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Critiques de T. J. Klune (735)
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La maison au milieu de la mer céruléenne

Ce roman prône la tolérance et l'acceptation de la meilleure des manières.

Dans ce livre nous allons suivre Linus, un homme chargé d'inspecter les orphelinats. Sauf qu'un jour, il se voit confier une mission de la plus haute importance et celle-ci va bouleverser sa vie.

Il va être envoyé dans un orphelinat au milieu de la mer ceruléenne et celui-ci est très différent des autres.

Nous allons y rencontrer toute sorte d'enfant. Allant de l'antéchrist à un genre de gelée verte. Ça peut paraître bizarre à première vue mais ce sont bel et bien des enfants. Chacun à un rêve et des passions.

À travers son séjour, Linus va en apprendre énormément sur son métier et remettre totalement en question sa manière de voir les choses.

Les personnages sont extrêmement attachants, les enfants sont trop mignons et vraiment très drôles ce qui apporte beaucoup de lumière à l'histoire.

Néanmoins, celle-ci va au-delà du divertissement car elle met en avant une réelle morale.

Face à cet orphelinat, nous allons voir les à priori qu'ont les "gens normaux" vis-à-vis de ces enfants "pas comme les autres". Nous allons voir la méchanceté et la haine que peuvent avoir ces personnes face à des enfants qui n'ont rien demandé et qui souhaitent juste vivre en faisant ce qu'ils aiment.

Ce fait là ce reporte très bien à notre vie quotidienne. Dans ce livre, la communauté LGBTQIA+ est très bien mise en avant et je pense que c'est pour dénoncer la haine envers cette communauté que l'auteur à écrit ce livre.

Je le recommande vivement à un maximum de personnes. Ce n'est pas un livre plein d'actions et de rebondissements mais c'est un livre plein d'amour sans aucun doute.

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Sous la porte qui chuchote

❤ COUP DE CŒUR ♥

L’écriture, l’histoire, les personnages.. le mélange qui fait que ce livre est un coup de cœur! L’auteur nous parle de la mort tel que nous ne l’imagination pas forcément. J’ai beaucoup aimé ce livre

mais son précédent roman «  la maison au milieu de la mer céruléenne » reste tout de même le meilleur ☺





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Sous la porte qui chuchote

🪦☕️🚪💗✨



Sous la porte qui chuchote - T.J Klune - Desaxus - 08/12/2022 - 468 pages - 24,90€



🎶 Vor i Vaglaskogi - KALEO 🎶



3/5 ⭐️⭐️⭐️



Hey !



« Il y a de la beauté dans la mort. Elle nous échappe, parce que nous ne voulons pas la voir. Et c'est logique. Pourquoi aurions-nous envie de prêter attention à quelque chose qui nous ravira à tout ce que nous connaissons ? » 🖤✨🫖



Je vous retrouve pour un livre où j’avais énormément d’attentes, et malheureusement j’ai eu une légère déception, 😩 attention le livre est magnifique, les messages transmis incroyablement touchants fin bref c’est vraiment seulement une question de goût, donc je vais faire par points +/- 💗



Points positifs : ✅

- THE Good point c’est vraiment le fait que ce livre est supra réconfortant, il y a bcp d’émotions, on a l’impression de recevoir un immence câlin malgré les thèmes qui ne sont pas simples : mort, deuil ( + ⚠️ TW : suicide ), acceptation ✨

- mais alors THE POINT c’est vraiment le fait que grâce à ce livre, on passe par toutes les étapes du deuil avec notre protagoniste. Et si l’on pense finir sur une simple acceptation, la fin surprend et laisse envisager une suite encore plus poétique et symbolique ✍️

- La douceur du worldbuilding et de la plume, incroyablement poétique ! 💐

- des personnages singuliers et attachants, une found-family trope, une attirance M/M LGBTQ+ et un message : ne pas avoir peur. Ne pas avoir peur de ce qui vient après, ne pas avoir peur de faire des choix. 🌈

- Des plots twists de dingue je dois tout de même l’avouer, tout s’enchaîne bien, ça commence vite et les petites touches d’humour rendent le livre supra addictif ! 💃



Points négatifs : ❌

- Pour moi, le dernier paragraphe du résumé n’est respecté que partiellement, l’histoire s’arrête bien avant donc perso je m’attendais à un voyage dans les « limbes » bah non j’imagine qu’il faudra attendre le tome 2 ( si il y en a un ? ) 🧐

- Au final, je ne me suis pas vraiment ennuyée, mais j’ai trouvé ça assez long pour pas grand chose, ce n’est clairement pas un livre à lire pour l’action 🤔

- J’ai trouvé ça trop « bon enfant », c’est sûr que c’est un livre à effet « câlin » mais les messages ne m’ont pas touchés plus que ça et c’était trop simple 🥺

