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4,09

sur 488 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
L'Enfer (début XIVe siècle) est la première partie de la divine comédie, poème épique de Dante Alighieri. Il est composé
en vers hendécasyllabiques regroupés en tercets. En 34 chants, Dante décrit le vestibule et les différents cercles de l'Enfer. Un étonnant voyage fort plaisant.
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Qu'il semble difficile de se replonger dans les « classiques » !! Ils font certes partie de notre bagage littéraire mais sont souvent associés à une période d'apprentissage, de formation qui nous paraît lointaine !
C'est cependant un très bon exercice de se questionner sur celui qui nous a le plus marqué et de le « retrouver ».

Pour ma part, l'ouvrage qui a marqué ma vie étudiante est « La Divine Comédie » de Dante Alighieri, et plus particulièrement « L'Enfer ». Lorsqu'on étudie la langue et la culture italiennes à l'université, c'est une lecture incontournable, tant par sa richesse linguistique et stylistique que par la mine de références et de messages philosophiques que ce chef-d'oeuvre véhicule.
Grâce à mes études, j'ai pu lire ce poème « dans le texte », ce qui permet une immersion plus approfondie dans la Florence du XIVème siècle. C'est le premier texte véritablement en italien.
Composé de trois « livres » (Enfer, Purgatoire et Paradis), c'est la première partie (ou cantica) qui a ma préférence.
Débutant par le célèbre vers « Nel mezzo del cammin di nostra vita mi ritrovai per una selva oscura, che la diritta via era smarrita », Dante évoque d'emblée une problématique intemporelle : le sentiment de l'être humain de se sentir perdu, en constante lutte pour trouver ou retrouver la lumière.
Ce voyage initiatique en Enfer va nous permettre de rencontrer tous les péchés de l'Homme et de croiser des figures emblématiques de la mythologie, de l'Histoire médiévale et du domaine des arts de l'époque. A l'image de Virgile qui guide Dante, nous pouvons penser que par l'écriture de ce texte, Dante guide à son tour son lecteur.
La célèbre illustration de Botticelli de ce monde souterrain rend concret ce voyage et nous permet, tout au long de la lecture, de nous situer (géographiquement et intellectuellement).
Nous rencontrons ainsi, entre autres, les philosophes et savants grecs et latins contraints de séjourner dans les limbes puisqu'ils ont vécu avant l'avènement du Christ, Paolo et Francesca da Rimini, Cléopâtre emportés par la passion.
Les lieux, les sentiments et les notions sont décrites de façon si précise que le lecteur peut littéralement visualiser cette visite de l'Enfer. le même procédé sera employé pour le Purgatoire et le Paradis.

Cette oeuvre majeure a traversé les siècles, les sujets étant transposables à n'importe quelle époque.
À elle seule, elle représente une mine inestimable d'informations culturelles et les artistes de tous les temps en ont fait une source d'inspiration qui semble intarissable.
Pour l'avoir relu par la suite en français, c'est la traduction de Jacqueline Risset qui m'apparaît comme étant la plus fidèle.
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Que l'on adhère ou pas à l'oeuvre, elle reste un monument de la littérature mondiale, et fait parti de l'Histoire, en étant considéré comme une pièce charnière de l'émergence de la nation italienne par l'avènement et la vulgarisation de la langue italienne.

Cette traduction concerne l'entièreté de "La divine comédie ", et non uniquement la partie la plus célèbre du triptique, "L'enfer" ; " le purgatoire " et " le paradis" y sont aussi.
Un enfer particulier d'ailleurs puisque très peu enflammé, et dont le 9eme et dernier cercle, paradoxalement glacé, inspirera, en sus de gravures d'illustrations, une splendide et monumentale toile de l'artiste Gustave Doré.

Cette version moderne élimine beaucoup de lourdeurs, des noms propres, ne sauvegardant pas spécialement la structure des rimes , et aboutit in fine à un poème en prose fluide et lisible, bien que les annexes explicatives nécessaires restent très nombreuses.

L'oeuvre reste en priorité un manifeste politique, la situation des antagonismes florentins (les familles guelfes) constituant l'ossature du voyage de Dante à travers le post-trépas, en faisant ainsi un quasi pamphlet par moments.
La charge anti papale, virulente, en fait ainsi partie.
Outre la politique locale, la culture gréco-romaine, marqueur des personnalités érudites de l'époque, rythme aussi ce voyage à travers les strates de l'au-delà.

La structure même des trois étages post-mortem obéit à un modèle organisationnel très strict, en cercles, hiérarchisé telle une grande entreprise moderne.

