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Critiques de Laure Adler (316)
Immortelles

Des portraits de femmes, la jeunesse, les destins compliqués, les espoirs plus ou moins déçus... on s'attache à ces trois personnages que l'on suit en parallèle (j'avoue, j'ai eu la tentation de sauter quelques pages pour suivre le même personnage sur plusieurs chapitres avant de revenir à une autre) jusqu'à ce qu'elles se rencontrent (ce qui est finalement une toute petite part du roman).

A travers ce roman, c'est aussi une agréable plongée dans une époque, soutenue par de nombreuses références musicales, théâtrales et littéraires, mais aussi dans le domaine de la médecine et de la psychanalyse. [...]
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Immortelles

Gageons que ce roman largement autobiographique parlera davantage à la frange de lecteurs (trices) nostalgiques des golden sixties ou des utopies seventies qu'aux plus jeunes. Mais il a la vertu de rappeler le cauchemar que fut l'avortement dans les années 60 et de ressusciter la ferveur qui a pu entourer des psychiatres voulant faire tomber les murs des asiles, en un temps de crise moins généreux.
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Immortelles

Roman sur la force de la jeunesse, ses espérances, et les accidents de la vie, "Immortelles" est une plongée dans les années 60 et 70 qui chante l'amitié féminine.
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Immortelles

L’amitié, ce sentiment si précieux, peut nous conduire à un peu d’éternité. C’est à cette célébration que souhaite nous faire assister Laure Adler dans son roman Eternelles. C’est le récit des parcours de trois femmes, Judith, Suzanne, et Florence qui ont toutes, à différents moments de leurs vies respectives, rencontré la narratrice, l’ont marquée, influencée, façonnée dans ses choix de vie, affectifs, sociétaux.

Judith, a passé son enfance en Argentine, issue d’une famille d’origine juive polonaise. Sa mère, Ethel, connaîtra la France durant la seconde guerre mondiale .Suzanne, marquée dès l’enfance par l’absence d’un père parti, dit-il, installer des filiales pour le compte d’une grande entreprise au Brésil, éprouve très tôt l’impératif de la recherche de la liberté ; elle se compare à Albertine, personnage de La recherche du temps perdu. Elle est devenue « une fille murée »

Florence, pour sa part, cherche son salut dans les spectacles, dans le théâtre, art dont elle est éprise .Elle fréquente assidûment le festival d’Avignon, assiste aux débordements du Living Theater, à la mise en cause de Jean Vilar par des contestataires.

Ce qui lie la narratrice à ces trois femmes, ce sont des dettes culturelles, des influences : ainsi Suzanne fait-elle découvrir Les nourritures terrestres de Gide au cours de séance de lecture commune.

Bien plus tard, c’est Judith qui assiste avec la narratrice au séminaire de Lacan. Elles découvrent les cours de Julia Kristeva, de Benveniste tandis que Suzanne, qui a intégré l’univers médical, se passionne pour les patients de la clinique de La Borde, dirigée alors par le psychiatre Félix Guattari.

Ces femmes, chacune dans leur parcours, s’apprennent à vivre, à aimer, à avorter, pour ce qui concerne Judith. Elles rayonnent de leurs passions, telle l’implication dans les actions humanitaires pour Suzanne.

La fin du récit est amère ; l’auteure avoue : « La faucheuse n’a pas été tendre avec notre génération. Pas de plan de vie, pas de désir particulier de rester en vie .Nous n’y pensions même pas .Nous nous sentions immortelles. »

On retiendra de ce roman cet hymne à l’amitié, à la rencontre des autres, cet appel à « dormir le cœur ouvert, comme le chantait Gilles Vigneault .Ce roman célèbre aussi l’utopie, le pouvoir des idées et des personnes sur nos vies. Précieux rappel s’il en fût.

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Françoise

Laure Adler a un grand talent de biographe. J'avais lu et aimé son "Margueritte Duras" et j'ai appris beaucoup de choses sur Françoise Giroud qui m'ont éclairé sur bien des aspects de cette personne.



C'est un Rastignac en jupons, ni plus ni moins, femme de pouvoir, femme libre bien en avance sur son temps, d'une ambition démesurée et prête à tout pour parvenir à ses fins. Un mec, presque ! Quoique fille aimante, mère aimante, amoureuse aguerrie...



Les circonstances de la vie font que j'ai connu, il y a quelques années, Madeleine Chapsal, à Saintes, berceau charentais de sa famille. Une femme délicieuse, mais le vivant contraire si je puis dire de Françoise Giroud. J'imagine sans peine ce qu'elle a pu endurer avec cette rivale.