- Manque d’originalité à mes yeux dans l’idée de base, c’est du vu et revu l’homme directeur de son entreprise qui est vraiment un connard tout ça pour finir par être gentil à la fin … à l’aide c’est tellement … facile comme choix je trouve, genre on vit tous dans un monde de bisounours, si ça avait été plus développé psychologiquement pourquoi pas mais nope 😫

- J’aurais aimé que la romance soit un petit peu plus poussée mais en même temps je comprends 🤗



Peut-être qu’il faudrait que je le relise un jour où j’aurais besoin d’un livre touchant comme celui-ci l’est parce que franchement je vous le recommande de ouf ! 😅💗🌷



Du même auteur :

- La maison au milieu de la mer céruléenne

- Murmures



Et vous, qu’en avez-vous pensé ?



💗🌸✨



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Le clan Bennett, tome 1 : Le chant du Loup

Une lecture que je n'aurai pas réussi à finir alors que tout le monde la recommande et que j'adore cet auteur...



Je me suis ennuyée, mais alors en ennuyée... Impossible de ne pas faire la comparaison avec Twilight. Impossible de m'attacher ou m'intéresser un tant soit peu aux personnages.

L'histoire est bien, mais que de longueurs pour finalement peu de résultats.



Évidemment ce n'est que mon avis. Peut-être que j'en attendais justement beaucoup trop car La maison au milieu de la mer céruléene, de T.J Klune aussi, est un de mes livres favoris... Sûrement aussi que je l'aurai davantage apprécié il y a quelques années, lors de cette grande mode vampires et garous. Là je suis clairement passée à côté, et si tout n'est pas a jeter je n'arrive pas à aller au bout.

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La maison au milieu de la mer céruléenne

Ce livre a pas mal circulé sur les réseaux sociaux et j'ai adoré le titre et la couverture.



Je ne connaissais pas du tout TJ Klune donc c'était une découverte pour moi.



J'ai apprécié cette histoire même si je ne la relirai jamais.



Au début du livre le personnage principal est si couard et conformiste que j'avais envie de le secouer mais il prend de plus en plus confiance en lui au fil de l'histoire.



J'ai adoré les enfants, ils ont tous leur caractère unique qui les rend tous adorable mais j'ai une petite préférence pour Talia.



Certaines scènes sont difficiles car pleines de peur et de haine contre les personnes différentes, ce que dénonce l'autre. C'est encore plus pénible quand les victimes sont des enfants.



Certaines scènes sont vraiment adorables et me laisse une bonne impression de ce livre qui était une lecture facile et divertissante.
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La maison au milieu de la mer céruléenne

Que dire de La maison au milieu de la mer céruléenne de T.J. Klune ? J’en avais énormément entendu parlé et seule la perspective de lire un énième roman aux éditions de Saxus qui m’ont terriblement déçue avec des traductions toutes plus atroces les unes que les autres ( dernièrement, j’ai tenté « La duperie de Guenièvre » : une véritable honte d’avoir publié ce texte tel quel bourré de contre-sens à peine compréhensible) me faisait reculer. Finalement, je me suis lancée et même si quelques passages ne sont pas excellents (on sent l’approximation dans la traduction deux ou trois fois), le reste est correct. Il faut dire aussi que le style original auquel j’ai jeté un coup d’oeil est assez simple.

De quoi parle l’histoire ? De magie et d’êtres magiques. Mais surtout, d’acceptation de la différence. Et ce dernier point mérite d’être salué.

L’intrigue n’est pas très compliquée : Linus Baker est un employé du MJM? le Ministère de la Jeunesse Magique ( ici, on sent un peu l’influence Harry Potter et ce ne sera pas la seule). Sa mission ? Visiter les orphelinats qui sont remplis de jeunes êtres magiques (tiens, tiens) afin de s’assurer que tout s’y déroule dans de bonnes conditions. Linus est impartial, un peu terne. En gros, il ne fait pas de vagues. Sa vie personnelle est de la même eau : il vit seul avec Calliope, une chatte bougonne (on dirait assez cette chanson d’Aznavour, et d’ailleurs…mais chut). Un jour, Linus se voit confier une mission secrète par les Cadres Extrêmement Supérieurs du MJM (il y a là le début d’une petite caricature de la bureaucratie et de la hiérarchie qui est esquissée mais peu développée, hélas).

