Martha Grimes

Martha Grimes et son 1er livre de sa série avec Richard Jury, l'enquêteur de Scotland Yard.



Une série de meurtres vient troubler la tranquillité de Long Piddleton un village du Nord de l'Angleterre. Des cadavres sont retrouvés dans des positions insolites dans des auberges de campagne aux noms pittoresques. Scotland Yard dépêche sur place Richard Jury, un homme aussi tenace que chevaleresque. de la ténacité, il va lui en falloir pour démasquer le tueur en série parmi une foule de suspects. Il va trouver un allié en la personne de Melrose Plant, châtelain dilettante que la nature a pourvu d'un cerveau fort efficace.



L'intrigue est très bien ficelée, même si elle n'est pas extraordinaire malgré 5 meurtres (visiblement, Martha Grimes ne fait pas dans le détail).



Outre Jury et Plant, dans deux styles différents, j'ai beaucoup aimé aussi les personnages de Racer, le supérieur de Jury, et de Wiggins, son collaborateur souffreteux en permanence. Ils sont un peu caricaturaux mais ils contribuent à l'ambiance. Je ne dirai rien sur la tante de Melrose Plant, exaspérante au possible.



Je lirai très certainement la suite des enquêtes de Richard Jury ne serait-ce que pour savoir comment il va retrouver Plant avec qui il a finit par mener l'enquête et, et, et surtout ...... quid de Vivian !!!???

"Le collier miraculeux", de Martha Crimes.

troisième tome malheureusement bien décevant, assez loin du charme caustique et de l'écriture de ses devanciers.

Un livre décousu de fils blanc.

Martha Grimes fait reprendre du service au Lord détective amateur et au policier de Scotland Yard.

Le début de la nouvelle enquête est long dans un cadre villageois avec plein de nouveaux lieux et têtes. Je trouvais ça un peu trop long mais heureusement la deuxième partie ne  manque pas de rebondissements. En fin de compte, je suis content de ce roman.

Je n'ai lu que les 2 derniers tomes donc il est difficile de faire un avis global.

Ce tome est le dernier des enquêtes d'Emma Graham et concerne toujours l'affaire Queen/Devereau.

J'ai beaucoup aimé le personnage principal d'Emma, son humour, sa répartie, sa légèreté.

L'intrigue est parfois un peu facile : Emma enquête sur une personne et pouf elle réapparaît 20 ans plus tard...

L'écriture est pas mal. Pas de mot compliqué. C'est fluide.

On passe un agréable moment de lecture même si je pense que ce n'est pas inoubliable. Mais sur le moment, j'ai apprécié et c'est ce qui compte pour moi.

Difficile de donner mon avis sur ce 3ème tome de la saga Emma Graham, n'ayant pas lu les 2 précédents...

Je n'avais pas notion qu'il fallait lire les 2 autres tomes avant pour pouvoir suivre celui-ci. Je pensais que, comme d'autres policiers, chaque tome racontait une enquête bien distincte. Pas du tout! L'enquête est une suite et ne se termine pas à la fin de ce livre. Je lirai la suite très vite, l'ayant en ma possession.

J'ai beaucoup apprécié le personnage d'Emma, âgée de 12 ans, son espièglerie...

L'écriture est très agréable, très légère. J'ai passé un très bon moment de lecture malgré un début compliqué (n'ayant pas le début de l'histoire).

C'est une livre soft, plein d'humour, qui m'a fait sourire à de nombreuses reprises.

Je regrette de ne pas avoir lu les 2 premiers tomes.

Premier volume du lot de trente livres obtenus pour pas cher chez mon bouquiniste.

Secrets et meurtres au programme dans un village anglais vu par un auteur des USA. Le tandem Jury et Plant est sympathique.

Mon retour sur investissement est positif.

Lecture difficile et avis mitigé pour ce livre que l’on m’a prêté et qui me confronte à l’univers de Martha Grimes pour la toute première fois.



