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Les sortilèges de Zora (bd) tome 1 sur 4

Ariane Delrieu (Autre)
EAN : 9782749309385
56 pages
Vents d'Ouest (28/04/2021)
3.87/5   209 notes
Résumé :
Zora est une pétillante sorcière de 12 ans qui vit, avec sa grand-mère Babouchka, sur le toit d’un immeuble parisien. Victimes de la chasse aux sorcières, elles ont trouvé refuge dans une étrange maison, invisible aux yeux des Nonsorciers et entourée d’un immense jardin magique qui les protège de tous dangers. La vie pourrait être douce mais entre la jeune fille et son aïeul : c’est la guerre. Babouchka n’aspire qu’à une chose que sa petite fille ait une vie normale... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (43) Voir plus Ajouter une critique
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A la bibliothèque, j'ai emprunté : Les sortilèges de Zora, premier tome du diptyque Une sorcière au collège.
Zora est une pétillante sorcière de 12 ans qui vit, avec sa grand-mère Babouchka, sur le toit d'un immeuble parisien.
Victimes de la chasse aux sorcières, elles ont trouvé refuge dans une étrange maison, invisible aux yeux des Nonsorciers et entourée d'un immense jardin magique qui les protège de tous dangers.
La vie pourrait être douce mais entre la jeune fille et son aïeul : c'est la guerre. Babouchka n'aspire qu'à une chose que sa petite fille ait une vie normale, une vie dans le monde des Nonsorciers. Zora refuse de céder, elle, ce qu'elle veut, c'est être une sorcière !
Malheureusement, sa grand-mère use de ses pouvoirs pour l'envoyer, contre son gré, au collège du coin…
Les sortilèges de Zora nous fait découvrir une jeune sorcière de 12 ans haute en couleur. du caractère, cette jeune fille en a.. et pas qu'un peu lol Elle a été envoyé loin de ses parents à cause de dangers dans leur monde. Elle se retrouve donc à Paris avec sa grand-mère, une vieille dame têtue qui a décidée que sa petite fille devait se comporter comme une jeune fille normale ! Pas évident à accepter quand on a 12 ans et pas du tout envie d'obéir à son aïeule !
Sa grand-mère l'envoi au collège en lui jetant un sort pour la normaliser. Évidemment, Zora n'a pas l'intention de se laisser faire !
J'ai aimé la façon dont la grand-mère habille sa petite fille et la coiffe. Pour être vintage, Zora l'est ! le choc des cultures est donc énorme entre les collégiens classiques et notre jeune sorcière. Elle se fait moquer d'elle et elle ne peut pas faire grand chose.
Cela va s'arranger pour elle, heureusement, et elle va tirer son épingle du jeu.
J'ai apprécié ce premier tome, je serais ravie de lire la suite quand elle sera paru et dispo dans ma bibliothèque.
C'est une bonne BD jeunesse avec des dessins qui m'ont beaucoup plu et une colorisation réussie.
Ma note : quatre étoiles.
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Un avis mitigé pour cette Bd jeunesse qui ne brille ni pas son originalité et encore moins par son scénario.


Zora est une sorcière et vit sur le penthouse d'un building parisien dans ce qui semble être à la fois une forêt magique et sa maison. Vivant avec sa grand-mère, elle se voit obligée d'aller étudier en tant que non-sorcière dans une école normale. Incapable de raisonner sa petite-fille, la grand-mère lui jette un sort qui tresse ses cheveux, la rendant alors incapable d'utiliser ses pouvoirs. C'est donc complètement de mauvaise foi que notre ado brimée entre dans au collège, avec le lot de commentaires désobligeants à son endroit et la palette de soucis avec à peu près tout ce qui jalonne sa journée. Mais au moins, il y a un gars mignon qui semble sympathique. Zora y rencontrera Olga, qu'elle soupçonne être sorcière aussi. Reste à trouver comment le découvrir.


