AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Yves Swolfs (421)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Durango, tome 1 : Les Chiens meurent en hiver

Durango c'est le plaisir de la BD et du western spaghetti dans sa plus pure tradition. un régal!
Commenter  J’apprécie          20
Durango, tome 1 : Les Chiens meurent en hiver

La frontière entre le plagiat et l'hommage est mince, ici on peut pas dire que Swolfs se soit bien cassé la tête pour son histoire. Il nous refait le Grand Silence de Corbucci en changeant la fin. On retrouve le pistolero mutique, l'ambiance neigeuse, le nihilisme (ça massacre de l'innocent) et on a même carrément Klaus Kinski. Là où Blueberry ou Comanche essaye avant tout de régler les problèmes sans mort, Durango est un tueur qui tire avant de parler.

L'histoire est on ne peut plus classique, il arrive bute tout le monde et repart, non sans souffrir un peu quand même. Swolfs ne s'inspire pas de Ford et cie mais bien du spaghetti et la violence est ici bien plus graphique que les autres séries de l'époque.

Alors même si c'est juste une version plus sage du grand silence ça reste convaincant
Commenter  J’apprécie          00
Durango, tome 10 : La proie des chacals

après le Wyoming,Durango

se retrouve au Texas,alors

qu'il fait boire son cheval.

il voit arriver quatre cavaliers qui traine une indienne derrière leurs chevaux..et il vont lui expliquer que dans les environs de howland se genre de chose est banale.

sauf que notre gaucher

n'est pas de cet avis,

sa ce termine par la mort

de trois d, entre eux.le

quatrième préférant s,

enfuir.les ennuis de Durango vont commencer

quand il va arriver en ville,

en effet l,homme qu'il a

laisser filer et arriver avant

lui et a raconter l'histoire

a sa façon.voila Durango

accusé de meurtre,et jetait en prison.il sera délivrer par un indien,compagnon

de celle qu'il a aider.

qui va lui expliquer que les

hommes qu'il a descendu se livre au trafic de femmes.qu'il revendent au

mexicains.et voila de nouveau Durango obligé de retourner au Mexique.

un bon scénario,de bonne

scène d,action.
Commenter  J’apprécie          80
Durango, tome 10 : La proie des chacals

♫ Chabadabada chabadabada ♪ Nos cœurs y croient ♪ Dabadabada ♫ Dabadabada ♫ Comme une chance ♪ Comme un espoir ♫



Que voilà une belle historie d’amûûr dans les plaines arides et torrides du Texas ou de l’Arizona (on ne le précise pas) !



Mais attention, les p’tits gars, nous sommes dans Durango, pas dans un Harlequin…



Alors, avec une scène de baiser final plus qu’hypothétique pour cette version de « Un indien, une squaw » (Un homme, une femme), faudra dégainer plus vite que l’ombre de Lucky Luke et viser bien pour ne pas finir l’aventure en cadavre troué, telle une passoire.



La scène d’intro n’est déjà pas pour les p’tits n’enfants : des hommes tirent une pauvre squaw indienne (pléonasme, je sais) derrière leurs chevaux et demandent à Durango de faire celui qui n’a rien vu, rien entendu…



Moi, jamais j’aurais osé dire pareille chose au beau Durango ! Bang, bang, bang… Trois hommes au tapis et un qui s’enfuit.



Tout compte fait, Durango, il a un cœur ! Il aurait pu laisser tomber l’indien qui voulait récupérer sa squaw enlevée, puisque ce dernier lui avait payé sa dette en le sortant du mauvais pas dans lequel Durango s’était foutu ensuite.



Mais non, Durango, chevauchant devant, son Mauser à la ceinture, va l’aider à mettre les pieds dans un nid de crotales tous plus vils les uns que les autres.



Avec des tons gris pour représenter les nuits et des tons tirant dans les jaunes pour les chaudes journées, cet album ce lit d’une traite (des indiennes ?) et est garantit sans temps mort mais avec des tas de cadavres qui, telles les feuilles mortes, vont se ramasser à la pelle.



