T. J. Klune

J'avais vu de bons avis sur ce livre avant la sortie française, du coup j'avais profité de la sortie en relié pour me le procurer, et au final, je n'ai jamais eu le courage de le sortir. C'est enfin chose faite en ce décembre, et je dois avouer que ce livre m'aura laissé assez indifférente.



En effet, j'ai même pas grand chose à dire dessus à vrai dire, c'était un livre mignon, tout le monde est beau, tout le monde est gentil, et voilà. L'environnement m'a fait penser aux Miss Peregrine, donc si vous avez aimé cet univers, peut-être aimerez-vous celui là aussi, mais sachez aussi qu'on est là vraiment dans un monde où tout le monde est gentil.



Evidemment on a droit à des méchants, mais tout se termine par une leçon, j'ai eu l'impression de lire un conte en fait, d'autant plus que la narration est à la troisième personne.



C'était mignon, c'était enfantin, j'ai passé un bon moment mais rien de transcendant pour ma part.
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Coup de cœur pour ce roman rempli de bons sentiments !!



Ça faisait looooongtemps que je n'avais pas lu quelque chose d'aussi mignon ! Faites la connaissance de Linus, cet homme qui mène une vie toute grise et millimétrée et qui, au fil du temps va apprendre à y mettre de la couleur. Fondez pour chacun des enfants si particuliers de ce pensionnat, apprenez leur quotidien, les liens qui les unissent et partez à l'aventure !!!! Mais gare aux plantes carnivores et aux cannibales qui pourraient rôder sur l'île ;)





J'ai adoré !!! Autant le début m'a paru un peu lent et le rythme en lui-même l'est, autant ça ne m'a pas empêché de le dévorer.

On suit simplement Linus qui va mener son enquête dans cet orphelinat et qui va apprendre petit à petit à vivre pleinement. Et pourtant, même sil ne se passe pas mille et une chose, c'est une petite pépite.





C'est doux, c'est bienveillant, c'est attendrissant. On y parle tolérance, amitié, confiance en soi et surtout confiance en les autres. On y aborde la résilience, la peur de la différence. Mais c'est surtout un roman magnifiquement bien écrit, poignant et tendre qui a su me toucher en plein cœur. J'ai été charmée et passé la moitié du bouquin je n'ai pas réussi à le lâcher.

On y déterre des secrets douloureux mais c'est surtout pour avancer et apprendre qu'on est pas forcément définit par ce qu'on est et ce qu'on a vécu par le passé.





Je vous le recommande mille fois. J'ai pleuré, j'ai ri, j'ai été en colère. On passe par énormément d'émotions et on craque complètement pour ces enfants si uniques et si attachants chacun à leur manière. Je suis ravie d'avoir pu passer quelques centaines de pages en leur compagnie et vous conseille vivement de le découvrir si vous voulez fondre d'amour !


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La Maison au milieu de la mer céruléenne est un roman à part, une douceur, un bouquin simple mais très beau. Linus Baker, la quarantaine, célibataire, travaille pour le Ministère de la jeunesse Magique. Il inspecte les orphelinats dans lequel on recueille de jeunes enfants aux pouvoirs parfois déroutants et il décide de fermer ou non les établissements. Linus s’acquitte de son travail, sans jamais désobéir aux ordres, en bon fonctionnaire qu’il est. Un jour, on fait appel à lui pour une mission spéciale. Il doit inspecter l’orphelinat de Marsyas, dirigé par Arthur Parnassus. Un drôle d’orphelinat qui ne compte que six enfants.



J’ai tout aimé dans ce bouquin à commencer par Linus qui passe d’une petite vie étriquée et grise à la découverte de la fameuse île de Marsyas et de ses habitants. Chaque enfant possède un pouvoir ou une particularité extraordinaire et c’est pour cela qu’ils vivent, reclus, sur cette île. Au gré des pages, on en apprendra plus sur eux. Mention spéciale pour Lucy, un petit garçon très spécial qui m’a fait mourir de rire…Ceux qui ont lu comprendrons!



