T. J. Klune

La maison au milieu de la mer Céruléenne est un coup de coeur. Je l'ai dévoré. On est très vite plongé dans cet univers coloré.

C'est un roman rempli d'espoirs. Qui véhicule de beaux messages : l'acceptation, les secondes chances, la famille, la tolérance.

Ce livre nous montre que même si le monde peut être cruel, les choses peuvent s'améliorer. Que l'espoir est permis.

Les personnages haut en couleurs et atypiques sont tous très attachants. C'est le point fort du roman.

Et que dire de l'objet livre en lui même. J'ai la version relié. C'est une beauté qui attire au premier coup d'oeil.

C'est un roman qui fait du bien. J'avais presque envie de ralentir ma lecture pour ne pas avoir à quitter ces personnages attachants.

Quel fantastique roman !



Je me suis noyée dans un monde de poésie et de douceur en lisant ces lignes. C’est absolument rempli de jolies phrases pleines de sens et d’amour. Une belle leçon de vie qui sert à se forger.



En effet, nous sommes dans un roman fantastique mais je trouve qu’il s’adresse à tout public tant le sujet est surtout porté sur les différences. Les thèmes sont réels et bien existants si l’on oublie l’aspect Fantasy. Je le conseillerai d’ailleurs à celles et ceux qui souhaitent s’essayer au genre.



Finalement, c’est un roman de découverte et d’apprentissage pour chacun des personnages. Avoir accompagné les enfants m’a vraiment emportée, je me suis attachée à chacun d’eux.



Je ne peux pas réellement vous en dire davantage au risque de vous priver de cette belle lecture qui nous donne sans cesse envie d’annoter chaque page tellement c’est divin.

J'ai lu tellement d'avis élogieux sur ce roman que j'ai finalement craqué et je n'ai pas été déçue.



C'est une lecture tout simplement incroyable. Le récit est cocooning à souhait et vous emmènera dans un bon moment de douceur.



Les personnages sont tous attachants. Linus semble à première vue un narrateur bien atypique mais c'est ce qui le rend d'autant plus authentique et réel. Les enfants sont également émouvants et le lecteur ne pourra que les apprécier.



L'histoire amène le thème de l'acceptation aussi bien de la différence avec les enfants et leurs pouvoirs mais également sexuelle. Ces thèmes sont vraiment bien amenés au fil de l'intrigue et l'auteur parvient clairement à les intégrer délicatement. Je pense que tout cela rend l'histoire pleine d'humanité et encore plus touchante.



La plume de l'auteur est simple, soignée et prenante. L'idéal pour vous faire passer un excellent moment de lecture et surtout pour faire passer le message que l'auteur souhaite.



Si vous cherchez une histoire pleine de rebondissements et avec de l'aventure passez votre chemin ce n'est pas ce que vous trouverez ici. En revanche, si vous voulez passer un bon moment de lecture et savoir gentiment ce qu'il va arriver à nos personnages, je pense que ce livre vous plaira. En plus, le côté fantastique est bien amené et l'intrigue vous réserve de belles surprises.



Le seul reproche que je pourrai faire à ce roman, c'est que j'ai trouvé quelques longueurs au début lorsque le lecteur suit la vie de Linus en ville.



J'ai lu rapidement les 474 de ce roman, je voulais absolument connaître la suite. Les chapitres sont de tailles moyenne (environ une quinzaine de pages voir une vingtaine de pages pour certain). Le style d'écriture est grand et bien aéré.



Pour le prix, vous pouvez vous procurer ce livre pour 18,90 euros ou pour 30,90 francs.



Comme vous vous en doutez, j'ai passé un excellent moment de lecture avec ce roman et ça aurait clairement été un coup de coeur si je n'avais pas eu cette impression de longueur au début. J'attribue donc la note de 8 sur 10 à ce roman.
Lien : http://devoreusedelivres.ekl..

Linus travaille au ministère de la jeunesse magique. Il contrôle les orphelinats accueillant les enfants différents. Linus est rigoureux et aime suivre les règles en vigueur. Jusqu'à ce qu'il soit envoyé dans un orphelinat un peu spécial...