Il doit donc se rendre sur une île et faire un rapport sur un orphelinat très spécial. On lui confie les dossiers d’enfants étranges : Lucy (pour…Lucifer !) a la particularité d’être le fils du diable, Talia est une petite fille gnome, Sal, un petit garçon métamorphe, Phee, un esprit de la nature, Théodore, une vouivre, et ainsi de suite…

Linus Baker va devoir sortir de sa zone de confort plus qu’il ne s’imagine. Il est accueilli par Zoe, une adulte, l’esprit de la nature de l’île, puis par le charismatique directeur de l’orphelinat sur lequel il doit aussi enquêter : Arthur Parnassus. (suite sur le blog)
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La maison au milieu de la mer céruléenne

Alors oui, je sais, tout le monde a déjà donné son avis sur ce superbe roman ! Mais voilà, j’avais aussi envie d’en parler, même si je ne vais pas du tout être originale… Comme (presque) tous ceux qui l’ont lu, j’ai eu un coup de cœur galactique pour cette magnifique histoire qui parle si bien de tolérance ! Après avoir fini le livre, j’ai mis quelques semaines à m’en remettre, c’était tellement bien que je n’arrivais pas à lire autre chose. Honnêtement, mon avis pourrait s’arrêter à « c’est juste trop bien » tellement j’ai tout aimé dans ce livre ! Mais bon, on va essayer d’être un peu plus constructif…



Je ne connaissais pas du tout cet auteur que je découvre avec ce livre, alors qu’il a déjà une bibliographie conséquente ! La Maison au milieu de la mer céruléenne est un de ses plus gros succès, le livre a obtenu pas mal de prix et autant dire qu’il le mérite amplement ! Il s’agit d’un one-shot, et s’il y a bien quelque chose à remarquer immédiatement, c’est la superbe illustration de couverture ! Pour ceux qui, comme moi, ont la version reliée, il y a deux illustrations, une sur la jaquette et une autre sur le relié. Dans tous les cas, elles sont sublimes et mettent en avant un manoir un peu étrange et solitaire au bout d’une falaise impossible et entourée de bleu.



Linus Baker est donc un employé du Ministère de la jeunesse magique et un quarantenaire plutôt fade à la vie sociale inexistante. Son travail consiste à évaluer les orphelinats hébergeant des enfants particuliers et décider de leur avenir. Jusqu’à présent, sa vie s’est toujours déroulée convenablement à partir du moment où il suit les règles établies par la hiérarchie, pas besoin de réfléchir plus que cela. Or, un jour, ses patrons, les Cadres extrêmement supérieurs, lui confient une mission importante. Il doit évaluer l’orphelinat de Marsyas et son directeur, Arthur Parnassus, qui hébergent des enfants dangereux. Linus va voir sa vie totalement bouleversée à mesure qu’il va apprendre à connaître les enfants de cet orphelinat, perdu sur une île au milieu de l’océan. Et peut-être qu’en mettant sa rigidité de côté, il va ouvrir les yeux et finalement apprendre à s’épanouir au contact de ces enfants.



La première chose qui m’a frappée, c’est le style de l’auteur. J’ai trouvé que ça faisait très anglais, notamment l’humour. Et impossible de ne pas penser à Kafka quand on suit Linus dans son travail. Il y a toute une absurdité du monde du travail, une parodie d’entreprise qui se montre jusqu’aux noms (Cadres extrêmement supérieurs). On peut aussi parler d’aliénation, terme souvent employé pour qualifier la déshumanisation au travail du temps du modèle du fordisme, dont beaucoup d’éléments de notre récit y font penser. De quoi comprendre immédiatement que le système n’a aucun sens. D’ailleurs, parmi tous les employés que l’on rencontre, seul Linus paraît humain avec sa photo de plage et son embonpoint, des éléments qui nous paraissent sans intérêt mais qui ici marquent immédiatement sa différence avec les autres. Aussi, on est ici dans une critique de la différence, elle gêne l'ordre, aussi insignifiante soit-elle. Et Linus, en tant qu’employé aliéné, n’est pas là pour réfléchir mais pour appliquer les règles.



Ainsi, le choc sera grand pour lui quand il va être envoyé sur l’île ! Surtout que les enfants qu’il va rencontrer n’ont rien à voir avec ce qu’il a connu jusqu’à présent. Il y a Talia, la gnome, Phee, l’esprit de la forêt, Sal qui se transforme en chien quand il a peur, le tentaculaire Chauncey, Théodore la vouivre et bien-sûr l’antéchrist Lucy (pour Lucifer). Ce dernier est d’ailleurs mon personnage préféré ! Âgé de 6 ans, il n’hésite pas à menacer tout le monde de morts des plus affreuses, ou bien à prédire la fin du monde, le tout entre deux bouchées de cookies. Rien que pour lui, il faut lire ce livre !



Ces enfants sont élevés par Arthur Parnassus, le directeur de l’orphelinat, un homme très mystérieux, mais aussi élégant, cultivé et intelligent. Si Linus ne l’aime pas au début, dès sa première rencontre il sera charmé et luttera pour ne pas ressentir d’affection alors même que le directeur lui plaît vraiment, ce qui lui arrive pour la première fois de sa vie. La romance est vraiment légère et en arrière-plan. Il y a beaucoup de pudeur entre eux, aussi le moindre geste, comme une caresse ou une danse, paraît très forte en émotion.



