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EAN : 9782012033917
352 pages
Hachette Black Moon (11/06/2014)
3.61/5   146 notes
Résumé :
On l’appelle le Rouet. En référence au "rouet" sur la pointe duquel la Belle au Bois Dormant se pique le doigt dans le conte de Perrault. Car le Rouet est un tueur en série, un criminel qui traque ses victimes dès leur naissance, promettant à leurs parents qu’il leur dérobera la vie le jour de leur seizième anniversaire. Ariane aura seize ans dans quelques mois. Elle décide de s’enfuir plutôt que d’attendre cette mort annoncée. En chemin, elle rencontre Lara, une je... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (86) Voir plus Ajouter une critique
3,61

sur 146 notes
Ce que j'ai ressenti:…Un compte à rebours sanglant…

Demande-toi ce que tu as envie d'être.

Je suis fan de contes et complètement fana des thrillers….Donc un conte revisité en thriller, évidemment que ça m'interpelle!!!!!Il me faisait terriblement envie parce que je trouvais original d'avoir personnifié le rouet de la Belle au Bois Dormant, et d'en faire un tueur en série…Non franchement, je ne pouvais pas décemment passé à côté de ce livre!!!!

Ce fut une lecture rapide et très agréable. Un bon petit Jeunesse qui se lit presque tout seul , une petite friandise toute mielleuse pour commencer cette nouvelle année…L'auteure prend quelques libertés pour réinventer la Douce Endormie, et un assassin impalpable pour donner aux adolescents, leur premier frisson. Il y a quelques jolies mises en scènes et une certaine ambiance, qui rend cette lecture plaisante, et il reste toujours le petit suspense qui tient toutes ses promesses jusqu'aux toutes dernières pages….

Je pense que l'ensemble est plutôt pas mal, mais ça ne sera pas le livre qui me laissera un souvenir impérissable, dans la mesure, ou bien j'admire, l'idée de départ de l'auteure, j'aurai aimé qu'il colle un peu plus au conte dans ses représentations , qu'il est une touche un peu plus fantastique, et que le flic soit plus crédible…Certes, on s'attendait à quelques « douceurs » étant donné la tranche d'âge, mais il me semble que cet adulte manque trop de charisme et qu'il y ait aussi quelques éléments un peu trop faciles dans l'intrigue pour l'amatrice thriller que je suis…

Si la colère avait un goût, la médiocrité avait une odeur. L'absence d'espoir, aussi. Reconnaissable entre toutes. Lourde. Poisseuse. Un jour, elle vous enveloppait et ne vous lâchait plus. Et tout était fini. Cette saleté sortait de chaque pore de votre peau, imprégnait vos vêtements, vous marquait à jamais.

Ce ne sont que des bémols, car comme je vous le disais c'est une réinterprétation et en même temps, une histoire originale, mais pour le public visé, je pense qu'ils découvriront une jeune fille qui ne se laisse pas envahir par la peur, affronte son destin et essaye de passer à l'âge adulte avec la bonne attitude: en somme un joli modèle… Un livre à confier aux jeunes qui veulent se faire un peu peur, tout en gardant un pied dans l'enfance…Le livre-départ, sans doute du « virus » de la lecture policière….

C'est un cadeau que je me suis fait à moi même. J'ai décidé de ne plus attendre ceux des autres. Désormais, je vais prendre soin de moi. Je vais m'offrir tout ce que je désire.

