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EAN : 978B004Z4ZU66
litterature chinoise (30/11/-1)
2.33/5   3 notes
Résumé :
Ce recueil regroupe six nouvelles composées par Ba Jin dans les années trente.
Les personnages : de jeunes intellectuels progressistes, révoltés contre l'ancienne société, à la poursuite de l'amour, de la démocratie, de la liberté - et de simples gens du peuple aussi, avec leurs difficultés et leurs drames.
Pureté du langage, intensité des sentiments, profondeur psychologique, et cette tonalité poétique et triste, typique des œuvres de Ba jin à cette ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
J'ai essayé 2 nouvelles. Difficile d'adhérer à ces récits. La Chine dans les années 30. le plus souvent des histoires d'amour contrarié. L'auteur dépeint très bien les ambiances, souvent maussades. Mais l'écriture est lente, redondante, sans rebondissement. On s'ennuie, on cherche vainement à s'accrocher à quelques chose sans y parvenir. Peut-être que cela vient aussi des traductions. Je ne sais pas.
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Je maigris à vue d’œil. Tous les jours, je me regarde dans la glace en soupirant...
Les fleurs de pêcher qui ornent la tombe de notre frère sont-elles fanées ? Peux-tu m'en envoyer quelques pétales ? Ces fleurs roses ressemblent aux joues de celle que j'aime.
L'automne pour moi est déjà arrivé. C'est un automne pluvieux, sans fleur. La pluie tombe goutté à goutte sur mon cœur qu'elle achève de briser...
Oui l'automne m'habite, l'automne dans le printemps. Je ne connaîtrai plus que cette saison-là toute ma vie...
page 213
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La rue qui s'étendait devant moi était large mais déserte. Les mourantes lueurs des lampes frémissaient à la devanture des magasins. Quelques pousse-pousse roulaient en silence sur la chaussée. Deux ou trois silhouettes indolentes passaient devant mes yeux...
Tout était inerte, sauf la pluie, cette pluie qui tombait toujours avec force, sans interruption. Avec un air menaçant, elle frappait le pavé sans vie.
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- Par ce temps magnifique, nous, jeunes et amoureux, nous nous trouvons au milieu d'un beau paysage, et nous ne parlons que de vie, de mort, ou de suicide ! N'est-ce pas absurde ?
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