parce qu'elle, elle a un mari et une fille, mais elle a aussi le mal du pays car elle s'est éloignée de sa fratrie et ne revenait à Bootshaven que durant les vacances.

Tout dans cette maison rappelle les drames et les bonheurs passés.

La maison est vivante, elle grince, elle respire, elle participe aux événements et aux secrets de famille, c'est un personnage à part entière.

Elle a vu vivre trois générations de femmes, les vivantes et les disparues...

Iris va devoir prendre une décision difficile...



Le début est déroutant car la narratrice passe d'un personnage à l'autre sans se soucier du temps. Il faut du temps (encore) pour que le lecteur y voit plus clair et certains événements ne seront compris qu'à la fin...

C'est parce qu'il faudra du temps (aussi) à Iris pour se réapproprier son histoire familiale, ses racines sur lesquelles elle pourra enfin s'appuyer pour poser les bases de son avenir.

Les portraits de femmes sont magnifiques. C'est un roman plein de tendresse, de poésie, d'humour, mais il y a aussi beaucoup de violence entre les lignes.

C'est un roman sur le thème des secrets de famille, du souvenir et de l'oubli...

Pour en savoir plus
Lien : http://bulledemanou.over-blo..
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Le goût des pépins de pomme

Ce livre me laisse un goût étrange....

Ma première impression a été un ennui profond, ennui à cause de la longueur des descriptions donnant des détails à n'en plus finir, et ennui parce que j'ai eu beaucoup de mal à me repérer parmi les personnages, à repérer les liens entre ces différentes femmes d'une même famille, mais représentant trois générations.

Et puis, au détour d'une page, d'une odeur, d'un goût sur les lèvres très probablement, j'ai été transportée et j'ai tourné les pages en m'évadant moi aussi dans les souvenirs.

Bien plus qu'un simple roman du terroir, ce récit soulève la problématique du souvenir et de l'oubli, les souvenirs qui remontent à la surface à la suite d'un mot prononcé, d'une image, d'une sensation éprouvée, les secrets de famille passés volontairement sous silence, comme un accord indispensable pour pouvoir continuer à vivre ensemble, ce qu'il est bon de se rappeler et ce qu'il vaut mieux oublier...

L'auteur sait jouer avec les mots et le style est tour à tour poétique, philosophique, rempli de tendresse ou de nostalgie... le tout ponctué aussi d'un brin d'humour avec la romance entre la narratrice (Iris) et le frère de son amie d'enfance (Max)...

Un livre qui m'a laissé un tel goût étrange... que j'ai eu envie de le relire aussitôt pour éprouver de nouvelles sensations !
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L'envol du héron

Honnêtement, le début de L'envol du héron laisse un sentiment proche de celui qui doit étreindre un albatros échoué sur le quai d'une gare : désorientation totale. La voix principale est celle d'une femme qui a connu plusieurs amours dans différents lieux et qui, une nuit d'insomnie, raconte toutes ses vies, des bords du Rhin à l'Irlande, pour aboutir à Hambourg. Dans une chronologie fortement chahutée. Parallèlement, un journal intime, celui d'une mère dont le fils a disparu, semble recouper quelques éléments du premier récit. Une confusion que Katharina Hagena entretient une bonne partie du livre avant que la lumière apparaisse peu à peu. S'il y a de nombreux thèmes qui surgissent, l'un d'entre eux s'impose : celui du sommeil. De par la profession de la narratrice mais pas seulement. Cette somnologue dort mal, elle ne sait pas que quelqu'un veille sur ses agissements et sa propre mère est plongée dans un grand sommeil. Il faudrait citer aussi d'autres personnages qui ont tous leur importance dans ce roman qui s'offre souvent des digressions renforçant l'impression de touffeur. De tristesse aussi car l'atmosphère est plutôt sombre dans L'envol du héron. C'est typiquement le genre de livre dont la construction savante peut laisser sur le quai ou au contraire fasciner par son ambiance à la fois douce et toxique.
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Le goût des pépins de pomme

Ce roman délicat nous narre le poids de l'héritage. Nous y découvrons Iris, jeune femme à qui sa grand-mère a légué la maison familiale, mais qui renferme bien des souffrances.



L'auteure nous livre peu à peu l'histoire de cette famille allemande qui a connu des drames, qui s'est un peu brouillée, a dû faire face à la perte de la mémoire de la mère, à la disparition d'êtres chers, à la jalousie.