J'ai beaucoup entendu parler de ce roman jeunesse, voir roman ado. En bien. Pourtant, au début, j'ai eu quelques difficultés à rentrer dans l'histoire et a m'attacher aux personnages malgré une écriture travaillée et un contexte fantastique que j'apprécie beaucoup habituellement. Il me manquait quelque chose, de l'émotion.

Et puis, a partir de la deuxième moitié du roman, j'ai été happée par l'histoire et par les relations entre les différents protagonistes. Je me suis pris une vague d'émotions, au point d'avoir les larmes aux yeux sur la fin. J'ai adoré l'évolution de Linus, j'ai adoré le ton de l'histoire et l'humanité qui s'en dégage. Sans le début un peu fastidieux, ça aurait été un coup de coeur.

J'ai été happée par l'écriture de ce livre et par la personnalité de Linus. Cet employé modèle dont chaque instant est dicté par Règles et Règlements, qui se soucie des enfants dont il a la charge de vérifier le bien-être, mène une vie morne et solitaire que ce soit en qualité d'employé du Ministère de la Jeunesse Magique ou en temps que particulier.

Son soucis du détail et de l'objectivité vont le faire remarquer des Cadres extrêmement supérieurs qui vont l'envoyer contrôler un orphelinat totalement secret, et pour cause les six enfants qui y habitent ont des profils très particuliers, tout comme leur tuteur.

N'ayant jamais quitté la ville grise et pluvieuse où il habite, l'île qu'il découvre est un émerveillement constant pour lui, bien que tempéré par la présence d'un antéchrist de six ans.

J'ai beaucoup aimé les personnages de ce livres qui sont tous très attachants, l'humour omniprésent, mais aussi le message: tout est possible, il faut croire en ses rêves, mais également le fait de croire que chaque enfant n'est pas déterminé par son ascendance, son milieu mais bien par son éducation et que tout ce dont il a besoin pour s'épanouir c'est de confiance et d'amour.

Un véritable coup de cœur pour ce magnifique ouvrage.

"Sous la porte qui chuchote" est un roman YA sur la mort, le deuil, l'anxiété, la quête de soi, la famille et l'amour.



J'aime bien l'univers de T. J. Klune. C'est toujours fantastique, bienveillant, inclusif, avec de jolis messages en partage. On peut peut-être lui reprocher d'être un peu trop manichéen et j'ai trouvé qu'il y avait la même mécanique dans les relations entre ses personnages que dans "La Maison au milieu de la Mer céruléenne", ce qui enlève le suspense quant aux aboutissements. Et il y a quelques allusions à la sexualité un peu bizarrement placées même si je ne m'en suis pas formalisée.



Hormis cela, c'est une excellente lecture. Difficile certes, de par le thème général, mais très émouvante et avec une belle réflexion sur la vie et la mort. Il y a pas mal de Trigger warning qui sont mentionnés au début de l'ouvrage : décès soudains, maladies, suicide, dépression, anxiété, violences psychologiques, etc. J'ai pas mal pleuré sur les 100 dernières pages pour tout vous avouer donc âmes sensibles, vous êtes prévenues...



Il y a quelques facilités dans ce roman mais j'avoue que je n'en ai jamais lu d'aussi abouti sur cette thématique du sens qu'on donne à sa vie et à celles des autres. Ou je ne m'en souviens pas pour le moment. Beaucoup de choses sont abordées, de façon sensée et avec une certaine sagesse, même si la fin est un peu facile.

Bonjour à vous !

J'avais hâte de lire ce 2ème tome pour mieux comprendre Gordo et TJ KLUNE a réussi à me faire encore plus aimer ce personnage.

Malgré quelques légères longueurs durant ma lecture, j'ai passé de supers moments de lecture.

En effet, Gordo et Mark ont été au même point pendant un bon moment mais grâce à la plume de TJ KLUNE, ce tome 2 a su me captiver du début jusqu'à la fin, me faire rire aux éclats, me mettre en colère ...

On a pu savoir ce qui c'est passé dans le tome 1 du point de vue de Gordo ce qui a été très intéressant. On a eu la suite du tome 1 et même si je me suis doutée de notamment une information, le roman a été riche en intrigues.

J'ai vraiment hâte de lire la suite !

Si vous n'avais encore lu cette saga, je vous invite fortement à vous lancer !