Pas de pitié pour les trafiquants !



En plus d’avoir un excellent scénario qui met en lumière les trafics d’indiennes à destination des bordels de Mexico, des dessins de plus en plus excellents (on voit l’évolution lorsqu’on se refait toute la collection d’une traite… des squaws), des dialogues au poil et peu de temps mort.



Bref, cet album possède aussi tous les codes du western classique où un homme, qui n’a rien d’un saint, va aider un autre à retrouver sa belle, alors que l’un est Blanc et l’autre Indien.



De plus, j’ai trouvé un air de ressemblance entre l’Indien et le futur vampire Kergan…


Lien : https://thecanniballecteur.w..
Commenter  J’apprécie          110
Durango, tome 10 : La proie des chacals

La proie des chacals est la dixième aventure de Durango, saga de bandes dessinées d'Yves Swolfs. Durango tue trois cow-boys pour sauver une jeune indienne. Mais il est arrêté suite au témoignage à charge du quatrième lascar qu'il avait épargné.

Western violent et efficace, avec un scénario classique mais percutant servi par un dessin réaliste et précis. Une belle série.
Commenter  J’apprécie          70
Durango, tome 10 : La proie des chacals

Retour au Mexique, Durango fait équipe avec un indien qui veut retrouver sa femme prisonnière dans un bordel, ici pas de manière douce, si il faut buter tout la population mexicaine on le fait. Encore rien de bien original mais la collaboration avec l'indien est sympa, les méchants font le taf et c'est toujours aussi bien dessiné.
Commenter  J’apprécie          00
Durango, tome 10 : La proie des chacals

On retrouve une histoire classique, totalement dans les cordes de la série "Durango", avec un scénario simple, mais efficace. Cette fois il s’agit de traite d’êtres humains et en particulier de jeunes indiennes qui sont exportées vers le Mexique. Evidemment une des indiennes va croiser le chemin de Durango, aux dépens des crapules qui la maltraitaient.



Si Durango commence cet histoire comme il avait quitté la précédente, c'est-à-dire, en solitaire, il va vite se trouver un partenaire indien très efficace en cours de tome. Ce duo avec cet indien mystérieux dont on n’apprendra même jamais le nom fonctionne à la perfection : l’indien est parfait dans son rôle, les dialogues sont très bons et la complémentarité excellente.



On prend en plus plaisir à retourner au Mexique, endroit bien connu de Swolfs et de Durango depuis les trois tomes dédiés aux aventures de Durango en compagnie d’Amos. Poussière, soleil et tequila au programme et deux compères qui vont devoir affronter Jaime Alonzo qui dirige la ville de Santa Rosa et ses hommes, dont le terrible Diego Chanas.



Bref, une histoire indépendante dans la lignée de cette excellente série, qui est une des majeures références au niveau des westerns spaghettis.
Commenter  J’apprécie          10
Durango, tome 10 : La proie des chacals

Dans ce tome 10, on retrouve une histoire dans le pur style « western spaghetti » et c'est là que Swolfs excelle. De retour au Mexique, notre héros fera tout pour sortir Sheena (une Indienne kidnappée) des griffes d'un réseau de trafic d'êtres humains.

Là le scénario est simple sans fioritures mais efficace et le dessin très maitrisé. Yves Swolfs semble au meilleur de sa forme.
Commenter  J’apprécie          160
Durango, tome 11 : Colorado

C'est marrant c'est sorti au même moment que Unforgiven et ça raconte grosso modo la même chose avec cette petite ville sous la poigne d'un impitoyable shérif. Peu d'action dans ce volume car l'histoire est en 2 tomes et du coup ici c'est une grosse intro avec Durango qui se fait embaucher pour tuer le shérif mais ça va pas être aussi simple.
Commenter  J’apprécie          00
Durango, tome 11 : Colorado

Diantre, que diable, que vois-je ? Durango voyageant dans un train et non pas juché sur une monture tel un cow-boy solitaire loin de chez lui ?