J’ai trouvé le style parfois redondant, avec beaucoup de digressions au cœur de l’intrigue et qui ne la servent pas spécialement, ce qui m’a rebutée et a failli me faire abandonner la lecture. Malgré tout, je me suis accrochée et ai poursuivi le fil de cette enquête, narrée sur fond d’histoire Élisabéthaine, qui ne m’a pas fait palpiter et est retombée dès l’épilogue et la découverte du coupable comme un soufflé.

Voilà un charmant roman policier. Charmant ? Est-ce vraiment un terme à associer à ce genre littéraire ? Dans ce cas, oui. L’écriture (et donc la traduction) y est particulièrement soignée, les décors scrupuleusement dépeints et les personnages finement observés. Quant à l’ambiance, elle y est so british. Et pour cause, l’action se passe dans la campagne proche de Newcastle, à l’époque (années 80) où le chômage règne en maître dans cette région sinistrée.

Oui, mais les personnages que le lecteur va côtoyer, sont en fait, en grande majorité, issus de l’aristocratie. Ils connaissent parfaitement les armes car ils aiment chasser, leurs jardins sont magnifiques et ils rivalisent de connaissances botaniques sur les plantes toxiques ou non.

Qu’on se le dise, l’ambiance est plutôt guindée chez ces gens-là. Enfin, les apparences, vous savez !



« La mystérieuse Helen Minton a tout pour plaire au commissaire Jury. Malheureusement, leur première rencontre est aussi la dernière. Suicide ou assassinat ? Une énigme des plus délicates qui va demander au policier de Scotland Yard Richard Jury et à son collègue Melrose Plant de solides connaissances en botanique, poisons végétaux, mondanités ou même billard américain. »

IL y a des livres qu’il est difficile de quitter tellement ils sont passionnants, et d’autres qui sont si ennuyeux que la lecture s’éternise, s’éternise, et « Le fantôme de la lande » de Martha grimes fait malheureusement partie de ceux-là.

La lecture est rendue extrêmement compliquée par une galerie de personnages importante et au nom à consonance Anglaise très difficile à mémoriser. De plus, suite à la découverte des meurtres de ces trois enfants, on s’attend à suive l’enquête du commissaire Jury et de son adjoint le sergent Wiggings, quand, un nouveau chapitre s’ouvre, alors, nos deux enquêteurs disparaissent du récit, et nous voilà propulsés dans le somptueux manoir de Lady Jessica Mary Allan-Ashcroft (je vous avais dit que les noms étaient compliqués), et là, s’ouvre à nous une toute autre histoire, dont on ne comprend pas très bien le rapport avec les meurtres. Je l’avoue, à cet instant du récit, je me suis demandé s’il ne manquait pas des pages au livre ou, si j’avais involontairement passé quelque chose.

Alors, je me suis accrochée, j’ai regardé par curiosité si nos deux acolytes revenaient plus tard dans le récit, et, je dois dire qu’il faut vraiment se motiver pour tenir jusqu’au dénouement final, totalement alambiqué et tiré par les cheveux, avec vers la fin, un semblant de suspense. Ouf ! J’ai refermé ce livre avec le sentiment d’avoir perdu mon temps.

Les meurtres s'enchaînent dans plusieurs régions de l'Angleterre, dont celui d'une jeune touriste française dont le corps a été retrouvé par deux fillettes sur une petite île au large des Cornouailles. Un commissaire envoyé sur place, aidé de deux fins limiers, va mener l'enquête.

