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Critiques de Régine Pernoud (120)
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Hildegarde de Bingen

Hildegarde de Bingen avait découvert "l'Homme de Vitruve" plus de trois siècles avant la naissance de Léonard de Vinci. Cette vision de l'homme était présente dans l'oeuvre de la religieuse et nul n'en a fait mention. Toute la gloire de cette découverte revint au seul Léonard de Vinci.
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Hildegarde de Bingen

Il est très intéressant de découvrir cette femme formidable qu'a été Hildegarde von Bingen. La lecture de l'ouvrage n'est pas toujours facile ou récréative, mais toujours très instructive!



J'ai d'abord fait ma critique - ou mes Impressions de lecture - sous forme vidéo beaucoup plus détaillée. Si vous voulez en savoir plus, je vous invite à consulter mon canal sur YouTube:
Lien : https://youtu.be/t5M31q47R7A
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Hildegarde de Bingen

Copie 4ème de couv : Née en 1098 à Bermersheim, morte en 1179 à Rupertsberg, Hildegarde de Bingen, religieuse allemande du XIIe siècle, fut à la fois musicienne, auteure de soixante-dix sept symphonies, et surtout écrivain, dont ses trois grands livres de visions qui fascinèrent son époque. Son œuvre nous parle de la place de l’homme dans le cosmos, de respect de l'environnement, de diététique,de guérison.

Elle reste inconnue jusqu'à l'âge de quarante ans, cloîtrée dans son couvent des bords du Rhin. Puiselle transcrit ses visions qui l'habitent depuis l'enfance. Très vite, le livre soulève passions et controverses dans l'Europe entière, avant d'obtenir l'approbation du souverain pontife, des évêques et de Bernard de Clairvaux. Dès lors, pour Hildegarde, se profile un destin extraordinaire. Ses prêches résonnent dans les cathédrales de Trèves, Cologne, Mayence. Par milliers, les gens la sollicitent, les plus hautes autorités la consultent, du comte de Flandre à l'empereur Frédéric Barberousse. C'est l'époque où les papes eux-mêmes savent demander conseil à une simple moniale.

Mystique, illuminée, possédée par la croyance en Dieu. L’illustration de ses visions est bien sûr totalement irrationnelle pour moi ! Par ailleurs, le livre est assez rébarbatif à lire, pourtant j'ai lutté, mais abandonné au dernier chapitre !


Lien : https://www.babelio.com/conf..
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Hildegarde de Bingen

Découverte d'une femme ayant été aussi novatrice que précurseure dans son temps.

L'auteure par la fluidité de son style fait découvrir au lecteur, un personnage hors du commun aussi bien pour son siècle que pour l'Histoire.

Simplicité de style pour une richesse d'âme hors du commun à découvrir sans hésiter.
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Hildegarde de Bingen

Hildegarde de Bingen est une femme extraordinaire du Moyen Age, dont la sagesse et la philosophie devraient nous inspirer quotidiennement dans ce monde matérialiste.
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Hildegarde de Bingen

Ce livre dormait dans ma bibliothèque depuis quelques années. A force de les entasser sur les étagères, j'avoue que je prends généralement mes lectures sur le haut de la pile, ce qui est un tort, j'en conviens aisément.



Écrit par Régine Pernoud, cet essai permet d'en savoir plus sur cette femme du XIIe siècle qui cumula de nombreuses fonctions et qui fascine toujours autant. A la fois moniale, musicienne, écrivain, elle s'occupa de moultes choses qui paraissent primordiales à l'heure actuelle : environnement, diététique et, ce qui m'intéresse le plus, la médecine. Avec philosophie et sagesse, Hildegarde délivra des textes impressionnants par ses prises de position, ce qui ne lui valut pas que des amis. Ceci dit, sa place, sa fonction et son entourage (elle conseillait même le Pape) firent qu'elle se sortit toujours - ou presque - des mauvais pas. Comment cette femme si fragile physiquement, souvent atteinte par la maladie, réussit-elle être aussi forte moralement ? Comment ses visions furent-elles perçues par les hautes instances ? Voici tout ce que nous délivre ce livre.



On a souvent décrié Régine Pernoud. Pourtant, celle-ci décrit le moyen âge de façon simple, claire, de manière à intéresser tous les publics. Elle s'est attachée à mettre en avant les femmes, leur rendant toute leur place dans l'Histoire. Dans cet ouvrage riche en détails, le lecteur pourra découvrir une femme qui a marqué l'époque médiévale et qui a apporté un tournant dans la philosophie et le mysticisme. On lit cet essai comme un roman. Vous pouvez donc voir à quel point la fluidité du style rend la lecture agréable.



