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Critiques de Patrick Grainville (178)
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Bison

oila une oeuvre qu’il n’est pas facile à cerner. Bison s’arrête à une période précise de la vie du peintre George Catlin, célèbre peintre américain qui a consacré son oeuvre aux peuples indiens, la période où il fût immerger parmi les Sioux. Et Patrick Grainville, dans un style elliptique, haché et lyrique nous raconte des moments clés et fondateurs de cette tribu.



Tout à la fois romancé et historique, Bison a des qualités indéniables d’immersion. Dans les « grands moments », Patrick Grainville, très inspiré, nous décrit de manière très vivante et imagé des faits qui relèvent de l’imagerie d’Épinal des indiens. Du folklore en somme. Mais ça fonctionne car le personnage principal est aussi extérieur à cette culture.



Cependant, des choses me gênent quand même. Il y a, par exemple, une forme de fascination érotique « adolescente » très présente dans Bison, non pas des personnages, ça, je le comprendrait, mais de Patrick Grainville. Ça revient beaucoup trop souvent pour être anecdotique.



La suite sur le blog…
Lien : http://livrepoche.fr/bison-p..
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Bison

Grainville Patrick – "Bison" – Seuil/Points, 2014 (ISBN 978-2-7578-4953-8)



Il s'agit ici d'une biographie romancée du peintre états-unisien George Catlin (1796-1872), qui parcourut de 1821 à 1860 les vastes espaces correspondant grosso modo aux États-Unis actuels pour y vivre auprès des tribus indiennes – surtout les Sioux dans le présent récit – et y peindre tout à la fois des scènes de chasse, des portraits, des paysages, avant que tout cela ne soit anéanti par les colons blancs nés sur place ou venus d'Europe.

Avec l'auteur Patrick Grainville, la qualité d'écriture est toujours au rendez-vous, même lorsqu'il "se limite" comme dans ce récit, à une relation relativement "documentaire" appuyée sur une documentation précise (le peintre Catlin a laissé de nombreux écrits ainsi que ses carnets de voyage).

Il se concentre ici principalement sur les années 1832-1837 (cf pp. 32-33), avec des échappées sur les disparitions à venir, comme l'inventaire des défaites indiennes face au déferlement des blancs (cf pp. 58-59) ; son récit est exempt de toute mièvrerie, de tout romantisme rousseauiste, à l'image des qualités qu'il décèle chez son personnage (cf p. 32). A plusieurs reprises, il rend compte des contacts entre les indiens et les marchands blancs apportant la dégradation des mœurs, comme par exemple avec l'alcoolisme (cf pp. 123-128).



Il a un véritable talent pour rendre des scènes très visuelles, comme la chasse aux bisons ou les "immenses vols de grues et d'oies des neiges" (p. 73), mais nous sommes loin ici de la recherche fouillée sur les ressorts profonds de l'acte de peindre, effectuée avec "L'atelier du peintre" (voir recension).

Notons les comparaisons avec les autres peintres qui traiteront de sujets similaires, comme Alfred Jacob Miller (p. 32), Bodmer (p. 57), John James Audubon (pp. 128-130), William Jacob Hays (p. 276), Frederic Remington (p. 277). Au passage, je relève une allusion furtive à Bethsabée (p. 106).



Une lecture plaisante et agréable, même si elle nous rappelle que les États-Unis furent fondés sur la destruction de contrées restées quasiment inviolées jusqu'à l'arrivée des colons, sur l'anéantissement de la faune sauvage dont principalement les gigantesques troupeaux de bisons et surtout, surtout, sur le génocide systématique des tribus indiennes.



Un livre à lire et recommander.

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Bison

George Catlin quitte sa vie bien tranquille, afin d'aller à la découverte des terres indiennes. Peintre, il va sauvegarder les visages et les coutumes de ces héros. Lors de cette épopée, il va collecter de nombreux objets, dans le but de monter un musée pour garder une trace de cette vie appelée à disparaître.

Cette histoire est très romancée, et l'auteur n'hésite pas à nous dévoiler de temps en temps des vérités sur cette homme hors du commun. Ce qui donne tout son charme à ce roman.

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Bison

C'est "dance avec les loups" en lecture et en vrai. L'action des blancs a été épouvantable de bêtises et de cruauté,J'attendais beaucoup de ce roman historique, peut-être trop. Cela faisait un certain temps que j'avais envie de lire un roman sur les indiens et sur leur génocide alors forcément j'avais hâte de le commencer.