Je suis ravie que le cinquième tome des Contes de Verania soit enfin sorti. Retrouver Sam et ses amis est toujours un plaisir. Une fois le monde sauvé, l'histoire continue avec toutes les séquelles et traumatismes qui vont avec, et j'aime beaucoup les histoires qui parlent de "l'après": la reconstruction qui n'est jamais évidente.

Dans la bande, il restait à caser le prince Justin, TJ Klune s'est donc attelé à la tâche. Honnêtement, le livre m'a plu et s'il y a une suite - l'auteur ne laisse filtrer aucune information à ce sujet dans son livre -, je la lirai avec plaisir, contente de retrouver de vieux compagnons mais... mes émotions ont moins fait le Grand Huit cette fois-ci qu'avec les tomes précédents. Que voulez-vous, TJ Klune avait placé la barre assez haut dans les quatre premiers.

T. J. Klune est un auteur qui m'a toujours fait passer par mille émotions, c'est un des rares à m'avoir fait pleurer de rire, il m'a serré le cœur plus d'une fois. Avec lui, j'ai toujours perçu le tragique sous les mots les plus joyeux.

Dans ce livre il arrive au bout d'un processus personnel: après la mort.

Wallace son personnage est pire que Balthazar Picsou dans le rôle de Scrooge-n'ayant pas lu Dickens, j'ai les classiques que je peux-. Il meurt d'une crise cardiaque, personne ne le regrette à son grand choc - honnêtement, même le lecteur n'est pas surpris. Un type plutôt détestable, donc. Mais ce qui nous intéresse est ce qui lui arrive après, dans les quelques jours après son enterrement, avec les rencontres qu'il fait.

J'ai trouvé cet imaginaire intéressant. Je suis plus dubitative sur la transformation de Wallace en un type bien finalement. Ce n'est pas le meilleur de Klune en ce qui me concerne, il s'est assagi depuis qu'il a changé d'éditeur, mais son talent reste intact et, après tout, heureusement qu'un auteur puisse évoluer et avancer dans sa vie et dans son oeuvre.

Fantastique ! Lu en parallèle avec une copine et nous sommes toutes les deux conquises. A-do-ra-ble. Craquant à souhaits ;) Je manque de mots pour décrire ce petit trésor ciselé où chaque mot compte et chaque trait touche son but. Lucifer, pardon... Lucy, on s'est bien marré toutes les deux en se textant ses répliques. Je suis prête à l'adopter ! Et même si l'histoire d'amour entre Linus et Arthur est évidente dès le départ, on fond en suivant les hésitations maladroites de Linus, c'est juste délicieux. Et on vibre avec lui quand il défend les enfants magiques. Ma copine a tiqué sur quelques coquilles, moi ca ne m'a pas dérangé tellement l'histoire est prenante.

Un livre étonnant et vraiment touchant …





Linus Baker, mène une vie routinière, et son livre de chevet c'est l'énorme manuel des règlements qui régissent le Ministère de la Jeunesse Magique où il travaille depuis dix-sept ans. Depuis longtemps il a renoncé à une vie meilleure et ses seules particularités notables sont l'amour qu'il porte à la musique vintage et sa relation avec le chat caractériel qui s'est invité chez lui alors qu'il n'était qu'un chaton.

Le jour où il est convoqué par les Cadres Extrêmement Supérieurs qui l'ont remarqué pour la qualité de ses rapports ainsi que la distance et l'objectivité qu'il manifeste en toutes circonstances, sa vie pourrait bien être bouleversée par l'enquête qui relève du secret qu'ils lui confient …





Le livre débute dans une atmosphère digne d'un "1984" revu à la façon des contes du XIXème siècle où la cruauté n'est jamais loin de la surface pour peu qu'on gratte légèrement. Une ville grise où la pluie ne cesse jamais, un bureau exigu, une supérieure caricaturale, un ministère mystérieux, tout est au menu pour camper une société où la norme est la règle. L'arrivée dans l'orphelinat sur l'île n'arrange rien, alors que la plage et le soleil dont Linus a rêvé toute sa vie sont bien au rendez-vous, les particularités des six enfants très spéciaux vont de prime abord bouleverser notre agent - mais très vite les efforts pour rester froid, objectif et distant de notre héros vont devenir vains alors qu'il baisse ses barrières et se laisse toucher par les enfants et le directeur des lieux. L'important n'est-il pas d'offrir aux enfants la sécurité, la compréhension et l'amour, et de leur permettre d'améliorer leur confiance en eux malgré leurs différences et les sévices qu'ils ont subits ?