Au-delà de cette découverte des enfants, Linus est un personnage qui va évoluer. Psychorigide, très axé sur son fameux livre des Règles et règlements, il va comprendre ce qu’est l’amour et l’amitié grâce aux enfants. L’auteur est vraiment très fort car il ne tombe jamais dans le pathos ou le mièvre. Tout est fait avec simplicité et humour faisant de ce roman un petit bonbon à croquer, à savourer.



Il y aborde aussi des thématiques intéressantes: le droit à la différence, le racisme, les relations LGBT+ sans jamais que cela soit artificiel. Mais j’ai surtout beaucoup ri avec une plume parfois piquante et mordante mais jamais cynique.



Bref, vous l’avez compris, « La Maison au milieu de la mer céruléenne » est une magnifique découverte, un livre doux et sincère comme on en voit peu.
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Wouah...



Deuxième livres de T.J Klune et deuxième coup de cœur ! Ce livre est une pépite qui ne parlera pas à tous le monde, mais qui m'a totalement convaincue !



Tout d'abord j'ai adoré le titre, il illustre parfaitement le propos du roman, cette romance décalé. L'écriture de T.J Klune est toujours aussi agréable et les chapitres sont courts, ce qui rends la lecture fluide.



Ensuite il y a Gus et Casey... Gus, jeune homme hermétique et cynique, capable du meilleur comme du pire, mais jamais sans humour. Et Casey hipster asexuel et légèrement stone... Ces deux personnages portent le roman à eux deux, grâce à leurs caractères si atypique, leurs réparties et leur manière de voir le monde qui les entoure.



Mais parce que cet auteur est un génie, il ne pouvait pas se contenter de deux personnages trop cool, non, il nous a rajouté trois sœurs/lesbiennes polygames, membres d'un club fermé et dénué du moindre remord... Un furet albinos trop cool et une propriétaire de café bien trop sympas pour exister !



Et par dessus tout cela, l'auteur vous balance une romance qui sort des sentiers battues et vous fait battre le cœur à deux milles à l'heure...



J'ai rit, beaucoup, trop surement, parce que ce n'est pas humain de rire autant en lisant un livre. Mais tout cet humour n'entache pas les messages forts du roman. L'auteur nous parle de la différence, réelle ou ressentie et c'est bien amené. Il nous parle des différentes sexualité, et notamment l'asexualité, ça change et ça rend la romance encore plus romantique ! Et l'auteur parle aussi de deuil, de perte, de changement, bref, cet auteur est un pu... de génie.



J'ai adoré le fait que l'auteur ne retourne pas sa veste concernant l'asexualité de Casey et qu'il le demeure, même s'il veut offrir plus à Gus.

J'ai aussi apprécié que l'auteur ne mette jamais de mot sur la différence de Gus. Il aurait été facile de le classer autiste d’Asperger, mais l'auteur ne met pas d'étiquette à son héro et c'est génial.

La fin de ce roman est une pépite, entre cette foutue déclaration qui ressemble bien à nos deux tourtereaux et cette fichue question qui ne trouvera pas de réponse.... C'est brillant !



En bref, ce roman est une pépite de romance entouré par un halo de cynisme et d'humour bancal ! Une réussite à proposer à tous les amateurs de différences !



Bonne lecture à tous.

Quelle claque...



Je ne sais même pas comment ce livre c'est retrouvé dans ma liseuse. Je présume que la couvertures m'a plu et qu'il devait être en promo, mais je ne saurai dire quand et pourquoi je l'ai choisis. Et parfois, le destin fait bien les choses, car ce livre est ma révélation de ce mois de Juillet. le coup de coeur inattendu et bouleversant.