L'auteur de la biographie est trop en empathie avec son sujet pour relever, avec le recul, les errements du couple JJSS-Françoise Giroud, notamment pendant la guerre d'Algérie. Ni regrets ni remords pour leur attitude pendant cette période et silence-radio total sur le chaos qui a suivi l'indépendance de l'Algérie jusqu'aux événements de 1988-1999, du temps du GIA .



J'ai relevé une erreur de date, assez cocasse: en juin 1959, JJSS aurait été menacé par l'OAS qui n'est née... qu'en avril 1961. Cela m'a prêté à sourire.



Pour en revenir au sujet - à Françoise, donc...- je dirais qu'elle ne m'est pas devenue plus sympathique à la lecture de cet ouvrage; ses "zones d'ombres", ses petits arrangements avec la vérité, ses "têtes"(Jacques Chaban-Delmas, Simone Veil, Jacques Chirac...) me la rendent même un peu plus odieuse.



Quant à JJSS (moi aussi j'ai été lieutenant en Algérie, peu de temps après lui...) c'était une baudruche, un digne représentant de ce qu'on appelait naguère encore la gauche-caviar, le radicalisme dans toute son horreur !



Paix à son âme et à celle de son grand amour !



Mais je sais gré à Laure Adler d'avoir réalisé le portrait de cette femme avec tact mais vrai souci de la vérité. Bravo !
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Dans les pas de Hannah Arendt

Très intéressant et quel boulot accompli par Laure Adler!
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Françoise

page 340 : elle intériorise cette mort et ne comprend pas, c'est elle qui est en vie

elle a perdu à tout jamais l'insouciance et un voile noir vient obscurcir son rapport au monde. La vie est la plus forte. La douleur qui demeure devient comme une bête apprivoisée aux griffes rongées mais aujourd'hui encore, j'ai encore du mal à dire "mon fils" sans que la gorge se noue

page 457 : sur l'âge : implacable, elle observe les dérives de l'âge et note la distance qui sépare ce qu'elle veut faire de ce que maintenant lui est possible
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À ce soir

C’est un livre remarquable que celui de Laure ADLER, mais un livre douloureux. Perdre un enfant, un bébé de neuf mois plein de vie. Comment décrire les sentiments quand ils sont de l’ordre de ...
Lien : http://www.lirezvous.com/lau..
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Les femmes qui lisent sont dangereuses

cqfd
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Les maisons closes: 1830-1930

Commençons par ce qui fâche : les titres qui sont extrêmement inexacts. Oui, on y parle de maisons closes. Mais alors que je m'attendais , légitimement, à une histoire de ces lieux, ils font l'objet d'un chapitre de 92 pages sur 246... C'est court, surtout pour un siècle, mais c'est en fait assez vite expédié : pas d'histoire, une typologie succincte des différentes sortes de maisons, peu de données sur l'évolution des lieux, le mode de vie des filles... A partir du moment où elle dit que la fréquentation des maisons baisse, pouf, fin de l'histoire... Un peu rude quand même puisqu'elles continuent d'exister...

Le reste de l'ouvrage est intéressant, il offre un panorama de la prostitution au XIXè siècle. Les sources étant lacunaires et masculines, la vision des filles est très partiale et partielle. Si elles sont un "mal nécessaire", elles sont toujours stigmatisées, punies d'être ce qu'elles sont, considérées comme anormales et dangereuses (surtout celles qui exercent clandestinement, qui ne sont enregistrées nulle part). Alors qu'elle ne sont que le résultat de la société...

La partie sur la prostitution de rue ressemble à ce que j'attendais sur les maisons closes : vie et obligations des filles, typologie et évolution de la prostitution sur le siècle, protecteur, rapport aux autorités...

Intéressant, mais complètement à côté de ce que j'attendais et cherchais. Une bibliographie conséquente avec romans, articles, ouvrages datant de la période de recherche (médecin, moralistes, rapport de police...)

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Marguerite Duras (Biographie)

Juin 2012
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Françoise

Je n'ai pas terminé ce livre. Je n'aime pas tellement les biographies et celle-là, assez intéressante au début (enfance, adolescence puis débuts professionnels dans le cinéma avant le journalisme) m'a vite ennuyée. Je crois que c'est parce que je n'arrive pas bien à cerner le profil politique de Françoise Giroud, ça m'a gênée. Certes, la peinture du monde politique est assez précise et éclairante mais j'ai été bien plus embêtée par le personnage de Françoise que je n'ai pas trouvé très clair sur des tas de points, que bien entendu, Laure Adler a pudiquement évacué rapidement.
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Secrets d'alcôve : Histoire du couple de 1830 ..