Ce fut une très belle découverte pour moi et je ne peux que vous conseiller ce livre si vous vous intéressez aux grandes figures de l'Histoire.
Lien : http://www.lydiabonnaventure..
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Hildegarde de Bingen

Si j’ai pas gagné des points de karma mystique après ça… (tkt mon petit reac je les perdrais à force de dire des gros mots de toute façon, respire).



Non en vrai c’était (presque) tranquille.



Régine Pernoud a pour volonté de rendre certaines figures féminines historiques accessibles, mais faut croire que le grand public des années 90 était un peu moins grand public qu’en 2023 parce que tu te pètes un peu les dents niveau théologie et faits historiques médiévaux.



Et cette grande historienne a mené son combat de vie à vouloir montrer en quoi le christianisme sert à l’émancipation des femmes (oui j’ai grimacé quand même pas mal à travers son bouquin, notamment le petit laïus sur l’homosexualité…).



Anyways, on parle d’Hildegarde de Bingen mais je suis d’avis que c’est toujours bon de savoir qui écrit quelle histoire sur quoi et dans quel but, ça change tout de suite le rapport à l’objectivité m’est avis.



Je voulais savoir qui était Hildegarde, pourquoi elle était devenue aussi importante et pourquoi on continue autant de la célébrer en plus d’être une rockstar de l’ésotérisme permettant à quelques éditeurs de faire du cash sans trop avoir à payer de droits d’auteurs.



Ben c’est quand même une sacrée meuf en plus d’être une meuf Sacrée si tu veux mon avis. D’après le bouquin et donc de Régine, elle a pas trop de subjectivité, c’est surtout Dieu qui parle à travers elle, mais les légendes qui émanent d’Hildegarde surtout sur sa double vu et ses observations sur la santé, arrivent malgré tout à titiller la part spirituelle bien enfouie au plus profond de vous-même (genre je suis supposé en avoir zéro mais là j’ai pimpé un peu).



Ça fait pas mal de palabres -désolé, mais c’était surtout de la curiosité et entre ce que j’ai compris, ce qui m’a saoulé, ce que j’ai absorbé sans m’en rendre compte, ben c’était bigrement intéressant (oh tu savais toi, que les nonnes avaient beaucoup plus de droits au moyen âge qu’après la renaissance ? Moi non, mais maintenant, oui)



Allez je décale, j’ai une subite envie d’aller écouter Era.


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J'ai nom Jeanne la Pucelle

Régine Pernoud nous a livré là un énième et presque ultime résumé de la vie de Jeanne d'Arc, et celui-ci est richement illustré, comme le veut toute la collection au sein de laquelle on peut trouver ce portrait de la Pucelle, un livre qui va à l'essentiel et qui a pour mérite de ne pas s'intituler : Jeanne d'Arc, nom que nous lui prêtons, par commodité, parce que c'était le nom porté par son père.

Régine Pernoud avait fait de Jeanne son "personnage fétiche" et sa chasse gardée. Cela était peut-être trop en faire, mais cela avait aussi du bon, car au moins ne risquait-on pas d'oublier Jeanne, dont l'histoire est notre bien commun, n'en déplaise à un parti politique qui voudrait en faire son emblème personnel. Et ce petit livre signé Régine Pernoud est admirablement fait, même s'il ne donne pas réponse à toutes les questions. Mais c'est le format qui veut cela et non le propos de l'auteure, qui est excellent.



François Sarindar, auteur de : Jeanne d'Arc, une mission inachevée (2015)
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Jeanne d'Arc

Après avoir lu et beaucoup aimé le Jeanne d'Arc de Jules Michelet, je voulais lire la biographie de Régine Pernoud. J'ai commencé cette lecture, et ne retrouvant pas le souffle de Michelet, je l'ai mise de côté.



J'ai tenté à nouveau. Est-ce en raison de la comparaison qui ne lui est pas favorable ou en raison de mon attente qui n'a pas été comblée ? Je reste déçue.



Car ce livre "Jeanne d'Arc, la reconquête de la France" commence à partir du 30 mai 1431, date de la mort de la Pucelle, et couvre la période non pas de sa vie, mais celle qui suit son décès, de juin 1431 à juin 1455.