Le livre aborde des thèmes forts, comme l’isolement, la maltraitance éducative, la différence, le rejet, la grossophobie, la xénophobie, le harcèlement… Tout autant de sujets qui permettent à l’auteur de montrer qu’avec de la bienveillance, du respect et de l’amour, même le pire d’entre tous, l’antéchrist, peut devenir quelqu’un de bien. Un beau discours positif qui prône la tolérance, sans montrer non plus que c’est facile. Les efforts sont faits des deux côtés, et parfois c’est difficile ou ça ne marche pas, mais tant qu’on ne cède pas à la facilité il y a du succès.



La Maison au milieu de la mer céruléenne est donc un des plus gros coups de cœur que j’ai eu cette année ! Et je suis si fan de Lucy, vraiment, il m’a tellement émue et en même temps j’ai si ri ! C’était trop bien, j’aurais aimé que ça ne se termine pas. Du coup, je vais aller éplucher la bibliographie de l’auteur pour voir si d’autres titres de cette qualité me tentent😉.


Lien : https://lesaffamesdelecture...
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La maison au milieu de la mer céruléenne

Voici ce qu'on appelle une lecture "doudou", on se sent si bien dans l'univers de T.J. Klune qu'on a envie d'y rester. Le roman aborde avec un humour digne de la saga Harry Potter des thèmes très actuels comme la tolérance, la différence ou encore les aléas de la bureaucratie. Les dialogues sont bien écrits, mais si certaines phrases à visée philosophique peuvent être jugées simpliste, elles sont bienveillantes et nous obligent à focaliser sur le côté positif de la vie. Le principal point fort de cette oeuvre ce sont les personnages, tous plus attachants les uns que les autres.

Une jolie pépite qui restera longtemps dans mon coeur !
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La maison au milieu de la mer céruléenne

Linus Baker est consciencieux dans son travail, il fait des rapports de qualité et pense aider les enfants sans vraiment se préoccuper de ce qu’ils deviennent après avoir été visiter leur orphelinat. Et puis un jour, on lui donne une étrange mission, de se rendre sur une île pour faire un rapport sur six enfants considérés comme très dangereux. Lui qui a toujours vécu en suivant son livre REGLES ET REGLEMENTS, survivant dans une ville grise, il va commencer à s’ouvrir plus qu’il ne le pensait après cette étrange mission.



L’histoire est hyper originale et super bien écrite. On est dans la tête de Linus, on voit bien comme il se protège du monde, en essayant d’y penser le moins possible. Il est attachant à sa façon et on sent en lui quelque chose qui demande à s’épanouir mais qu’il réfrène. Et puis, il découvre la mer, et tout va changer petit à petit pour lui. Sa rencontre avec les enfants est épiques, ils sont drôles et farfelues, peut-être un peu menaçant également, et Linus n’est pas au bout de ses surprises avec eux. Ni avec Zoé, l’esprit de l’île et Arthur Parnassus le directeur de l’établissement.



J’ai adoré comment tout doucement les relations évoluent entre Linus et les enfants mais également entre Linus et Arthur. J’ai adoré tous les mômes, Lucy me faisait vraiment trop rire à sortir des phrases horribles tout en se comportant comme un enfant, Sal était trop touchant et mignon, j’ai aimé comment il se bat contre sa peur, Thalia est aussi très rigolote à vouloir enterrer quelqu’un dans son jardin, j’ai aimé Phee et combien elle est proche de la nature, Chauncey et son rêve d’être groom m’a fait rire et donné chaud au coeur, et Théodore et son trésor également. J’ai vraiment aimé ces personnages haut en couleur et tous différents. Et bien sûr j’ai aussi adoré Arthur, à la fois touchant et mystérieux, qui ferait n’importe quoi pour ces enfants.



C’était beau, drôle et touchant. On comprends bien avant Linus que quelque chose cloche à la MJM et dans le monde tout court. Plus on approche de la fin et plus j’étais touchée et j’ai versé ma petite larme d’émotion tellement c’était doux et beau. Une magnifique lecture, une très belle évolution de Linus et des enfants et d’Arthur et Zoé. C’était chouette !
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La maison au milieu de la mer céruléenne

Depuis des années, les enfants qui ont des « pouvoirs » sont recensés et logés dans des écoles spécifiques si les parents veulent les garder mais plus fréquemment dans des orphelinats. Linus chérit l’idée de participer au bien êtres de ces enfants particuliers grâce à son emploi de contrôleur des orphelinats. Studieux, consciencieux et avec une vie bien réglée mais sans aucune fantasy ni réflexion sur le monde, il est le candidat a priori idéal pour aller évaluer un orphelinat perdu sur une ile mais tout ne va pas se passer comme prévu. Ca faisait longtemps que je n’avais pas parlé à mon livre façon gamin devant guignol et c’était un plaisir d’être plongée dans une histoire qui crée ce genre de réaction. C’est un récit tranche de vie, on se concentre sur la vie quotidienne et les relations au sein de cet orphelinat. Il n’y a pas beaucoup d’actions ni trop d’aspects fantastique, tout est dans l’ambiance et l’attachement aux personnages. J’ai adoré le traitement de Linus. Il est intimement persuadé qu’en faisant parfaitement son travail, il aide les enfants. Il ne voit pas du tout ce qui se cache derrière ces « camps » pour personnes spéciales. Sa naïveté associé à sa prise de conscience petit à petit est très intéressante.

