Lauren Weisberger

J'avais envie de rire avec un bouquin sans conséquence et un brin de romance. Direction pile de bouquin girly, en l'occurrence People or not people, du même auteur que "le diable s'habille en Prada".



Il s'agit d'une petite plongée dans l'univers superficiel de la jet-set New-Yorkaise, que du bonheur.

On suit Beth, une jeune femme très bien qui tente une reconversion dans le domaine des VRP.

Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'elle se "débrouille" pas mal.



Ensuite, l'histoire de coeur: QUI parmi les nombreux prétendants qui se bousculent aux portillons, aura son cœur ? Bon, je crois que je pourrai me reconvertir en auteur de scénar', parce que j'ai trouvé qui serait cet élu à sa première évocation.



Il n'empêche que j'ai dévorai le livre, profitant de chaque minute de libertés pour lire quelques lignes supplémentaires.

Amatrice de chick-litt' entre des pavés plus gros ou des romans plus fins et ardus, je me suis dit que cette auteure jouait dans la cours des grandes de ce genre de littérature... hélas, j'ai lu des Harlequins bien meilleurs que ça. Et sinon pour que cela rapporte financièrement, en surfant sur le nom un peu connu de cette auteure, je ne vois même pas pourquoi l'éditeur l'a publié ailleurs que dans une collection réservée à la chick litt', en poche, et pas chère. On a de bien moins mauvaises surprises avec du Nora Roberts, ou même du Steel... si, si !

J’avais déjà lu les livres de cet auteur : People or Not People et Le Diable s’habille en Prada il y a de cela quelques années. On m’avait donc offert ce livre qui depuis trône sur ma pile à lire vu que j’ai un peu changé mon registre de lecture ; plus axé bit-lit et romance paranormale.

Le premier roman, j’avais bien aimé, passé un agréable moment de lecture : amusant, frais, et un brin romantique. Le second, j’avais un peu moins aimé que l’autre même si ça se lit parfaitement bien et que l’on est complètement décontracté pendant notre lecture.



Avec ce nouveau roman, l’auteur nous situe à New York avec trois trentenaires qui ont quand même un avantage financier conséquent. La première, Leigh, est éditrice et à un avenir déjà prometteur, une promotion alléchante, une réussite certaine pour elle. En plus, elle a un petit ami transi d’amour pour elle… Un chroniqueur sportif à la télévision. Elle est seulement anxieuse, angoissée, pleine de principes, je dirai même qu’elle a quelques T. O. C. la demoiselle !



Ensuite, Emmy qui travaille pour une agence culinaire ; elle par contre perd son petit ami pour une « Pompom Girl » de 20 ans. La dragée est dure à passer et c’est une grande monogame dans l’âme. Mais elle se voit proposer une promotion qu’elle avait refusé jusque là à cause de l’homme de ses rêves.



Et enfin Adriana, la brésilienne, belle, sublime ; on va dire la trentenaire, riche et dépensière qui ne travaille pas et vit dans l’appartement de papa et maman constamment en voyage. Une croqueuse d’hommes qui goûte à la vie par les deux bouts, une femme avec un bagou sur les hommes impressionnant. Elle doit être un peu de la même famille que Paris Hilton si vous voyez de qui je parle !



L’auteur a dépeint ces trois héroïnes, avec des clichés vus dans la presse people, dans les séries télévisées ou films. Un soir, nos starlettes décident de faire un pari : Emmy doit changer sa façon de voir les hommes et plutôt privilégier des aventures sans lendemain, ouste la monogamie ! , quant à elle, l’inverse bien sur : arrêter de courir les caleçons ambulants, trouver un homme puis former un couple, un vrai ! Et même se faire passer la bague au doigt en prime serait parfait. Quand à Leigh, ses amies lui demandent de trouver quelque chose à changer qui ne lui convient pas dans sa vie.



Nous suivons donc ce trio et le changement de cap dans leur vie professionnelle, mais aussi personnelle, on rigole, on est détendu pendant notre lecture ; c’est frais, léger, amusant… C’est très distrayant comme lecture. Chacune est attachante, touchante, gauche par moment, sauf Adriana bien sûr qui maîtrise son sujet à merveille, cela en est agaçant même !



En lisant, j’ai pensé à une série que j’aimais beaucoup : Sex in The City et nos belles new yorkaises. Ici, c’est un peu de cette série et de cet esprit.

