Critiques de Scott Westerfeld (1054)
Avec Extras, on se retrouve plongé dans un monde lointain (pas si lointain) au Japon, dans lequel le système social est organisé autour de la célébrité. Tout est bon, pour acquérir cette célébrité, depuis la psalmoditation d'un nom jusqu'au "claquage" des informations sur un site internet que les jeunes peuvent détenir à partir de 13 ans, l'idée étant de mettre en ligne des vidéos ou des informations les plus insolites/créatives possibles afin de gagner en célébrité et donc d'améliorer sa condition. Pour cela, des caméras sillonnent le ciel en permanence. Aya, son frère Hiro (déjà célèbre), Ren le techno (pour qui la physique n'a pas de secret), et Fizz vont se trouver embarqués dans une aventure liée à la récente célébrité d'Aya.
J'ai bien aimé l'ambiance dystopique de ce roman, l'univers et la créativité de l'histoire. Je pense qu'il me manquait des briques pour comprendre l'ensemble, je n'ai compris qu'au milieu du livre que j'en était au tome 4, sans avoir lu les autres, c'est plus compliqué.
J'ai bien aimé l'ambiance dystopique de ce roman, l'univers et la créativité de l'histoire. Je pense qu'il me manquait des briques pour comprendre l'ensemble, je n'ai compris qu'au milieu du livre que j'en était au tome 4, sans avoir lu les autres, c'est plus compliqué.
J'ai Lu cette saga il y a des années et honnêtement je ne me. Souviens pas des détails mais je m'en rappelle encore comme un des livre qui m'a fait découvrir et beaucoup aimé la dystopie !
J'ai particulièrement été impressionné par tout ce qu'on y découvre. Je me souviens m'etre dit que l'autrice devait avoir une imagination débordante !
Cette saga doit être Lu si vous aimez la dystopie !
J'ai particulièrement été impressionné par tout ce qu'on y découvre. Je me souviens m'etre dit que l'autrice devait avoir une imagination débordante !
Cette saga doit être Lu si vous aimez la dystopie !
Houlala ...
430 pages, j'te jure, la prof elle abuse!
J'avais bien senti que le défi allait être difficile à relever pour ma petite ado.
J'allais donc essayer de l'aider un peu et me voilà donc absorbé dans la lecture du premier volet de "Uglies" de Scott Westerfeld.
"Dans le monde de l'extrême beauté,
Les gens normaux sont en danger."
Hhmmm?
C'est quoi au fait des "gens normaux"?
Le livre est truffé de belles intentions. Des sujets qui forcément nous interpellent en tant que parents : le difficile rapport à l'image, l'estime de soi, les dictats de la mode, le poids des codes et des normes, les injonctions sociales... Ajoutez un soupçon d'écologie et tout y est.
Tous ces sujets sont abordés, effleurés par l'auteur mais le traitement me semble totalement loupé et rate son objectif. C'est lourd, c'est long. Plein de chapitres inutiles qui ne servent qu'à perdre le lecteur et n'apportent rien à l'intrigue.
Quatre ou cinq chapitres à apprendre à faire du skateboard volant sans tomber, pas sûr que ça amène à la réflexion.
Et l'ensemble est saupoudré de quelques magnifiques fulgurances :
"Tally ferma les yeux, ce qui ne fait aucune différence dans le noir complet."
Ben oui. Mais c'est bien sûr !!!
Clairement, les dystopies ont la cote dans les lectures jeunesse. Il n'y a qu'à voir les succès de Divergente ou Hunger Games.
Je reste à croire que nos adolescents sont tout à fait capables de lire et de comprendre Aldous Huxley et "Le meilleur des mondes" ou encore "La ferme des animaux" de George Orwell pour ne citer que ceux-là, quitte à les aider à contextualiser un peu mais là se trouve aussi le rôle de l'enseignant.
Pas besoin de passer par des niaiseries tel que ce "Uglies". Ils sont déjà entourés par tant de bêtises, autant essayer de les tirer un peu vers le haut.
Pour finir, j'avais envie de vous partager un petit article du psychopédagogue Bruno Humbeeck qui aborde ces thèmes bien mieux et sans en faire tout un roman.
"Si à 10 ans, 3 petites filles sur 4 aiment leur reflet dans le miroir, elles ne sont déjà plus que 1 sur 3 à 13 ans. Pire, entre 13 et 15 ans, 1 fille sur 3 a honte de son apparence. Des chiffres qui ont de quoi sérieusement inquiéter, mais qui n'étonnent pas les spécialistes.
Chaque individu se bâtit en trois phases: l'image de soi, la connaissance de soi et l'amour de soi. Les réseaux sociaux permettent de modifier ce processus sans avoir encore pu développer les deux dernières étapes. On est loin d'être construit à 10 ans à peine... Pour jouer avec son image, il faut de la maturité et être conscient qu'il s'agit d'une mise en scène. Instagram, TikTok, Facebook... ce sont davantage des outils de marketing et de design de soi que de réelle communication. On y crée un soi sur mesure, sorte d'avatar fabriqué de toutes pièces, avec plus ou moins de vrai dedans...