Avouons-le de suite : ce court polar m'a plongé dès les premières lignes dans un ennui et une indifférence abyssales. Impossible de m'y accrocher ! Il faut reconnaître qu'après avoir enchaîné les Robert Goddard et m'être immergé dans "La nuit du tigre" de Margery Allingham, il m'a été impossible de me laisser absorber par un roman aussi pâle – bref, mais qui m'a semblé durer une éternité. Tout cela à cause d'une couverture (une ruine sinistre près de la mer dans d'un paysage nocturne) qui promettait une atmosphère dense et dramatique. Si, souvent pour moi, les couvertures ne trompent pas, celle-ci m'a conduit tout droit vers la déception. A la lecture de ce polar, j'ai eu l'impression de suivre une mauvaise série télévisée constituée de tous les éléments prévisibles nécessaires à sa fabrication - quoique une bonne série télévisée, avec des comédiens inspirés, ait pu fortement améliorer ce roman. J'apprends que l'auteure a suivi les cours d'un atelier d'écriture universitaire américain "très réputé", ceci pouvant expliquer cela : ces ingrédients qui roulent sous la dent dans une pâte fade et légère. Cette même facilité des scénaristes de séries télé actuels, qui, a défaut de développer une intrigue aux racines profondes, se contentent de faire "embrouillé" en multipliant le nombre de protagonistes, en enchaînant les scénettes, en créant une intrigue dans l'intrigue… Ici, les meurtres nous laissent indifférents, tant les personnages, morts ou vivants, sont peu épais, tant ils sont inutilement nombreux qu'on s'y perd. Ce n'est pas que ce roman soit mal écrit (il est juste écrit banalement), ni mal traduit, il présente un défaut majeur : une sur-utilisation du dialogue au détriment du narratif ou de la description, laquelle annihile toute profondeur, toute atmosphère. Du dialogue de A à Z, d'accord, à condition qu'il s'agisse d'une pièce d'Agatha Christie ! Un polar "fabriqué", sans âme ni densité dramatique, que j'ai décidé de lire laborieusement jusqu'à la fin, avec non la promesse d'une satisfaction ultime inattendue mais d'une délivrance !

J'ai vraiment une tendresse particulière pour les héros de cette série. Une nouvelle fois je les ai trouvés attachants, drôles, déroutants, tendres. Toutefois, ce n'est vraiment pas mon épisode préféré. La trame est certes bien construite, l'histoire intéressante, et même dépaysante. Mais peut-être justement est-ce mon souci, je n'ai pas trouvé le pittoresque de la campagne anglaise que j'aime tant, ni ses paysages ou habitants. Pas un mauvais moment, mais moins "so British" qu'habituellement...

Voilà bien quelques années que je n'avais lu de Martha Grimes ! J'ai donc retrouvé le commissaire Jury de New Scotland Yard, qui s'intéresse au décès suspect d'une femme il y a seize ans...



Ce que je retiens de "Vertigo 42", et son intrigue d'inspiration Hitchcockienne ? Un récit qui prend son temps, un peu alambiqué. Une histoire très british surtout, avec des protagonistes qui passent leur temps à boire du thé... sans être trépidant, cela se lit. Je pense en revanche que cette lecture sera vite oubliée...

Deuxième roman que je lis de cet auteur et quasiment le même ressenti: c'est confus. Est-ce dû à la traduction? Mais je me perdais parfois entre les personnages qui parlaient ou je ne ressentais pas ce que voulait exprimer l'auteur. Un exemple: un dialogue dans lequel le personnage prend la mouche. J'avais beau relire le dialogue : je ne comprenais pas ce qui avait de vexant dedans.

J'ai mis aussi du temps à me familiariser avec les différents personnages présents à l'abbaye.

Quant au twist final, mobile du crime, je n'ai pas tout à fait vu l'enjeu. Je n'ai pas trop compris la raison de la dénonciation finale, comment on y était arrivé.



Bref, lecture en très demi-teinte.

Ça faisait longtemps que je n'avais pas lu un roman du duo Jury et Plant.

Quel plaisir de les retrouver. J'ai eu l'impression de les avoir quitté il y a quelques jours.

C'était hyper agréable. Ça coule tout seul. La narration est fluide. C'est construit intelligemment, avec des fausses pistes. C'est un polar sans prétention, pas d'histoires farfelues. Qu'est-ce que c'est plaisant !!



Un vrai régal.