Sans dénigrer le beau travail de décors et de graphisme au niveau des personnages, le reste est incroyablement ennuyeux. Une sorcière forcée d'aller à l'école normale, sans la moindre motivation, qui se découvre une comparse d'infortune, c'est à peu près tout ce qui marque le récit. Il n'y a pas de fond en soit: pas de quête, pas de problématique, pas d'enjeux majeurs. On sait brièvement qu'il y un conflit entre sorciers et non-sorcier, rapidement occulté pour des péripéties recyclées. On découvre au final que Zora a vu juste, Olga est sorcière ( on s'en doutait tous) et la voilà libérée de ses nattes, ce qui lui permet de faire des mauvais coups au collège, façon Mortelle Adèle: méchant, gratuit, sans raisons. On ne va concrètement nul part avec un scénario pareil. C'est donc l'histoire d'une sorcière dans une école normale. Que dire de plus?


Sinon, niveau personnage, Zora ne m'a pas vraiment conquis et pourtant j'aime beaucoup les personnages un peu décalés, sortis des standards. Ici, hélas, hormis un incontestable talent pour faire des bêtises et courir partout sans réelles motivations, je ne perçois pas de traits de personnalités réellement tangibles chez Zora. Oui, elle est teigneuse et pas motivée, on le comprend, mais ça reste très de surface. Elle veut devenir sorcière, étant fille de sorcier-sorcière, mais ceux-ci refusent. Voilà pourquoi. Mais c'est encore une raison mainte fois vue et revue qui sert encore d'excuses à faire une histoire. Oh, et bien sur, elle a un gros béguin rapide pour le seul personnage qui l'aime bien ( et accessoirement le type super beau de sa classe, évidemment). On reste dans les éléments connus pour la "clientèle jeune ado-fille de base": de la magie tout en couleurs et en lumière, un début de romance, de la "rebéllitude" pas très bien dosée et un choix de carrière que n'approuve pas ses parents. Il n'y a pas beaucoup de choses nouvelles et rafraichissantes dans ce premier tome, hélas, et pour faire le parallèle avec les nombreux autres livres à thématique "sorcellerie" pour la jeunesse, franchement, ça ne vole pas haut. Olga, pour sa part, est un stéréotype ambulant ( bien que visuellement intéressante): parce qu'elle revêt du Noir, parce que sa coupe de cheveux est originale, parce qu'elle a des symboles ésotériques sur sa tenue, bref, parce que son look détonne, forcément, c'est une sorcière. Et elle se transforme en chat Noir. C'est tellement cliché. Les autres personnages sont si tertiaires qu'ils en deviennent invisibles.


La couverture est à mon sens le truc le mieux réussi de la BD: elle a plus d'âme et un meilleur coup de crayon. Ça laissait entrevoir un monde sombre, quelque chose de fort, mais bon, nous sommes encore dans les couloirs d'une école normale, avec des petits tracas de collégiens banals et des sortilèges en latin à foison.


Côté graphisme, il y avait de bonnes idées: la résidence semi enfouie sous une forêt à la flore exotique-fantastique, la salle de magie de la grand-mère, l'allure des trois veilles sorcière à l'heure du thé ( joli contraste), vraiment, c'était de bons éléments, mais sans réel scénario ni contexte solide, ça ne sauve pas l'oeuvre au final. le dessin est un peu skecthy, les couleurs débordent, c'est un style un peu brouillon à mes yeux, pas laid à regarder, mais pas minutieux non plus. Les expression des visages sont souvent incohérentes ou difficiles à cerner.


Les dialogues étaient eux aussi assez mornes ou déjà vus et ne sont pas d'un niveau très recherché.


Je remarque que Zora, comme une formidable quantité de personnages féminin, a encore un chaperon animalier en la personne d'Edgar le corbeau. Curieux comme tous les personnages filles de l'univers fantastique et fantasy ont un animal pour "veiller sur elles".

Bref, on reste dans les conventions: l'air marabout et la tignasse noire de Zora ne font guère illusion là-dessus. Mon impression générale est qu'on a mélangé des éléments "Gagnants" tirés d'autres histoires de sorciers avec la structure typique des BD qu'on destine aux jeunes filles, ce qui est une grossière erreur. D'ailleurs, le carnet à la fin aussi est un truc déjà vu: notez "Mauve Bergamote" (2021), "Carnets de Cerise"( 2012), le Grimoire d'Elfie ( 2021) qui en contiennent aussi. Quand je disais que cette Bd reprend des éléments d'autres BD, en voilà un exemple typique.