L'émergence des réseaux sociaux et leur omniprésence dans la vie quotidienne à un âge bien trop précoce contribuent à accentuer de façon drastique les injonctions à correspondre à une image stéréotypée chez les petites filles. Au lieu de jouer avec une Barbie, relation qui permet de distinguer la poupée de soi et du réel, on devient sa propre Barbie. La mésestime de soi peut alors prendre des proportions inquiétantes, sous prétexte qu'on n'est pas suffisamment suivie, likée ou aimée par sa communauté. C'est comme si on ne pouvait plus vivre sans être validé par le regard des autres.
C'est pour cela que les parents doivent prendre le temps de dire et de montrer à leurs enfants qu'ils apprécient davantage l'image réelle qu'ils ont d'eux que l'avatar qui, en multipliant les filtres, finit par ne plus leur ressembler que très vaguement pour correspondre à l'image idéalisée que l'adolescent voudrait donner de lui-même... parce qu'on grandit mieux, quand on est adolescent ou adolescente, dans le regard inconditionnellement aimant que les parents portent sur soi que dans les yeux, qualifiants ou disqualifiants, que les internautes portent les uns sur les autres dans un univers qui fait de l'image arrangée, sublimée et trafiquée de soi un argument de compétition..."
430 pages, j'te jure, la prof elle abuse!
J'avais bien senti que le défi allait être difficile à relever pour ma petite ado.
J'allais donc essayer de l'aider un peu et me voilà donc absorbé dans la lecture du premier volet de "Uglies" de Scott Westerfeld.
"Dans le monde de l'extrême beauté,
Les gens normaux sont en danger."
Hhmmm?
C'est quoi au fait des "gens normaux"?
Le livre est truffé de belles intentions. Des sujets qui forcément nous interpellent en tant que parents : le difficile rapport à l'image, l'estime de soi, les dictats de la mode, le poids des codes et des normes, les injonctions sociales... Ajoutez un soupçon d'écologie et tout y est.
Tous ces sujets sont abordés, effleurés par l'auteur mais le traitement me semble totalement loupé et rate son objectif. C'est lourd, c'est long. Plein de chapitres inutiles qui ne servent qu'à perdre le lecteur et n'apportent rien à l'intrigue.
Quatre ou cinq chapitres à apprendre à faire du skateboard volant sans tomber, pas sûr que ça amène à la réflexion.
Et l'ensemble est saupoudré de quelques magnifiques fulgurances :
"Tally ferma les yeux, ce qui ne fait aucune différence dans le noir complet."
Ben oui. Mais c'est bien sûr !!!
Clairement, les dystopies ont la cote dans les lectures jeunesse. Il n'y a qu'à voir les succès de Divergente ou Hunger Games.
Je reste à croire que nos adolescents sont tout à fait capables de lire et de comprendre Aldous Huxley et "Le meilleur des mondes" ou encore "La ferme des animaux" de George Orwell pour ne citer que ceux-là, quitte à les aider à contextualiser un peu mais là se trouve aussi le rôle de l'enseignant.
Pas besoin de passer par des niaiseries tel que ce "Uglies". Ils sont déjà entourés par tant de bêtises, autant essayer de les tirer un peu vers le haut.
Pour finir, j'avais envie de vous partager un petit article du psychopédagogue Bruno Humbeeck qui aborde ces thèmes bien mieux et sans en faire tout un roman.
"Si à 10 ans, 3 petites filles sur 4 aiment leur reflet dans le miroir, elles ne sont déjà plus que 1 sur 3 à 13 ans. Pire, entre 13 et 15 ans, 1 fille sur 3 a honte de son apparence. Des chiffres qui ont de quoi sérieusement inquiéter, mais qui n'étonnent pas les spécialistes.
Chaque individu se bâtit en trois phases: l'image de soi, la connaissance de soi et l'amour de soi. Les réseaux sociaux permettent de modifier ce processus sans avoir encore pu développer les deux dernières étapes. On est loin d'être construit à 10 ans à peine... Pour jouer avec son image, il faut de la maturité et être conscient qu'il s'agit d'une mise en scène. Instagram, TikTok, Facebook... ce sont davantage des outils de marketing et de design de soi que de réelle communication. On y crée un soi sur mesure, sorte d'avatar fabriqué de toutes pièces, avec plus ou moins de vrai dedans...
L'émergence des réseaux sociaux et leur omniprésence dans la vie quotidienne à un âge bien trop précoce contribuent à accentuer de façon drastique les injonctions à correspondre à une image stéréotypée chez les petites filles. Au lieu de jouer avec une Barbie, relation qui permet de distinguer la poupée de soi et du réel, on devient sa propre Barbie. La mésestime de soi peut alors prendre des proportions inquiétantes, sous prétexte qu'on n'est pas suffisamment suivie, likée ou aimée par sa communauté. C'est comme si on ne pouvait plus vivre sans être validé par le regard des autres.
C'est pour cela que les parents doivent prendre le temps de dire et de montrer à leurs enfants qu'ils apprécient davantage l'image réelle qu'ils ont d'eux que l'avatar qui, en multipliant les filtres, finit par ne plus leur ressembler que très vaguement pour correspondre à l'image idéalisée que l'adolescent voudrait donner de lui-même... parce qu'on grandit mieux, quand on est adolescent ou adolescente, dans le regard inconditionnellement aimant que les parents portent sur soi que dans les yeux, qualifiants ou disqualifiants, que les internautes portent les uns sur les autres dans un univers qui fait de l'image arrangée, sublimée et trafiquée de soi un argument de compétition..."