Serait-ce une copie de notre Durango ? Non, pas possible… Le regard noir jeté à un importun un peu trop curieux fini de me rassurer : ceci est bien notre Durango !



De plus, si on veut se rassurer un peu plus, notre ami ne débarque pas dans une ville pour rejoindre le monde civilisé puisque celle ville est gérée par la poigne de fer de Norton, directeur de la mine qui tient ses travailleurs dans une misère noire digne de Germinal, épaulé par Maxwell, un shérif véreux, lui-même entouré d’hommes de mains qui n’ont rien d’enfants de cœur.



Nortonville, Colorado… T’as pas envie d’y passer tes vacances et encore moins de bosser pour Norton. Toute la ville lui appartient, il fixe le prix des loyers, des denrées alimentaires et ce que les mineurs gagnent ne suffit même pas à les nourrir correctement, eux et leurs familles.



Si Jack London était passé par-là, il les aurait nommé aussi "le peuple des abysses" tant leur misère est elle aussi organisée par la pouvoir en place. Un omnipotent qui gère la ville, ça ne donne jamais rien de bon, et un omnipotent qui confie la gestion à un shérif magouilleur et tueur aidé d’une milice privée, ça donne un truc encore plus pire !



Une fois de plus l’Amérique décrite dans cet album n’a rien de réjouissante, en même temps, quand on ouvre un Durango, il faut savoir qu’on va se trouver à cent mille lieues des Bisounours, mais en pleine ligne de mire des révolvers qui vont parler, et tout le monde sait que le luger de notre gaucher sexy fait plus de bruit que les autres.



Un album qui se déroule sur fond de misère sociale, de révolte des mineurs matée dans le sang et la poudre, avec une fille qui veut lutter contre son père tout puissant, et des hommes qui aimeraient que leurs gosses mangent à leur fin.



Quant à notre blondin de Durango, il aura fort à faire pour s’en sortir vivant, même si la dernière case pourrait nous donner l’impression qu’il va terminer sa carrière de tueur au tome 11.



L’aventure s’étalant sur deux albums, lors de ma première lecture, j’avais dû attendre un certain temps avant d’avoir droit à la suite, maintenant, les doigts de pieds en éventail et un café chaud en main, je peux enquiller les deux sans stress, avec plaisir et délectation, comme toujours avec mon cher Durango !


Lien : https://thecanniballecteur.w..
Commenter  J’apprécie          100
Durango, tome 11 : Colorado

Nortonville Colorado est

au mains de Maxwell qui

sous prétexte de faire régner l,ordre à des méthodes de mafieux.

et c'est dans se trou qu'un

mystérieux commanditaire

a donné rendez-vous a Durango. qui va se trouvait pris dans une guerre entre mineurs, et

Maxwell.Durango prendra

parti pour Célia Norton qui

se bat pour eux.

un bon mélange d,action,

et de panache.on ne s,ennui pas.
Commenter  J’apprécie          60
Durango, tome 11 : Colorado

Durango arrive dans une petite ville minière du Colorado, Nortonville, où son aide a été sollicitée par un inconnu. La ville est dirigée de main de fer par Norton, mais le pouvoir réel est détenu par Maxwell, son shérif, et ses sbires, des gars qui tuent sans raison, juste pour entretenir le climat de terreur qui permet à Norton et à son shérif corrompu d'exploiter les mineurs et de les paupériser. Seule contradiction au potentat local : sa propre fille, une rebelle sensible à la détresse des familles de mineurs. Durango va devoir jouer au plus fin avec ce shérif pour parvenir à mener sa mission.

Swolfs propose un scénario très classique de ville minière exploitée, où la terreur est combattue par un pistolero flegmatique et efficace : Durango. Les rebondissements sont biens conçus, dans la grande lignée du western spaghetti, et accompagnés d'un dessin vif et brillant. Ce tome est dans la forme et dans le fond très réussi, quasiment un exemple de ce que peut donner de mieux le western spaghetti.

A déguster al dente en écoutant la musique d'un des films de Sergio Leone musicalisés par Ennio Morricone.