On aborde la vie professionnelle, la vie de couple, les problèmes de sentiments, de mal être, de manque de confiance, de réussite… Et surtout l’amitié de ces trois personnes si différentes mais tellement soudées. Tout est abordé avec humour et simplicité.



Je n’ai pas de points négatifs à proprement parlé, c’est divertissant et léger, ni d’engouement total, c'est une lecture simple, facile, un trio de femmes nous parlant de leurs déboires … De leur vie !

Faut pas non plus se leurrer, il ne sera pas dans mes grandes lectures, ni graver imperceptiblement dans ma mémoire. Cela reste une lecture légère, sans prise de tête, un chick-lit dans toute s
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De cette auteur j’avais déjà lu « Sexe, diamants et plus si affinités », que j’avais adoré. J’avais également adoré l’adaptation cinématographique du « Diable s’habille en Prada » que je n’ai toujours pas lu. Du coup, quand j’ai vu celui-ci en librairie, je n’ai pas su résister à son appel. Toutefois, à cause de son prix (21€ tout de même !), j’ai préféré me le procurer en version originale (à 7€ cette fois) et la lecture a été un poil plus longue que ce que j’aurais voulu.



Encore une fois, on a là un vrai roman de chick-litt, on sait d’avance comment ça va finir, mais peu importe, on se fait une petite frayeur jusqu’à la fin. Il y a l’amour, il y a la meilleure amie magnifique, il y a le petit ami [presque] parfait, la belle-famille atroce, les parents divorcés qui se haïssent, bref, tous les ingrédients d’un roman qui permet de poser son cerveau… J’ai ris, j’ai eu les larmes aux yeux et j’étais très énervée face à certains personnages… j’ai un peu vécu le livre, ce qui est plutôt agréable.



Au niveau de l’histoire, ce n’est rien qui vole très haut : Brooke aide Julian a percer dans la musique, et finalement, lorsqu’il réussit, tout son monde se retrouver chaviré, pas forcément dans le bon sens du terme ! Les évènements sont prévisibles pour la plupart, mais les personnages sont attachants, surtout Brooke. J’aime aussi Nola, qui est assez intéressante et qui, si elle existait, pourrait être une véritable amie. Julian, quant à lui, voit son capital sympathie s’écorner petit à petit au long de l’histoire…



Encore une fois, j’ai trouvé là un roman qui m’a permis de rêver au Prince Charmant et à l’amour qui triomphe malgré les déboires. Toutefois, même si c’est avant tout un livre de fiction et surtout qui permet de s’évader, je n’ai pas pu m’empêcher de me dire que finalement l’auteure a raison : quand on lit les journaux people, on s’incruste dans la vie de gens qui sont juste comme nous…
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Le troisième opus de la série commencée avec "Le diable s'habille en Prada" avec l'inimitable Meryl Streep. On retrouve, comme dans le deuxième, un des personnages du premier en vedette et comme tous les personnages de l'auteur sont truculents on se régale à chaque fois même si c'est un peu "too much".

Pour moi un bon moment de lecture avec des caricatures de la société américaine et beaucoup d'humour mais ça reste du chick lit, à consommer avec modération, pas vraiment mon genre de prédilection. Si vous aimez, foncez !

J'ai été déçu de cette suite, même le titre je trouve ne va pas avec l'histoire, ce n'est pas une vengeance mais du business tout simplement. Andy je l'ai trouvé un peu niaise, toujours entrain de pleurnicher, ça devenait soûlant à force. J'ai adoré retrouver Emily, c'est grâce à elle que j'ai tenue bon jusqu'à la fin. Miranda on la voit pas énormément, à peu près au milieu de l'histoire elle commence à avoir un peu d'importance, alors que pour moi, c'est scencé être elle le personnage principal LE DIABLE, donc j'ai pas compris pourquoi Andy toujours Andy, j'espère qu'il ne vont pas en faire un film.

Lecture décevante.

Ce livre faisait partie de ceux raflés dans ma bibliothèque le dernier jour avant le confinement, parce qu'il était sur un présentoir et parce que j'avais gardé un bon souvenir du premier.

Là, je n'ai pas ressenti grand-chose à part de l’énervement envers le personnage principal : j'avoue que j'ai eu du mal à comprendre ses réactions, qui m'ont semblé assez irrationnelles et disproportionnées par rapport aux évènements qui les suscitent.