J’avais hâte de lire la suite et pourtant j’ai attendu un an avant de le lire… Et je ne sais pas pourquoi ! J’ai vraiment passé un super moment auprès de Tally et son univers.
J’étais un peu perdue au début car le tome commence un mois après le précédent mais j’ai vite repris le pas. J’avais vraiment peur que le roman ait des longueurs comme le premier mais pas du tout ! Je l’ai lu très vite, les longueurs étaient compensées par un peu d’action et les fins de grandes parties se finissaient vraiment en pleine action ce qui donne envie de continuer le roman.
Étonnement la troisième personne dans le roman ne m’a absolument pas gêné à la différence du premier tome.
Comme dans le premier tome, j’adore cet univers qui pousse à la réflexion. L’auteur a réussi à le complexifier et à nous faire poser encore plus de questions. Le monde des Pretties présent dans ce tome nous fait découvrir une autre facette de cette saga, où la technologie et la paresse sont les maîtres.
Tally reste une héroïne très réfléchie et agréable à suivre. A travers elle on peut s’ouvrir à des réflexions intéressantes sur son monde, en lien direct avec le nôtre.
Chaque tome, je m’étonne un peu plus de l’intérêt que je lui porte : ce n’est pas le plus actif, le plus passif, avec l’héroïne la plus impressionnante, les amours torrides et un univers cruel. Je pense que la simplicité du roman tout en amenant la complexité du leur monde permet de créer une vraie merveille qui nous tient pendant 400 pages et nous donne envie d’en lire davantage.
J’étais un peu perdue au début car le tome commence un mois après le précédent mais j’ai vite repris le pas. J’avais vraiment peur que le roman ait des longueurs comme le premier mais pas du tout ! Je l’ai lu très vite, les longueurs étaient compensées par un peu d’action et les fins de grandes parties se finissaient vraiment en pleine action ce qui donne envie de continuer le roman.
Étonnement la troisième personne dans le roman ne m’a absolument pas gêné à la différence du premier tome.
Comme dans le premier tome, j’adore cet univers qui pousse à la réflexion. L’auteur a réussi à le complexifier et à nous faire poser encore plus de questions. Le monde des Pretties présent dans ce tome nous fait découvrir une autre facette de cette saga, où la technologie et la paresse sont les maîtres.
Tally reste une héroïne très réfléchie et agréable à suivre. A travers elle on peut s’ouvrir à des réflexions intéressantes sur son monde, en lien direct avec le nôtre.
Chaque tome, je m’étonne un peu plus de l’intérêt que je lui porte : ce n’est pas le plus actif, le plus passif, avec l’héroïne la plus impressionnante, les amours torrides et un univers cruel. Je pense que la simplicité du roman tout en amenant la complexité du leur monde permet de créer une vraie merveille qui nous tient pendant 400 pages et nous donne envie d’en lire davantage.
Tally est devenue "pretty" en se livrant pour sauver ses amis. Elle est à présent remarquablement belle... mais aussi totalement décérébrée ! Beaucoup d'humour dans ce volume mais aussi un questionnement intéressant sur ce qui nous fait vivre : c'est l'amour qui aidera Tally à retrouver son état normal, quand d'autres se scarifient pour atteindre un semblant de lucidité...
Le livre "Uglies" de Scott Westerfeld est un roman de science-fiction dystopique publié en 2005. L'histoire se déroule dans un futur lointain où la société est divisée en deux catégories : les "laid(e)s" et les "beaux/belles".
Le roman nous présente un monde où, à l'âge de 16 ans, les adolescents subissent une opération chirurgicale pour devenir beaux et intégrer la société des Pretties. L'héroïne du roman, Tally Youngblood, attend impatiemment son 16e anniversaire pour subir cette transformation. Cependant, juste avant son opération, elle rencontre Shay, une autre jeune fille qui remet en question le système et l'invite à se joindre à une communauté de personnes qui refusent l'opération.
L'histoire se poursuit avec Tally aux prises avec des choix moraux et éthiques. Doit-elle suivre l'exemple de Shay et refuser de subir l'opération, ou doit-elle se conformer aux normes de la société et devenir une Belle ? Au fur et à mesure de ses aventures, Tally découvre les aspects sombres de la société dans laquelle elle vit et remet en question la notion de beauté et de normalité.
L'un des aspects les plus intéressants du livre est la réflexion sur les standards de beauté imposés par la société. Scott Westerfeld critique le culte de la beauté et la pression exercée sur les jeunes pour qu'ils se conforment à des normes esthétiques irréalistes. Il souligne également les dangers de l'uniformité et de la perte de l'individualité.
L'écriture de Westerfeld est fluide et captivante, le roman se lit rapidement et facilement. Les personnages sont bien développés et l'intrigue est riche en rebondissements. L'auteur parvient à créer une atmosphère dystopique crédible et à susciter l'empathie pour les personnages.