Dés le début, l'auteur pose ses mystères, son ambiance à mi-chemin entre réalité et rêve et c'est clairement une force de ce livre. Car même si le lecteur comprends, au fil du récit, les enjeux liés à ce mystère, jamais il ne peut prendre la totale mesure de ce qui se joue et jamais il ne parvient à deviner la fin !



L'histoire est lente, je ne vais pas vous mentir et bien que je préfère l'action, le dynamisme, j'ai apprécié la lenteur de ce récit, qui prends le temps de poser ses personnages, qui prends le temps de poser son intrigue, qui prends le temps pour qu'on s'attache à nos petits gars... Et c'est clairement judicieux, j'avais besoin de cette attachement pour savourer pleinement les enjeux et le final de cette histoire.



Ce roman a quelque chose de pur, de touchant. Cela se ressent dès le début du livre, alors que Mike fait la cours à Sean, à l'ancienne, avec douceur. C'est une romance entre gentleman, une romance presque irréelle tant elle est belle. J'ai ressentie cette pureté tout le long de l'histoire. Ce qui rends d'autant plus vibrante la fin du livre et la encore c'est une réussite.



Mike et Sean sont nos personnages centraux et ils sont clairement des hommes venus d'un autre monde. Un Irlandais tendre et timide, un jeune homme souriant et plein de vie, tous deux ne se ressemblent pas mais se complètent à la perfection. Et la manière dont ils interagissent ensembles sonne juste. Vivre leur romance, leurs petits riens qui font tout est bouleversant. L'auteur parvient réellement à retranscrire tout cet amour, en simplicité, avec pudeur et douceur.



Au delà de la couverture qui est magnifique, je dois dire que j'ai aussi été très surprise par la richesse du vocabulaire. C'est sans rougir que je dois vous avouer qu'il m'a fallu chercher une ou deux définitions...



Et on parlait ouvertement ? car oui, sans mentir, une fois Greg réveillé, j'ai eu un peu peur de cette fin de livre... Vu qu'on est dans la partie spoiler, je dois d'abord avouer que j'ai été bluffé par l'idée de l'auteur qui ressemble beaucoup à l'épisode de Black Mirror, San Junipero, mais en mieux ! Ce qui est un exploit. L'idée même de ce monde, créer pour ceux dans le coma n'est pas innovant, ce qui l'est c'est cette synchronisation des ondes cérébrales grâce à l'amour et clairement cela créer un sacré précédent et même une idée de remède pour ceux dans le coma, enfin dans l'univers de ce livre évidemment. La nué, et la murmuration en fil conducteur sont extrêmement bien choisis, c'est cohérent et poétique.

J'ai été subjugué par le choix de l'auteur, de faire de Sean dans la vie, un camé, c'était profond, presque trop pour mon cœur de madeleine. Et que dire de son choix de mettre à Amorea des personnes en quête de rédemption ? C'est magnifique.

Et puis on en parle de ce parallèle bien pensé avec Sa majesté des mouches et la notion de prison ? Je pourrais digresser des heures la dessus !

Enfin concernant la fin, elle m'a bluffé, car personnellement je ne voyais pas Greg aller à Amorea. Greg étant imparfait, coléreux, jaloux. le retour de Mike et l'idée même qu'il ait pu planifier cette décision et attendre patiemment est brillante, mais pas autant que cette fin, cette lutte entre eux... Et là encore l'auteur est brillant en ne révélant pas de suite qui survit... le lecteur doit patienter, et une fois que j'ai su que Mike avait "survécu" j'ai été comblé, parce que ce devait être Mike. Mike est le meilleur de lui-même et pour Sean, il fallait le meilleur.

Pour ma part ce livre m'évoque bien plus que cette romance, j'y voit aussi de la rédemption, une seconde chance, une preuve que tout à chacun peut lutter contre ses démons, et cela m'a totalement retourné. Car si Greg n'est pas Mike, Mike est en revanche Greg et je veux croire que nous avons tous un Mike en nous...