Pour peu qu'on se laisse immerger dans le récit, il est certain que nous sommes face à un livre qui réchauffe le cœur, les personnages sont très attachants et l'auteur manie avec dextérité les décalages et l'humour, qui en nous déstabilisant incitent à l'approfondissement, l'action est basée aux États Unis, mais avec une ambiance très British, les enfants si attendrissants ont aussi des côtés monstrueux évidents, le conte devient vite une source de surprises et à travers ses excès en profite pour traiter d'une manière subtile et légère de l'acceptation des différences en ne jugeant pas autrui sur les apparences, une réussite !

J'ai pris garde à ne rien dévoiler de l'intrigue, une manière de vous inciter à vous faire votre propre opinion en dévorant ce livre …







PS : Tj Klune a changé d'éditeur il y a deux ans aux U.S.A, il semble que cela s'est répercuté en France où ce premier livre édité par De Saxus, un éditeur plus généraliste que le précédent, offrira vraisemblablement une meilleure dissémination des livres de cet auteur, qui contrairement à beaucoup d'autres n'hésite pas à aborder de nombreux genres différents. Il faut aussi noter que la couverture originale, qu'on peut retrouver sous la jaquette de l'édition française reliée me semble mieux coller au livre.

Pourquoi lire ce livre? Parce qu'il est drôle, crû et drôle.

Cette histoire d'amour entre un homme pas terrible physiquement- c'est lui le narrateur, donc il a tendance à se déprécier - et un canon pas très fut' fut' est à pleurer de rire, ce qui m'est vraiment arrivé lorsque Paul essaie de convaincre ce qu'il croit être une infirmière de le laisser aller voir Vince à l'hôpital. Comme Bear de la série L'Ours, la Loutre et le Moustique, ce personnage parle avant de réfléchir et nous emmène très très loin. Trop loin aussi parfois.

La rencontre entre Paul et un hippopotame est à conserver dans les annales du rire.

Un livre pour lutter contre la morosité.

J'ai adoré ce roman "doudou", on y explore des thèmes tels que la tolérance, la famille, l’amour et l’acceptation. Une histoire douce amère remplie d'espoir. Tout ça dans la douceur avec la magnifique plume de l'auteur.

L'histoire est fluide, l’atmosphère est envoûtante et l’intrigue est captivante.

Les détails des lieux permettent une immersion totale sur cette île sauvage et paradisiaque. Nous aussi on aimerait y être, découvrir cette mer ceruleenne, le jardin magnifique de Talia ou encore la forêt de Phee...

Les personnages sont très attachants, l'histoire de ses 6 enfants malmenés par la vie et les humains à cause de leurs différences ne peut pas laisser indifférent. Surtout que malgré les épreuves de la vie, ces 6 bambins ont une résilience, une affection et un bonheur de vivre sans pareil . Même les autres personnages sont touchants, des personnalités différentes, plein de franchise, d'imaginations et d'humour aussi.

Arthur par son histoire et son amour pour les enfants, son éducation et sa protection m'ont beaucoup émue.

J'ai beaucoup aimé la métamorphose de Linus, cet être qui paraissait si "carré", vivant dans un monde morose, découvre le soleil et le lâcher prise, pour pouvoir enfin être lui-même...

Même la petite romance (très) slow burn m'a touchée par sa douceur.

Si vous cherchez une très belle lecture avec de jolis messages ce roman est fait pour vous.

Coucou à tous !

Je dois vous avouer que je n'ai pas compris l'ensemble du début de ce tome sur le moment et puis les choses se sont mises en place petit à petit.

Pour ce tome là, je ne sais pas quoi en penser, si j'aurais aimé un début comme celui du tome 2 ou si finalement il est très bien comme ça ...