"Uglies" de Scott Westerfeld est un roman captivant qui aborde des thèmes importants tels que la beauté, la conformité sociale et l'identité individuelle. Le livre est à la fois divertissant et réfléchi, offrant une réflexion sur notre société actuelle et les pressions auxquelles les jeunes sont confrontés. C'est un roman que je recommande pour les adolescents et les adultes qui aiment la science-fiction dystopique et les histoires introspectives.
Le roman nous présente un monde où, à l'âge de 16 ans, les adolescents subissent une opération chirurgicale pour devenir beaux et intégrer la société des Pretties. L'héroïne du roman, Tally Youngblood, attend impatiemment son 16e anniversaire pour subir cette transformation. Cependant, juste avant son opération, elle rencontre Shay, une autre jeune fille qui remet en question le système et l'invite à se joindre à une communauté de personnes qui refusent l'opération.
L'histoire se poursuit avec Tally aux prises avec des choix moraux et éthiques. Doit-elle suivre l'exemple de Shay et refuser de subir l'opération, ou doit-elle se conformer aux normes de la société et devenir une Belle ? Au fur et à mesure de ses aventures, Tally découvre les aspects sombres de la société dans laquelle elle vit et remet en question la notion de beauté et de normalité.
L'un des aspects les plus intéressants du livre est la réflexion sur les standards de beauté imposés par la société. Scott Westerfeld critique le culte de la beauté et la pression exercée sur les jeunes pour qu'ils se conforment à des normes esthétiques irréalistes. Il souligne également les dangers de l'uniformité et de la perte de l'individualité.
L'écriture de Westerfeld est fluide et captivante, le roman se lit rapidement et facilement. Les personnages sont bien développés et l'intrigue est riche en rebondissements. L'auteur parvient à créer une atmosphère dystopique crédible et à susciter l'empathie pour les personnages.
"Uglies" de Scott Westerfeld est un roman captivant qui aborde des thèmes importants tels que la beauté, la conformité sociale et l'identité individuelle. Le livre est à la fois divertissant et réfléchi, offrant une réflexion sur notre société actuelle et les pressions auxquelles les jeunes sont confrontés. C'est un roman que je recommande pour les adolescents et les adultes qui aiment la science-fiction dystopique et les histoires introspectives.
J'avais commencé ce livre à l'adolescence mais je n'avais pu lire que le premier chapitre, incapable de "rentrer dedans".
J'ai recommencé en 2015 et j'avais eu un coup de coeur pour ce roman.
8 ans après, je l'ai relu afin de poursuivre la saga. J'avais oublié énormément de détails, j'avais mélangé les infos. Bref, j'ai bien fait de le relire...
J'ai autant aimé même si maintenant je me pose plus de questions sur la faisabilité de ce système mais ça reste du jeunesse...
J'ai aimé les personnages surtout de Tally et David.
Les pretties semblent sans intérêts et idiots.
A voir dans le tome 2... avec lequel j'enchaîne.
J'ai recommencé en 2015 et j'avais eu un coup de coeur pour ce roman.
8 ans après, je l'ai relu afin de poursuivre la saga. J'avais oublié énormément de détails, j'avais mélangé les infos. Bref, j'ai bien fait de le relire...
J'ai autant aimé même si maintenant je me pose plus de questions sur la faisabilité de ce système mais ça reste du jeunesse...
J'ai aimé les personnages surtout de Tally et David.
Les pretties semblent sans intérêts et idiots.
A voir dans le tome 2... avec lequel j'enchaîne.
C'est souvent le contraire mais dans cette série de livres, j'ai préféré le second au premier. Bien que j'aie déjà beaucoup aimé Uglies, j'ai été agréablement surprise par ce livre que j'ai dévoré rapidement.
Au contraire du premier tome, je n'ai pas une seule fois trouvé de passage long. C'est un livre extraordinaire. Certes l'écriture de l'auteur n'a rien d'exceptionnelle mais elle est simple, compréhensible et plutôt bien écrit. Ce qui est vraiment intéressant dans ce roman c'est l'histoire incroyable, l'imagination sans limites de Scott Westerfeld.
L'écrivain a réussi à nous plonger dans un futur digne d'un bon film de science-fiction et je suis même étonnée que ce roman n'est pas plus connu voire même reproduit en film car ce serait une saga captivante!
Ce que je reprochais à Uglies était le manque d'attachement aux personnages. Or, avec l'arrivée de Zane, notamment, ce point de vue a changé dans Pretties.
Evidemment, je recommande vivement ce livre !!!! je suis persuadée qu'il plaira au plus grand nombre d'entre vous!
Lien : https://cpcamille.blogspot.c..
Au contraire du premier tome, je n'ai pas une seule fois trouvé de passage long. C'est un livre extraordinaire. Certes l'écriture de l'auteur n'a rien d'exceptionnelle mais elle est simple, compréhensible et plutôt bien écrit. Ce qui est vraiment intéressant dans ce roman c'est l'histoire incroyable, l'imagination sans limites de Scott Westerfeld.
L'écrivain a réussi à nous plonger dans un futur digne d'un bon film de science-fiction et je suis même étonnée que ce roman n'est pas plus connu voire même reproduit en film car ce serait une saga captivante!
Ce que je reprochais à Uglies était le manque d'attachement aux personnages. Or, avec l'arrivée de Zane, notamment, ce point de vue a changé dans Pretties.
