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Citations de Sam Millar (228)


- Vous m'avez l'air d'en connaitre un rayon question loi ... Karl, ironisa Chambers.
- J'en connais un rayon sur tout, ce qui me fait expert en rien.
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C'est probablement mon chien d'esprit qui cavale après le chat d'une idée.
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Il adorait la violence, persuadé que le monde n'existerait plus sans elle.
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Karl essayait de faire démarrer sa cervelle, mais tout était monochrome et au ralenti, comme un horrible cauchemar marécageux.
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- Tu aurais fait un excellent homme politique, Jack Calvert, en admettant que cela existe.
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- Hawking ? Tu veux dire Stephen Hawking ? Il marche pas sur la Lune. Il a découvert les trous noirs!
- Trous noirs, trous poilus. Qui ça intéresse ?
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Les agents du démon peuvent bien être de chair et sang, n'est-ce pas?
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Le monde est fou, plus encore qu'on ne le croit...
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La condition épouvantable des sans-abri dans la ville la plus riche du monde était vraiment choquante. Leur accrétion est cultivée par une dichotomie obscène, car à quelques rues de là sur Park Avenue, les riches nourrissent et dorlotent leurs animaux de compagnie dans la plus grande apathie. Les mondes se chevauchent, mais se touchent rarement.

À une époque, ces gens étaient le sel de la terre, les piliers de la société. Maintenant ils en étaient la lie, remarqués bien qu’invisibles, ils gueulaient d’apocalyptiques obscénités dans leur irritabilité morose.
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Une maîtresse devrait être comme une petite maison de campagne près de la ville, non pour y demeurer en permanence, mais seulement pour une nuit à l’écart.
William Wycherley,
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Il n’y a que les chiens enragés et les Anglais pour s’aventurer dans ce genre de folie.
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Notre terreur avait duré des années. La leur, seulement quelques minutes. Je me sentais frustré par la légèreté de leur châtiment et j'avais envie de l'aggraver. J'aurais pu aisément mettre le feu à la salle et laisser Dieu s'en occuper. Les innocents survivraient tandis que les coupables périraient.
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Ne jamais faire confiance à un Anglais. Fais plutôt confiance au diable.
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La voix perçante de Thatcher crissait comme des ongles sur un tableau noir.
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Dans un profond silence, les souvenirs de toutes ces années me sont revenus où, battu et nu, j'attendais d'être conduit aux Blocks pour commencer mon parcours cauchemardesque. Tant de souffrances, tant de morts et de tortures. Comment avons-nous pu - nous les Blanket Men - survivre à tout ça ?
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On je juge pas un bouquin à sa couverture.
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Il n'y a rien de plus fragile dans la nature qu'un flocon de neige, mais pensez à leur force quand ils sont soudés tous ensemble.
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Je travaillais à plein temps au casino depuis deux mois. La paye était bonne, et j'avais hâte d'être au lendemain pour rencontrer tous ces nouveaux personnages. Ce jour-là il faisait froid, malgré le soleil qui dessinait de longues ombres le long de la 18e Rue qui menait au casino. Je ne pus m'empêcher de remarquer la grande limousine garée devant et conduite par une très belle femme noire.
La fenêtre descendit doucement au moment où je passais.
« Salut mon pote. Grimpe, sourit Ronnie.
_ À qui tu l'as piquée ?
_ Sois pas con. Je l'ai achetée hier soir à une jeune chanteuse noire très prometteuse du nom de Whitney Houston. Elle va devenir quelqu'un d'important dans la musique, m'assura-t-il. (...) »
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« Putain, il est où ce putain de communiste de Nicky ? continua Bronx Tommy, en attrapant un autre plateau de jetons venant du bureau. On est en train de se faire écrabouiller par ces juifs et ces chinetoques et cet enculé n'est toujours pas là ! »
Nicky était le meilleur croupier du casino. Il avait les doigts et l'esprit rapides comme l'éclair, un véritable artiste. Il venait de Roumanie et trimballait toujours un petit pistolet sous l'aisselle. C'était le seul contre lequel les joueurs ne s'énervaient pas, pour des raisons évidentes.
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Après la fin de la grêve, une part des concessions qui nous avaient été faites consistait en une réactivation des remises de peine perdues. Ça avait l'air bien bien en théorie sauf que celui-là, comme tous les accords britanniques, avait un "Catch 22" (*). Pour être acceptée, la rémission de peine devait stipuler que nous avions travaillé en prison. Après trois mois de conformité au règlement, la remise de peine s=perdue serait rétablie. Dans mon cas, par exemple, si je travaillais trois mois, je serais libéré à la fin de ces trois mois au lieu d'avoir à attendre les deux ans et demi prévus par ma condamnation illégale.
C'était tentant, bien sûr, et les Beefs le savaient. C'était le vieux truc de diviser pour régner.

(*) situation inextricable.
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