AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Katherine Pancol (3680)


Katherine Pancol
ll n'y a pas d'égalité sexuelle. On n'est pas à égalité puisqu'on devient sauvage. La femelle en peau de bête sous l'homme en peau de bête.
Commenter  J’apprécie          10
Katherine Pancol
Il y a des gens dont le regard nous améliore. C'est très rare, mais quand on les rencontre, il ne faut pas les laisser passer. Il y avait, chez Philippe, une étrange douceur dans le regard, qu'il posait parfois sur elle, une tendresse étonnée. D'habitude, songea-t-elle, quand on me regarde c'est pour me demander ou me prendre quelque chose. Philippe, lui, donne. Et sous son regard bienveillant, je grandis. Peut-être un jour me reviendra-t-il? C'est de ma faute aussi, je l'ai ennuyé avec mon amour. J'ai vidé mon coeur dans le sien. Jusqu'à la dernière goutte. Je l'ai rassasié. Il n'y a pas seulement l'amour, il y a la politique de l'amour disait Barbey d'Aurevilly.
Commenter  J’apprécie          10
Katherine Pancol
On oublie si on peut, on ne décide pas d'oublier. Plus on veut oublier, plus on se souvient, et plus on désespère. Oublier est un grand mot qui ne dépend pas de nous. Un mot inventé par les hommes qui se croient plus forts que tout. Qui décide d'ailleurs ? On oublie ce qui est léger, futile, accessoire, on n'oublie pas le noir qui tache la mémoire.
Commenter  J’apprécie          10
Cesse de me détester en silence.Cesse de comprimer ton amour parce que je t' ai offensé.Arrete de te protéger en t' abritant dériére une fausse haine.Fou moi des coups,assomme moi mais qu'il se passe enfin quelque chose.
Commenter  J’apprécie          10
Avec Luca, je suis heureuse par intermittence. Je lui vole mon bonheur, le grappille. J'entre en lui par effraction. Il ferme les yeux, fait semblant de ne pas me voir, me laisse le dévaliser. Je l'aime à son corps défendant.
Commenter  J’apprécie          13
Elle ne savait qu'aimer. Elle ne savait pas se faire aimer. C'était deux choses bien différentes.
Commenter  J’apprécie          10
La fidélité m'ennuie, la vertu me pèse, le silence m'arrache les oreilles.
Commenter  J’apprécie          10
Elle regardait attentivement le ciel étoilé et particulièrement la dernière étoile au bout du manche de la Grande Ourse. C'était son étoile quand elle était petite. Son père la lui avait offerte, un soir qu'elle avait un gros chagrin, il avait dit : "Tu vois, Jo, cette petite étoile au bout de la casserole, elle est comme toi, si tu l'enlèves, la casserole perd son équilibre, et toi, si on te retires de la famille, la famille s'écroule parce que tu es la joie incarnée, la bonne humeur, la générosité... et pourtant, avait poursuivi son père, elle a l'air bien modeste, cette étoile en bout de constellation, on la voit à peine... Dans chaque famille, il y a des gens qui ont l'air de petits boulons insignifiants, et pourtant, sans eux, il n'y a plus de vie possible, plus d'amour, plus de rires, plus de fêtes, plus de lumière pour éclairer les autres. Toi et moi, nous sommes de petits boulons d'amour..."
Commenter  J’apprécie          10
on a tous l'illusion du bonheur.on le poursuit tels des affamés.c est meme cette espoir qui fait vivre.sinon autant se coucher et attendre que la fin arrive
Commenter  J’apprécie          10
- C'est quoi, le désir, maman ?
- C'est quand on est amoureux de quelqu'un, qu'on a très envie de l'embrasser mais qu'on attend, on attend et toute cette attente... c'est le désir. C'est quand on ne l'a pas encore embrassé, qu'on en rêve en s'endormant, c'est quand on imagine, qu'on tremble en l'imaginant et c'est si bon, Zoé, tout ce temps-là où on se dit que peut-être, peut-être on va l'embrasser mais on n'est pas sûre...
- Alors on est triste.
- Non. On attend, le cœur se remplit de cette attente... et le jour où il t'embrasse... Alors là, c'est un feu d'artifice dans tout ton cœur, dans toute ta tête, tu as envie de chanter, de danser et tu deviens amoureuse.
Commenter  J’apprécie          10
Je m'en fiche qu'il soit vieux, qu'il soit gros, qu'il soit moche, c'est mon homme, c'est ma pâte à aimer, ma pâte à rire, ma pâte à pétrir, ma pâte à souffrir, je sais tout de lui, je peux le raconter en fermant les yeux, je peux dire ses mots avant même qu'il les prononce, je peux lire dans sa tête, dans ses petits yeux malins, dans sa grosse bedaine... je le raconterais les yeux fermés, cet homme-là.