Evidemment, je recommande vivement ce livre !!!! je suis persuadée qu'il plaira au plus grand nombre d'entre vous!
Lien : https://cpcamille.blogspot.c..
L'histoire est très particulière, bien trouvée et reflète pourtant une réalité de notre monde: la recherche de la beauté absolue ou plutôt l'uniformité de tous. Ici c'est ce qui est le plus mis en avant: une fois l'Opération effectuée, les Hommes se ressemblent tous. Ils ont les traits tirés et parfaits, tous idem pour se fondre dans la masse et devenir docile. Impossible après l'Opération de se rebeller.
La morale de l'histoire est très intéressante à prendre en compte. Tout le long du récit, à travers les yeux du personnage principal, le lecteur peut avoir l'impression d'être dans une utopie avant de se rendre compte que finalement, c'est une réelle dystopie qui est racontée. Cette société qui semble si parfaite se démonte petit à petit.
C'est un roman qu'il faut lire! Il est facile à lire malgré quelques passages parfois long, surtout quand le personnage principal: Tally répète un peu trop souvent qu'elle a hâte de recevoir l'Opération, que c'est ce qu'elle attend le plus... Le roman devient de mieux en mieux au fur et à mesure de l'avancer des pages. Les secrets de cette société "idéale" sont enfin dévoilés, faisant apparaître une révélation surprenante et pourtant si évidente.
Le seul vrai point négatif, pour moi, est que j'ai eu du mal à m'attacher au personnage principal. Tally a une vision brouillée, elle se laisse manipuler par cette société, loin de l'idéal d'une héroïne. Mais on peut avoir des antihéros et s'y attacher pour autant mais peut-être que cet anti-héroïsme est trop poussé à l'extrême. Après, ses sentiments ne sont pas tellement approfondis, ce qui peut également expliquer que le lecteur peut avoir du mal à s'attacher à Tally, se mettre de son côté. Il en est de même pour la plupart des personnages. Leurs caractéristiques sont assez superficielles.
Mais l'histoire est tellement prenante que cela reste une lecture que je recommande!! J'ai très envie de lire la suite: Pretties, spécial, extras.
Lien : https://cpcamille.blogspot.c..
La morale de l'histoire est très intéressante à prendre en compte. Tout le long du récit, à travers les yeux du personnage principal, le lecteur peut avoir l'impression d'être dans une utopie avant de se rendre compte que finalement, c'est une réelle dystopie qui est racontée. Cette société qui semble si parfaite se démonte petit à petit.
C'est un roman qu'il faut lire! Il est facile à lire malgré quelques passages parfois long, surtout quand le personnage principal: Tally répète un peu trop souvent qu'elle a hâte de recevoir l'Opération, que c'est ce qu'elle attend le plus... Le roman devient de mieux en mieux au fur et à mesure de l'avancer des pages. Les secrets de cette société "idéale" sont enfin dévoilés, faisant apparaître une révélation surprenante et pourtant si évidente.
Le seul vrai point négatif, pour moi, est que j'ai eu du mal à m'attacher au personnage principal. Tally a une vision brouillée, elle se laisse manipuler par cette société, loin de l'idéal d'une héroïne. Mais on peut avoir des antihéros et s'y attacher pour autant mais peut-être que cet anti-héroïsme est trop poussé à l'extrême. Après, ses sentiments ne sont pas tellement approfondis, ce qui peut également expliquer que le lecteur peut avoir du mal à s'attacher à Tally, se mettre de son côté. Il en est de même pour la plupart des personnages. Leurs caractéristiques sont assez superficielles.
Mais l'histoire est tellement prenante que cela reste une lecture que je recommande!! J'ai très envie de lire la suite: Pretties, spécial, extras.
Lien : https://cpcamille.blogspot.c..
Pour être honnête, je ne sais pas quoi penser de cette lecture. D'un côté, j'ai très envie de découvrir la suite des aventures de ce groupe. Mais, d'un autre côté, j'ai du mal avec l'aspect très surnaturel. En fait, je reste sceptique avec ce récit. La fin est très particulière et amène beaucoup de questions. Je lirais certainement le prochain tome qui sera, à mon avis, décisif.
Lien : http://chroniquesmerveilleus..
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Un univers puissant , saisissant et solide. Voici un roman jadis artificiellement coupé en deux et maintenant accessible en un seul volume .
Ce texte affiche beaucoup de points forts, qui pourront néanmoins doser certains. Donc pour info dans ce texte , le vase de Hard Science est plein.
L'univers ultra-technologique de cet univers est un des plus abouti que j'ai jamais vu en SF. L'auteur a mené une réelle et sérieuse réflexion autour de la miniaturisation extrême de la plupart des technologies et aussi sur l'intelligence artificielle. Le vocabulaire est très soigné quant à cet aspect des choses . Ce contexte technologique solide est foncièrement investit par les personnages et d'ailleurs ils so.t définis intégralement. Par l'environnement technologique.
Westerfield a imaginé un système politique qui est reconstitué dans ses moindres détails , une sorte de monarchie éclairée avec une touche d'oligarchie et également de démocratie relative d'un point de vue local ( L'inspiration est grandement du type histoire ancienne ) : .