Il est difficile de "noter" ce monument littéraire qui reste évidemment régulierement abscons maintenant, mettant en scène des personnages certes localement importants à l'époque mais oubliés depuis, et sans les annexes de la traduction la plupart des chants seraient ésotériques.
Même en version allégée, la lecture, demandant une attention soutenue, n'est pas toujours facile.
L'intérêt est culturel et historique, et l'on peut aisément se laisser entraîner dans ce romantisme poétique et ces descriptions oniriques.
Personnellement, pour alléger, j'ai coupé entre chaque strate post mortem, avec un petit roman classique.

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Formidable traduction d'une oeuvre majeure de la littérature.
Une étoile en moins pour le confort de lecture : non pas pour la mise en page qui est excellente et met en relief la traduction française avec la version originale mais plutôt pour avoir passé mon temps à atlerner entre récit et notes explicatives. En effet, si l'oeuvre est révérée pour la vision dantesque (facile, je sais) des enfers, elle est aussi très ancrée dans l'histoire politique italienne contemporaine de l'auteur... Plus d'une centaine de personnages (tré)passent sous le regard critique et cynique de Dante, lesquels m'ont plus d'une fois fait perdre le fil d'une lecture rendue ardue par leur accumulation





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Bam ! Chers amis, j'ai terminé ce matin de lire L'Enfer, premier volet de la célébrissime Divina Commedia, en langue originale et je n'en suis pas peu fière. Tous les Italiens l'ont étudié à l'école et mes amis en gardent un souvenir fasciné pour certains, écoeuré pour d'autres. Il m'aura fallu un peu plus d'un mois pour arriver au bout de ce premier voyage mais quel plaisir de faire un pas de plus dans la connaissance de la culture italienne.

Mais revenons un peu à l'histoire elle-même...
"Chi è costui che sanza morte / va per lo regno della morta gente?" interrogent les diables au Chant VIII. Celui-ci, c'est Dante lui-même qui a entrepris une étrange expédition, guidé par Virgile. Oui oui, l'auteur de l'Enéide, qui d'autre? D'étage en étage, Virgile va montrer à Dante les différentes catégories de damnés et l'on croisera, outre des contemporains de l'écrivain protagonistes des innombrables querelles entre les villes toscanes, quelques illustres personnages : Ulysse, Judas... et même Mahomet, figurez-vous ! A chaque type de péché sa punition : les coléreux sont immergés dans le Styx, les flatteurs dans les excréments (quand même, il faut bien qu'on sourie de temps en temps), les hypocrites sont couverts d'une chape de plomb, les hérétiques gisent dans des tombes enflammées, les voleurs se transforment en serpent, etc.
Le tout est écrit en vers et dans un magnifique "italien" du début du XIVème siècle. Evidemment, il m'était impossible de tout comprendre mais mes amis italiens m'ont assurée qu'eux-mêmes ne pouvaient se passer des très nombreuses notes. On en apprend aussi un peu sur la situation politique de la Toscane à ce moment-là et, surtout, on a la preuve que les désaccords entre les villes de cette région ne date pas d'hier !
Au final, L'Enfer est loin d'être la très longue poésie barbante que croient certains. Dante exprime des émotions très variées selon les passages ; il est tour à tour effrayé, amusé, intrigué. Certains des personnages sont détestables et d'autres, au contraire, suscitent une grande sympathie, comme par exemple Francesca ou Ugolino.
Je vais m'accorder une petite pause avec des lectures moins difficiles mais compte bien, dans les mois qui viennent, m'attaquer au Purgatoire.

Challenge ABC 2022/2023
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L'Enfer est le premier tome de la Divine Comédie. Suivront le Purgatoire et le Paradis.

Jamais je n'avais tenté cette lecture, celle-ci me paraissant totalement hors de ma portée intellectuelle, tant les commentaires font en général montre d'une culture phénoménale...
On sait le rôle majeur qu'a joué cet ouvrage dans l'histoire de la langue italienne, et sa notoriété mondiale qui en fait l'un des chefs-d'oeuvre de la littérature médiévale.
Ce livre me semblait réservé à une élite d'universitaires et de sachants dont je ne fais pas partie.

Et pourtant j'ai décidé de me faire ma propre opinion, et de passer outre ces freins.

J'ai lu avec beaucoup d'intérêt et de curiosité.
Bien sur, je n'ai pas compris toutes les allusions très érudites à une foultitude de personnages, dont Dante alimente son poème, mais cela ne m'a finalement pas tant gênée que cela.

Le message est assez universel , le chemin vers le mal aussi.
Et que l'homme se nomme Guido de Sienne ou Perlimpim ne change pas fondamentalement la teneur du message que Dante nous fait passer.
C'est mon avis d'inculte.

