Citations de Katherine Pancol (3680)
"J'ai connu ce bonheur effrayant. Je n'en veux plus. Je ne veux plus rien de grand, d'immense. Ou je le veux à ma taille. Que je puisse passer mes bras autour de son cou, de ses épaules, de ses rêves et le tenir, le tenir."
Recevoir, c'est prendre un risque, s'engager.
L'amour d'un corps d'homme qui se refuse, on n'aime pas un homme qui vous soulève de plaisir, on veut entrer en lui, s'y installer, le posséder...
"Je sentais que je l'avais perdu en tant que personne et qu'il faudrait que je me contente du fait qu'il avait été autrefois mon ami. Ou alors il fallait être à sa botte et ça il n'en était pas question."
Gary Ward était impossible, imprévisible, odieux, irritant.
Gary Ward était parfait.
C'est lui qu'elle voulait. Elle l'aurait.
Plus tard.
"Autrefois, il y a un an, j'avais un amour si grand, si grand que je croyais toucher le Ciel... "
Un très gros chagrin cloué sur moi comme un cercueil de plomb.
Les hommes courent après l'amour et ne le reconnaissent jamais quand il s'offre humblement. Ils veulent que ce soit grand, furieux, compliqué.
On oublie si on peut, on ne décide pas d'oublier. Plus on veut oublier, plus on se souvient, et plus on désespère.
Il était le soleil que je voulais garder brûlant et pur, sans aucune souillure.
C'est terrible d'être aimée quand on n'aime pas.
C'est si bon de sentir l'amour tomber en vous comme une pluie d'été qui rafraîchit, désaltère, vous irrigue la vie !
L'amour m'avait tirée de cet anonymat.
On n'apprend pas en restant caché, à l'abri, en faisant des économies, il faut prendre le risque, avancer, s'aventurer.
" Le hasard n'arrive que lorsqu'on y est préparé." Pasteur
L'amour commence par un regard, le regard s'arrête sur l'autre, le regarde choisit l'autre, le reconnaît puis les regards s'unissent, se caressent, on aime avec les yeux, l'amour est contemplation, extase, on n'a pas besoin de se parler, on se regarde, on se touche des yeux, on se caresse, on se lèche, on gémit des yeux, on pleure, on s'unit, on crie avec les yeux.
On peut s'aimer derrière des barreaux, rien qu'avec des yeux.
__ Je fais tout, toute seule, elle me dit. J'avais réussi à éliminer complètement l'homme dans ma vie. Je travaille, je paye mon loyer, mes impôts, je vais au cinéma seule, en vacance avec une copine, Noël en famille. Je dîne avec un plateau-repas devant la télé, je me couche, je bouquine et, pour m'endormir je me caresse. Tranquille dans mon lit. Personne pour m'ennuyer, me demander de lui faire ci ou ça. Tranquille. Je me raconte une histoire toujours la même, mon fantasme préféré, je ferme les yeux. Après, je dors comme un bébé...
Elle baisse la tête, fixe ses pieds de pionnière libérée, les agite sous son nez comme deux marionnettes épuisées.
__ Mais je crève d'être seule... J'en crève. J'ai renoncé c'est tout. Je suis une femme sans avenir. Tu as remarqué comme c'est froid, un plateau-repas ou une télé ?
Oh, mon Dieu ! Faites que je le retrouve ! C'est lui que j'attendais et je ne le savais pas !
De l'amour, des étoiles, des rayons de force pure pour irradier le monde, aimez-vous les uns les autres, la vie est belle, si belle quand on aime comme je l'aime. Lui. Lui. Lui.
Ne plus voir, ne plus savoir, oublier.