Du coup je ne sais pas si je vais me lancer dans le troisième également disponible dans ma bibliothèque.

Une fable moderne où on se speed dans les rues de New-York, au rythme stressant des pas des working girls et men, abrutis par la société de la performance, entre un bureau vitré d'un immense building et le Starbucks du coin... On s'y croirait presque !

L'adaptation ciné est très sympa aussi, avec les talentueuses Meryl Streep et Anne Hathaway, et repasse sur Ciné+ Emotions les 11/11 et 22/01/20, et sur C8 le 08/09/20 !

Beth démissionne de son travail ennuyeux sur un coup de tête, son oncle lui dégote alors un travail dans l’évènementiel. Un univers bien différent de la finance où elle évoluait, elle découvre un monde impitoyable entre mesquinerie et coups bas.

J’ai passé un bon moment avec ce roman, il est distrayant et son héroïne sympathique et attachante. Le moins intéressant reste l’organisation des fêtes et les fêtes en elles-mêmes que je n’ai pas su apprécier.

Mais il reste un roman divertissement qui officie dans le monde de la jet-set avec des personnages stéréotypés et hauts en couleur. Le ton y est léger, un livre agréable à lire et il reste un bon moment de détente, sans surprise certes, mais qui marie habilement les code du genre entre romance, amitié et humour.

Pour atteindre le but qu’elle s’est fixé (écrire un jour des articles pour le New Yorker), Andréa est prête à tout supporter pendant un an au service de Miranda Priestly, la rédactrice en chef du célèbre magazine de mode Runway. Mais son poste d’assistante est loin de correspondre à l’idée qu’elle s’en faisait, avec des journées à rallonge, des soirées de gala imprévues et des week-ends en amoureux annulés au dernier moment. Miranda exige de ses assistantes une efficacité à 200%, elle veut tout, tout de suite, et prend un malin plaisir à harceler ses collaboratrices et à pratiquer la rétention d’informations quand elle ne les lance pas sciemment sur de fausses pistes pour mieux leur signifier ensuite leur incompétence ! En fait, elles ne sont plus que des esclaves soumises à ses quatre volontés, mais la perspective d’un licenciement pour faute si elles ne peuvent répondre à ses demandes leur fait courber le dos et annihile toute tentative de rébellion. Miranda, qui fait à elle seule la réputation de Runway, est largement soutenue par les propriétaires du magazine qui financent, les yeux fermés, tous les caprices de leur « star » : chaque début de saison, renouvellement intégral de sa garde-robe signée des plus grands créateurs, un jet privé pour transporter de l’autre côté de l’Atlantique des jupes ou le dernier tome des aventures de Harry Potter (qu’Andréa a dû se procurer ABSOLUMENT en avant-première pour que les jumelles aient le plaisir de lire les aventures du petit sorcier un jour avant tout le monde !), etc…

Andréa néglige ses parents et ses amis, elle ne voit presque plus son amant Alex et n’a pas encore pris le temps de faire la connaissance de son neveu nouveau-né. Elle compte les jours qui la séparent du premier anniversaire de son entrée à Runway, pensant qu’après, tout redeviendra comme avant, mais avec en plus, une ligne conséquente sur son CV, celle qui lui ouvrira les portes du succès.

Tout au long de ce roman on se pose une question : est-ce que la puissante et légendaire Miranda, (mais mauvaise, égoïste, redoutable, hypocrite, menteuse, abominable, ignoble, horrible, terrifiante, ...) se verra un jour battue à son propre jeu ? Miranda est-elle à ce point intouchable car protégée par ses patrons ? La réponse : dans les dernières pages du livre !

J’ai trouvé que cette fiction, destinée certainement d’abord à amuser et à faire sourire, pose aussi le problème bien actuel du harcèlement au travail et de ses conséquences tragiques sur les victimes dont les faits divers font état régulièrement.

C'était la deuxième fois que je reprenais ce roman. J'ai choisi de recommencer quand je disposais de plusieurs heures d'affilée pour pouvoir entrer dedans suffisamment.

J'ai eu un peu de mal à avancer dans cette histoire avec un personnage hyper superficiel (Adriana), une fille abandonnée après cinq ans de "flirt" (Emmy) et une un peu plus intéressante tant en ce qui concerne son travail (dans une maison d'édition) que sa vie sentimentale (un amoureux bien sous tous rapports).