Ce 1er tome est une description des cercles de l'enfer.
La lecture est incroyable, on dirait volontiers aujourd'hui que l'auteur avait sans doute un peu abusé de substances hallucinogènes...
On retrouve dans ces descriptions toute l'iconographie que l'on voit dans les églises, même encore aujourd'hui , et tout l'imaginaire qui a inspiré les peintres et qui continu à le faire plusieurs centaines d'années plus tard .
C'est ce qui m'a le plus impressionnée.
C'est tellement imagé !
Le texte est beau.

C'est moins long et moins pénible à lire que ce que je ne craignais.
A la fin de cette lecture on comprends bien comment l'Eglise a pu se servir de cet imaginaire pour effrayer les gens .





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L'enfer... Ou le bouquin que franchement pas si simple... et pas pour les raisons qu'on croit. ♫ Laissez-moi chanter♫ enfin zut quoi !

Pitch :
Bon paf !... le vl'a ti pas aux enfers... Enfin il doit surtout les traverser, cheminer, et les passer pour arriver à destination... heureusement il a un guide ! Mazette, y en a un tas... Suivant le péché commis, les pécheurs se retrouvent dans un cercle avec les tortures idoines... c'est pas super super cool pour un lieux de voyage, et de vacances encore moins !

Alors oui, l'enfer de Dante, la Divine Comédie tout court, c'est pas simple.
Et si c'est pas simple, ce n'est pas une question de vocabulaire, ou de style, ou de quoi que ce soit dans ce goût-là, non.
C'est pas simple parce que ce sont des chants. Et pour moi un chant, bin ça se chante, se déclame. En gros ça se lit à voix haute, rien que pour trouver le souffle, le rythme... pour ressentir.

« Je vis plus de mille diables au-dessus des portes
précipités du ciel, qui disaient pleins de rage :
" Qui donc est celui-là qui sans avoir sa mort
s'en va par le royaume des âmes mortes ? " »

Bon bin franchement se mettre à déclamer du Dante dans le bus, bin vous risquez de passer pour un allumé du bulbe et c'est bien dommage. On vous regarde super louche...
Donc le bus on raye...

A la maison, vous vous retrouvez avec un chéri qui vous regarde avec de grands yeux.. Bon il sait bien que vous avez un pète au casque, mais quand même.
« Et cette difforme image de la fraude atterrit de la tête et du buste, mais sur la rive elle ne tira point la queue.
Sa face était celle d'un homme juste, si bénigne en était l'apparence, et le corps en bas était d'un serpent.
Elle avait, au-dessous des aisselles, des pattes velues ; sur le dos, la poitrine et les deux côtés, des lacs peints et des boucliers. »

Alors vous expliquez, que vous lisez du Dante, que c'est très chouette, que c'est une référence en littérature, une référence pour plein de trucs, que c'est votre kiff les diables, les mythologies et toussah, mais que c'est des chants donc ça se déclame..
Votre chéri vous regarde louche... bon...

Alors vous prenez votre bouquin, pour aller dans un jardin pas loin, histoire de... et c'est reparti, vous déclamez bien fort cette poésie magistrale, vous êtes bien dedans..

« Descendu au pied de ces malignes pentes grises, ce triste ruisseau y engendre un marais nommé Styx.
Et moi qui regardais, attentif, je vis dans ce bourbier des gens tout nus, couverts de fange, le visage courroucé.
Non pas seulement avec la main, mais avec la tête, avec, la poitrine et les pieds ils se frappaient, et en lambeaux se déchiraient avec les dents. »

Et là paf, y a une maman qui vient vers vous, vous dire que vous faites peur aux mômes qui jouent plus loin.. Vous aviez pas vu, mais derrière un gros bouquet d'arbres bin y a une aire de jeux pour les petits poulets.
Vous vous expliquez, Dante, chant, poésie... rien n'y fait vous faites peur aux mômes, on vous regarde louche...

Bon... vous êtes têtu (enfin moi)... vous rentrez chez vous, direction la terrasse, et c'est reparti mon kiki comme en quarante...
« Nous faisions route avec les dix démons.
Ah féroce compagnie ! mais à l'église
avec les saints, et à la taverne avec les gloutons. »
Là y a une fenêtre des voisins qui s'ouvre et un bon gros « ta gueule ! » qui fuse...
Diantre !
Le monde se liguerait-il contre moi ? Ne pourrais-je dont point terminer ma lecture, faire entendre la chanson ?
Ne vais-je pouvoir ressentir le cheminement, le souffle, le rythme de cette grande poésie.. le monde serait-il fermé aux poètes ? Aux envolées, au magique, au terrible... zut alors c'est ty pas dommage... et triste aussi.

Pourtant on rencontre du beau monde dans ces enfers. Pourtant c'est une sacrée aventure. Pourtant c'est beau. Les images sont fortes !
Bon même si je dois dire qu'il faut une certaine culture quant aux noms énumérés, et que c'est un règlement de compte de l'époque (dont je me fous royalement), mais ça n'entrave pas tant que ça la lecture. J'ai fait fi.