Commenter  J’apprécie          10
"Etoiles, s'il vous plaît, faites que je ne sois plus seule, faites que je ne sois plus pauvre, faites que je ne sois plus harcelée. Je suis lasse, si lasse... Etoiles, on ne fait rien de bien toute seule et je suis si seule. Donnez-moi la paix et la force intérieure, donnez-moi aussi celui que j'attends en secret. Qu'il soit grand ou petit, riche ou pauvre, beau ou laid, jeune ou vieux, ça m'est égal. Donnez-moi un homme qui m'aimera et que j'aimerai. S'il est triste, je le ferai rire, s'il doute, je le rassurerai, s'il se bat, je serai à ses côtés. Je ne vous demande pas l'impossible, je vous demande un homme tout simplement, parce que, voyez-vous, étoiles, l'amour, c'est la plus grande des richesses... L'amour qu'on donne et qu'on reçoit. Et de cette richesse-là, je ne peux pas me passer..."
Commenter  J’apprécie          10
Seul l'homme qui s'est trouvé, l'homme qui coïncide avec lui-même, avec sa vérité intérieure, est un homme libre. Il sait qui il est, il trouve plaisir à exploiter ce qu'il est, il ne s'ennuie jamais. Le bonheur qu'il éprouve à vivre en bonne compagnie avec lui-même le rend presque euphorique. Il vit véritablement alors que les autres laissent couler leur vie entre leurs doigts... sans jamais les refermer.
Commenter  J’apprécie          10
Où sont les hommes ? crie la meute des femmes. Il n'y a plus d'hommes. On ne peut plus tomber amoureuse.
Ou bien ils sont beaux, virils et infidèles... et on pleure !
Ou bien ils sont vains, fats, impuissants... et on pleure !
Ou bien ils sont crétins, collants, débiles... et on les fait pleurer !
Et on pleure de rester seule à pleurer...
Mais toujours elles le cherchent, toujours elles l'attendent. Aujourd'hui ce sont les femmes qui traquent l'homme, les femmes qui le réclament à cor et à cri, les femmes qui sont en rut. Pas les hommes !
Commenter  J’apprécie          10
Pour Juliette, Minette était née grand-mère. Ce qui la chagrinait surtout c'était la disparition d'un intermédiaire entre la mort et elle. La prochaine c'est maman, puis moi...
Commenter  J’apprécie          10
Au moins, j'aime...et c'est beau d'aimer. C'est pas bon de souffrir, mais c'est beau d'aimer... Ca ne m'était jamais arrivé. J'ai cru que j'avais aimé avant toi, mais je n'avais fait que tomber amoureuse. Tu ne décides pas d'arrêter d'aimer. Tu aimes pour la vie. Et c'est là toute la différence.
Commenter  J’apprécie          10
Avec la peur au ventre de ne pas l'attraper. La peur de ne pas le garder. La peur de ne pas être à la hauteur. Toujours la peur. Parce qu'il partait toujours. Et moi, je lui courais toujours après.
Commenter  J’apprécie          10
Car depuis que je l'ai vu, c'est comme un gaz volatil.
Il m'occupe la tête, il m'occupe les veines, il m'occupe le cœur, la rate et les poumons, il se dilate en moi et c'est bon, c'est bon et à jamais...
Commenter  J’apprécie          10
Il y a des gens avec qui l'on passe une grande partie de sa vie et qui ne nous apportent rien. Qui ne vous éclairent pas, ne vous nourrissent pas, ne vous donnent pas d'élan. Encore heureux quand ils ne vous détruisent pas à petit feu en se suspendant à vos basques et vous suçant le sang.
Et puis...
Il y a ceux que l'on croise, que l'on connaît à peine, qui vous disent un mot, une phrase, vous accordent une minute, une demi-heure et changent le cours de votre vie. Vous n'attendiez rien d'eux, vous les connaissiez à peine, vous vous êtes rendu léger, légère, au rendez-vous et pourtant, quand vous les quittez, ces gens étonnants, vous découvrez qu'ils ont ouvert une porte en vous, déclenché un parachute, initié ce merveilleux mouvement qu'est le désir, mouvement qui va vous emporter bien au-delà de vous-même et vous étonner.
Vous ne serez plus jamais vermicelle, vous danserez sur le trottoir en faisant des étincelles et vos bras toucheront le ciel...
Commenter  J’apprécie          10
La souffrance, c'est magnifique quand on en guérit, quand on la transforme en compassion.
Commenter  J’apprécie          10



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Katherine Pancol Voir plus

Quiz Voir plus

Katherine Pancol

Où est née Katherine Pancol ?

France
Belgique
Maroc
Liban

10 questions
197 lecteurs ont répondu
Thème : Katherine PancolCréer un quiz sur cet auteur

{* *}