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Il s'agit d'une confession déguisée, d'un aveu lucide sur les maux de l'écrivain, et De Balzac plus particulièrement.
En fait, si l'on se détache de l'histoire, on trouve un manifeste sur le sacrifice demandé par la création… c'est-à-dire, de l'absolu. L'aveu est assez pessimiste, en dépit de l'optimiste inépuisable De Balzac. Il le concède, tout y passera. Argent, amour, famille et morale. Tout sera sacrifié dans cette quête. L'artiste est seul. L'oeuvre est faite dans la solitude. Tout se creuse, s'évanouit, disparaît devant l'ombre asociale de cet être mystérieux qui travaille à perfectionner son art. La solitude et l'art. La recherche de l'absolu. Je pense alors à Rilke et aux Lettres à un jeune poète en refermant ce terrible et magistral roman De Balzac.
(critique complète sur Instagram)
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Roman à vocation philosophique de la comédie humaine De Balzac.
L'auteur avait de grandes ambitions pour ce roman que je trouve un peu mineur quand on connaît les illusions perdues, la peau de chagrin ou Eugénie Grandet.
Le titre évoque, certes le point culminant d'une recherche à priori plus métaphysique que chimique. Avec L'Alchimiste de Joseph Wright of Derby en couverture de ma vieille édition poche, j'aurais du me méfier un peu.
Mais comme j'aime bien lire Balzac de toute façon je ne me méfie jamais.
Cette nouvelle peinture réaliste d'un échantillon social français au début du XIX ème siècle se situe en Flandre, et pour l'essentiel dans une somptueuse maison bourgeoise à Douai.
Cette riche demeure méticuleusement décrite au début du récit va contenir les déboires de la famille Claës issue de la puissante confrérie des Tisserands de Gand.
Le chef de famille, Balthazar Claës, vit donc de ses rentes. Il pourrait se la couler douce avec sa très dévouée compagne, la très pieuse et aimante Joséphine.
Mais voilà, Balthazar est obsédé par la découverte de l'Absolu. Et là, c'est le drame!
Je ne vais pas vous narrer de quelle manière cette passion dévorante pour la science va épuiser la famille Claës, on appelle ça "spoiler" ou divulgâcher, comme vous voudrez..
J'ai juste eu parfois l'impression que le personnage principal était cette massive construction en pierre avec sa façade ornée de chêne, ses murs de briques rejointoyées, imposant édifice parfaitement entretenu par des générations de parvenus flamands. Cette maison bourgeoise contient des habitants qui vont et viennent au gré du temps, transportant leur or dans un sens, puis dans l'autre, déménageant du mobilier, de l'argenterie, décrochant les tableaux de maîtres Flamands ou Hollandais des murs, pour en accrocher d'autres plus tard... Aller et venir, les mines tantôt réjouies tantôt graves, parfois partir pour ne jamais plus revenir. La faune locale joue ainsi sa petite pantomime dans les entrailles de cette sinistre et impassible architecture douaisienne, et l'on réalise que ces petits personnages avec leurs folles histoires, ne font finalement que déambuler sans fin dans ce lourd décors impassible qui lui, demeure.
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Ce n'est pas l'oeuvre De Balzac la plus connue mais je l'ai trouvée extraordinaire. On se prend à espérer découvrir l'absolu avec la famille Claes jusqu'à la dernière page du roman, car Balzac nous tient en haleine jusqu'à la fin à travers les recherches farfelues de Balthazar, un père de famille fantomatique, absorbé par la chimie et qui risque à chaque instant d'entraîner sa famille et son nom vers la ruine et le déshonneur. La finesse psychologique des personnages est toujours époustouflante, on a parfois du mal à croire qu'un auteur ait réussi à disséquer l'âme humaine de façon si précise et si juste. Un grand moment de literature.
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Comme pour chaque livre, la seule question qui subsite une fois la lecture achevée est de savoir s'il m'a suffisamment plu, interpellé, questionné ou émerveillé pour que je souhaite me replonger un jour dedans et parcourir une nouvelle fois ses pages. La réponse est non, jamais et il n'y a aucun doute dessus. Je suis fâché, malgré moi, avec Balzac et irreconcilable. Je n'ai jamais eu de plaisir à lire ses oeuvres et pense ne jamais en avoir.
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Balzac nous entraîne à Douai dans la demeure cossue où 5 générations de marchands flamands ont accumulé des trésors : tableaux de maîtres, panneaux de bois sculpté, meubles anciens, argenterie jusqu'à une collection de tulipes précieuses. La Maison-Claës est un élément central du roman et Balzac se fait un plaisir de la décrire minutieusement.