Peut-être est-ce le côté « historique » plus présent que le côté « roman » dans Bison qui m'a rebuté. J'ai eu du mal à m'intégrer dans le peuple Sioux et pourtant comme je l'aurais voulu ! Il m'a manqué du rythme. Je trouve que l'auteur s'est trop attardé sur des petits détails et des descriptions.
Lien : https://www.babelio.com/livr..
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Bison

Sympa, mais pas enthousiasmant. Voilà ce que je retiendrai, en résumé, de ce livre que je viens de refermer.



Bison, à la base, avait tout pour me plaire. L'histoire de ce peintre, Catlin, passionné par les Indiens (ceux d'Amérique), et qui vient vivre quelques temps au milieu d'un campement sioux pour étudier leur façon de vivre, les peindre et récolter des objets pour son musée. C'est là un bon sujet, une histoire intéressante. Personnellement, j'ai appris beaucoup de chose sur les Indiens et leurs coutumes (telle que l'existence des Winkte ou la danse du soleil et tant d'autres encore). Ce roman, on pourrait presque un peu le comparer à Danse avec les Loups dans ce sens qu'il nous apprend beaucoup de chose sur ce peuple qui a été forcé de vivre comme les blancs.



Mais j'ai eu beaucoup de mal à le terminer. Pas parce qu'il ne me plaisait pas, non, mais parce qu'il ne m'attirait pas vraiment. Le Style de Patrick Grainville n'est pas assez accrocheur à mon goût. J'ai eu l'impression de lire un récit neutre, sans rebondissement (alors qu'il se passe des choses pourtant), sans réel parti pris, comme si le narrateur se contentait de nous décrire ce qu'il voyait sans y mettre la moindre émotion. Alors, j'imagine, et j'espère, que d'autres n'auront pas ce ressenti, mais personnellement, je l'ai vécu comme cela. A tel point que je n'avait pas spécialement envie de lire, sachant ce qui m'attendait.



Bon cela dit, je ne regrette absolument pas de l'avoir lu, il m'a appris beaucoup de choses, mais malgré tout, je ne l'ai pas trouvé extraordinaire. Je ne conseillerai pas.

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Bison

J'étais très attirée par le sujet: la vie du peintre américain George Catlin (1796-1872).

Ce peintre a renoncé à sa carrière d'avocat et de portraitiste de généraux et riches bourgeois pour se consacrer à la peinture des Amérindiens.

Cette vocation lui est venue lorsqu'il a rencontré la délégation amérindienne venue à Washington en 1828 négocier les traités de paix.

Il va quitter son confort et sa famille pour parcourir les plaines du Mississipi et du Missouri à la recherche des tribus amérindiennes.

Catlin est le premier peintre à saisir les Amérindiens dans leur vie quotidienne, loin de toute cérémonie officielle.

Patrick Grainville relate ici le séjour du peintre chez les Sioux.

Catlin a été le premier à avoir prédit la fin prochaine de l'espèce des bisons et à avoir annoncé la fin de cette civilisation ancienne qui dominait sur le continent américain avant l'arrivée des Européens.

Le sujet était magnifique mais j'ai été déçue: je m'attendais à vivre au jour le jour parmi les Indiens. Ici le récit reste "en surface". L'auteur parle de Catlin, de ses motivations, de ses techniques picturales, mais pas assez à mon goût, de la civilisation amérindienne, ni des coutumes, des croyances..

C'est un peu dommage....
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Bison

Son style foisonnant, son imagination fébrile n'ont aucune peine à donner vie aux tableaux d'une scène de chasse aux bisons, des danses macabres et superstitieuses du soleil ou du chien, d'une escarmouche sanglante entre Crows et Sioux.
Lien : http://rss.lapresse.ca/c/336..
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Bison

Un récit envoutant qui nous emmène à la découverte des Indiens, juste avant leur extermination, et d'un peintre, Georges Catlin, fasciné par ce peuple. Il vécut parmi eux pour mieux connaître leur culture, les considérant comme ses égaux, et tenta de préserver leur mémoire en peignant leur vie quotidienne, en collectionnant objets usuels et sacrés et en rédigeant des carnets. Le contexte historique est bien situé, permettant d'appréhender le dilemne de Georges Catlin : sa fascination pour un peuple qu'il sait condamné, ses doutes concernant ses tentatives de préservation de la culture indienne et l'indifférence de ses contemporains pour qui les Indiens n'étaient que des sauvages. L'écriture est visuelle, j'ai eu l'impression de voir les tableaux de Georges Catlin s'animer sous mes yeux. Superbe !
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Bison

Au début du 19 ème siècle, George Catlin, peintre mondain promis à une belle carrière, decide pourtant de tout quitter pour suivre les tribus indiennes et recueillir les portraits des Sioux qui l'ont accueilli comme un des leurs ou presque.

