A-Apocalypse : Bande-son pour fin du monde

New York, trente-sept degrés, la chaleur est étouffante, Moz, jeune musicien, vit une scène étrange. Une folle balance ses affaires par la fenêtre, dont une Stratocaster de 1975. Il la sauve à l'aide de d'une jeune fille nommée Pearl. Tous deux aperçurent deux acrobates vêtus de noir qui s'approchaient de la pauvre femme. On racontait que ces « anges » emmenaient les malades on ne sait où... Moz et son ami Zahler jouaient de cet instrument ; Pearl jouait du clavier, il décidèrent de monter un groupe et Pearl trouva une chanteuse, Minerva. Celle-ci souffrait également de « La mort noire », la maladie qui ce propageait alors à New York. Zahler et Moz s'occupèrent de la batteuse du groupe qui jouait dans la rue avec des seaux : Alana Ray. Leur première répétition produisit une ambiance surnaturelle et leur premier concert attira un « ver carnivore » qui tua des spectateurs. Des « anges » intervinrent...
Mais qui sont ces « anges » ? Leur intervention sauvera-t-elle Moz et les autres ?
Les vers carnivores vont-il envahir le monde ?
J'ai bien aimé ce livre car il y a beaucoup de suspense et notamment des passages surnaturels. Il y a également des moments angoissants ; par exemple, quand Moz descend dans la ligne de métro. Il y a malheureusement un peu trop de détails sur certains passages. Florian 4A 2015/2016

Un livre apo écrit par l'auteur de la saga des Uglies ? Ca m'intéresse ! Pourtant, j'ai été assez déçue... La 4e de couverture annonce un roman agité, une ville en plein chaos qui n'a pour seule solution que des ados qui ont un groupe de rock ! Mais que nenni !

Exepté Minerva, tous les personnages principaux sont banals, je n'ai pas réussi à m'attacher à eux, ni à Minerva d'ailleurs. Je les ai trouvé égoïstes: le monde autour d'eux plonge dans le chaos, et tout ce qu'ils veulent c'est devenir célèbres ! J'ai eu l'impression durant tout le livre de lire l'histoire de la progression d'un groupe, de sa formation à son succès, en passant par les moments difficiles, sans oublier les histoires de coeur qui sèment la zizanie. Toutes les parties musicales à proprement parler m'ont un peu ennuyer, et pourtant je suis moi-même une musicienne, mais j'ai trouvé qu'ils n'avaient pas vraiment leur place dans un roman qui traite d'une apocalypse...

En gros, tous ce que j'attendais, à savoir beaucoup de détails sur la descente en enfer de New-York, n'ont pas été présent. On ne comprend pas ce qu'est cette "maladie", d'où elle sort, ce que sont ces gros vers, pourquoi la musique du groupe a un tel effet sur eux... Je ne sais pas si c'est parce que je n'ai pas lu le premier tome, V-Virus, que je n'ai pas compris, mais je ne pense pas, les deux livres avaient l'air assez indépendants.

Je ne me suis pas vraiment ennuyée en le lisant, vu que je l'ai terminé, mais c'est dommage que tou ce qui concerne l'apocalypse passe au dernier plan. Je ne m'attendais pas à ça de Scott Westerfel...
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On prend les mêmes et on recommence. Non sérieusement j'adore Scott Westerfeld! L'été dernier j'avais lu V-Virus, qui s'avère être lié à A-Apocalypse. Il me semble que V-Virus est le premier de ce dytique, qui peuvent néanmoins se lire indépendamment l'un de l'autre, il est d'ailleurs meilleur aussi. Et oui A-Apocalyspe, qui raconte les déboires d'un groupe de rock composés de jeunes adolescents au moment d'une épidémie bien étrange n'est pas à la hauteur du précédent opus. Je trouvais l'alternance de chapitres scientifiques et romanesques particulièrement intéressant dans le 1er volet. Désormais on entre dans un aspect plus musical, plus rock'n'roll, sympathique, mais moins marquant. C'est pas mal, mais pas inoubliable.

Cette suite de V-virus est une suite… sans être une suite !
En effet, les personnages sont différents, même si l'on finit par croiser les « Peeps » du premier volume.
Ici c'est la musique qui joue un rôle primordial dans une ambiance apocalyptique plutôt bien retranscrite.
On regrettera cependant le peu de nouveautés par rapport au premier tome, on n'apprend rien de plus, et du coup l'absence de suspense.
Ça reste malgré tout très rythmé et agréable à lire, à réserver peut-être davantage aux jeunes lecteurs qui auront envie de frémir un peu.

Dans ,un New York de fin du monde, des ados forment un improbable groupe de rock. Parmi eux se trouve une sans abri qui tape sur de vieux seaux à peinture, et une malade mentale anciennement cannibale. Et aussi improbable que cela puisse paraître, leur musique a des pouvoirs paranormaux qui vont aider à vaincre les monstres souterrains qui hantent la ville. un groupe de rock qui sauve le monde, j'aime bien le concept !