Le sort des femmes scellé dans le mariage. L'adultère autorisé uniquement pour le mari. Le divorce inégal aussi. Très bel essai sur la condition féminine.
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Françoise

Françoise Giroud n'était pas destinée à devenir ce qu'elle est devenue : directrice de presse, journaliste politique, secrétaire d'Etat, amie des plus grands. Une vie de travail acharné (jusqu'à la toute fin) et d'épreuves (mort de son père toute petite, pauvreté, mort de son fils, tentative de suicide). Elle n'a jamais cessé de combattre, pour l'amélioration de la condition féminine notamment. Ouverte et curieuse, elle aimait découvrir et faire découvrir (musique, art, talents). Jusqu'au bout elle sera cette femme, malgré la vieillesse, contre elle.

Une très belle, quoique dure vie de femme, insoumise et battante, présentée par Laure Adler. Elle a connu Françoise GIroud, a pu consulter ses archives après son décès et nous livre là 7 années de recherches et de travail. Elle ne cache pas son admiration, montre les failles et les contradictions de celle qui a fondé L'Express et participé au début de l'aventure Elle. Le tout porté par l'écriture claire, limpide et lumineuse de Laure Adler, que j'ai pu découvrir et aimé dans sa biographie de la philosophe Simone Weil.

Un ouvrage passionnant.
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Les femmes qui lisent sont dangereuses

Voilà donc un livre à feuilleter au gré de ses envies, pour contempler de magnifiques tableaux, mais aussi pour lire quelques mots qui éclairent chaque oeuvre d'art, la remettent rapidement dans leur contexte historique, et expliquent ici ou là un détail qui aurait échappé à l'oeil peu averti d'un lecteur non féru d'art. Les femmes qui nous sont montrées sont toutes surprises dans leur intimité, parfois en famille, parfois dans un cadre et un contexte plus sensuels. Dans tous les cas, les tableaux happent le regard, et font résonance avec des situations familières, que chaque lecteur - et chaque lectrice ! - a pu connaître (lire en plein air, lire de façon si concentrée qu'on en oublie le reste du monde, lire pour se donner une contenance, lire pour le plaisir, partager la lecture avec d'autres,..). Ce dialogue entre ce livre et la lectrice que je suis est la source d'une formidable mise en abyme...ce qui donne un peu l'impression d'être un être exceptionnel ! (et ça, c'est toujours bon à prendre...!)

Un très beau cadeau à offrir à de grandes lectrices.
Lien : http://surlestracesduchat.bl..
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Les femmes qui lisent sont dangereuses

Un très beau livre certes mais truffé de répétitions qu'on aurait pu éviter selon moi, avant l'histoire d'amour des femmes et des livres, on a droit à l'histoire du livre et l'histoire de la religion. Tout est lié, et en même temps pas vraiment. Je suis un peu déçue. je pensais plus en apprendre avec ce livre.
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Les femmes qui lisent sont dangereuses

Quelle belle expression indéchiffrable sur cette couverture magnifique! Ce livre me faisait envie depuis si longtemps, un livre qui parle du plaisir de la lecture ne pouvait qu’ émoustiller ma curiosité! Ce titre provoquant et subtil a achevé de me convaincre de me procurer cet ouvrage somptueux! Acheteuse compulsive et lectrice assidue de livres en tout genre, cela ne peut que relever d’une pathologie très particulière, une douce folie, si intime et si jouissive… serais-je pour autant dangereuse?



Laure Adler et Stephan Bollmann nous proposent un voyage à travers le temps, à la découverte de magnifiques tableaux représentant cette activité si défendue pendant des siècles : l’activité de la lecture chez la femme. Les textes accompagnant ces tableaux nous donnent à voir l’évolution assez lente des mentalités, sur le rôle de la femme en tant que femme, épouse, mère, bonne à tout faire et de son droit d’accéder à la lecture.



La femme depuis des siècle fut considérée comme un être inférieur, la Bible même lui fut refusée pendant longtemps. Quand enfin on leur autorise cette activité, ce n’est uniquement que pour apprendre à lire, et respecter les enseignements bibliques.