Mention spécial pour la note de l'auteur, elle était nécessaire, pour moi en tout cas !



Je terminerai en disant que je suis d'accord avec la première critique qui dit que ce livre aurait du garder son titre Murmurations. Car il colle parfaitement au roman. Un roman riche, qui possède différent de degré de lecture et qui est la bonne surprise pour moi...



Bonne lecture à tous.

Un coup de cœur !



J'étais un peu sceptique au début, mais j'ai vite été entraîné par le récit, les personnages, le mystère. Quel est cet orphelinat ? Ces enfants, etc. J'ai vraiment aimé les personnages, Arthur, les enfants et surtout Lucy ! L'humour était présent, tout comme la morale. Parfois un peu répétitif, mais le message derrière est assez évident et beau. Je découvrirai d'autres livres de cet auteur assez rapidement !

Que puis-je dire de plus que ce qui a déjà été dit sur ce livre ? C’est un petit bonbon, une bouillotte, du baume pour le cœur. C’est rempli d’amour et de bienveillance, les dialogues sont des petits bijoux de justesse. Mais ce qui m’a également fort marquée, c’est l’humour. J’ai éclaté de rire à plusieurs reprises. Ce texte a un sacré capital comique qui m’a d’ailleurs laissé penser que l’auteur était britannique. Eh bien que nenni !

J’espère que ce livre tombera encore entre de nombreuses mains. Et pendant ce temps, je vais voir ce que TJ Klune a écrit d’autre… 👀

J’attendais cette lecture avec impatience depuis mon coup de cœur pour Sous la porte qui chuchote, du même auteur. J’espérais être de nouveau touchée, chamboulée, émotionnellement vidée et emplie de sentiments tous plus doux et magnifiques les uns que les autres. Je peux vous dire que je n’ai pas été déçue ! T.J.Klune a une nouvelle fois réussi à me transporter dans un univers merveilleux tout en me faisant ressentir mille et unes émotions, quasiment sans que je m’en aperçoive.



La plume de l’auteur est d’une douceur et d’une justesse incomparables ! Il m’a emportée aux côtés de Linus, sur l’île de Marsyas, à la rencontre de personnages plus humains et attachants les uns que les autres, peu importe ce qu’ils sont et ce que la société voudrait faire croire qu’ils sont. T.J.Klune touche encore une fois en plein cœur, abordant les thèmes de la différence, de l’acceptation, de l’amitié, de la famille et de l’innocence de l’enfance avec une maitrise parfaite.



Je me suis attachée aux personnages sans même m’en apercevoir, ils se sont frayé un chemin en douceur jusqu’à mon cœur, faisant plus de bruit que tous les énergumènes intolérants réunis qui voudraient les voir disparaître de leur horizon.



J’ai été touchée par l’atmosphère chaleureuse, enveloppante, un brin énigmatique et un soupçon délirante qui fait de ce roman une parenthèse enchantée que je n’avais pas envie de quitter ! Je ne souhaitais rien plus que rester immergée dans cet océan de couleurs et de rires d’enfants, à savourer les relations que Linus nouait progressivement, au fur et à mesure que le charme agissait et le faisait sortir de sa coquille.



En refermant ce roman je n’ai qu’une hâte, découvrir le prochain tome « Somewhere beyond the sea », qui ne devrait plus trop se faire attendre, je l’espère.



Et vous, qu’avez-vous pensé de cette lecture ?
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Graou tout le monde !



Je ne dis jamais non à une lecture enchanteresse par la plume de T.J. Klune depuis le roman « La maison au milieu de la mer céruléenne » . Heureusement ce titre est plus court mais surtout ça sent le loup, la sueur et le reste.