Ce tome est loin d'être mon préféré mais il reste agréable à lire, intéressant malgré tout (honnêtement j'avais peur qu'on ne sache pas tout sur la suite du tome 2) et on a envie de connaître la suite !

Ce clan fera définitivement partie de mes personnages chouchous avec Charley et la Confrérie de la Dague Noire.

Franchement, je recommande cette saga mais surtout, prenez tous les tomes car si vous aimez, vous aurez normalement envie de lire la suite ! En tout cas c'est mon cas et si mes prochaines lectures ne me conviennent pas, je crois que vous aurez ma critique très prochainement !

Coup de coeur

A tel point que je viens d’entamer une relecture VO sur Audible 😳

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Suffit de savoir qu’un agent chargé d’aller vérifier que les orphelinats traitent bien les enfants est envoyé en mission dans un orphelinat plus compliqué, retiré sur une île. Sa vie si terne et routinière va en être bouleversée.

Lire le reste du résumé est trop révélateur à mon avis, il gâche des découvertes.

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J’ai succombé à la hype et acheté ce roman en ayant peur, comme ça arrive souvent, de ne pas retrouver la qualité annoncée par les autres lecteurs.

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Que nenni, il fut dévoré en deux jours. Un vrai bonheur. De l’émotion, du rire et une plume fluide mais aussi très fine et juste, et très belle.

Et l’auteur envoi un réel message derrière, que je vous laisse découvrir.

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Je me suis immédiatement attachée aux personnages principaux (3 adultes et 6 enfants). Je les ai même adorés, chacun avec son univers.

Mais je dois avouer que Chauncey a ma préférence…même si les autres ne sont vraiment pas loin derrière.

Je n’avais pas envie de les quitter, j’en voulais plus.

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Foncez !

La maison au milieu de la mer céruléenne est un petit roman de fantasy très plaisant baigné dans la tolérance et l'ouverture d'esprit, un one-shot militant qui rappellera des œuvres comme Edward aux mains d'argents ou la fameuse série de romans Miss Peregrine et les enfants particuliers de Ramson Riggs de par son ode à la différence...



Ecrivain à cœur de défendre la cause LGBTQ, TJ Klune dresse ici une fantasy colorée, militante , un peu trop sucré sur les bords mais qui s'avère bien divertissante avec son lot de bons sentiments et son petit groupe de personnages aussi singuliers qu'attachants.



Nous suivons le quotidien de Linus Baker, un employé solitaire du Ministère de la Jeunesse Magique dont le travail se résume à surveiller les bonnes conditions des orphelinats magiques et à rédiger des rapports détailles et en toute objectivité. L'empathie naturelle de Linus lui permet de se voir confier (un peu contre son gré) une mission de la plus haute importance par les Cadres Extrêmement supérieurs : dresser un rapport sur un foyer dans lequel réside six jeunes êtres magiques mises au ban de la société en raison de leur supposé dangerosité. Ces six jeunes sont sous la tutelle de l'énigmatique Parnassius.

Linus Baker n'est pas au bout de ses surprises avec cette mission qui le métamorphosera complètement.





Pour plaisant qu'il soit, j'ai trouvé que La Maison au milieu de la mer céruléenne démarre sur des bases un peu fragiles. Nous retrouvons un schéma typiquement burtonien entre opposition d'une "normalité ", univers grisâtre de la bureaucratie et cette maison pleine de couleurs, si gay, pleine de vie dans laquelle Linus Baker va trouver l'amour et aussi son épanouissement malgré un groupe de villageois bien véner qui ne supporte pas la présence de ces orphelins magiques. Un schéma de déjà-vu qui m'a fait un peu grincer les dents par cette opposition presque caricaturale de deux mondes. De plus, cet univers de fantasy n'est pas des plus étoffé. Les environnements bureaucrates sont forcément atones excepté cette belle île de Marsyas pleine de couleur, planté au milieu d'une belle mer bleue... Derrière ces descriptions, on devine aisément l'engagement de l'écrivain. Ce qui n'est pas un mal en soi, bien au contraire ! L'auteur n'hésite pas à utiliser l'allégorie de la fantasy pour mettre en valeur ses idées et construire des personnages jugés marginaux , bien sûr , il y un écho à l'intolérance de notre temps. Et cela donne un ton assez savoureux à ce roman qui utilise directement l'allégorie de la fantasy, de l'imaginaire en général. C'est un bon roman de fantasy car l'auteur en s'approprie l'imaginaire pour en délivrer un conte social qui fait du bien à lire même si il a parfois un peu trop le goût d'un bonbon sucré, acidulé, sirupeux...