En somme, je ne suis pas convaincu par cette BD, qui reste beaucoup trop dans les codes plutôt rigides ou empruntés à d'autres oeuvres. Zora ne se démarque pas et ne me semble pas attachante du tout, un peu "vide". le scénario quand à lui ne mène nul part, ce n'est qu'une accumulation de péripéties déjà-lus, sans enjeux de fond ou de contexte clair pour au moins lui maintenir la colonne. Je dirais que cette année, il y a un grand nombre de nouvelles séries et certaines méritent plus d'attention que celle-ci, mieux bâties, plus novatrices, mieux écrites et plus profondes. On oublie souvent qu'une BD aussi peut être profonde tout en étant divertissante. Or, "Les sortilèges de Zora" n'est, à mon avis, ni l'un ni l'autre. Une Bd qui n'exploite pas son potentiel, il me semble.

Pour un lectorat du troisième cycle primaire, 10-12 ans.

PS. Si vous voulez une nouveauté réellement intrigante sur le thème sorcellerie: voyez "Grimoire Noir", plus obscure et plus polar, ou la très jolie BD "Lightfall", plus dans la veine de magie-herboristerie, deux très belles BD jeunesse de 2021. Aussi, "Le garçon sorcière" reste un incontournable dans cet univers.
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La couverture est très alléchante, je me suis fait avoir, mais je ne conseillerai cette bande dessinée à personne.
Zora est une jeune sorcière qui doit aller dans une école pour gens normaux et elle doit donc cacher sa vraie nature, l'occasion de développer un ambiance faite de quiproquos, de frustrations. Allez, encore une histoire de sorcière à l'école, il va falloir ramer pour offrir de l'originalité, ici, je dirais plutôt que ça plonge.
Le dessin est efficace, dans l'air du temps, pas vraiment original, mais assez frais et dynamique. Par contre, le scénario est vraiment mince et déjà vu des milliers de fois, il n'offre pas la moindre originalité et s'engouffre lourdement dans les stéréotypes : La fille libérée à un look gothic, et Zora, pour bloquer ses pouvoir est contrainte de porter le look petite fille sage, bref, tu as des tresse et un jupe qui descend au dessous des genoux, tu es coincée, astreinte ; tu a des mèches bleues et des piercings, t'es cool et libérée. le scénario ne vole pas haut, c'est même franchement lourdingue et primaire, sans parler des dialogues, totalement creux. L'histoire a même quelque chose de dérangeant : Zora est victime de moqueries, je ne parlerai pas vraiment de harcèlement, c'est un peu léger (deux pikez qui gloussent dans son dos, on ne va pas en faire un fromage), mais elle va s'en sortir par une vengeance à coup de baguette magique, bonjour les valeurs ! Zora n'est pas très sympathique, l'auteure voudrait faire passer ça pour de l'espièglerie, là encore on sort les gros sabots, elle est tout aussi pétasse que ses ennemies, ce n'est pas du tout assumé, on passe à côté. Et puis, pas de quête, pas d'objectif, d'enjeux, d'allégorie, l'humour ne vole pas haut, pas de finesses d'esprit, pas de second degré, de sens caché, bref, rien à en tirer, le néant.
Et bien non, cette série n'est vraiment pas nécessaire (euphémisme). Il y a tellement de bande dessinée de ce genre de bien meilleure qualité. Il y a des incontournables, celle-ci est plutôt dans la catégorie “à contourner”.
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J'ai complètement craqué devant la couverture qui vous donne un petit aperçu de la beauté des illustrations d'Ariane Delrieu. Lumineuses et colorées, celles-ci offrent un spectacle de toute beauté qui m'a enchantée ! J'ai particulièrement apprécié la manière dont elles nous permettent d'entrer dans l'antre de deux sorcières, Zora, douze ans, et sa grand-mère avec laquelle elle a un petit désaccord. La première aime sa vie telle qu'elle est, bien qu'elle aimerait retrouver ses parents ; la seconde souhaiterait offrir à sa petite-fille un semblant de normalité. Et pour ce faire, quoi de mieux que de l'envoyer dans un collège de Nonsorciers ?