On commence cette histoire avec Ox, un jeune garçon qui a quelques difficultés à s’exprimer, qui se sent un peu pataud dans ce corps trop grand et dont le père vient de quitter la maison en lui disant qu’il ne vaut rien et en gros qu’il va en baver. A 16 ans, il va faire une rencontre qui va changer sa vie : Joe. Un garçon de 10 ans, enjoué, rieur, entouré de sa famille, qui va lui dire qu’il sent le sucre d’orge, et pomme de pain, et épique, et génial.



Je ne vais pas en dire plus sur l’histoire puisque je pense qu’il faut juste sentir ce qu’à voulu faire passer comme messages l’auteur, ressentir le fond de ce roman et juste profiter de l’instant. Un excellent moment lecture avec ce clan, que dis-je : cette meute. L’auteur aime toujours faire passer les sentiments humains, l’amour de la nature et les liens forts qui peuvent s’établir entre les différents protagonistes. Bon c’est toujours sucré et bonbon dans ses romans puisque tout le monde accepte certaines situations sans broncher, qu’une relation entre même sexe ne pose jamais aucun problème, en gros que c’est un fait et qu’on ne peut rien y changer. Bonheur que ces instants qui devraient être le cas dans la vraie vie. Pour le côté négatif, il y a quelques longueurs mais je pense que c’est surtout dû au fait que le livre est assez conséquent et qu’il doit mettre en place cette saga. Un livre a découvrir pour toutes les personnes qui aiment la nature, les loups, les hommes, les loups-garous et tout les autres.
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Après avoir lu “la Maison au milieu de la mer Céruléenne” j'avais envie de continuer ma découverte de l'auteur et comme l'auteur fait beaucoup de romance MM et que vous savez que ce n'est pas ma came, ce titre s'est imposé à moi tout naturellement.



Je vous avoue que je ne savais plus à quoi m'attendre en le commençant (team je ne relis pas les résumés), juste que la mort était présente (⚠️elle est omniprésente). Et vous savez quoi, en refermant ce livre, j'ai eu l'impression de laisser une famille derrière moi.



L'histoire reste une histoire de fantasy, mais elle est belle, touchante, elle sonne vrai. Les personnages sont attachants, bien construits. Il y sera question d'amour, d'amitié, de surpassement de soi. On parlera de résilience, de rédemption, y a t-il une vie après la mort, nos disparus nous attendent-ils de l'autre côté ?



Je vous conseille de franchir les portes du salon de thé “A la Traversé de Charon” où vivant et mort se côtoient, mais attention, ce qui n'est qu’un salon pour les 1er s'avère être un lieu de passage pour les seconds. Vivez au côté de Hugo le passeur et Meï la femme qui voit les Fantômes (et pas que), de papi Nelson et Apollon le chien.



Mes émotions ? Elles ont été multiples tout au long de ma lecture. J'ai ri grâce à Desdémone, j'ai pleuré avec Nelson, j'ai ragé contre Wallace…



En bref, la plume de l'auteur est magique, quelque soit le genre ou le sujet !

Un très bon roman de TJ Klune, très feel good il se lit tout seul. On suit le personnel de Linus, un homme tout à fait banale avec une vie morose, qui va se voir confier une mission de la plus haute importance, se rendre sur une île pour visiter un foyer avec de dangereux enfants magiques. C’est un livre prenant, qui nous amène à remettre en questions nos certitudes, j’ai beaucoup aimer l’évolution de la pensée de Linus et sa relation avec les enfants. C’est un livre drôle touchant et qui donne l’impression de nous faire un câlin. Je vous recommande également « sous la porte qui chuchote » du même auteur.

Ce livre est un énorme coup de coeur...je l'ai tellement adoré ! C'est une histoire très originale et passionnante. Les amateurs d'Harry Potter seront ravis ! Le protagoniste, Linus Baker, découvre lors sa mission ordonnée par la Ministère de la magie, des enfants exceptionnels doués de magie sur une île mystérieuse...le problème est que ces enfants pourraient faire peur aux non-magiciens et vivent en autarcie sur cette île pleine de mystères et dirigée par un directeur pour le moins "à part"...je ne vous en dis pas plus...et vous recommande vivement ce livre.