Ce contexte permet au lecteur de se poser des questions sur les ruses politiques dont il observe la mise en oeuvre et les résultats . Les intrigues politiques sont généralement de haut-vol et les groupes d'intérêts sont bien posés .
Les post humains de cet univers sont somptueux et fascinants . Ils sont exploités en présentant une interface intime avec le lecteur qui comprend tout à fait « comment ça marche « au lieu de devoir regretter constamment de ne rien piger du fonctionnement intime de ces bestioles très atypiques et souvent redoutablement venimeuses .
D'ailleurs la caractérisation dans ce roman est assez bonne généralement ,et elle permettra de croiser des personnages assez intéressants et fonctionnels .
Comme ce héros de guerre passablement traumatisé par la torture et qui témoigne éloquemment de la façon dont le bourreau s'insinue durablement et littéralement dans l'esprit comme dans la chair de la victime en crispant ses muscles aussi fort que sa pensée . Et j'avoue que ce personnage est tout sauf un stéréotype . Il en est le contraire tout simplement . Les personnages sont donc le plus souvent très présents et très crédibles. le récit focalise sur eux des noeuds de sens de manière pertinente .Ce qui me fait dire avec raison et non sans une nécessaire modération que l'auteur explore dans ce texte : la condition humaine de ce lointain futur de fiction .
Le lecteur ferra aussi l'expérience du plus long combat spatial jamais écrit (j'en suis presque certain). Je ne plaisante pas et il est aussi long que trépidant et c'est le plus long et un des plus passionnant à tous points de vue , auquel j'ai été confronté dans ma carrière de lecteur de science-fiction , oui, oui !
Le thème de la guerre et celui des victimes de guerre est exploité selon des axes riches et suffisamment pertinents et solides pour que l'on ne baigne ni dans la mièvrerie , ni dans les stéréotypes caricaturaux , lassants et pénibles .
La trame narrative très bien rythmé , scandée souvent , avec des péripéties et des rebondissements fréquemment intenses et spectaculaires .
Est-ce pour autant le paradis de l'amateur d'espace opéra solides et grandioses ?
C'est un bon roman , cependant. des thèmes et concepts ( autour du pouvoir) sont insuffisamment détaillés et ils perdent de ce fait une grande partie de leur solidité , même s'ils conservent tout leur intérêt narratif.
Il y a aussi des passages très longs et très agréables et utiles! pour les amateurs de hard science , mais d'autres penseront plutôt à des longueurs exagérées .
Personnellement je trouve ces aspects hard-science délicieusement intenses , crédibles et providentiellement omniprésents dans ce roman qui un incontournable pour les amateurs d'espace opéra de qualité et un très bon moment de science-fiction militaire de très bonne facture .
Un seul Bémol , qui est de taille.
Le secret de l'empire : C'est un peu le coup de l'éléphant qui accouche de la souris.
Mais bon : le voyage est tellement superbe , qualitatif et intense, avec des visuels tellement fabuleux ,et brodé sur une trame narrative rythmée et retentissante , que l'empire et son secret , m'a autant déçu que j'ai adoré ce roman et ses descriptions intéressantes d'une fabuleuse présence réaliste .
Voici un roman dont les précieuses qualités, pourraient bien être des défauts rédhibitoires pour certains .
Ce texte affiche beaucoup de points forts, qui pourront néanmoins doser certains. Donc pour info dans ce texte , le vase de Hard Science est plein.
L'univers ultra-technologique de cet univers est un des plus abouti que j'ai jamais vu en SF. L'auteur a mené une réelle et sérieuse réflexion autour de la miniaturisation extrême de la plupart des technologies et aussi sur l'intelligence artificielle. Le vocabulaire est très soigné quant à cet aspect des choses . Ce contexte technologique solide est foncièrement investit par les personnages et d'ailleurs ils so.t définis intégralement. Par l'environnement technologique.
Westerfield a imaginé un système politique qui est reconstitué dans ses moindres détails , une sorte de monarchie éclairée avec une touche d'oligarchie et également de démocratie relative d'un point de vue local ( L'inspiration est grandement du type histoire ancienne ) : .
Ce contexte permet au lecteur de se poser des questions sur les ruses politiques dont il observe la mise en oeuvre et les résultats . Les intrigues politiques sont généralement de haut-vol et les groupes d'intérêts sont bien posés .
Les post humains de cet univers sont somptueux et fascinants . Ils sont exploités en présentant une interface intime avec le lecteur qui comprend tout à fait « comment ça marche « au lieu de devoir regretter constamment de ne rien piger du fonctionnement intime de ces bestioles très atypiques et souvent redoutablement venimeuses .
D'ailleurs la caractérisation dans ce roman est assez bonne généralement ,et elle permettra de croiser des personnages assez intéressants et fonctionnels .
Comme ce héros de guerre passablement traumatisé par la torture et qui témoigne éloquemment de la façon dont le bourreau s'insinue durablement et littéralement dans l'esprit comme dans la chair de la victime en crispant ses muscles aussi fort que sa pensée . Et j'avoue que ce personnage est tout sauf un stéréotype . Il en est le contraire tout simplement . Les personnages sont donc le plus souvent très présents et très crédibles. le récit focalise sur eux des noeuds de sens de manière pertinente .Ce qui me fait dire avec raison et non sans une nécessaire modération que l'auteur explore dans ce texte : la condition humaine de ce lointain futur de fiction .