Une décision à laquelle Zora s'oppose comme elle le peut, mais elle ne fait guère le poids face à sa grand-mère qui n'hésite pas à la priver de ses pouvoirs pour qu'elle lui obéisse. Direction le collège donc ! Mais notre adolescente rebelle n'a pas dit son dernier mot, d'autant qu'elle trouvera sur place une alliée de taille… Bien que le scénario me semble parfaitement adapté au public visé, il aurait peut-être gagné à être un peu étoffé, la rapidité des événements rendant l'attachement aux personnages difficile, du moins pour un adulte. J'ai néanmoins apprécié de suivre cette jeune sorcière dans sa nouvelle vie de collégienne lambda. Enfin pas si lambda que cela parce que chassez le naturel, il revient au galop !

Zora est une jeune fille facétieuse qui sait se montrer obstinée, un peu à l'image d'une grand-mère qui pense bien faire, mais qui ne prend peut-être pas vraiment le temps d'écouter sa petite-fille. Difficile néanmoins de lui en vouloir. En effet, par le jeu des allusions, on comprend que la situation des parents de Zora est délicate, et qu'offrir à la jeune fille une porte de sortie loin du monde de la magie, pas vraiment une mauvaise idée… Reste à en persuader une adolescente qui finira pas réaliser qu'aller au collège n'a pas que des inconvénients. On peut y rencontrer des personnes, certaines méchantes, l'effet de groupe n'aidant pas, mais d'autres bien plus intéressantes et/ou accueillantes.

Au-delà des scènes qui ne manqueront pas de faire sourire les lecteurs, Judith Peignen, sous couvert de fiction, aborde avec une certaine délicatesse des thématiques importantes et universelles, a fortiori à l'adolescence : les rapports familiaux, l'envie d'être soi, la peur et le rejet de la différence… Zora, dont le look détonne parmi ses camarades, découvre ainsi les moqueries et les méchancetés, tout en devant concilier les souhaits de sa famille de prétendre à la normalité, et son envie de revendiquer son statut de sorcière, sa différence… À cet égard, Zora semble faire preuve d'une certaine imprudence et insouciance, n'ayant pas, malgré les consignes de sa grand-mère et les mises en garde d'une amie, réellement saisi toute la dangerosité de montrer ses pouvoirs au commun des mortels… J'espère d'ailleurs que cet aspect de l'histoire sera un peu plus exploité par la suite.

En conclusion, Une sorcière au collège pose les bases d'une intrigue qui devrait plaire aux jeunes lecteurs, mais aussi aux personnes appréciant les histoires de sorcières et/ou souhaitant découvrir une héroïne intrépide et rebelle aussi amusante qu'insouciante. Quant à l'ambiance graphique, elle est tout simplement… magique ! Joliment illustrée, drôle tout en abordant des thématiques importantes, une BD divertissante que je relirai avec plaisir.
Lien : https://lightandsmell.wordpr..
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Une BD et une héroïne qui devraient plaire.
Zora, 12 ans, est une sorcière espiègle et récalcitrante à la vie de moldus...pardon...de non-sorciers.
Placée contre son gré chez sa grand-mère à Paris, Zora devra attendre que cela se calme, là où elle vit d'ordinaire avec ses parents.
On nous parlera rapidement de chasses aux sorcières et nous n'en saurons pas d'avantage pour l'instant.

Zora découvrira sa nouvelle vie temporaire dans un nouveau collège et surtout ... sans pouvoirs.
Car bien entendu il faut que la jeune fille au sale caractère fasse profil bas.
C'est cette installation sur un ton plutôt drôle à laquelle les jeunes lecteurs assisteront.

Zora en fera des tonnes pour ne pas se montrer docile et se faire remarquer bien au contraire au collège.
Bien entendu qu'on la trouvera bizarre, quoi d'autres?