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Si vos ados sont récalcitrantes à la lecture, essayez ce livre-là. Si elles accrochent aux première pages, elles ne le lâcheront pas.
Des jeunes filles sont assassinées le soir de leurs seize ans. Un mystérieux serial killer menace leurs parents et ceux-ci bien qu'ils vivent dans l'angoisse, ne peuvent les sauver. Il signe « le Rouet », par allusion au mythe de la Belle-au-bois-dormant. L'une d'entre elles, Ariane, décide de s'enfuir de chez elle et de découvrir l'assassin, de frapper la première afin de survivre. Une fuite éperdue, à Montréal, à Québec ou dans les Laurentides. La rencontre improbable de quatre délicieuses vielles intellectuelles féministes, un flic meurtri, une belle rouquine, une conclusion onirique et même un fantôme, l'une des victimes, qu'Ariane s'est choisi comme double et comme conseillère. Au passage, un petit cours de littérature – sur Kafka, mazette ! Si vos ados n'aiment pas lire, elles s'en mettront plein les yeux. Au passage aussi, puisque le livre se passe au Canada, elles découvriront aussi la « Belle province ».
Pourquoi est-ce considéré comme un livre jeunesse ? me suis-je demandé. Moi qui ne suis pas née de la dernière pluie, j'ai tenu le coup avec grand plaisir jusqu'à la fin, malgré une petite invraisemblance – le hasard qui fait que la jeune Ariane découvre le lien entre les victimes, lien qui avait échappé jusque là à la police. Donc, livre jeunesse, parce que l'héroïne a moins de seize ans, parce qu'il n'y a pas de sexe, parce que l'horreur de la mort est tempérée par la mise en scène romantique imaginée par le tueur, parce qu'il règne une certaine douceur, quand même, dans le monde que la jeune-fille affronte, et parce qu'on y apprend à se battre et à vivre. Livre jeunesse au féminin, à mon avis, comme vous avez pu le remarquer, je tiens que c'est un roman pour fille. Mais livre jeunesse que, comme pour tous les très bons livres jeunesse, un adulte peut prendre grand plaisir à lire. Remarquablement écrit, remarquablement « monté », sans concessions à la fadeur « bébé » qu'affectionne certains éditeurs. Aucune concession à une langue n'utilisant que le vocabulaire de base, aucune concession aux pensées nunuches, au contraire, de nombreuses remarques « tirent vers le haut », donnent à réfléchir.
De quoi faire tenir vos récalcitrantes le temps d'une ou deux siestes, et de les récupérer avec un esprit plus aiguisé.
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Il existe deux modes pour appréhender ce roman. Si on souhaite avant tout que le récit soit un conte moderne empli de féerie, de fantastique, on sera très déçu. Et puis, ceux et celles qui préfèrent les thrillers, eux (et elles) seront plus aptes à apprécier ce texte.
En ce qui me concerne, j'aime les thrillers à petites doses, surtout quand c'est scientifique. C'est pourquoi j'adore les oeuvres du Docteur Francis-Paul Wilson, ainsi que celles du duo Douglas Preston et Lincoln Child. J'avoue que j'ai une très grosse préférence au monde de l'imaginaire qui me permet d'oublier tous les maux de la planète et mes peines personnelles.
En lisant ces quelques lignes, vous en dédirez fortement mon ressenti sur le roman « Au bois dormant ».

Tout démarrait pourtant bien. À la manière de Chloé Price de « Life is strange » – clin d'oeil au jeu vidéo –, nous suivons une jeune adolescente qui se passionne de photos. Elle est plutôt solitaire et l'on comprendra plus tard la raison de sa non-socialisation. Quoi qu'il en soit, elle va surprendre un homme fureter sur son bahut.

Le début me plaisait bien. En fait, j'ai bien aimé jusqu'à ce que le récit tourne à l'enquête policière. À partir de là, c'est devenu haché, alternant de bons ressentis et de moins bons. le personnage de Jude sauve un peu la mise.

Sa composition et le final m'ont un peu déçu. À aucun moment, l'auteure nous parle des parents qui doivent être morts d'inquiétude. de plus, le tueur surnommé “Le rouet” n'apparaît réellement. Je trouve dommage que ce personnage ne soit pas plus développé. Et on arrive au point de chute où la divulgation du fameux assassin m'a laissé de marbre puisqu'il n'est qu'un protagoniste anonyme.
Le récit est également ponctué de quelques passages très succincts et rares où Ariane nous expose ses notes.