C'est un essai historique, avec les premières messes en faveur de la pucelle, les discussions d'Arras, l'entrée du roi Charles VII à Paris et autres évènements clés jusqu'au procès de Jeanne et la sentence qui l'innocente en juillet 1456.



C'est intéressant certes, mais ma lecture fut poussive et manquait de fluidité. J'ai eu le sentiment de lire une succession de faits, noms et dates, pas toujours en lien direct avec Jeanne, mais un résumé historique de cette période de vingt ans.



En bref, J'ai pris beaucoup plus de plaisir à lire Michelet que Pernoud.
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Jeanne d'Arc

un livre compléxe d'une belle écriture
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Jeanne d'Arc

Ce travail à quatre mains, réparti entre Régine Pernoud et Marie-Véronique Clin, a donné lieu à une biographie de Jeanne, l'héroïne et la femme dans l'accomplissement de sa mission, de 1429 à 1431, donc jusqu'à son procès et à son supplice : plus une biographie du personnage public qu'un suivi de parcours de la naissance à la mort. L'ouvrage démarre sur la rumeur qui précède l'entrée en scène effective de Jeanne : "On dit qu'une Pucelle...", et l'on voit se dérouler la geste de la jeune fille, jusqu'à ce que se produise ce qu'elle redoutait : "Ces Anglais me feront mourir". Heureusement, il y a un "après", et c'est le travail de "Charles le Victorieux", puis la relecture des événements et de tout le parcours de Jeanne, à la faveur du procès dit de réhabilitation (ou d'annulation du procès de condamnation).

Une deuxième partie nous fait découvrir, de plus près, quelques contemporains de Jeanne, amis ou ennemis, parmi ceux qui ont joué un rôle significatif dans cette histoire ; elle est justement intitulée : "Les acteurs".

La troisième partie - "Débats" - permet à Régine Pernoud de dire ce qu'il faut penser de certaines questions qui se sont posées au sujet de Jeanne, notamment en ce qui concerne son nom et ses origines (réelles pour l'historienne qui sait bien qu'elle fut fille de laboureur ou fantasmées pour ceux qui voulaient et veulent encore donner à la Pucelle des origines princières qu'elle n'eut pas), mais aussi de fournir des descriptions (Orléans au moment du siège) ou de développer des points factuels (la fameuse journée des Harengs, du 12 février 1429, qui vit les assiégés échouer dans leur tentative pour intercepter un convoi de ravitaillement destiné aux assiégeants anglais ; la capture de Jeanne devant Compiègne, le 23 mai 1430 ; etc.). Ici, il s'agit de synthèses rapides, qui permettent de se faire une idée générale grâce à quelques détails donnés, sans pour cela aller plus loin que des conclusions sommairement argumentées.

Des annexes, appendices, une chronologie et une bibliographie complètent cet ensemble.

C'est un ouvrage, qui fut utile, pour faire le point, lorsqu'il parut chez Fayard en 1986, mais qui appelait nécessairement de nouveaux travaux, car, depuis, la manière de répondre aux questions soulevées a évolué.

François Sarindar, auteur de : Lawrence d'Arabie. Thomas Edward, cet inconnu (2010)
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Jeanne d'Arc

J'ai abandonné.

Ce livre est très certainement bien fait, dans le sens où il cherche à relatera avec exactitude la vie de Jeanne d'Arc, sur fond de témoignages divers, mais cela rend l'ouvrage vraiment très répétitif... Dommage.
Lien : http://readviewed.skyrock.co..
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Jeanne d'Arc

Régine Pernoud balaie avec rigueur et précision la période allant de la mort de Jeanne à son procès pour réhabilitation et montre qu'elle a eu autant d'influence après sa mort que de son vivant. Un ouvrage didactique très intéressant sauf si vous connaissez la période sur le bout des doigts (ce qui n'était pas mon cas. avant et après oui mais pas entre les 2)
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Jeanne d'Arc

Cet ouvrage retrace l'histoire de Jeanne d'Arc depuis Domrémy à sa réhabilitation post-mortem dans les années 1450 autrement dit, de son enfance en Lorraine à son exécution en passant par le procès en nullité quelques décennies plus tard. Il ne s'agit pas ici de retracer l'histoire précise de la Pucelle, événements par événements, d'analyser ses choix ou encore de débattre sur la véracité des voix qu'elle entendait régulièrement mais plutôt d'entrevoir comment elle fut perçu par ses contemporains et comprendre la nature du dessein politico-religieux dans lequel elle s'était faite une place.
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Jeanne et Thérèse

