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Citations de Katherine Pancol (3680)


Quand tu es dans l'ambition tu n'as pas le temps de regarder.
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Je me suis arrimée à des gestes quotidiens. À des petits détails.
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La souffrance, c'est magnifique... C'est magnifique quand le mal est passé parce qu'on apprend, parce qu'on comprend, parce qu'on peut se mettre à la place de l'autre.
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On a tous l'illusion du bonheur. On le poursuit tels des affamés. C'est même cet espoir qui fait vivre. Sinon, autant se coucher et attendre que la fin arrive.
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Henriette Grobz était comme beaucoup de gens : détestable avec ses proches, aimable avec le premier venu.
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... ses yeux s'habituaient à l'obscurité. Peu à peu, se détachaient de l'ombre des taches jaunes, vacillantes, qui s'allumaient les unes après les autres et semblaient converger vers lui : les yeux jaunes des crocodiles.
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Autrefois elle avait aimé la vie. (...) Et dans cette vie d'avant, il y avait du désir, cette "mystérieuse puissance du dessous des choses". Comme elle aimait ces mots d'Alfred de Musset !
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C'est cela la vraie solitude : se retrouver seule et apprendre à s'estimer, avancer dans le vide sans autres encouragements, sans autres applaudissements que ceux que l'on s'accorde dans le silence effroyable du tête-à-tête de l'âme. Quand on a appris à s'aimer à deux, c'est dur de s'aimer toute seule.
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C’est une personne la vie, une personne qu’il faut prendre comme partenaire. Entrer dans la valse, dans ses tourbillons, parfois elle te fait boire la tasse et tu crois que tu vas mourir et puis elle t’attrape par les cheveux et te dépose plus loin. Parfois elle t’écrase les pieds, parfois elle te fait valser. Ne pas arrêter le mouvement en pleurant sur soi, en accusant les autres, en buvant, en prenant des petites pilules pour amortir le choc. Valser, valser, valser. Franchir les épreuves qu’elle t’envoie pour te rendre plus forte, plus déterminée.
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Elle soupira, j’ai encore beaucoup de choses à apprendre, c’est sûr. On croit avoir gagné quand on a remporté une victoire, mais il y en a toujours une autre à livrer. Ma vie était si simple, avant. Plus j’avance dans la vie, plus je la trouve compliquée. Peut-être qu’avant je ne vivais pas… ( …)
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Les femmes ont si bien appris à être fortes qu'elles se sont cuirassées.
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Le bonheur est fait de petites choses. On l'attend toujours avec une majuscule, mais il vient à nous sur ses jambes frêles et peut nous passer sous le nez, sans qu'on le remarque.
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j'ai aimé le livre.
Je ne connais pas ce style, cet aspect là chez l'auteur.
je l'ai découvert avec l'homme à distance et j'ai trouvé le style un peu plus différent.
Et monter lentement dans un immense amour...
le titre ne trahit pas le contenu, de même pour l'effet et les émotions qui fait naître.
J'ai admiré le texte à l'état "brut", les discussions chevauchés, les personnages méticuleusement décrits.
L'histoire est à faire rêver les yeux ouvert
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Il faut que je retienne cet instant. Il faut qu’il dure encore un peu pour qu’il s’imprime dans ma mémoire. Le moment où il a cessé d’être l’homme que j’aime et qui me torture pour devenir simplement un homme, un camarade, pas encore un ami. Mesurer le temps que ça m’a pris pour que j’arrive à ce résultat. Savourer ce moment où je me détache de lui. En faire une étape. Penser à ce moment précis me donnera des forces, plus tard, quand j’hésiterai, douterai, me découragerai. Il fallait qu’ils parlent encore un peu pour que cet instant se remplisse, devienne réel et marque un tournant dans sa vie. Une borne sur sa route. Grâce à ce moment –là, je serai plus forte et je pourrai continuer à avancer en sachant qu’il y a un sens, que toute la douleur que j’ai accumulée depuis qu’il est parti s’est transformée en un pas en avant, une invisible progression. Je ne suis plus la même, j’ai changé, j’ai grandi, j’ai souffert mais cela n’a pas été en vain.
-Joséphine, comment font les gens qui réussissent ?
Sont-ils simplement touchés par la chance ou ont-ils une recette ?
-Je ne crois pas qu’il y ait une recette… Ce qu’il faut au départ, c’est choisir un costume qui te va, dans lequel tu te sens bien et, petit à petit, tu l’agrandis, tu le fais à tes mesures. Petit à petit, …
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C’est de ma faute aussi. Je l’ai ennuyé avec mon amour. J’ai vidé mon cœur dans le sien. Jusqu’à la dernière goutte. Je l’ai rassasié. Il n’y a pas seulement l’amour, il y a la politique de l’amour, disait Barbey d’Aurevilly.
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Je vais mal en ce moment. Cette apparence dégagée et aisée que j’ai entretenue si longtemps se craquelle, et il en émerge un bric-à-brac de contradictions. Il va bien falloir que je finisse par choisir. Aller dans une direction mais laquelle ? Seul l’homme qui s’est trouvé, l’homme qui coïncide avec lui-même, avec sa vérité intérieure, est un homme libre. Il sait qui il est, il trouve plaisir à exploiter ce qu’il est, il ne s’ennuie jamais. Le bonheur qu’il éprouve à vivre en bonne compagnie avec lui-même le rend presque euphorique. Il vit véritablement alors que les autres laissent couler leur vie entre les doigts… sans jamais les refermer.
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« Avant j'avais toujours peur que le ciel me tombe sur la tête et maintenant je me balade en montgolfière au-dessus des nuages... »
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Quand tu ne sais pas où tu vas, arrête-toi et regarde d’où tu viens
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Où sont les hommes ? crie la meute des femmes. Il n’y a plus d’hommes. On ne peut plus tomber amoureuse.
Iris connaissait leur complainte par cœur.
Ou bien ils sont beaux, virils et infidèles… et on pleure !
Ou bien ils sont vains, fats, impuissants… et on pleure !
Ou bien encore ils sont crétins, collants, débiles… et on les fait pleurer !
Et on pleure de rester seule à pleurer…
Mais toujours elles le cherchent, toujours elles l’attendent. Aujourd’hui ce sont les femmes qui traquent l’homme, les femmes qui le réclament à cor et à cri, les femmes qui sont en rut. Pas les hommes ! Elles appellent des agences ou pianotent sur Internet. C’est la dernière fureur. Je ne crois pas à Internet, je crois à la vie, à la chair de la vie, je crois au désir que la vie charrie, et si le désir se tarit, c’est tu n’en es plus digne.
Autrefois, Iris avait aimé la vie. Elle avait aimé follement la vie.
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-Jo, dis-moi exactement ce qui te fait peur ? Quand on a peur, il faut toujours regarder sa peur en face et lui donner un nom. Sinon, elle vous écrase et vous emporte comme une vague scélérate…
-C’est quand tu auras identifié cette peur-là, cette peur à l’origine de toutes les autres, que tu n’auras plus peur de tout et que tu deviendras enfin toi-même.
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