Zora est une vraie chipie, ne voyant en aucun cas les bonnes intentions de son entourage pour la protéger.
Sa seule préoccupation sera de récupérer ses pouvoirs et de les utiliser comme bon lui semblera.
Un peu de bazar en perspective.

Le style graphique d'Ariane Delrieu offrira, comme cela se fait beaucoup aujourd'hui, un chouette art Manga personnalisé d'une French touch.
Le personnage de Zora est sympathique dans son tempérament de tornade et avec la coiffure indomptable qui va avec. Sans doute en apprendrons-nous d'avantage sur ce fameux monde magique dont elle fait parti sur un second volume.
L'illustratrice adoptera un look un peu bohème pour les grands-mères magiques, cela sent la Baba sorcière des contes en caravane.
C'est une bonne mise en place rapide, fraîche et dynamique.
Une lecture sans prise de tête.
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critiques presse (3)
Telerama
03 août 2021
L’opposition entre pouvoirs magiques et monde normal fonctionne bien, malgré quelques blagues un peu convenues. Pétillant et dynamique, le dessin souffre parfois d’une mise en place approximative et d’effets lumineux mal maîtrisés, mais rien qui freine une lecture fluide et enjouée.
Lire la critique sur le site : Telerama
BDZoom
31 mai 2021
Zora doit alors s’ouvrir aux autres et tempérer ses envies d’indépendance… comme toutes les adolescentes.
Lire la critique sur le site : BDZoom
LigneClaire
14 mai 2021
Le dessin de Ariane Delrieu est enlevé, souriant mais si besoin sérieux donne à Zora un beau relief qui devrait plaire à un public ado entre autres.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
La chasse aux sorcières a vraiment existé. Dans de nombreux pays d'Europe, principalement aux XVIe et XVIIe siècles, des milliers de femmes sont accusées de sorcellerie et condamnées à mort. Les victimes sont surtout des femmes âgées, des vagabondes ou des guérisseuses : si elles ont le pouvoir de soigner, on croit qu'elles peuvent aussi faire le mal.
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Pour éloigner ses peurs : se rendre auprès d'un saule pleureur, prendre son tronc dans les bras, poser la joue contre l'écorce en chuchotant : "Saule, toi qui pleures chaque jour, prends mes tourments, et j'en fais le serment, je penserai à toi en m'endormant." Faire le tour de l'arbre trois fois et saluer votre protecteur.
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Mais rassure- toi, à Paris, nous sommes sous la protection de la tour Saint -Jacques.
Au sous- sol, se trouve une bibliothèque interdite. Elle agirait comme un méga- talisman pour nous autres, sorcières.
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Te voilà une jeune fille comme les autres, prête à aller au collège... La première de la famille à intégrer le monde des nonsorciers...
A 12 ans, il est temps. Je t'assure, sorcière n'est pas un métier d'avenir...
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On a toujours peur de ce qu'on ne connaît pas.
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1,2,3 BD ! Chez les libraires ! présente les BD coups de coeurs de Guillaume et la librairie Les Bullivores à Périgueux. Les sortilèges de Zora T.3 : Une sorcière au collège. Judith Peignen • Ariane Delrieu. Chez Glénat Peter Dillon, L'énigme Lapérouse - Boris Beuzelin - Glénat BD Des maux à dire. de Beatriz Lema. chez Sarbacane 1,2,3 BD c'est le jeudi à 18h30 sur la chaine Youtube et les RS. Trait pour Trait parcourt toujours les librairies de France pour des conseils de lecture avec le soutien de la librairie Mine de Rien, Alfa BD, la librairie Sanzot et Krazy Kat/ Manga Kat et la planète dessin ! #GALERIE #BD #POPCULTURE #BANDEDESSINEE #COMICBOOKS #9EMEART Retrouvez 1,2,3 BD ! Chez les libraires! sur : https://www.youtube.com/TraitpourtraitBD https://www.facebook.com/TraitpourTraitBD https://www.instagram.com/traitpourtraitbd/ https://twitter.com/TPTBD
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