Scott Westerfeld

Moz sauve une guitare et rencontre Pearl. Pendant qu'ils fondent un groupe de musique, les rats grouillent dans les rues.

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Dans ,un New York de fin du monde, des ados forment un improbable groupe de rock. Parmi eux se trouve une sans abri qui tape sur de vieux seaux à peinture, et une malade mentale anciennement cannibale. Et aussi improbable que cela puisse paraître, leur musique a des pouvoirs paranormaux qui vont aider à vaincre les monstres souterrains qui hantent la ville. un groupe de rock qui sauve le monde, j'aime bien le concept !

En bref, un bon roman, qui n'est pas vraiment un tome 2, qui se laisse lire avec plaisir si on aime la musique mais qui n'est pas transcendant. Il manquait de quelque chose pour devenir un bon livre classé dans ma mémoire.



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Cette suite de V-virus est une suite… sans être une suite !

En effet, les personnages sont différents, même si l’on finit par croiser les « Peeps » du premier volume.

Ici c’est la musique qui joue un rôle primordial dans une ambiance apocalyptique plutôt bien retranscrite.

On regrettera cependant le peu de nouveautés par rapport au premier tome, on n’apprend rien de plus, et du coup l’absence de suspense.

Ça reste malgré tout très rythmé et agréable à lire, à réserver peut-être davantage aux jeunes lecteurs qui auront envie de frémir un peu.

La fameuse suite de V-Virus, bien loin derrière le premier tome. Bien sur, le talent de Scott Westerfeld est indéniable et l'histoire est donc vive et prenante. Mais pendant les premières parties, Cal nous manque. Et ses petits appartés sur les parasites aussi. Moz est certes un personnage intéressant, mais c'est le seul qui se détache véritablement : Minerva m'a laissée de marbre, Pearl m'a relativement agacée. Quant à Zahler et Alana ray, ils semblent juste former le décor. On imagine très bien NY sombrer dans le chaos, en revanche. Quant aux quelques passages consacrés à la "mort noire" ils étaient très intéressants.

Quant à la fin, je la trouve trop "facile", trop "happy end". Sinon je trouve assez sympa que l'auteur se soit donné la peine de nommer chaque chapitre d'après un nom de groupe, ce qu'il explique à la fin.

Ceci demeure un bon livre, cependant. Scott Westerfeld est un très bon auteur, et je suis curieuse de découvrir ses autres écrits.
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Un livre apo écrit par l'auteur de la saga des Uglies ? Ca m'intéresse ! Pourtant, j'ai été assez déçue... La 4e de couverture annonce un roman agité, une ville en plein chaos qui n'a pour seule solution que des ados qui ont un groupe de rock ! Mais que nenni !



Exepté Minerva, tous les personnages principaux sont banals, je n'ai pas réussi à m'attacher à eux, ni à Minerva d'ailleurs. Je les ai trouvé égoïstes: le monde autour d'eux plonge dans le chaos, et tout ce qu'ils veulent c'est devenir célèbres ! J'ai eu l'impression durant tout le livre de lire l'histoire de la progression d'un groupe, de sa formation à son succès, en passant par les moments difficiles, sans oublier les histoires de coeur qui sèment la zizanie. Toutes les parties musicales à proprement parler m'ont un peu ennuyer, et pourtant je suis moi-même une musicienne, mais j'ai trouvé qu'ils n'avaient pas vraiment leur place dans un roman qui traite d'une apocalypse...



En gros, tous ce que j'attendais, à savoir beaucoup de détails sur la descente en enfer de New-York, n'ont pas été présent. On ne comprend pas ce qu'est cette "maladie", d'où elle sort, ce que sont ces gros vers, pourquoi la musique du groupe a un tel effet sur eux... Je ne sais pas si c'est parce que je n'ai pas lu le premier tome, V-Virus, que je n'ai pas compris, mais je ne pense pas, les deux livres avaient l'air assez indépendants.