Est-ce-que vous êtes vraiment choqué si je vous annonce le coup de cœur immense pour ce roman ? Woah, monsieur Tj Klune à fait fort. Je ne pensais pas que c’était possible de faire encore plus fort que « la maison au milieu de la mer céruléenne », qui était déjà incroyable fort et redoutablement touchant, celui-ci est quand même un cran au dessus !



On est sur un roman qui traite la mort. Ce qu’il se passe après la mort mais avant de passer la lumière. Qu’est ce qu’on est ? Qu’est ce qu’on devient ? Où allons-nous ? Est-ce qu’on est là sans être là ? Dois-je l’accepter avant d’y arriver et d’être en paix ? Faire le deuil de ma propre mort ? On traite tout ça dans ce roman.



Ce qui est encore plus incroyable ce n’est pas l’auteur qui nous raconte l’histoire et qui l’écrit, ce serait bien trop facile. Non. Ce qui est incroyable c’est ce que l’auteur veut nous faire comprendre en nous faisant lire son histoire, son œuvre. Les messages qu’il nous fait passé à travers ses pages. Les morales qu’il y glisse facilement et subtilement. Ça en est doux et terriblement incroyable à lire.



L’évolution du personnage de Wallace est d’une pure beauté. Il fait des erreurs. Il apprend, mais il est digne. Et Hugo est une découverte folle. Son caractère et l’acceptation de ce qu’il y a autour de lui. Nelson, personnage qui a atteint mon cœur+++, il est la douceur même de ce roman. Il est drôle et super touchant !



Je n’ai rien à d’autre à dire pour ce roman à part ; qu’attendez-vous pour le lire ?

Par où commencer… Ce livre, dont l’auteur n’est plus à présenter, a été une véritable claque. Une claque de douceur, d’amour, de tolérance et d’émotions. Au début, je ne savais pas trop à quoi m’attendre. Mais c’est un récit juste, doux, important. À travers le parcours de Linus et l’histoire de ceux qui croiseront sa route (et le changeront à tout jamais), TJ Klune véhicule d’importants messages et aborde de nombreux sujets, parmi lesquels : la tolérance, la différence, l’acceptation (de soi et des autres), la stigmatisation, le regard des autres, l’amour, l’inné et l’acquis, la question de l’identité, la notion de foyer et de chez-soi, le physique, les origines, ce qui nous définit, le sens de la vie, à quoi riment les choses, le rejet, la peur de ce que l’on ne connaît pas, la résilience, le courage d’être soi, l’homosexualité…



Les personnages m’ont profondément marquée. Attachants, ils sont vrais, crédibles, travaillés, chacun avec sa propre personnalité, ses failles, ses doutes et ses peurs. J’ai particulièrement été touchée par l’innocence, la résilience et le franc-parler des enfants.

Dans ce roman, il y a deux salles deux ambiances correspondant aux deux pans de la vie de Linus, que je me suis parfaitement bien représentés. C’est immersif, visuel, ça fout des frissons, ça remue, ça fait réfléchir, ça fait pleurer. La Maison au milieu de la mer céruléenne est un roman qui se vit, qui fait relativiser, avancer, et qui met du baume au cœur. J’ai été incapable de lire autre chose après l’avoir terminé. J’ai quitté un vrai monde, une maison où moi aussi j’aimais me réfugier.



Tout ce livre pourrait être une gigantesque citation. J’en ai relevé tellement ! Rien n’est laissé au hasard et consciemment ou non, tout a un impact. Le livre entier est une leçon, une leçon de vie.



La plume est fluide, douce et agréable. L’auteur prend son temps sans jamais nous lâcher. C’est bouleversant, simple et si beau. Tout le monde devrait le lire, maintenant plus que jamais. Après ma lecture, j’ai eu l’impression d’être une guimauve sur pattes pleine d’amour.