Ce qui me dérange un peu plus, c'est que cet engagement est quelquefois un peu trop flagrant ou mal mis en scène ce qui ramollit le pur enchantement de la fantasy.

Ainsi, nous avons droit à de grands discours sur la tolérance et le bien-être des enfants à tel point que j'ai cru entendre une petite douce musique au piano le discours final de Linus aux Cadres, nous avons droit à un portrait figé et guère nuancé de la bureaucratié déjà vu et revue mille fois. Et enfin, dans l'ensemble, La maison au milieu de la mer céruléenne ne propose pas de réelles magies. Ce sont uniquement ses personnages qui sont magiques comme si TJ Klune avait surtout voulu recentrer sa magie "militante" sur ses personnages Ce sont cependant des êtres vite attachants et adorables mais leur différence est tournée de telle manière qu'elle fait un peu grossièrement écho à l'actualité et de manière un peu sirupeuse avec les beaux discours, l'harmonie de la famille et la figure habituelle des "normaux intolérants". J'ai préféré aux beaux discours quelques moments de poésie comme la traversée de la mer sur une route de sel ou des moments de joies comme les simples aventures de nos orphelins.

Je me répète mais les personnages sont encore une fois très sympathiques avec une bonne synergie entre eux et menés par des dialogues qui font mouche. L'humour noir de Lucy est très sympathique. Cela dit, on sent que l'auteur ne cherche jamais à les égratigner ce qui fait que la fantasy tombe un petit peu dans trop d'innocence sans présenter de grandes menaces.





En somme, La Maison au milieu de la mer céruléenne est un roman de fantasy young adult tout à fait plaisant colorée et tendre malgré une magie qui est un peu étouffée et des beaux discours de tolérance au parfum sirupeux de déjà-vu.

Que vous dire de ce roman La maison au milieu de la mer céruléenne de T.J. Klune ?



Une semaine que j'ai refermé ce livre, et pourtant pas un jour sans que je ne pense à Linus, Arthur, les enfants et Zoé.



Une semaine que je me demande comment rédiger mon retour de lecture.



Je n'ai tellement pas envie de vous spoiler que je préfère ne rien dire de l'histoire, j'ai entamé cette lecture sans avoir lu le moindre retour.



Si vous souhaitez lire ce livre, je vous invite à faire de même.



Dès les premiers mots, dès les premières pages, c'était comme me pelotonner dans un cocon de douceur.



C'est une lecture doudou par excellence, on se sent tellement bien dans cette histoire, que j'ai ralenti volontairement mon rythme pour savourer le plus possible ma lecture.



Des personnages aux situations, tout est parfait et tout coule de source, on préssent en lisant où l'auteur va nous amener, et on l'y suit avec plaisir.



L'intrigue dans ses grandes lignes n'apporte pas de grandes surprise, mais ce n'est pas dérangeant, l'essentiel est ailleurs.



L'essentiel c'est cette galerie de personnages, tous plus attachants les uns que les autres, l'essentiel c'est cet univers plein de fantaisie qui nous est si bien décrit, l'essentiel c'est la réflexion et les valeurs mises en avant par l'histoire : la tolérance, le respect, l'ouverture d'esprit, la bienveillance. Toutes ses valeurs qui rendent la vie tellement plus douce.



J'ai refermé ce livre en me disant que c'est ce genre de lecture que je veux partager avec mes filles, et je vais le poser sur le dessus la PAL de ma grande.



C'est aussi un roman que je relirais avec plaisir, je le sais déjà et ils ne sont pas nombreux, croyez moi !



Du coup, je suis bien contente d'avoir la version collector que je trouve si belle.