Je dois bien l'admettre, passé la désillusion d'une revisite d'un conte fantastique (ou alors, j'ai raté quelque chose) pour une enquête policière, j'ai tenté en vain de me plonger dans cet air canadien. le roman possède, à mon sens, bien plus de défauts que de qualité. Au final, je suis passé complètement à côté, sans l'apprécier comme il aurait dû l'être.
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Commençons par rappeler, pour éviter toute déconvenue, que ce roman n'est pas vraiment une réécriture du conte de la Belle au bois dormant ou, du moins, qu'il s'en éloigne beaucoup. L'autrice fait bien quelques références au conte original avec, entre autres, l'excellent surnom donné au tueur, le couperet fatidique des seize ans ou encore le petit clin d'oeil final, mais ça s'arrête là.

Nous découvrons ainsi l'histoire d'Ariane, une jeune fille qui va bientôt fêter ses seize ans. Surprotégée par ses parents, elle ne supporte plus cette cage dorée dans laquelle ils l'ont si minutieusement enfermée à double tour ni tous ces déménagements successifs et le culte du secret dans lequel semble vivre sa famille. Elle va néanmoins découvrir que le comportement de ses parents est motivé par leur envie de la protéger d'un mystérieux tueur en série surnommé le Rouet qui est bien décidé à la tuer le jour de son seizième anniversaire. Elle préfère donc fuir tentant ainsi de sauver sa vie et celle de ses parents. Sage décision ou terrible erreur ?

Les événements s'enchaînent les uns après les autres ce qui donne un rythme plutôt soutenu à cette histoire sans temps morts ni longueurs inutiles. Ce point devrait ravir les lecteurs qui aiment l'action, mais pourrait gêner ceux qui aiment les récits très détaillés. En effet, certains passages auraient nécessité de plus amples développements et la psychologie de certains personnages aurait certainement mérité d'être plus approfondie. Mais rappelons que le livre reste un roman jeunesse et que sa relative brièveté permet d'aller droit au but sans tomber dans des épanchements inutiles. Pour ma part, cela ne m'a pas dérangée étant en recherche d'un récit qui se lit rapidement et avec avidité comme ce fut le cas ici.

J'ai juste un peu regretté que le rôle de l'enquêteur Jude ne soit pas plus déterminant dans la résolution du mystère entourant ce tueur insaisissable. Il se peut qu'étant en lecture commune avec Satoru et June de l'intégrale de Sherlock Holmes, je sois trop habituée au sens de l'observation affûté et aux déductions brillantes du célèbre détective. Si je n'ai pas été estomaquée par les talents d'enquêteur de Jude, j'ai en revanche apprécié d'apprendre à connaître cet homme qui s'est constitué une telle carapace que ses collègues ont fini par le surnommer « le glaçon ». Mais en découvrant le rôle qu'a joué le tueur dans son passé, on ne peut que comprendre les raisons de son comportement. le fait, en outre, que son intérêt pour la disparition d'Ariane n'est pas seulement d'ordre professionnel apporte une tension supplémentaire à un récit qui n'en manque déjà pas. J'en suis même venue à espérer que le tueur soit attrapé pour Ariane bien sûr, mais aussi pour que ce détective puisse définitivement tourner la page d'un passé dans lequel il semble empêtré.

Quant à Ariane, persécutée par un tueur en série duquel elle ignorait tout jusqu'à l'orée de son seizième anniversaire, j'ai admiré son envie de se battre pour survivre, et de ne pas se morfondre dans le rôle de la victime. Ses actions et ses décisions ne seront pas forcément les plus pertinentes, mais en raison de son âge, difficile d'attendre de sa part la capacité de recul d'un adulte. Et puis, qu'on approuve ou non ses décisions, on ne peut qu'admirer sa capacité à agir sans tergiverser pendant des heures. On est dans l'urgence et la jeune fille mesure parfaitement la situation ! On est donc définitivement face à une adolescente ayant la tête sur les épaules ce que j'ai adoré.