Je comprends parfaitement le succès de ce titre, et je ne peux que le recommander. Sûrement l’une de mes plus puissantes lectures.
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Loufoque, burlesque, drôle, désopilant, les qualificatifs ne manquent pas.

Un jour j'ai lu « rire 10mn équivaut à manger un steak », alors ici, je crois qu'on peut dire que c’est un peu comme braquer une boucherie, en toute conscience je ne peux donc pas recommander ce roman aux végétariens. Mais pour les autres, pas d’hésitation.



Paul, qui ne maîtrise pas ses logorrhées, qui bafouille, qui ne s’aime pas…

Vince, beau gosse mais pas premier de la classe…

Une galerie de personnage hauts en couleurs, y compris Roulettes et Johnnie Depp.

Pas uniquement de l’humour, beaucoup d’émotion aussi…

Une écriture que j’aime beaucoup…

Tout est réuni pour un excellent moment de détente.

Linus Baker est le parfait inspecteur du Ministère de la Jeunesse Magique: méticuleux, rigide et ennuyeux. Lorsque les cadres extrêmement supérieurs l'envoient enquêter sur un mystérieux orphelinat isolé sur une île, toutes ses certitudes vont voler en éclats.



Un côté "Miss Peregrine et les enfants particuliers" dans cet hymne à la tolérance. Les personnages sont tous très attachants. Le récit ne manque ni d'humour, ni de poésie. Ce roman m'a enthousiasmé.

Peut on décrire ce chef œuvre avec des mots... l’émotion ou plutôt les émotions sont indescriptibles !!!



J’ai découvert TJ KLUNE avec "Sous la porte qui chuchote", et je ne regrette pas d’avoir lu "La Maison au milieu de la mer ceruleene" après, bien que paru avant, car il est un cran au dessus... même si j’ai adoré "Sous la porte qui chuchote".



Ce roman est comme un sachet de bonbons sucrés-salés, tendres et durs, doux et acides, suaves et amers,... une recette à la TJ KLUNE inclassable... mais quand on met la main dans le sachet on ne peut plus s’arrêter... toutes les saveurs nous enchantent.



TJ KLUNE a ce don d’aborder avec brio, tout un tas de thématiques dans ces romans et de n’oublier aucun de ceux qui sont essentiels : l’environnement, la nature, les animaux, l’enfance, les relations humaines, la tolérance, l’indulgence, l’entraide, le bien, le mal, la compassion, l'empathie, le libre arbitre,...



Avec tous ces ingrédients, inutile de dire que la lecture, agrémentée d’une plume agréable, subtile, poétique, vous mène dans des aventures où vous passez par tout un tas d’émotions... vous n’êtes plus témoin mais vous rentrez dans l’histoire et vous vous attachez aux personnages et même à ceux qui pouvaient vous sembler au départ antipathiques, pitoyables ou insignifiants.



Un auteur engagé, un style bien personnel et original, un rythme bien dosé pour servir l’histoire, des personnages hors du commun, de la poésie, de la magie, de la représentation, une romance tout en subtilité et suggestion.... = un très bon moment lecture.



En bref, une véritable pépite, de celle que Théodore, la vouivre, aurait bien pu dissimuler dans sa cachette aux trésors :-) mais que fort heureusement on a pu nous livrer

Aussi magique que "Sous la porte qui chuchote" l'auteur nous entraîne dans un monde imaginaire avec de la magie et des êtres magiques. Des enfants exceptionnels, éduqués par un éducateur exceptionnel (comme on aimerait en avoir), apprennent à dominer leurs pouvoirs, à s'entraider et s'aimer et surtout à accepter leurs différences. Le seul bémol que j'y trouve est que l'auteur, étant queer, essaie de nous faire croire qu'il n'y a que dans l'homosexualité que l'on peut s'aimer vraiment entre adultes, un peu trop" LGBTQ+" pour moi... mais ce ressenti ne concerne que moi. C'est un très bon roman, je me suis régalée et le conseille vivement.