Commenter  J’apprécie          40
Durango, tome 11 : Colorado

Bienvenue dans les montagnes du Colorado, paysages magnifiquement restitué, le scénario est une nouvelle fois bien maitrisé Swolfs régale ses lecteurs.

Et surprise, (bonne) il y a moins de violence (un peu) et plus de « psychologie », notamment le « grand patron » plus complexe qu'il n'y paraît .

Un très bon western,(suite au tome 12) le meilleur depuis le « cycle mexicain »
Commenter  J’apprécie          150
Durango, tome 11 : Colorado

Une nouvelle histoire en deux tomes de notre héros solitaire. Cette fois-ci, Durango se retrouve à Nortonville, ville minière appartenant à Norton, comme son nom l’indique.



Durango fera vite connaissance avec le shérif Maxwell et sa bande, qui maintiennent l’ordre en terrorisant la population. Quand un gosse se fait abattre en début de tome on est d’ailleurs surpris de ne pas voir intervenir Durango, lui qui a toujours défendu les plus faibles. Serait-il devenu plus calme, plus réfléchi ou plus peureux qu’avant ?



Ce qu’il n’a pas perdu, en tous cas, c’est son charme auprès de la gent féminine. Célia Norton, la fille du propriétaire de la ville semble avoir un faible pour notre héros de noir vêtu et ils se retrouveront vite embarqués dans une histoire périlleuse.



On a donc l’impression que Durango est plus calme (il n’abat d’ailleurs personne avant la dernière partie du tome), mais toujours aussi tombeur et plein de sarcasme dans ses répliques.



Le dessin est toujours aussi plaisant et la fin nécessite d’avoir le douzième tome sous la main. Un douzième tome que j’ai d’ailleurs eu du mal à trouver chez Alpen Publishers.
Commenter  J’apprécie          00
Durango, tome 12 : L'Héritière

Durango au fil des tomes est passé de tueur taciturne à concierge portugaise. Ici c'est inutilement bavard, en fait y a quasiment aucun dialogue qui sert à quelque chose tant la situation est claire mais bon ça piaille pour rien et on se fait chier et vu que le final est bof on se retrouve devant le plus mauvais album de la série et de loin.
Commenter  J’apprécie          00
Durango, tome 12 : L'Héritière

♫ Les neiges du Coloooraaaado ♪ ♪ Elles te feront un blanc manteau ♫ Où tu pourras pourrir, ♪ Elles te feront un blanc manteau ♫ Où tu pourras pourrir, pourrir, pourrir ♪



Pourrir sous la neige, voilà ce qui est arrivé aux hommes de la milice de Maxwell… Fallait pas se laisser surprendre par la tempête de neige et fallait pas tenter d’entrer là où ils n’auraient pas dû entrer.



Du côté des mineurs en révolte, on aurait plutôt envie de chanter ♫ C’est la lutte finale, groupons-nous et demain… ♪ car les conditions de vie sont de plus en plus difficile et si dans le tome précédent, nous étions sous le soleil exactement et que la misère est moins pénible au soleil, pour la suite de ce diptyque, nous sommes sous la neige.



Avec des tons sépias pour une grosse partie des coloris de cet album, l’auteur nous entraine un peu plus dans la violence de l’Ouest et il n’y a pas de Frontière dans la violence, vous le savez.



Quand aux traîtres, vous le savez aussi bien que moi, on n’est jamais aussi bien trahi que par les siens… Norton, le dictateur de la ville en sait quelque chose : son fils boit et n’a pas l’air de tenir les comptes de manière correcte, quand à sa fille, elle s’était révoltée contre lui…



Et pas de bol pour Norton et son shérif Maxwell : Durango nous a fait le coup de Jésus et est revenue d’entre les morts ! Je sais, il n’était pas vraiment mort dans le tome précédent !