Peu à peu, la femme s’émancipera, la société moderne accélérera ce processus mais il restera toujours des esprits conservateurs pour dénoncer les lectures anarchiques de ces dames, qui au lieu de se tourner vers les grands auteurs pour parfaire leur éducation préfèrent flâner au gré de leurs envies, s’ abandonner à des lectures plus libertines scientifiques, journalistiques, revendicatrices ou simplement délassantes…



C’est une activité intime, personnelle, silencieuse, secrète qui nous emporte vers d’autres horizons, qui nous permet l’espace d’une vie, de vivre toutes celles que l’on aurait aimé vivre. Ce n’est pas simplement un passe-temps ou une façon de combler un vide, c’est aussi le moyen le plus sûr de se connaître intimement, d’accéder au plus près à ce qui fonde notre singularité. C’est aussi une activité qui peut être source de sociabilité. Qui aime lire aime certainement discuter de livres, partager ses opinions, écouter celle des autres, apprendre encore et toujours au travers des mots d’un inconnu sur soi et sur ceux qui nous entourent.



Lire, quoi de plus universel, intemporel et intergénérationnel? Si la lecture n’a plus de sexe, de couleur, ou de religion de nos jours, ce livre s’attache à ce plaisir décrié aujourd’hui comme étant le plaisir féminin par excellence. Un hommage à nous femmes lectrices, maîtres de nos choix et libres de nos opinions.



Un ouvrage exquis à feuilleter avec délicatesse, brillamment illustré par de grands peintres comme Rembrandt, Boucher, Fragonard, Eybl, Henner, que je conseille à tous les amoureux des livres...
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Françoise

J’avais lu la biographie de Marguerite Duras pour mieux comprendre ses œuvres. J’ai lu celle de Françoise Giroud pour mieux comprendre une époque et un métier : le journalisme. Le fabuleux travail d’investigation de Laure Adler, qui a planché 7 ans sur cette biographie, a de nouveau comblé mes attentes.



Françoise Giroud, en soi, ne m’attirait pas spécialement. Trop jeune pour l’avoir connue dans sa splendeur, j’avais en mémoire une vieille femme acérée aux cheveux courts, ancienne compagne de Jean-Jacques Servan-Schreiber, liée au magazine l’Express et au mouvement féministe. J’en sais maintenant beaucoup plus sur cette battante, née en 1916 d’émigrés turcs et qui, à partir d’un simple diplôme de sténographe, s’est forgé un destin exceptionnel dans un monde autrefois (?) réservé aux hommes : le cinéma, le journalisme et la politique, puis sur la fin de sa vie l’humanitaire et la littérature. Mais apprendre à la connaitre ne me l'a pas rendue plus sympathique et c’est là une des forces de Laure Adler : mettre en avant les faits et non son jugement, ne pas occulter par complaisance les contradictions et les côtés sombres de son sujet - et "Françoise" en recèle un certain nombre.



Sans doute influencée par le souvenir de son père qui aurait tant souhaité un garçon, l'originalité de Françoise Giroud fut de gérer sa vie personnelle et sa carrière avec la même indépendance qu’un homme. Ses deux enfants étant gardés par sa mère, elle pouvait se consacrer entièrement à son travail, tout en apportant ce "petit plus" féminin qui fit son succès : faire entendre le point de vue des femmes dans la presse (en particulier lors de sa collaboration au magazine Elle), ancrer les sujets politiques dans la vie quotidienne (c’est l’orientation qu’elle donna à l’Express), décrypter les tendances avant tout le monde (on dit qu’elle créa la Nouvelle Vague)...



Dans son sillage, c’est aussi toute une époque qui est passée au crible. L’Occupation allemande, la guerre d’Algérie, la fin de la IVe République, Mai 68, le gouvernement Giscard puis celui de Mitterrand, les mouvements humanitaires et féministes…. Tout y est, relaté par ceux qui ont vécu l’actualité. Et le verbe « vivre » est important. Car au temps du plein emploi et de libéralisation des mœurs, où l’espérance de vie était plus courte que maintenant, les gens prenaient très tôt des risques pour bâtir leurs propres expériences, quitte à changer de voie par la suite. Par exemple, en 1962, Françoise Giroud a autorisé sa fille Catherine Eliacheff, quatorze ans et demi, à partir vivre avec Robert Hossein et à l’épouser. Impensable à l'heure actuelle ! Cela n’a pas empêché la jeune femme d’entreprendre ensuite les brillantes études de médecine que l’on connaît.



Bravo, donc, à Laure Adler pour la somme incroyable de documents collectés et d’entretiens tenus pour nous faire vivre au jour le jour toutes ces années. Et une mention spéciale pour son prologue, synthèse intelligente et sensible qui témoigne du respect avec lequel elle a mené ce projet.
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Les femmes qui lisent sont de plus en plus ..

Une façon de prendre de la distance.
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