Entre le quotidien de ces enfants différents, les réactions de Linus face aux maltraitances, cet espoir d’un monde meilleur où chacun est à sa place sans danger et les adultes protecteurs, tout est là pour avoir une lecture choudoudou.

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La maison au milieu de la mer céruléenne

Linus est un employé lambda du Ministère de la Jeunesse Magique. La quarantaine dégarnie, célibataire bedonnant, sa vie est réglée au millimètre. Il loge seul avec son chat, dans la maison laissée par ses parents sans en avoir changé le décor vieillot. Toujours à l'heure au travail, toujours besogneux, il applique à la lettre depuis 17 ans déjà ce qui est inscrit dans RÈGLES ET RÈGLEMENTS, la bible de son job, véritable pavé qu'il trimballe partout.



J'avoue avoir eu un moment de flou, voire d'angoisse, en découvrant Linus... bon, il faut dire à ma décharge que je sortais du bouillonnant Nevernight de Jay Kristoff publié chez De Saxus également. Mais très vite les choses se bousculent, au grand dam de Linus et à ma plus grande joie ! Il est convoqué dans les étages supérieurs du Ministère pour une entrevue avec les cadres extrêmement supérieurs (une première) et va être envoyé en mission pour observer un orphelinat (comme d'hab), loin sur une île (une première) et pour un mois (au lieu des 2-3 jours habituels, encore une première donc !).



La surprise va être de taille, aussi bien pour lui que pour nous. La découverte de ces "enfants" ayant chacun une particularité euh... très spéciale, voire dangereuse, est vraiment énorme. Je mets des guillemets à enfants car certains ne sont clairement pas humanoïdes, même s'ils sont tous "jeunes". Et je mets des guillemets à jeunes car nous avons une jeune de presque 300 ans, mais dans son espèce on est considéré adulte qu'à partir de 500 ans... Je ne vais ni les nommer, ni les énumérer pour vous laisser ce plaisir intense de la découverte.



La suite de la chronique sur le blog ;)
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La maison au milieu de la mer céruléenne

Attention chronique sans aucun recul ! Je l’écris à chaud même si elle ne sera pas publiée tout de suite. Si vous voulez de l’analytique, du rationnel, ce n’est pas le bon article car j’ai envie de vous raconter comment ce livre a suscité la totale adhésion de mon cœur et de mon esprit.

Je l’avoue, j’ai les tripes nouées, le cœur déchiré et la gorge serrée de cette dernière page tournée. Ce livre était juste beaucoup trop attendrissant.

Page après page, on découvre, on vit avec et on apprend à connaître et surtout à aimer (bon, en vrai, je les ai probablement tous aimés dès leur première apparition) une petite bande haute en couleurs. Linus et Arthur. Talia, Phee, Chauncey, Théodore, Sal, Lucy. Zoe. Ce qu’ils sont est d’abord très réjouissant à lire. Qui ils sont est bouleversant à découvrir.



C’est un livre qui fait chaud au cœur. J’ai lu et relu certains passages pour les vivre encore et encore avec une émotion intacte, voire grandissante. Le pouvoir de mots simples mais agencés avec une telle justesse qu’ils en deviennent magiques. On s’amuse souvent avec les personnages, on sourit. Parfois, on est révoltée, écœurée, encolérée. Il arrive aussi que la tristesse se fasse submersive.

Incroyables, les émotions nées de cette histoire. On a envie d’y croire, de croire que la vie peut être belle, colorée et généreuse. Que peut-être on trouvera sa place. Ça parle de différence, de résilience, de famille (celles que l’on se crée surtout), de confiance, de beauté, de petits riens qui font tout.



Peut-être que c’est un peu trop beau. Peut-être que si j’étais plus objective, je trouverais ça un peu trop plein de bons sentiments pour y adhérer. Peut-être que cette histoire est juste tombée pile poil au moment où j’avais besoin d’une bulle de douceur. Peut-être qu’à un autre moment, j’aurais pu trouver ça un peu trop gentil.