Je ne me suis pas vraiment ennuyée en le lisant, vu que je l'ai terminé, mais c'est dommage que tou ce qui concerne l'apocalypse passe au dernier plan. Je ne m'attendais pas à ça de Scott Westerfel...
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On prend les mêmes et on recommence. Non sérieusement j'adore Scott Westerfeld! L'été dernier j'avais lu V-Virus, qui s'avère être lié à A-Apocalypse. Il me semble que V-Virus est le premier de ce dytique, qui peuvent néanmoins se lire indépendamment l'un de l'autre, il est d'ailleurs meilleur aussi. Et oui A-Apocalyspe, qui raconte les déboires d'un groupe de rock composés de jeunes adolescents au moment d'une épidémie bien étrange n'est pas à la hauteur du précédent opus. Je trouvais l'alternance de chapitres scientifiques et romanesques particulièrement intéressant dans le 1er volet. Désormais on entre dans un aspect plus musical, plus rock'n'roll, sympathique, mais moins marquant. C'est pas mal, mais pas inoubliable.

New York, trente-sept degrés, la chaleur est étouffante, Moz, jeune musicien, vit une scène étrange. Une folle balance ses affaires par la fenêtre, dont une Stratocaster de 1975. Il la sauve à l'aide de d'une jeune fille nommée Pearl. Tous deux aperçurent deux acrobates vêtus de noir qui s'approchaient de la pauvre femme. On racontait que ces « anges » emmenaient les malades on ne sait où... Moz et son ami Zahler jouaient de cet instrument ; Pearl jouait du clavier, il décidèrent de monter un groupe et Pearl trouva une chanteuse, Minerva. Celle-ci souffrait également de « La mort noire », la maladie qui ce propageait alors à New York. Zahler et Moz s'occupèrent de la batteuse du groupe qui jouait dans la rue avec des seaux : Alana Ray. Leur première répétition produisit une ambiance surnaturelle et leur premier concert attira un « ver carnivore » qui tua des spectateurs. Des « anges » intervinrent...

Mais qui sont ces « anges » ? Leur intervention sauvera-t-elle Moz et les autres ?

Les vers carnivores vont-il envahir le monde ?

J'ai bien aimé ce livre car il y a beaucoup de suspense et notamment des passages surnaturels. Il y a également des moments angoissants ; par exemple, quand Moz descend dans la ligne de métro. Il y a malheureusement un peu trop de détails sur certains passages. Florian 4A 2015/2016

Deception, jai aimé tous les livres de cet auteur et là, je suis vraiment déçue... J'ai attendu pendant tout le livre que les deux personnages se rencontrent et rien ...

Je lui accorde le titre de «découverte littéraire de l’été 2015», ce qui veut dire que tu dois clairement l’inclure à ta liste de lecture estivale!
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Le résultat un peu étrange, presque osé puisqu’il dévoile les coulisses d’un petit monde clos, intéressera les lecteurs avertis.
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Incroyable. Un roman juste...Exceptionnel. On tombe si facilement dans deux univers, le fictif et le réel. Et c'est un chef d'œuvre. Mon coup de cœur de l'été! Je le recommande vivement!

[...] Porté par une construction originale, Scott Westerfeld offre avec Afterworlds une belle histoire d'adolescence, il dépeint des héroïnes riches et intéressantes, entourées de personnages secondaires réussis. On se passionne pour ces deux jeunes filles confrontées aux débuts de leurs vies d'adultes, qui font des choix, des erreurs, se trompent et réussissent.

Scott Westerfeld est vraiment capable d'écrire dans tout les registres et le fait avec talent une fois de plus en proposant ici encore un très bon roman jeunesse.
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Livre sympa avec un thème intéressant et une double intrigue qui donne à réfléchir sur l'écriture. Quelques longueurs apparaissent cependant ce qui est dommage. Une bonne lecture malgré tout.
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Je n'ai pas aimé! J'ai trouvé le livre long sans réelle actions.

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Deux voix féminines mènent ce roman de Scott Westerfeld. La première est une jeune romancière qui a encore un an pour remanier son premier roman. La seconde est l’héroïne de ce roman en mutation.