Un de mes auteurs préférés : on est loin de l'humour cru et déjanté de Dis-moi que c'est réel ou Les contes de Verania. Mais Klune est plein de tendresse envers ses personnages. Linus est un fonctionnaire d'une quarantaine d'années qui croit sincèrement en ce qu'il fait et qui va devoir prendre du recul par rapport à la société dans laquelle il vit. le livre est axé sur l'éveil de Linus qui rencontre des enfants extraordinaires - encore plus que ceux dont il a la charge- et qui s'accroche à son credo : tout enfant quel qu'il soit a droit à une enfance heureuse.

Une très belle lecture qui devrait dépasser les aficionados de MM.

Je remercie Manon de m'avoir donner l'opportunité de lire ce roman et c'est avec plaisir que je me suis plongée dans cette nouvelle lecture personnelle.

On m'avais informer que ce roman était addictif, mais je ne savais pas a quel point il l'étais, une fois ouvert.... on ne le lâche plus et on vie avec eux toute l'histoire.



Parler un a un de tous les personnage serait faisable, mais ça ne leur rendrais pas justice. On passe par tellement de sentiments durant plus de 300 pages, qu'essayer de retranscrire chaque sensation, ferais de cette chronique un véritable roman et une pâle copie du livre en ressortirais.

Chaque personne ici est unique et on passe du rire aux larmes, de l'énervement a la joie, de la frustration au pure plaisir et de l'étonnement a l'émerveillement en un quart de seconde et c'est ce que j'aime dans la romance M/M. On s'identifie aux héros, on a vécue tous au moins une fois tout ce qui fait des d'eux des gens attachants.



Laissez vous tenter par ce roman. Si c'est votre première lecture du genre, je vous la conseille. Les scènes de sexe sont effleurer, j'ai énormément ris grâce a Moustique (Tyson), un gamin de 9 ans qui est un petit Larousse sur pieds a lui tout seul.

J'ai pleurer avec Anna, une fille au coeur d'or malgré tout ce qui lui arrive.

J'ai baver de Olivier (Otter), sa description et ce qu'il est, nous donne envie de le faire devenir hétéro juste pour profité de lui. ^^

Je me suis accrocher au convictions et a l'amitié de Creed et j'ai pleurer avec Bear (Derrick) et j'ai espérer qu'il se trouve.



Un pure roman sentimentale, dévoré en 3 jours a peine.

À force de voir passer ce livre dans le Pumpkin Autumn Challenge, avec cette belle couverture et ces avis élogieux, j'ai eu envie de le tenter. C'est de la jeunesse, entre fantasy et fantastique, je ne savais pas du tout de quoi il retournait. Bien m'en a pris, ce fut une belle surprise !





Je ne vous cache pas que le début ne m'a pas direct emballée. Il ne se passe pas grand-chose et je suis demandée où je mettais les pieds. Et puis au fil des pages, je me suis sentie de mieux en mieux dans cette lecture, émerveillée, comme enveloppée dans un cocon douillet.





Il n'y a pas d'action dans ce livre, mais on y aborde des thèmes forts comme la solitude, l'amitié, l'amour, la différence, les relations LGBTQIA+, l'acceptation de l'autre. L'auteur n'est pas moralisateur, il nous raconte son histoire en toute simplicité, avec beaucoup d'humour et de poésie.





Les personnages sont la force de ce livre. Ils sont hauts en couleur, drôles, sincères et terriblement attachants. Linus, un homme gris et rigide qui va beaucoup évoluer ; Arthur est la bienveillance incarnée et les enfants avec leurs personnalités si singulières.



Ils m'ont attendri, les enfants, comme les adultes. Ils m'ont fait rire et m'ont émue. Des personnages qui laissent un vide une fois le livre refermé. Comme si tu quittais des amis.





Je suis bien loin de ma zone de confort et pourtant, ça a été un joli coup de coeur. 



Ce livre, c'est comme un petit bonbon que l'on laisse fondre sur la langue et qui nous apaise. C'est un chouïa sirupeux, un peu cliché aussi, ça dégouline de bons sentiments, mais qu'importe. C'est doux, tendre, bienveillant et réconfortant. Un livre à lire parce qu'il fait chaud au coeur et surtout, pour les beaux messages et les émotions qu'il véhicule. 



Une ode à la différence et à la tolérance que je vous recommande. Un univers fascinant ! Et par les temps qui courent, j'aurai bien envie de partir moi aussi dans ce monde magique.
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