Mais aujourd’hui, je n’en ai pas envie. Pas envie d’être cynique. Pas envie d’être critique. Je me suis laissée emportée par une vague céruléenne et c’était tellement agréable. Parce que les belles histoires font du bien parfois. Qu’il est bon de se retrouver si tourneboulée de temps en temps, même si la contrepartie est de se sentir orpheline quand arrive le moment de laisser ces personnages derrière nous.



Et puis, je pourrais vous parler d’un univers fascinant, malgré son triste et juste regard sur l’humanité avec ses craintes et ses haines. De personnages si vivants qu’on ne peut les croire uniquement de papier. D’histoires d’amour LGBT+ qui ne constituent jamais un problème ou une source de rejet ou de souffrance, qui sont juste tendres et sincères et évidentes. D’un rythme enlevé et d’une écriture très visuelle. Peut-être pourrions-nous analyser plus précisément ce qui constitue la réussite de ce roman.

Ou alors, comme une amie l’a fait pour moi en me collant dans les mains ce roman dont j’ignorais tout, je pourrais simplement vous inviter à partir sur une île étonnante sans rien savoir de plus. C’est peut-être la meilleure façon de faire un voyage renversant. Tout simplement magique.
Lien : https://oursebibliophile.wor..
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Au premier regard, tome 3 : Dis-moi oui

Quel bonheur de retrouver le petit monde de TJ Klune. Même si ça fait un très long moment que j'ai lu les deux premiers tomes, j'ai eu l'impression de retrouver de vieux amis tendrement ravagés et je me suis rendue compte qu'ils m'ont manqués. J'ai adoré retrouver Paul et Vince, Sandy et Darren l'Homonarque du Stade, Kori et Corey, Charlie, Johnny Depp et Roulettes, Nana et les parents de Paul...



Après ma dernière lecture, j'avais besoin de quelque chose de léger et de tendre, de doux et de dégoulinant d'amour, de tendresse et d'amour, de quelque chose de drôlement caustique et sarcastique ... forcément cette petite nouvelle assez rapide était pile poil ce qu'il me fallait et elle a rempli son office : j'ai ri, j'ai souri, j'ai éclaté de rire, j'ai eu les larmes aux yeux aussi devant certaines répliques qui touchent droit au cœur... Je trouve Vince mais aussi Darren (même s'il est un peu moins présent) vraiment de plus en plus touchant et ses vœux de mariage sont une petite merveille.



Merci TJ Klune pour votre talent et merci de nous accepter, nous lecteurs, sur votre planète.
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La maison au milieu de la mer céruléenne

Je suis sortie de ma zone de confort littéraire avec ce livre.



Je suis rentrée tout de suite dans l'histoire, c'est un livre qui traite de la parentalité, sur les liens qui existent même sans liens du sang.



Les enfants sont tellement attachants, je voudrais aussi me perdre sur cette île pour faire leur connaissance.



Une famille arc-en-ciel tellement attachante !
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Sous la porte qui chuchote

J’avais envie de passer du temps dans la maison bringuebalante de Hugo. J’avais envie de faire sa connaissance, de partager un de ces fameux thé avec lui et les esprits qui habitent ce lieu. Et pourtant… j’avoue que cette maison, j’ai bien failli la quitter à plusieurs reprises pour ne plus y revenir.



J’ai découvert TJ Klune avec «La maison au milieu de la mer céruléenne» et ce roman m’a tellement ravie que j’avais hâte de lire «Sous la porte qui chuchote». J’y ai retrouvé ce que j’avais aimé dans ma première lecture, de l’humour et de l’émotion. Et pourtant, cette fois ça n’a pas marché pour moi. J’ai souri plusieurs fois mais sans plus. Et toute cette émotion m’a semblée… un peu «too much». L’histoire trop pétrie de bons sentiments. Trop naïve.



Ce que j’ai aimé par contre, c’est toujours l’attention que porte l’auteur à l’inclusivité, que ce soit au niveau de la race des personnages, au niveau de leur orientation sexuelle, de leur genre. J’aime quand la personne qui débarque au cimetière sur son gros bulldozer, cigare au bec et pantalon de travail terreux est une femme. J’aime la sensibilité de ses personnages masculins.



En conclusion, j’aime vraiment l’auteur. Mais ce roman n’a pas marché pour moi. Si vous souhaitez découvrir TJ Klune, je vous recommande vivement «La maison au milieu de la mer céruléenne».

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La Fournaise

Bon ben voilà, avec @lo_lit_sew on a décidé d’enchainer avec la sortie du 3e tellement cette saga fait du bien et qu’on en avait besoin. Puis c’est tellement plaisant à lire…



On commence à lire et puis là… mais il se passe quoi ?! On dirait qu’on est entré dans un univers parallèle et on ne comprend pas trop bien comment tout à changer entre la fin du tome 2 et celui-ci enfin si il y a un nouveau personnage ou plutôt un personnage qui revient de très très loin mais cela reste anormal. Et pendant un tiers du roman, on se casse la tête à essayer de comprendre ce qui se cache derrière ce qu’on lit. Franchement, j’ai été choquée, je ne m’attendais pas à quelque chose d’aussi horrible. Après cela, on a eu droit à beaucoup d’action et plusieurs combats assez satisfaisants je dois dire, tout s’est clôturé d’une façon que j’ai beaucoup apprécié.



