Un peu compliqué à suivre, comme parfois pour les autres tomes de la série - erreurs de jeunesse ? - ce chapitre final reste néanmoins un grand moment de BD, dense et immersif. Il aurait mérité donc un peu plus de fluidité, une dernière petite explication (2-3 pages de plus ?) pour devenir un pur chef-d'oeuvre. Maintenant, j'attends la fin d'Algernon Woodcock ^^
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Sur un thème ma foi assez classique, une histoire plutôt bien rythmée servie par les dessins de Sorel qui se prêtent à merveille à ce genre d'intrigue
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Sur un thème ma foi assez classique, une histoire plutôt bien rythmée servie par les dessins de Sorel qui se prêtent à merveille à ce genre d'intrigue
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Un premier tome qui souffre de certaines failles au niveau du scénario. Néanmoins, l'ambiance lovecraftienne s'installe, et notre indulgence sera récompensée par la lecture des tomes suivants, mieux construits.
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Avec les dessins de Civiello, d'un trait remarquable, ce conte celtique est une pure merveille! Une évocation du bien contre le mal, avec l'intervention du petit peuple, de la magie, des créatures féeriques et d'une petite fille qui va faire l'impossible pour l'amour de sa mère.
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