Iris se remémore son passé dans cette maison où elle a séjourné pendant de nombreuses vacances d'été, elle se rappelle sa cousine Rosemarie et son amie Mira, leurs jeux et leurs discussions, leurs baignades dans le lac. Nous sentons que la jeune femme tourne autour d'un événement sans oser l'aborder, elle n'ose crever l'abcès, la douleur étant encore bien présente, jusqu'à ce qu'elle finisse par en parler.



Ce roman est donc un mélange de tout cela, du poids d'un héritage, de la sensation de culpabilité, du long chemin à faire pour surmonter la perte d'un être cher, ainsi que la question de l'importance de la mémoire mais aussi de l'oubli. J'ai beaucoup aimé les reflexions de l'auteure sur ces deux dernières notions.



Mon petit bémol : le rythme était un tout petit peu lent, et le style assez plat, sans vague. Mais cela a finalement permis d'aborder des thèmes difficiles tout en douceur.
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Le goût des pépins de pomme

une lecture plaisante, bien qu'un peu embrouillée, traitant du souvenir, de l'oubli, de l'enfance mais qui reste superficielle et qui n'a pas réussi à m'émouvoir. Les goûts et les saveurs n'ont fait que m'effleurer. Dommage.
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Le goût des pépins de pomme

Il faut aimer les jardins comme Elisabeth Von arnim pour déguster les splendeurs de ce livre , c'est un livre plein de finesses de chagrins comme des ciels Irlandais de parfums de ce que l'on ne peux oublier de ceux qui vous font chavirer , de chaleurs celles des retrouvailles de douleurs quand elles remontent depuis l'enfance....
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Le goût des pépins de pomme

Iris vient d'arriver dans la maison de famille de sa grand-mère, celle où elle se retrouvait tous les étés avec sa mère, ses tantes, sa cousine..

A la surprise générale, c'est elle qui hérite de la maison où elle va découvrir ou redécouvrir tant de secrets, où elle va rencontrer l'amour...

Un livre très tendre, mélancolique et surtout drôle et très sensoriel. Les descriptions sont si vivantes qu'on se croirait dans le jardin d'Iris.
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Le goût des pépins de pomme

L ete propice pour moi pour trier mes PAL donc voilà je viens fr retrouver ce petit livre lu dans la journée

Un livre qui m a un peu déçue j en avais trop entendu parler san doute

Ce livre a été un bon moment de lecture mais ne me laissera pas un souvenir mémorable

Mangez des pommes c est bon !!!!!

Ce livre est une histoire de famille mais aussi un hommage à la nature ce jardin a l air bien joli il fait bon y lire en tant de grosses chaleurs et comme il fait plus frais aujourd hui je vais de ce pa lire dans mon jardin

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Le goût des pépins de pomme

Bon bon bon...je n'attendais pas grand chose de ce livre...heureusement! J'ai bien aimé les descriptions de la maison et du jardin au travers des yeux de la narratrice qui se remémore sons enfance, cela m'a renvoyé vers mes propres souvenirs. A part ça, il n'y a pas grand chose à sauver: j'ai trouvé le récit un peu confus avec les allers-retours entre présent et les histoires des différentes générations...On a un peu l'impression que l'auteure a voulu raconter plein d'histoires (qui d'ailleurs semblent intéressantes) mais se perd un peu et ne fait donc que survoler tous les personnages...
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Le goût des pépins de pomme

Iris vient d’hériter de la maison de sa grand-mère. Elle ne sait pas trop quoi en faire, l’oubli y a pris le pas sur la mémoire, les souvenirs ne sont pas tous joyeux.

À travers la redécouverte de cette maison où elle a passé toutes ses vacances étant jeune, elle se remémore la vie des différents êtres qui y ont vécu.



Parfois l’oubli est plus simple, parfois il est insidieux, parfois il ne veut tout simplement pas se manifester.



Dans ce livre, Katherina Hagena revient à travers sa narratrice sur la vie de femmes qui ont vécu l’amour, la joie, le tourment, la peur, la maladie, le drame, dans une maison d’un petit village du nord de l’Allemagne.

La plume est douce, mélancolique, le style est travaillé et tourne autour du thème de l’oubli. Le récit déstructuré, oscille entre souvenir et temps présent et ne nous donne que peu à peu les différentes pièces de cette histoire familiale.

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Le goût des pépins de pomme

Une histoire de famille à travers trois générations.

Un héritage et Iris reçoit la grande maison de Bootshaven dans le Nord de l'Allemagne.

Une demeure chérie par toute la famille mais un héritage un peu lourd sur les épaules de cette jeune bibliothécaire.

Roman qui rend hommage aux maisons d'antan,aux maisons de nos enfances avec leurs jardins,leurs vieux rosiers et leurs odeurs enfouies tout au fond de la mémoire.

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