Au cours de sa fuite, elle pourra heureusement compter sur le soutien sans faille d'un groupe de femmes toutes très attachantes bien que différentes les unes des autres. Je dois d'ailleurs avouer m'être plus attachée à ces femmes qu'à Ariane. La situation dans laquelle elle se trouve m'a bien sûr touchée, mais il m'a manqué un petit quelque chose pour m'attacher à elle. Cela ne m'a néanmoins pas empêchée d'admirer son courage et sa volonté de préserver de ce tueur machiavélique les gens qu'elle aime, celui-ci n'hésitant pas à massacrer l'entourage de ses proies.

Ce tueur fait d'ailleurs quelque peu froid dans le dos notamment avec cette impression qu'il donne d'être omniscient et omnipotent. C'est comme s'il gardait constamment l'oeil sur ses proies malgré tous leurs efforts pour échapper à sa vigilance. A cet égard, j'ai beaucoup aimé le fait que le tueur retourne contre elles les mille et une précautions mises en place par la police et les familles. C'est assez logique, mais diablement tordu à l'image du motif de ses agissements que je vous laisserai évidemment découvrir par vous-mêmes. Je n'avais pas réussi à identifier l'identité du tueur ce qui est un point positif surtout dans un roman jeunesse, genre où les fins semblent parfois téléphonées. Toutefois, j'ai trouvé qu'il y avait un petit décalage entre le tueur tel qu'on le découvre à la fin et celui que l'on suit tout au long du livre, comme si nous étions face à deux personnes différentes.

Enfin, j'ai beaucoup aimé la plume de l'autrice qui vous plonge avec grand réalisme dans son récit au point que durant ma lecture, j'ai parfois eu l'impression de sentir le regard du tueur s'appesantir sur moi. Je ne cherche pas forcément une belle plume dans un thriller, mais quand comme ici, la beauté de la plume se met au service du suspense et de l'angoisse, je ne peux qu'être comblée.

Pour conclure, l'autrice nous propose, grâce à une plume aussi immersive qu'agréable, un récit bien rythmé qui, s'il emprunte des références à un célèbre conte, n'a rien de féerique. Les personnes aimant les histoires à l'ambiance angoissante et à la tension permanente devraient être comblées. Proposé comme thriller jeunesse, je pense qu‘Au bois dormant contient la part suffisante de suspense et d'angoisse pour plaire aux adultes à condition qu'ils acceptent que le récit ne soit pas aussi fouillé que dans un thriller classique. Pour ma part, c'est avec un plaisir certain que je vais me plonger dans la bibliographie de l'autrice dont la plume m'a conquise.
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Ne cherchez pas avec ce titre une romance, une dystopie, ou un roman fantastique. Il s'agit bien de suivre une intrigue policière. Tour à tour l'auteur de ce roman à suspense nous mène soit sur les pas du Rouet ce tueur en série que la police traque en vain depuis des années. Soit dans la vie de Jude, ce flic particulièrement froid qui culpabilise de ne pouvoir mettre la main sur le tueur. Et enfin sur les traces d'Aurore une victime que le Rouet suit patiemment pour pouvoir la tuer le jour exact de ses 16 ans. En attendant ce jour fatidique, Aurore a pris la fuite, essayant de se faire oublier, de semer le tueur. Pourtant elle sait qu'il est là, elle le sent. Lui, il n'est pas dupe, il arrive toujours à suivre ses victimes.

C'est assez prenant. Tout se lit avec fluidité. La plume de Christine Féret-Fleury est impeccable. Soignée, juste équilibrée, alternant entre les passages angoissants qui décrivent méticuleusement les rituels du tueur, les introspections et les doutes des personnages, et l'enquête. Nous sommes embarqués dans une très bonne trame policière qui fait froid dans le dos. On avance tranquillement vers une issue qu'on espère heureuse, mais on ne se leurre pas. Comme Les personnages, nous cernons très vite que le tueur est redoutable, et j'ai retenu mon souffle à chacune de ses apparitions.