Il n’y a pas à dire mais chaque tome de cette trilogie est bien différent les uns des autres. Mais heureusement, l’humour est encore bien présent. On a encore droit à pas mal de scènes humiliantes de la part des parents et même parfois des enfants. Les passages que je préfère sont ceux ou les jeunes sont tous ensemble ou même quand tous les personnages sont rassemblés, une belle et grande famille. Sinon Nick évolue énormément entre le 1er et le dernier tome. Je l’ai de plus en plus apprécié plus le temps passait et c’est même avec un petit pincement au coeur que je le laisse partir.



En dehors de cela, j’approuve totalement la partie queer. C’est bien de parler ouvertement et de manière réaliste de l’identité, de la sexualité, du consentement, de l’ouverture aux autres et de bien d’autres choses. On sent que c’est quelque chose qui tient à coeur à l’auteur et aussi qu’il y a eu carte blanche pour sa trilogie afin d’aborder tout ce qu’il voulait et de la manière dont il le souhaitait même si parfois ça peut paraitre extravagant et absurde, c’est ça qui fait aussi le charme de cette histoire.
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La maison au milieu de la mer céruléenne

Mon avis n'est qu'un de plus parmi tous ceux que l'on trouve déjà sur ce titre. J'arrive tardivement par rapport à de nombreux lecteurs, l'engouement que je vois autour m'a longtemps retenu, jusqu'à ce que je craque pour la toute dernière édition reliée proposée par les édictions DeSaxus , je peux dire que cette édition est tombée à pic !



Je ne peux que confirmer les retours qui disent qu'il s'agit d'un titre cosy, doudou, rempli de bienveillance et de positivité !



Nous y faisons effectivement la connaissance de Linus Baker qui travaille au Ministère de la Jeunesse Magique. Son rôle est de veiller au bien-être des enfants qui ont des pouvoirs, il respecte les lois à la loupe persuadé que son entreprise est juste, que le ministère veille réellement au bien-être de ces enfants et ne peux avoir de mauvaises intentions. Ses convictions seront ébranlées lorsqu'on va lui donner une mission spéciale, durant laquelle il va rencontrer des enfants hors du commun.



Ce titre, c'est l'occasion de faire la connaissance de personnages touchants et attachants. Nous y découvrons des enfants qui sont incroyables, ils ont des réflexions surprenantes et n'ont cessés de me faire mourir de rire. Gros coup de cœur pour Lucy le fils du diable qui voit la mort d'une façon bien à lui.

J'ai aussi adoré Arthur Parnassus qui aime profondément ces enfants exceptionnels, qui voit le meilleur en eux et qui se comportent avec eux comme il le ferait avec n'importe quels enfants malgré leurs différences.



Nous y voyons ainsi Linus faire tomber sa carapace, quitter peu à peu sa solitude et se questionner sur ses convictions. Vivre dans ce doux foyer remet toute sa vie en question et va lui permettre d'oser s'affirmer, il est profondément bienveillant, ça se voit. Ensemble, ils vont créer peu à peu un foyer qui ne va cesser d'évoluer au fil des pages.



Ce titre aborde également de nombreux thèmes qui viennent questionner notre société. C'est une ode à la tolérance, au respect, à l'inclusion. C'est bonbon rempli de positivités qui se déguste page après page au travers de descriptions qui nous plonge encore plus dans cet univers.



Contrairement à beaucoup, je n'ai pas eu un coup de cœur pour ce titre, mais il s'agit d'une magnifique lecture dans laquelle j'aimerais me replonger. Si sous la porte qui chuchote est un cocon tout aussi réconfortant et positif, j'ai hâte de la découvrir à son tour !



Je comprends désormais l'engouement que ce titre suscite, je ne peux que vous conseiller de rejoindre cet univers si vous ne l'avez pas encore fait.
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Sous la porte qui chuchote

❤️ COUP DE CŒUR ❤️



Magnifique !

Ce roman est une merveille ! Une pépite à mettre entre toutes les mains ❤️

Je viens d’en tourner la dernière page et j’espère trouver les mots pour tenter de vous faire comprendre ce que j’ai ressenti à la lecture de ce roman.



Ce livre aborde des sujets forts et importants de l’une des plus belles façons qui soit. La mort, la perte, la peur, l’inconnu, le deuil. Mais aussi la bienveillance, l’empathie, le don de soi, l’amitié, l’amour, la famille. La vie ! Et ses apprentissages. Ce roman est une ode à tout cela.