Voir évoluer en parallèle un personnage de fiction et un auteur qui se demande comment réécrire son histoire et réinventer sa fin (exigences d’éditeur ! ) est particulièrement intéressant. D’autant plus qu’on enchaine deux mondes très différents. Celui de l’auteure est très réaliste et nous emmène dans les coulisses de l’édition. L’autre au contraire entoure l’expérience d’une mort imminente et nous fait voyager dans « l’envers du décor », le monde des morts et des fantômes…

ce livre est un des rare livre ou quand je les lu c'est comme si j'était transporter par les mots de se livre c'est un livre attachant et je vous le conseil

Après Uglies qui avait été une déception pour moi je tenais a lire autre chose de cet auteur. Et je ne regrette pas de l'avoir fait car ce livre est presque parfait. Les deux héroïnes sont touchantes et fortes à leur manière t je les ai autant aimé l'une que l'autre.

S pour moi il n'est pas parfait c'est que la fin m'a laissé sur ma faim et c'est vraiment dommage.

Le roman se compose de deux histoires entremêlées : celle de Darcy, auteur dans le « monde réel » et celle de Lizzie, l’héroïne du roman écrit par Darcy (fans de Jane Austen, c’est pour vous !). Chaque chapitre passe ainsi de l’une à l’autre. Le procédé est plutôt chouette et permet d’alterner entre chaque histoire tout en distillant un suspense réussi.

Le roman commence tout d’abord avec Darcy Patel, jeune auteure de 18 ans qui a reçu un contrat très juteux pour publier son livre Afterworlds. Très vite, la jeune fille se rend à New York, où elle retrouve son agent, découvre son éditeur et les soirées consacrées aux auteurs « young adults ». Durant tout son séjour à New York, elle va devoir retravailler l’écriture de son roman selon les demandes non seulement des éditeurs mais aussi du service marketing et, surtout, entamer la suite de son roman. Tout un processus éditorial qui va non seulement stresser notre jeune auteure mais également l’aider à grandir et à s’émanciper.

Intercalée à l’histoire de Darcy se trouve celle de son héroïne, Lizzie, qui commence sur les chapeaux de roue avec une scène d’ouverture digne des meilleurs films d’action : une attaque terroriste dans un aéroport. Coincée, Lizzie appelle les secours qui, dans l’absence de portes de sortie, lui conseillent de faire la morte. Et elle le fait si bien qu’elle va se retrouver dans « l’envers du décor », l’endroit où vont les fantômes avant de rejoindre l’enfer. Elle y rencontre Yamaraj, un jeune homme « psychopompe » (guide des âmes), qui va lui révéler sa nouvelle nature et, bien évidemment, devenir son amoureux…

Pour être honnête, j’ai beaucoup plus aimé l’histoire de Darcy et tout le processus lié à la création littéraire et éditoriale (ce doit être mon côté bibliothécaire), même s’il y a de grandes différences entre l’édition aux États-Unis et celle en France. L’histoire d’Afterworlds est une romance fantastique un peu lue et relue, même si la mythologie hindoue qui y est associée apporte une touche exotique plutôt chouette. Mais il est possible que le lectorat ciblé par ce roman soit plus sensible à l’histoire de Lizzie qu’à celle de Darcy, pleine de jargon éditorial et d’une love-story peu conventionnelle. En plus, vu le pavé, il y a des chances que certains lecteurs sautent les passages qui les intéressent moins pour ne s’attacher qu’à une seule histoire. Je dois aussi avouer que, au vu du slogan de couverture, je m’attendais à un roman un peu plus « science-fictionnesque », alors que pas du tout, il s’agit d’un roman tout à fait ancré dans la réalité. On pourrait alors se demander : quel intérêt de raconter deux histoires totalement indépendantes dans un même livre ? Peut-être est-ce une façon pour Scott Westerfeld de montrer que l’écriture d’un roman est longue et complexe ? Ou alors de dire aux jeunes auteurs, lancez-vous et réalisez vos rêves ! Le lecteur sera libre de choisir. En tous cas, j’ai trouvé ce roman vraiment très intéressant sur l’écriture d’un livre et les questions et réécritures auxquelles un auteur doit se confronter pour voir un jour son œuvre publiée. Selon moi, il aurait pu se consacrer uniquement à Darcy mais les ados y trouveront peut-être à redire…
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