Dans la veine des meilleurs western spaghettis avec la sauce bolo pour illustrer le sang qui va couler, Swolfs nous offre un doublé des plus réussi, du western pur et dur dans lequel le Gentil n’est pas tout blanc, puisque c’est un tueur, mais dans lequel les Méchants sont réussis, ce qui est un gage d’un bon album.



Et c’était lui aussi un super album, un western comme je les aime, saignant et réaliste, avec une pointe de roman noir puisque conditions sociales de mineurs de fond… mais je ne vous chanterai pas ♫ au Nord, c’étaient les corons ♪


Lien : https://thecanniballecteur.w..
Commenter  J’apprécie          130
Durango, tome 12 : L'Héritière

La révolte gronde dans la ville minière de Nortonville. Le shérif Maxwell augmente la pression, multiplie les violences et s'enrichit dans le dos de son patron. Mais Cécilia Norton, la fille du potentat, est exfiltrée de l'asile où son père l'avait envoyée et Durango réapparaît d'entre les morts pour orchestrer la révolte.

Le diptyque Colorado / L'héritière est une grande réussite du western spaghetti, les choix d'angles de Swolfs et le rythme de l'intrigue rendent l'histoire très efficace, un vrai opéra de violence et de lutte sociale, parfaitement formaté pour le western spaghetti.

Deux albums brillants, à écouter avec la bonne musique western italienne des années soixante...

Commenter  J’apprécie          40
Durango, tome 12 : L'Héritière

Une première incursion en ce qui me concerne dans cette série, Durango. L'histoire, dans le prolongement apparemment des précédents albums (que je n'ai pas lus, donc), est solide, violente (on est dans l'ouest, pur et dur), avec une forte connotation sociale. Un shérif corrompu, qui tient la ville avec une forte troupe armée, un patron manipulé, mais qui commence à douter des informations dont il dispose, des mineurs prêts à se révolter : tous les éléments sont réunis pour que se produise une big explosion...
Commenter  J’apprécie          70
Durango, tome 12 : L'Héritière

l,heure de la révolte a sonné pour les mineurs.

qui n,en peuvent plus des

exactions de Maxwell et de sa bande.seulement les deux seuls qui pouvait les

aider ne sont plus la.

Durango a disparu dans la

rivière et Célia Norton est

enfermée a l,asile a Denver.

alors que les mineurs se

réunisses pour savoir qui va les commander quatre tuers de Maxwell débarque, et son abattu.

c'est Durango remis de ses

blessures qui revient .

et pendant se temps un

groupe de personnes fait

évader Célia de l,asile.

pour la ramener à Norton ville.pour faire entendre

raison à son père,et éviter

un bain de sang.

celui se rend compte qu'il

a été tromper par Maxwell

Durango va l,éliminer lui est sa bande.

et une fois la paix revenu,

il décide de rester à Norton ville avec Célia,qui a pris la direction de la mine, et de déposer les armes.et d,entrer dans une nouvelle période de sa

vie.
Commenter  J’apprécie          70
Durango, tome 12 : L'Héritière

Suite et fin de l’épisode précédent, où Durango, plombé de balles, avait été laissé pour mort après une chute dans une rivière glacée. Mais, comme beaucoup d’adversaires, le shérif Maxwell et sa bande de ‘Brownies’ ont sous-estimé l’endurance de Durango.



Les mineurs de Nortonville, récupèrent donc un précieux allié avant de faire face à Maxwell et sa bande. Et bien que les mineurs soient en surnombre évidents et bien armés, c’est comme d’habitude Durango qui fait la différence grâce à sa dextérité.



Côté dessin, Swolfs et Sophie Lafon (à la colorisation), nous livrent un tome de toute beauté. La capacité de Swolfs à dessiner les paysages enneigés et les jolies femmes n’est plus à démontrer. D’ailleurs, Durango l’a bien compris et c’est pourquoi à la fin du tome il décide de rester à Nortonville jusqu’à la fin de l’hiver, afin de pouvoir profiter plus longtemps que nous

des paysages et du corps de Célia Norton. Bien vu !
Commenter  J’apprécie          00




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Yves Swolfs Voir plus


{* *}