Découvert au détour de Babelio via mes centres d'intérêts, j'ai attentivement lu les commentaires ci-dessous :-) J'ai retenu: humour britannique, personnages attachants, campagne anglaise, thé à volonté, Agatha Christie, éléments plus que suffisants pour me donner des envie de découverte. Et je ne suis pas déçue ! je retrouve un style d'Elizabeth George mêlé à Agatha Christie, que ce soit pour l'intrigue, l'humour ou le décors, et ça me plait, beaucoup ! La magie opérant, aussitôt clos, je me suis lancée sur la deuxième aventure de cet inspecteur so British et de son mystérieux futur ami (enfin, j'espère) qui tous deux semblent déjà figurer au hit-parade de mes "héros" sans que je les voie arriver...Vraiment un moment dépaysant, hors du temps, bourré de subtil humour et bien ficelé.

C'est loin d'être le meilleur livre de Martha Grimes mais quand même pas le pire.

Ce que j'aime chez elle c'est le côté attachant des personnages . L'enquête policière en elle même est moyenne, noyée par les fausses pistes et tout en longueur pour rien. A la fin, on découvre subitement qui est le meurtrier mais le mobil du crime reste ombrageux et le lecteur se trouve perplexe.

Un point positif quand même, ce livre parle beaucoup de l'auteur Henry James et de ses oeuvres c'est intéressant .

Une intrigue qui tarde à démarrer. Le dénouement est quant à lui trop rapide et des incohérences dans les explications finales. Certains personnages qui gravitent autour du personnage principal n'ont que peu d'intérêt et n'apportent rien à l'histoire principale.

Je me suis lancée dans la lecture des enquête de Jury dans l'ordre depuis peu.

Une chose est sûre, comme à chaque ouvrage, j'apprécie de retrouver cette ambiance de policier anglais traditionnel, moins léger qu'un cosy mystery tout en restant moins sombre qu'un roman noir.

Dans celui-ci, j'ai peut-être été moins happée par l'intrigue elle-même - très sympa au demeurant mais, à mon sens, un peu longue dans ses rebondissements et son évolution. En revanche, l'ambiance de campagne britannique ainsi que les personnages incongrus sans être totalement loufoques apportent beaucoup de charme. Rien que pour cela, la lecture m'a été très agréable.

Une étape sympa sur le chemin des Martha Grimes, avec quelques longueurs rattrapées par l'atmosphère créée.

Un enfant, un taxi, j'avais déjà vu ça dans un livre de la même autrice...

Mais là c'est toute une bande de jeunes pickpockets qui vivent dans les gares et l'aéroport et ni la police ni les services sociaux n'y trouvent rien à redire...

Le commissaire Jury a eu l'occasion de rencontrer par hasard le docteur David Matfit (astrophysicien américain extrêmement riche par ailleurs) et ils ont été tellement contents de leur conversation qu'ils ont décidé immédiatement de dîner ensemble et de partager le reste de la soirée.

Mais le docteur et son épouse sont abattus dès le lendemain à l'entrée d'une salle de jeux...

Le commissaire enquête, bien sûr, aidé par une gamine qui a réussi à suivre le tueur jusque dans l'avion qui l'emmène vers l'Afrique...Bon, j'admets que j'ai du mal à y croire...

Vers le milieu de livre, deux détails étonnants nous sont donnés qui ne peuvent que nous mettre sur la piste du commanditaire...

Bon, ces livres ne sont définitivement pas faits pour moi même si, à nouveau, j'ai bien aimé certains des personnages..;

Pas vraiment désagréable à lire, sauf que la bibliographie commentée d'Henry James ne m'a pas passionnée, sauf que les chapitres avec les personnages secondaires, humains et canins, surgissant de temps en temps et inconnus de ceux qui ne sont pas des fidèles de Martha Grimes ne font qu'embrouiller un peu plus une énigme déjà fumeuse et sauf que la fin est une véritable catastrophe vraiment frustrante. Enfin, à trop étaler sa culture, l'auteure s'accorde tout à fait avec le snobisme de ses personnages.