Le sujet est intéressant, on croise quelques personnages hors du commun, tel que cet Oiseau Deux Couleurs, mi homme mi femme, ou Louve, la femme d'une tribu ennemie devenue l'épouse du chef Aigle Rouge, mais la narration n'est pas passionnante. Je me demande si Grainville etait vraiment passionné lui même par son sujet...
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Bison

J'avais un peu peur de m'ennuyer (je ne suis pas un grand fan de Patrick grainville) mais au bout du compte, j'ai découvert un personnage, Georges Catlin, et chevauché pendant 300 pages aux cotés des Sioux Lakotas dans La Plaine.
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Bison

J’attendais beaucoup de ce roman historique, peut-être trop. Cela faisait un certain temps que j’avais envie de lire un roman sur les indiens et sur leur génocide alors forcément j’avais hâte de le commencer.

Peut-être est-ce le côté « historique » plus présent que le côté « roman » dans Bison qui m’a rebuté. J’ai eu du mal à m’intégrer dans le peuple Sioux et pourtant comme je l’aurais voulu ! Il m’a manqué du rythme. Je trouve que l’auteur c’est trop attardé sur des petits détails et des descriptions.

Je n’ai pas réussi à m’attacher à un personnage en particulier. Les seuls passages que j’ai appréciés sont celui où Georges Catlin peint le chef Sioux et celui de la fuite des deux amoureux dont je ne citerais pas les noms pour un minimum de surprise pour les futurs lecteurs et lectrices de ce roman.

Mon avis n’est pas non plus que négatif, j’ai quand même appris pas mal de choses sur les us et coutumes des indiens Sioux ce qui est déjà un bon point pour un roman historique.

Alors même si je n’ai pas totalement adhéré à cette lecture je le conseillerais quand même mais vraiment aux amateurs de romans historiques avec des détails.

Concernant l’auteur je l’ai découvert avec Bison et je ne compte probablement pas lire un autre roman de lui.
Lien : https://leboudoirdeslivres.w..
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Bison

L’histoire de George Catlin, ce peintre aventureux au pays des indiens d’Amérique est magnifiquement écrite, comme avec un pinceau à la manière de son héros principal. https://www.georgecatlin.org/

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Bison

Roman de visions dans une prose sonore et sensitive, Bison saisit le mythe indien au moment de sa dissolution. Par sa description de l’ethnologue contemplatif que fut Georges Catlin, Patrick Grainville peint la vie des Sioux, leurs croyances, leurs chasses et leurs guerres. Bison se révèle surtout une méditation hantée par les pouvoirs de reproductions de la peinture.
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Bison

J'avais acheté ce roman car il abordait un de mes thèmes préférés : les Indiens d'Amérique. L'auteur redonne vie à Catlin, un peintre américain qui s'était voué à immortaliser la culture des Indiens à travers ses peintures et sa collection d'objets récoltés au gré de ses rencontres.



J'ai aimé l'ouverture d'esprit du peintre, sa volonté de restituer le moindre détail de ce qu'il a pu voir et expérimenter. Il sait qu'il est le témoin privilégié des derniers instants d'une culture, d'un peuple. J'ai adoré les personnages de Louve, Elan noir, Aigle rouge et Oiseau deux couleurs. Ils sont géniaux, on a l'impression de les voir danser, chevaucher et se battre devant nous.



Pour autant je n'ai pas été totalement transportée, les passages sur la peinture m'ont ennuyée. J'ai lu certains passages en diagonale. Je pense que j'ai aussi eu du mal avec le style de l'auteur.
Lien : https://labullederealita.wor..
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Bison

Avec ce roman, Patrick Grainville nous fait voyager dans les Grandes Plaines d'Amérique du nord à la découverte des tribus qui y vivent juste avant la conquête de l'Ouest. La culture des Indiens des Plaines est alors à son apogée mais leur temps est compté car ils vivent leurs derniers moments de liberté. Conscient de leur disparition prochaine, George Catlin décide de saisir par la peinture les représentants de ces nations et leurs coutumes. L'auteur nous raconte le séjour de Catlin chez les Sioux où il va participer à leur quotidien en assistant à leurs cérémonies et à la chasse au bison mais aussi s'impliquer dans leur vie de tous les jours. Il note dans ses cahiers tel un ethnologue amateur leur vie et chercher à collecter de nombreux objets et vêtements pour son projet de galerie indienne.



Catlin est un artiste emprunt d'idéalisme, rêveur et défenseur d'une cause perdue, la reconnaissance des Indiens comme un peuple à part entière. Renonçant à son métier d'avocat, il part à leur rencontre. Son parcours est distillé par l'auteur tout au long du roman de manière judicieuse et s'appuie sur une recherche documentaire très riche. Les descriptions de la chasse au bison, des incendies qui ravagent les Plaines en été ou des paysages et des animaux qui y habitent sont particulièrement réussies.