Le lecteur ferra aussi l'expérience du plus long combat spatial jamais écrit (j'en suis presque certain). Je ne plaisante pas et il est aussi long que trépidant et c'est le plus long et un des plus passionnant à tous points de vue , auquel j'ai été confronté dans ma carrière de lecteur de science-fiction , oui, oui !
Le thème de la guerre et celui des victimes de guerre est exploité selon des axes riches et suffisamment pertinents et solides pour que l'on ne baigne ni dans la mièvrerie , ni dans les stéréotypes caricaturaux , lassants et pénibles .
La trame narrative très bien rythmé , scandée souvent , avec des péripéties et des rebondissements fréquemment intenses et spectaculaires .
Est-ce pour autant le paradis de l'amateur d'espace opéra solides et grandioses ?
C'est un bon roman , cependant. des thèmes et concepts ( autour du pouvoir) sont insuffisamment détaillés et ils perdent de ce fait une grande partie de leur solidité , même s'ils conservent tout leur intérêt narratif.
Il y a aussi des passages très longs et très agréables et utiles! pour les amateurs de hard science , mais d'autres penseront plutôt à des longueurs exagérées .
Personnellement je trouve ces aspects hard-science délicieusement intenses , crédibles et providentiellement omniprésents dans ce roman qui un incontournable pour les amateurs d'espace opéra de qualité et un très bon moment de science-fiction militaire de très bonne facture .
Un seul Bémol , qui est de taille.
Le secret de l'empire : C'est un peu le coup de l'éléphant qui accouche de la souris.
Mais bon : le voyage est tellement superbe , qualitatif et intense, avec des visuels tellement fabuleux ,et brodé sur une trame narrative rythmée et retentissante , que l'empire et son secret , m'a autant déçu que j'ai adoré ce roman et ses descriptions intéressantes d'une fabuleuse présence réaliste .
Voici un roman dont les précieuses qualités, pourraient bien être des défauts rédhibitoires pour certains .
Même si le sujet est original, l'histoire souffre d'énormes longueurs qui nous font nous demander à plusieurs reprises si nous n'aurions pas mieux à faire que de lâcher ce livre. C'est dommage car le fil narratif et la critique en arrière-plan sont vraiment intéressants. Un léger rebondissement sur la portée véritable de ces opérations visant à transformer les "moches" en "beaux" intervient et redonne un peu de peps à la fin de l'histoire. Néanmoins, je reste mitigée sur certaines facilités des personnages à entrer dans un bâtiment protégé ou à faire obstacle à une population ultra moderne.
En résumé, quelques faiblesses narratives et des longueurs agaçantes.
En résumé, quelques faiblesses narratives et des longueurs agaçantes.
J'ai trouvé ce livre plutôt bien même s'il y a plusieurs choses qui m'ont déçu. Comme le fait qu'il n'est pas indispensable, qu'on ne suit pas les même personnage principaux et que certains passages reprennent un peu les précédents volumes.
Il y a tous de même des choses qui m'ont plu et les personnages sont plutôt attachants.
Un livre que je conseil à ceux qui ne savent pas quoi lire et qui ont déjà lu les trois premiers.
Il y a tous de même des choses qui m'ont plu et les personnages sont plutôt attachants.
Un livre que je conseil à ceux qui ne savent pas quoi lire et qui ont déjà lu les trois premiers.
Une impression de déjà vue. Pas beaucoup de différence avec le premier tome et je ne me suis toujours pas attachée aux personnages ni à l'histoire d'ailleurs. J'ai dû mal avec Tally trop immature et agaçante par moment. L'histoire est lente, ça a du mal à démarrer et je m'attendais à tout ce qu'il allait se passer donc aucune surprise pour moi. Je suis assez déçue de cette saga !
Bon je ressors de ce premier tome un petit peu mitigé. Les 200 premières pages ont été compliqué pour moi mais heureusement ça s'améliore après. En revanche j'ai eu du mal à m'attacher à la protagoniste et j'ai trouvé le récit un petit peu trop enfantin par moment. Cependant j'aime beaucoup le sujet traité donc je lirais quand même le tome 2 parce que je suis curieuse de ce qu'il va se passer.
J'ai enfin pu lire le troisième tome de la série de Scott Westerfeld après l'avoir laissé un petit moment de côté et je dois admettre qu'il m'a fallu un petit moment pour me remettre dedans.
Dans ce tome nous suivons donc toujours Tally la rebelle qui après être devenue une Pretty, est devenue une Spécial, et plus précisement une Scarificateur, ce qui est en soi bien plus effrayant encore normalement.
Je dis bien "normalement" car finalement je n'ai pas eu l'impression que le petit groupe de Scarificateurs était bien impressionnant. J'avais le souvenirs dans les tomes précédents que les Spécials étaient plutôt flippants, en mode, s'ils sont après toi, tu n'as aucune chance mais finalement j'ai juste eu l'impression d'un groupe d'ados un peu agités et pas très efficaces.
Il en est de même pour le docteur Cable, la créatrice de ce petit monde, qui au final n'est pas si vilaine que cela.