"Le diable s'habille en Prada" et "Stiletto blues" m'ont paru beaucoup plus intéressants.

Rien à voir avec la légèreté de son ouvrage "Le diable s'habille en Prada"... Peu de rires à la lecture de ce livre...

Mais la découverte d'un univers impitoyable... L'industrie musicale...

437 pages à retenir son souffle... en se demandant dans quel état Brooke va en ressortir !

Un peu de respect pour ce livre : c'est grâce à lui, après Le journal de Bridget Jones que le tsunami de la chick lit (la "littérature pour poulettes", soyons clair !) s'est abattu sur le monde !



Pour être un peu plus sérieux : non, je ne suis pas une femme (un homme, en fait), non je ne m'intéresse pas particulièrement à la mode et je ne connaissais pas le nom d'Anna Wintour avant d'entamer ce roman, mais oui, j'ai adoré ce livre



Lire la suite de ma critique sur le site Le Tourne Page
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Qui n'a jamais entendu parler de ce livre culte ? Personnellement je n'avais vu que le film. Sans l'adorer, c'est un film que j'ai aimé regarder deux ou trois fois.

On m'a donc conseillé de lire le livre en me disant qu'il n'avait vraiment rien à voir avec l'adaptation en film.



Me voilà donc plongé dans la vie d'Andrea, jeune femme de vingt trois ans qui vient de décrocher LE poste de sa carrière ! La suite, tout le monde la connait : en tant qu'assistante junior de Miranda Priestly (rédactrice en chef du magazine de mode incontournable, Runway), Andrea va devoir supporter tous les caprices de sa patronne. Je n'aurais pas tenu ne serais-ce qu'une semaine à sa place... Rien qu'en lisant certaines scènes, je bouillais d'énervement pour elle !



Et bien, tout comme pour le film, je ne peux pas dire que j'ai adoré. Mais j'ai aimé dans sa globalité. Je trouve que 500 pages c'est vraiment énorme pour ce genre d'histoire. J'avoue avoir passé quelques innombrables passages de répétitions et descriptions... C'était à mon goût vraiment trop détaillé, ce qui parfois, rendait la lecture un peu lourde. On retrouve beaucoup de scènes identiques, notamment des pages et des pages sur ses journées au bureau. L'auteur a certainement voulu faire ressentir au lecteur la difficulté de son job. Mais personnellement j'ai trouvé le temps long et j'attendais avec impatience qu'il se passe quelque chose.



J'ai malgré tout passé un bon moment en lisant le culte Le Diable s'habillle en Prada ! Je recommande à toutes les amoureuses de chick-lit et bien évidemment aux amatrices de mode. C'est une bonne lecture, mais ce n'est pas un coup de coeur.

D'une lecture agréable...idéal pour les vacances où quand on a besoin de "décompresser". Un roman sans réelle surprise mais qui aborde l'éternel thème de la quête du bonheur...de l'épanouissement au sein d'une société très sensible aux "apparences", à la notoriété. Chacun prendra ce qui lui convient...juste se laisser porter sans philosopher.

Très banal, sans aucune originalité, sans aucun intérêt nous donnant envie de poursuivre la lecture.

J'ai trouvé ce livre agréable à lire. Ce roman nous fait découvrir les coulisses de la rédaction d'un magazine de mode avec une rédactrice en chef tyrannique. Je trouve Andréa courageuse de supporter une folle pareille moi je serais partie depuis longtemps. Le film est plutôt fidèle au livre.

Résumé:



Emmy, Leigh et Adrianna sont amies depuis près de 10 ans. New-Yorkaises, comme beaucoup de jeunes femmes de leur âge, elles adorent passer des soirées entre filles dans les endroits branchés de la ville. Un jour, lors d'une soirée particulièrement arrosée, elles décident de faire un pacte. Changer totalement leur façon de vivre. Emmy, incroyable romantique devra enchaîner les conquêtes. Adrianna, dévergondée et sans attaches devra au contraire se poser et tenter de trouver son futur mari. Quant à Leigh, elle devra délaisser un peu son travail et sa vie confortable, pour laisser plus de place à l'imprévu. Mais ça ne va pas se révéler si facile que ça...