Voilà, elle est sans doute là, ma meilleure lecture de l’année. Si douce, chaleureuse et réconfortante. Un cocon dans lequel se réfugier. Rire aux larmes et avoir les larmes aux yeux. Des yeux qui brillent. Le cœur qui pétille. Pourtant ça commençait mal avec la rencontre de Wallace, un vrai abruti celui-là, mais c’était avant la mort, avant de découvrir qu’un petit cœur battait dans sa poitrine… C’était avant d’entrer dans un salon de thé à l’allure atypique perdu dans la forêt et de faire la connaissance de Mei, Hugo, Nelson et Apollon. Avant d’avoir le sentiment d’être entouré. Avant d’aimer et d’être aimé. Je ne voulais pas quitter ces personnages, cet univers qui sent bon le thé. Je vivais pour eux, avec eux. Je n’étais que de passage dans La traversée de Charon, mais comme Wallace j’ai eu envie d’y déposer mes valises et de ne plus jamais partir. Comme Wallace, je suis arrivée morte et j’ai à nouveau appris ce que signifiait vivre. J’entendais les chuchotements qui glissaient sous la porte à l’étage et je les entendrai toujours. Mais je n’ai plus envie d’ouvrir la porte tout de suite, alors ils resteront là, à attendre. Avant, je veux déguster mon thé tranquillement et continuer de lire. Je veux rire à m’en décrocher la mâchoire. Je veux serrer contre moi les personnes qui comptent. Je veux m’énerver pour rien et pleurer même si je souffre. Je veux avoir peur, angoisser et hurler de joie la seconde d’après. Je veux tout ressentir à mille pour-cent, que mon cœur battent à m’en faire mal. Parce que s’il bat c’est que j’ai la chance d’être en vie. Et quand ça se terminera, je n’aurais pas peur d’ouvrir la porte, parce que je serais libre.



Je ne pensais pas qu’un livre pouvait autant me bousculer, me faire rire et pleurer, me faire ressentir des émotions que je ne ressens que rarement. Pourtant il est là, et je sais qu’il m’accueillera n’importe quand, quand je me sentirais mal. Et il est aussi là pour vous, je vous assure. Vous aurez sans doute besoin de le lire un jour et comme les chuchotements sous la porte, il sera là quand vous serez prêt.es à l’ouvrir.

Un livre inclassable. Un roman d'anticipation? Une fable?

T.J. Klune nous livre ici une version de Pinocchio.

Un jour, un homme arriva dans une forêt. Un homme? il y ressemble en tous cas. Il retape une maison délabrée au pied d'un bosquet et y ramène des tas de trucs : beaucoup de livres, des outils, des morceaux de machines etc. Comme il n'y a plus de place, il construit une deuxième pièce, plus haut, dans l'arbre... Quelques années plus tard, un couple affolé arrive, lui confie son enfant avant de repartir, fuyant un danger que le lecteur ne découvrira que plus tard... C'est ce que Giovanni racontera à Victor lorsqu'il sera en âge de comprendre.

Le rapport avec Pinocchio? Sans vendre la mèche, sachez que Victor qui adore farfouiller dans la casse à quelques miles de chez lui pour y trouver des robots à réparer doit absolument se cacher des machines qui la surveillent.

Oui, il y a un relent de Terminator dans ce livre. Et une référence à Vol au-dessus d'un nid de coucou avec le robot nurse sociopathe RATCHED, meilleure amie de Victor.

Sans raconter le livre, on découvre assez rapidement ce qui est arrivé à l'humanité et pourquoi Victor doit rester discret.

J'ai été déçue par le côté SF: les robots m'ont semblé trop humains par bien des côtés.

Par contre, la fable en elle-même m'a plutôt plu.

Et l'humour de l'auteur, sa capacité à émouvoir continuent à me renverser.