Si j'ai bien compris, les scarificateurs devaient empêcher que soit introduit dans la ville, des cachets permettant aux "têtes vides" (les Pretties), de retrouver leur cerveau et leur liberté de penser. Bon au final tout le monde à eu droit aux cachets, c'est dire le peu d'efficacité de ce petit groupe...
En tout les cas, c'était plutôt agréable de retrouver Tally et ses états d'âmes et si à mon sens, l'écriture est plutôt destinée aux jeunes ados, car finalement les méchants ne sont pas si méchants et cela reste un peu gentillet, mais c'est amusant de se plonger dans ce monde futuriste où nous, les rouillés, avons tous disparut.
Les questionnements écologiques sont tout à fait dans l'air du temps, et je ne doute pas que cette série doit bien plaire.
J'irai lire la suite ( Extras) car je suis bien curieuse de savoir comment l'auteur va terminer ses aventures.
Dans ce tome nous suivons donc toujours Tally la rebelle qui après être devenue une Pretty, est devenue une Spécial, et plus précisement une Scarificateur, ce qui est en soi bien plus effrayant encore normalement.
Je dis bien "normalement" car finalement je n'ai pas eu l'impression que le petit groupe de Scarificateurs était bien impressionnant. J'avais le souvenirs dans les tomes précédents que les Spécials étaient plutôt flippants, en mode, s'ils sont après toi, tu n'as aucune chance mais finalement j'ai juste eu l'impression d'un groupe d'ados un peu agités et pas très efficaces.
Il en est de même pour le docteur Cable, la créatrice de ce petit monde, qui au final n'est pas si vilaine que cela.
Si j'ai bien compris, les scarificateurs devaient empêcher que soit introduit dans la ville, des cachets permettant aux "têtes vides" (les Pretties), de retrouver leur cerveau et leur liberté de penser. Bon au final tout le monde à eu droit aux cachets, c'est dire le peu d'efficacité de ce petit groupe...
En tout les cas, c'était plutôt agréable de retrouver Tally et ses états d'âmes et si à mon sens, l'écriture est plutôt destinée aux jeunes ados, car finalement les méchants ne sont pas si méchants et cela reste un peu gentillet, mais c'est amusant de se plonger dans ce monde futuriste où nous, les rouillés, avons tous disparut.
Les questionnements écologiques sont tout à fait dans l'air du temps, et je ne doute pas que cette série doit bien plaire.
J'irai lire la suite ( Extras) car je suis bien curieuse de savoir comment l'auteur va terminer ses aventures.
Critique spoilant beaucoup le livre, à vos risques et périls :
Un livre qui nous tient en haleine du début à la fin, s'achevant sur un ascenseur émotionnel et une terrible envie de lire le tome suivant. (J'ai de la chance, il est déjà sorti à l'heure où j'écris ces lignes).
Dans le tome précédent, nous quittions Frey qui se préparait à infiltrer Shreve afin de libérer X de sa prison et de connaître davantage son peuple, en tant que future leader de la ville.
*** Attention, spoilers ! ***
Dans le tome précédent, nous quittions Frey qui se préparait à infiltrer Shreve afin de libérer X de sa prison et de connaître davantage son peuple, en tant que future leader de la ville.
*** Attention, spoilers ! ***
Quand on est ado et qu'on est persécuté par les autres parce qu'on ne leur ressemble pas, ce livre peut aider. Je m'explique: une ado mal dans sa peau, qui se cherche et qui va devenir belle. C'est ce que tout le monde cherche mais ce livre nous pousse à réfléchir sur ce qui est la véritable beauté. Et même si le reste de la saga s'en écarte un peu, c'est un bon premier tome qui nous donne envie de lire les suivants.
Cette atmosphère sombre ( à mon avis) correspond tout à fait à un(e) ado qui voudrait lire en paix et se familiariser au(x) personnage(s). Comme pour ce donner du courage pour faire face à l'adversité et s'assumer. Même si je l'avoue à une lecture simple, ce n'est pas ce qui est mis en avant. Il faut creuser pour avoir le message.
Cette atmosphère sombre ( à mon avis) correspond tout à fait à un(e) ado qui voudrait lire en paix et se familiariser au(x) personnage(s). Comme pour ce donner du courage pour faire face à l'adversité et s'assumer. Même si je l'avoue à une lecture simple, ce n'est pas ce qui est mis en avant. Il faut creuser pour avoir le message.
Dernier tome de la saga ...
Ici l'action se déroule quelques années après les aventures de Tally en tant qu'Ugly, Pretty puis Special. Dans une autre ville. Avec un autre mode de fonctionnement.
Ce livre n'est pas inintéressant du tout, mais je n'ai pas vraiment accroché. La fin m'a semble précipitée en plus.
Bref je dois avouer que je suis contente d'en avoir terminé avec cette saga.
Ici l'action se déroule quelques années après les aventures de Tally en tant qu'Ugly, Pretty puis Special. Dans une autre ville. Avec un autre mode de fonctionnement.
Ce livre n'est pas inintéressant du tout, mais je n'ai pas vraiment accroché. La fin m'a semble précipitée en plus.
Bref je dois avouer que je suis contente d'en avoir terminé avec cette saga.
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