Mais d'un autre côté ça m'étonne pas trop, j'avais déjà testé avec l'Iliade, et j'avais déjà eu le même retour... Nan on est vraiment des tristes... si peur de tout... ce sont juste des mots, ou est-ce autre chose ?...
Envie pour instant de devenir comme Diogène, et d'envoyer péter tous ces braves gens...

P.S: j'ai la jolie édition du Chêne, sorte de petit précis, petit précieux avec plein d'illustrations ^^, et sur L'enfer de Dante, c'est pas ce qui manque ! ça aussi ça aide...
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Me voilà aux portes de l'enfer… Là le texte devient plus simple à lire et ce qui est le plus intéressant, c'est le schéma des cercles de l'enfer imaginé par Dante. Dans chaque cercle, Dante et son guide Virgile rencontrent des damnés avec qui ils parlent. Ils côtoient également beaucoup de personnages historiques et mythologiques, gardiens des cercles. Les sept péchés capitaux et autres y sont « punis ». J'ai beaucoup aimé les références à la mythologie grecque.
Lien : http://virginielastella.over..
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Dante se promenait tranquillement dans les bois quand il se perd le chemin, mince alors. Hélas, pour ne rien arranger, trois vilaines bêtes l'empêchent d'avancer. Soudain survient un homme qui repousse les bêtes. C'est Virgile, le fameux poète de l'Eneide ! Seulement voilà, pour l'avoir sauvé, il lui ordonne de visiter l'Enfer avec lui, ce qui embarrasse bien Dante qui n'a pas très envie d'aller là-bas et on le comprends, l'Enfer n'est pas un bel endroit pour faire le tourisme. Mais voilà que Béatrice, une jolie femme, intervient pour le rassurer sur son voyage et l'encourager à poursuivre le périple. Dante va donc s'enfoncer dans l'Enfer et découvrir ses joyeux cercles avec ses suppliciés divers et variés et ses horreurs les plus insoutenables...
C'est d'un résume un peu humoristique que j'attaque un chef d'oeuvre de la littérature italienne et de la littérature mondiale. L'Enfer de la Divine Comédie. Certes, il y a le Purgatoire et le Paradis qui sont tout aussi connus de ce gros morceau littéraire mais c'est l'Enfer qui est le plus magistral tant ses personnages et ses références sont désormais inscrits dans la culture populaire.
On accompagne Dante dans un voyage en enfer très imaginatif et s'il condense les savoirs de son temps (le Moyen-Age), sa vision de l'Enfer est tellement créative et originale qu'elle marque longtemps l'esprit. Mélangeant les cultures greco-latines, les références bibliques ainsi que des touches d'actualité, le lieu ainsi que ses habitants infortunés.
En une trentaine de chants, c'est une descente hallucinantes avec ses cercles cauchemardesques. Des amants ayant cédé à la chair qui sont condamné à être emporté par un tempête. Un fleuve où les coléreux nagent dans les tourments. Des coureurs pleurant du sang. Un monstrueux Lucifer à la fin dévorant Judas et les traîtres... un tableau fantastique et propre à nous donner des cauchemars et tellement originaux qu'ils sont à jamais dans notre esprit.
Entre temps, de grandes figures sont revisités, suivit de quelques histoires tristes et déchirantes. La (courte) passion de Paolo et Francesca qui sont à présent rentré dans la légendes des amoureux mythiques comme Romeo et Juliette, Tristan et Iseult. Ugolin qui a été contraint de manger ses enfants pour survivre et d'autres qui vous marqueront le coeur.
En revanche, autant ces épisodes sont sympathiques, autant elles mettent du temps à venir tant les vers sont trèèèèèès longs (même s'ils sont beaux, faut l'avouer), il y a des longueurs interminables, des dialogues sans fin et qui n'ont aucun intérêt sans compter aussi la montagne de notes qui encombre le récit tant les références sont nombreuses. Ah oui, le début tarde un peu.
Mais maintenant, j'ai lu un véritable classique littéraire et je peux maintenant comprendre les innombrables références qui parsèment les oeuvres d'aujourd'hui. Et surtout, c'est une vision de l'enfer magistrale et magnifique que nous avons là. Si vous voulez bien sûr descendre avec Virgile et vous confrontez aux damnés et aux démons... Car vous qui entrez ici, abandonnez toute espérance...
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Une lecture finalement plus facile que je ne pensais grâce aux notes précises en fin du livre, un grand merci au traducteur. Après une pause je continuerai les autres volumes.
Cependant, Il m'a manqué, pour savourer pleinement cet ouvrage, une meilleure connaissance du contexte historique auquel Dante fait sans cesse référence.
J'imagine la peur engendrée par une telle lecture chez les contemporains de Dante !!!
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