Un hymne magnifiquement écrit, qui prend vie grâce à la plume délicate, caressante, enchanteresse de TJ Klune.

Un hymne qui donne vie à des personnages incroyablement touchants, humains et faillibles, certainement imparfaits mais parfaitement attachants. Des personnages que j’aurais aimé ne pas devoir quitter malgré tous les enseignements que livre ce roman à ce sujet.



Et ces personnages évoluent dans un univers dans lequel j’aurais pu rester bien longtemps encore tellement je l’ai apprécié. TJ Klune nous emporte dans cet univers fantastique, et pourtant bien ancré dans la dure réalité de la vie, dépeint avec justesse et humilité. Pratiquement exclusivement en huis clos, l’atmosphère qui en découle est tout bonnement délectable. Tendre, chaleureuse, familiale. Plonger entre les pages de ce roman peut parfois réveiller des souvenirs douloureux mais a aussi la douceur d’un moment passé avec un être cher.



Mais puisque nous devons laisser ces personnages de papiers, la fin s’impose d’elle-même. Naturelle et au meilleur moment pour mettre le point final à ces 468 pages d’émotions.



Ces quelques mots ne rendent certainement pas justice à Sous la porte qui chuchote. Un roman magnifique que je ne peux que vous conseiller de découvrir si ce n’est pas déjà fait.



❤️



Connaissez-vous ce roman ? Vous a-t-il autant touché que moi ?
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La maison au milieu de la mer céruléenne

J’ai eu un coup de cœur pour cette histoire originale.



Je ne m’attendais vraiment pas à ça quand j’ai commencé à lire les premières pages. Il y a une ambiance particulière un peu morose que l’on ressent au début, avec le personnage de Linus Baker qui a sa petite vie bien rythmée, mais qui ne nous semble pas épanoui. Il travaille au Ministère de la Jeunesse Magique, pour lequel il est chargé de faire des rapports sur les orphelinats qui accueillent des êtres magiques. Et il fait tellement bien son travail, car Linus détaille le moindre fait avec une objectivité très professionnelle, que les Cadres Supérieurs l’envoie en mission pour enquêter sur l’orphelinat dirigé par M. Parnassus.



Mais son séjour va remettre en question beaucoup de choses.



C’est une histoire captivante et magnifique avec des personnages atypiques, intéressants et très attachants.



La plume est très belle, parfois poétique et philosophique. J’ai bien aimé les messages passés à travers ces drôles de personnages qui font preuve de réflexions bien menées.



On ressent beaucoup de tendresse et d’amour dans cette maison particulière. C’est un roman qui m’a donné beaucoup d’émotions, et le sourire ne m’a pas quitté.



Vraiment une très belle lecture.

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Le clan Bennett, tome 4 : Le chant des Benn..

Coucou à vous tous !



Je tenais à faire un post sur cette saga qui est vraiment très riche en émotions.



Elle mérite vraiment les bons retours que j'ai pu entendre et voir malgré le fait que plus on avance dans les tomes et plus je trouvais les tomes trop longs.



Merci aux éditions Bookmark d'avoir publié cette saga car je serais passée à côté d'une pépite.

Oui j'ai senti des longueurs durant les tome 3 et 4 mais ça n'enlève en rien à la beauté de la plume de T.J. KLUNE, des personnages hauts en couleur, des intrigues intéressantes, du panel d'émotions ressenties durant ma lecture de la saga ...



Vraiment, cette saga mérite qu'on s'y intéresse et même que l'on plonge au moins dans le tome 1.



On peut suivre dans ce tome 1 mais aussi dans les tomes suivants Ox qui est un garçon particulier et qui est abandonné lâchement par son père qui n'a jamais su aimé Ox à sa juste valeur contrairement à sa mère qui est une dame tellement géniale !

Ox se sent obligé d'avoir un travail pour que lui et sa mère sortent la tête de l'eau et va donc reprendre le poste de son père dans un garage automobile. Ce merveilleux garage est tenu par Gordo, un homme merveilleux qui va être le père dont Ox a besoin. Dans ce garage, Ox trouvera une merveilleuse famille.

Cependant, près de chez lui va réemmenager la famille Bennett et là, Ox va découvrir un monde qu'il n'aurait jamais imaginé mais aussi l'amour.



Alors attention, cette saga, même s'il y a des moments où j'ai explosé de rire, a quand même un bon côté sombre, mélancolique, ... mais je me suis tellement attachée aux personnages de cette saga que j'ai réussi à passer outre.



Franchement, si vous avez l'occasion de vous procurer cette saga, je vous recommande de foncer comme moi.



Si quelqu'un a déjà lu cette saga mais aussi d'autres romans de l'auteur, qu'est-ce que vous me recommandez de lire après Le clan Bennett ?



J'espère sincèrement que vous avez de très bons moments de lecture ! 😘
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