Un étonnant dialogue entre Jeanne d'Arc et Thérèse de Lisieux, au cours d'un procès fictif, au cours duquel la "foi du charbonnier" et la "foi scientifique" se retrouvent dans l'Amour.
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La Femme au temps des cathédrales

Le plus ancien traité d'éducation est dû en France à une femme ; la médecine était exercée couramment par des femmes au XIII siècle, au XII siècle l'Ordre de Fontevraud réunissait aussi bien les moines que les moniales sous l'autorité d'une abbesse. Aux temps féodaux, les filles étaient majeures à 12 ans, deux ans avant les garçons. Ce n'est qu'au XVIIe siècle que la femme a dû prendre obligatoirement le nom de son époux. Dans cette étude systématique menée à travers une multitude d'exemples concrets, elle ne laisse échapper aucun aspect des activités féminines au cours de la période féodale et médiévale : administration des biens, métiers et commerce ; domaine de la pensée, de la littérature, de la politique même. Femmes écrivains, éducatrices suzeraines, celles qui animèrent les cours d'amour et celles qui ont inspiré les romans de chevalerie. Ses ouvrages consacrés à Héloïse, à Aliénor d'Aquitaine, à la Reine Blanche y donnaient partiellement réponse. Elle réalise un schéma de l'évolution du pouvoir de la femme: depuis les origines - les libertés et l'autonomie par elle conquises - la période d'apogée, puis le déclin sous diverses influences - celle de l'Université notamment jusqu'au moment où en 1593 un édit du Parlement de Paris lui interdit toute fonction dans l'Etat.

Sa conclusion répond à ces mouvements de va et vient des pouvoirs dans l’histoire des peuples et s’inquiète que la transmission du moyen âge ait été rompue.


Lien : https://www.babelio.com/conf..
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La Femme au temps des cathédrales

On y apprend que les femmes avaient beaucoup plus de droits au Moyen Age qu'à la Renaissance, notamment sur le plan professionnel. Passionnant.
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La Femme au temps des cathédrales

Promenades dans le temps dans une société de carcans sociaux et d'interdits qui ne laisse place à aucunes faiblesses.



Ces femmes traversant cette société avec discrétion sauront créer parmi cette société masculine un nouveau rôle pour ces actrices de pouvoirs et d'influences.



Parcours à faire de chapitre en chapitre avec curiosité.
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La Femme au temps des cathédrales

Un livre très intéressant qui m'a beaucoup appris. Les femmes étaient bien plus qu'on le croit mais souvent dans l'ombre. Elles étaient "majeur" à douze ans car pouvant procréer. Mais sortons de ces clichés basés sur beaucoup de vrai (pourtant).

Les femmes, à l'époque médiévale, avaient bien plus de pouvoir : politique, financier, etc. Elles pouvaient avoir leurs propres deniers, diriger leur Maison, ne portaient pas le nom de leur mari. Les plus gros "clichés" sont tellement ancrés dans l'esprit collectif que l'on amalgame toutes les époques. Dans l'antiquité, la femme était moins qu'un esclave, moins qu'un animal avec un patriarcat fort, ayant droit de vie et de mort sur sa famille. Parfois, avec de la chance la femme avait un mari plus ouvert que la plupart. Mais au moyen-âge, c'était plus "avant-gardiste", et la femme était bien plus respectée qu'on le croit avec la montée de l'amour courtois. Ce n'est que plus tard vers le XVIIème que cela se dégrade. Et ne parlons pas de cela sous la Régence... Mais cela c'est une autre Histoire. Je vous invite à lire aussi " La vie au Moyen Age" de Robert Delort.
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La Femme au temps des cathédrales

voici le livre complémentaire, à lire en parrallèle à Si je t'oublie Jérusalem.



Pendant que les seigneurs partaient en croisade, que faisaient leur femme ?



Pensez vous qu'elles restaient sagement assises à se languir du retour de leur homme ?

Si oui, alors il vous faut rapidement lire ce livre. On y cotoye Aliénor d'Aquitaine, Blanche de Castille, Jeanne d'Arc et bien d'autres. On s'aperçoit que la condition de la femme était plus égalitaire qu'à certaines époques plus récentes.



le style de l'auteur est parfois un peu lourd mais très bien documenté, bien construit. Ce livre appelle à d'autres découvertes... biographies ainsi que d'autres essais sur le Moyen Âge.
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