Mon avis:



J'ai acheté ce roman en juin car je connaissais déjà l'auteure pour avoir lu Le diable s'habille en Prada que j'avais adoré. Je me suis donc laissée tenter par son troisième roman Sexe, diamants et plus si affinités... dont la couverture annonçait de la chick-lit à l'état pur.



On retrouve bien là la plume de Lauren Weisberger. C'est fun, c'est drôle et girly à souhait. Elle nous entraîne dans les aventures de trois jeunes New-Yorkaises, qui à l'aube de la trentaine remettent totalement leur vie en question. On a l'impression de les connaître depuis longtemps, de faire partie de leur bande, car on peut se reconnaître assez facilement dans l'une des trois filles et certaines situations burlesques peuvent nous paraître familières.



Adrianna, Leigh et Emmy m'ont beaucoup fait penser aux héroïnes de la série Sex and the city de Candace Bushnell. On retrouve le stéréotype de la bimbo volcanique qui couche à droite et à gauche, la romantique pour qui rien est plus important que le mariage et les enfants et la working girl, bourreau de travail qui se complaît dans une petite vie simple, du moment qu'elle s'épanouit professionnellement.

Personnellement je me suis reconnue dans le personnage de Emmy, bien que je me soit trouvée énormément de choses en commun avec Leigh, qui adore lire, qui travaille d'ailleurs dans une maison d'Edition et qui est très casanière.

J'ai adoré suivre ces filles, libres et insouciantes, qui se rendent compte qu'elles ne sont pas forcément heureuses dans leur vie et qui pour la plupart ne sont pas épanouies dans leur relation sentimentale. Elles décident de changer du jour au lendemain leur façon de vivre et je dois dire qu'il faut une sacré dose de courage pour remettre en question ses valeurs, coucher avec le premier venu...

Finalement, on les envie presque car elles envoient tout balader et profitent à fond de la vie.

Les personnages masculins sont tout aussi importants, car ils sont assez présents tout au long du roman.

Je me suis pas mal attachée à Russel, qui est le petit ami et le futur mari de Leigh, que je trouve adorable. C'est clairement l'homme idéal et en plus apparemment il est super beau. Sauf que le pauvre va être un peu malmené et on ne peut pas s'empêcher de ressentir de la compassion pour lui.



Bref, c'est un roman léger et complètement divertissant. On rit beaucoup face aux situations assez cocasses et aux répliques cinglantes d'Adrianna. Toutes les trois n'ont pas froids aux yeux et osent des choses dont elles ne se seraient jamais cru capable avant.



Pour conclure:

Une lecture ''de filles" où trône fêtes, alcool et parties de jambes en l'air, à l'image des séries américaines que l'on regarde sans se prendre la tête, juste pour se détendre, pour s'évader du quotidien et il faut bien se l'avouer, rêver un peu.



Ma note: 14/20.

Je n’ai aucun intérêt particulier pour la mode, qu’elle soit masculine ou féminine. Mais j’ai lu ce roman car le titre du roman a attiré mon attention. L’ayant péniblement achevé, je n’ai pas été convaincu. Mais je savais bien, au départ, que mon profil personnel ne faciliterait pas mon intérêt pour le sujet du livre.

L’auteur a voulu dépeindre en détails deux personnalités antagonistes: une patronne tyrannique et fantasque (Miranda) et une jeune employée qui est devenue son assistante presque par miracle (Andrea). Miranda en fait des tonnes et Andrea fait l’impossible pour s’y adapter. Après tout, de telles relations professionnelles peuvent exister dans d’autres milieux que celui de la mode: c’est ce qui, à mes yeux, sauve un peu ce roman. Mais franchement, le plus souvent je me suis ennuyé.

Quelle déception…

Je ne peux pas vraiment dire que le livre est mal écrit, il est juste creux, les personnages sont fades, l'intrigue quasiment inexistante, les dialogues et les pensées répétitives et un peu 'débiles' et là, je ne parle même pas de la façon dont l'auteure parle de la grossesse et de la maternité qui est juste grotesque !

Une énorme déception donc !

Autant « Le diable s'habille en Prada » ouvrait une fenêtre sur un monde qui m'était complètement étranger et ce avec un phrasé incisif et acéré qui convenait parfaitement à l'histoire ; autant cette suite est juste insipide...