A travers la description purement fictive des aventures de Louve Blanche, femme crow enlevée par Aigle Rouge, Bogard le trappeur engagé par Catlin, Oiseau Deux Couleurs, le berdache de la tribu sioux, Aigle Rouge ou Elan Noir, l'indien en quête de la Vision, l'auteur nous plonge dans un univers à jamais perdu mais en partie immortalisée par la peinture de Catlin.
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Bison

Partez avec George Catlin dans les États Unis du XIXème Siècle .Un peintre qui a tout abandonné pour étudier les Indiens, qui a brossé leur portrait avec justesse et a pressenti leur massacre.

Plongez dans le quotidien des Sioux avec "Aigle Rouge", "Oiseau Deux Couleurs" et la mystérieuse "Louve".



Laura.
Lien : http://librairielefailler.bl..
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Bison

Emerveillé mais lucide, l'artiste pressent la fin de ce monde dont il saisit avec force et sensibilité les us et coutumes.
Lien : http://www.lesechos.fr/cultu..
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Bison

ce livre nous parle des coutumes indiennes vues par un colon blanc peintre de son état. très bon livre loin des clichés des westerns américains!
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Bison

J'ai découvert grâce à Grainville la biographie du premier peintre des indiens des plaines, Catlin au 19ème siècle. Ce qui m'a poussé à aller chercher sur Internet toute une galerie des superbes portraits d'indiens réalisés par Catlin. Moment magique.
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Bison

On suit dans ce roman un homme qui a réellement existé : le peintre George Catlin. Visionnaire, celui-ci pressent, des décennies avant la (quasi) extinction des indiens, leur fin malheureuse. En multipliant les portraits et les peintures représentant la vie quotidienne de diverses tribus, puis en récoltant des objets divers afin de monter un musée, il est un témoin incroyable d’une époque et d’un environnement révolus. Au delà de cet objectif, on se rend compte à quel point il aime ces peuples, cette culture et cette vie.



Patrick Grainville nous présente une tribu sioux et des personnages hauts en couleur, qui prennent vie devant nous. Ce ne sont pas « juste » des indiens, se sont des individus à part entière, avec une personnalité propre, un sens de l’humour, des défauts et des failles. Tous sont intéressants mais j’ai vraiment adoré les deux personnages les plus excentriques du récit.



Tout d’abord Oiseau-deux-couleurs, l »homme-femme », un travesti qui est aussi le chamane de la tribu. Comme on s’en doute un peu, les travestis « étaient l’objet d’un certain dédain de la part des guerriers. Une société entièrement fondée sur une surenchère de prouesses viriles, sur des vertus de bravoure guerrière, avait peine à comprendre le choix de vie de travestis mais cela n’allait pas jusqu’au bannissement. » (page 24). Mais « chez les sioux, la situation du berdache était plus nuancée, la défiance s’alliait à de la crainte, voire à du respect, quand l' »homme-femme », le Winkte…était wakan, donc sacré ». Ce personnage nous permet de nous rendre compte à quel point les indiens avaient des mœurs libérées et étaient très tolérants face à la sexualité : polygamie, maitresses ou amants, homosexualité, transexualisme… C’était un élément de la culture indienne que je ne soupçonnait pas!



J’ai adoré le personnage de Louve qui est le plus intéressant, le plus complexe du récit. C’est devenu l’un de mes personnages féminins préférés. Voilà un bref passage sur Louve (que j’ai amputé du début pour éviter une révélation trop importante sur le personnage) :



« …Ainsi, murmura Oiseau, d’une voix secrète que Catlin prit très au sérieux, Louve s’était vouée à l’enchantement et à la malédiction. Elle ne garderait pas son mari, manifesterait une indépendance impossible chez les Indiens, un goût pour les voluptés rares, la prédation hardie et les prouesses masculines, un penchant pour la dissonance, la rupture, une attitude rebelle, une attirance pour le vagabondage et le chaos. »



J’ai également apprécié le côté « nature writing » de la description de l’ambiance et des paysages dans lesquels Catlin et les indiens baignent.. Pour finir, je ne peux m’empêcher d’avoir une petite pensée pour la femme et les enfants de Catlin, qui n’ont pas du voir souvent leur mari et père…



En conclusion : L’auteur nous offre avec ce roman un double portrait : celui d’un peuple passionnant aujourd’hui quasiment disparu, et celui d’un peintre peu connu du grand public mais qui compta parmi ses fans George Sand et Charles Baudelaire. Cette lecture s’est révélée un dépaysement sympa pour l’été, tout en étant instructive.
Lien : https://unoceandelecture.wor..
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