Comme dirait Alily, "Cela fait changement".
En effet, ça change en littérature jeunesse ou young-adult de lire autre chose que des romances un peu mièvres et clichées, des histoires fantasy ou fantastiques, des pseudo dystopies... Non là, c'est un bon roman noir qui nous embarque et ne nous lâche pas. J'ai été vraiment surprise d'accrocher, moi qui lit habituellement d'autres genres. Mais je le redis, c'est bien écrit, on ne s'ennuie pas une seconde, et on s'attache particulièrement aux personnages.

Même si l'auteur nous donne quelques indices, que l'on capte assez tôt, que l'on croît avoir compris, n'oublions pas qu'il s'agit de littérature pour jeunes adultes et pas d'un roman à suspense trop torturé qui ne permet jamais d'anticiper ou de comprendre. Là l'auteur place son livre dans un entre deux. Rien ne nous est révélé facilement, mais plus nous avançons dans le roman, plus l'enquête nous paraît prévisible. Pour ma part, une bonne surprise.
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critiques presse (1)
HistoiresSansFin
24 juillet 2014
La plume de Christine Féret-Fleury nous accroche dès le début du roman avec un style très plaisant et tout est là pour nous tenir en haleine : mystère, meurtre, ambiance sombre, non-dits, tueur en cavale, personnages énigmatiques… On se prend au jeu, on mène l'enquête, on cherche les indices et surtout, on s'angoisse.
Lire la critique sur le site : HistoiresSansFin
Citations et extraits (32) Voir plus Ajouter une citation
C'est un cadeau que je me suis fait à moi même. J'ai décidé de ne plus attendre ceux des autres. Désormais, je vais prendre soin de moi. Je vais m'offrir tout ce que je désire.
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Si Ariane, à la nuit tombée, s’approchait d’une fenêtre, son père ou sa mère lui en faisaient aussitôt le reproche. Dévidaient la liste des dangers qui la guettaient. Des bandes de voyous sillonnaient les rues de la ville en voiture. Des règlements de comptes, on en lisait chaque jour le récit dans les journaux. Des seringues jonchaient les pelouses du parc. Des passants étaient tués par une balle perdue.
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Ariane esquissa un sourire. La complicité entre femmes. Celle des petits et grand maux, que l’on cache aux hommes, dont on ne parle qu’entre soi. Ça existait donc.
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Un pas en arrière pour contempler l’œuvre presque achevée. Presque parfaite. Rayonnante. Sauvée, pour toujours, des injures du temps, de la vie laide et triviale qui maltraite, abîme, corrompt. Interrompre ce flux souillé à l’instant du plein épanouissement de la vie, là était le secret. Pour préserver le miracle, le faire durer.
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Si la colère avait un goût, la médiocrité avait une odeur. L’absence d’espoir, aussi. Reconnaissable entre toutes. Lourde. Poisseuse. Un jour, elle vous enveloppait et ne vous lâchait plus. Et tout était fini. Cette saleté sortait de chaque pore de votre peau, imprégnait vos vêtements, vous marquait à jamais.
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Videos de Christine Féret-Fleury (10) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Christine Féret-Fleury
Dans 'Le Pays aux longs nuages' (Marabout), Christine Féret-Fleury raconte l'histoire d'une reconstruction en Italie, celle de deux femmes, Acia et Kamar. Acia est italienne et cherche un sen sà sa vie, Kamar est syrienne et a dû fuir son pays. Elles vont se retrouver et se lier autour de la cuisine, et de tout ce qui fait le charme de ce pays. L'autrice nous en dit plus dans cette vidéo, à travers 5 mots.
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