Il nous rappelle que les Flandres, Pays Bas et Belgique, furent autrefois espagnoles et la famille Claës a aussi des titres de noblesse espagnole. 

Balthazar Claës a tout pour être comblé : riche, beau, instruit (il a étudié la chimie chez Lavoisier , rencontré Helvétius). Il épouse Josephine de Temninck, en 1795, riche héritière de noblesse espagnole très pieuse,  mais un peu contrefaitec'est un  mariage heureux, mariage d'amour qui a donné de beaux enfants..

Rien ne présage de la suite de l'histoire qui déraille en 1809 quand un soldat polonais est logé chez Claës pour un très court séjour. Quel secret a-t-il transmis à Balthazar? Il s'éloigne de sa femme et de ses enfants, néglige la vie sociale et s'enferme à la "Recherche de l'Absolu". Cette expression qui donne son titre à ce volume n'est évoqué que p.62, au tiers du livre et j'ai hésité à le dévoiler dans ce billet pour ne pas divulgâcher le plaisir de la découverte. Un seul indice seulement :  il s'agit de chimie (Balthazar a été l'élève de Lavoisier).

Balzac a déjà emmené le lecteur dans les ateliers d'artistes, les théâtres, l'étude de notaire. Dans la Recherche de l'absolu,  il l'entraine dans le champ de la Science. Chimie ou alchimie? Quelle est la chimère qui va dévorer toute la fortune des Claës? En rédigeant ce billet j'ai eu la surprise d'apprendre qu'un procès avait été intenté  en 1831 par le banquier Arson au mathématicien polonais Wronski, l'accusant de l'avoir escroqué en lui vendant le secret de l'Absolu.  

Les admirables portraits des personnages féminins : Josepha, la mère et Marguerite, la fille contrastent avec les caricatures de vieilles filles ou les femmes de salon intrigantes que j'ai rencontré dans nombreuses oeuvres de l'auteur. Au moins un roman où les femmes sont à l'honneur! 

Encore une fois, Balzac a réussi à me surprendre là ù je ne l'attendais pas
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Balthazar Claës ayant épousé à Douai Joséphine de Casa-Real fait partie des familles les plus aisées de Douai. Quatre enfants sont nés de cette union : Marguerite, Félicie, Gabriel et Jean.
En épouse dévouée et pieuse, Joséphine se plie à toutes les exigences de son mari.
« elle aimait Balthazar Claës avec cet instinct de la femme qui donne un avant-goût de l'intelligence des anges. »
Mais trop. Par une obstination excessive jusqu'à la folie démoniaque, Balthazar consume la fortune familiale jusqu'à rendre les siens au bord de l'indigence et causer la mort de son épouse dont la ferveur patiente est portée à ses limites.
« Elle attendait des remercîments passionnés pour ses sacrifices, et trouvait un problème de chimie. »
C'est alors la fille aînée, Marguerite qui prend les rennes de la maison, destitue son père de ses droits et redresse les comptes aidée par son cousin notaire Pierquin et surtout de son chaste amoureux, Emmanuel de Solis, neveu de feu le confesseur de sa pieuse mère. Mais c'est sans compter sur le démon de la Science qui s'est emparé de Balthazar.
Ce roman De Balzac fait partie des « Etudes philosophiques » et montre comment la connaissance, la recherche à tout prix détruit la vie même. En cherchant la fortune pour les siens, Balthazar la dilapide. Son nom évoque celui du roi mage qui apporta au Christ de l'or. On sent parfois que la recherche chimique de Balthazar n'est pas vaine car sa femme et ses enfants très patients avec ses frasques de savant fou, y croient plus ou moins. Joséphine, surtout veut partager cette folie avec son mari en lisant les mêmes ouvrages de chimie ; son amour absolu l'amène à vouloir tout partager avec son mari. C'est un peu une vision du jardin d'Eden dans lequel on trouve le serpent (le Polonais dont la lettre est à l'origine de la folie de Balthazar) et Adam et Eve avant la chute (les amours purs et chastes d'Emmanuel et de Marguerite) et bien le fameux Arbre de la Connaissance dont on ne doit pas manger les fruits sous peine de damnation.

« Je fais les métaux, je fais les diamants, je répète la nature, s'écria-t-il. »
« Toute vie implique une combustion. Selon le plus ou moins d'activité du foyer, la vie est plus ou moins persistante. »

On a toujours une touche chrétienne chez Balzac et l'innocence de certains de ces personnages en est si touchante qu'on lui épargne les clichés sur l'amour et la résignation, la modestie et l'altruisme ou encore sur les femmes :
« La passion humaine ne saurait aller au-delà. La gloire de la femme n'est-elle pas de faire adorer ce qui parait un défaut en elle. »

C'est aussi, plus prosaïquement, une étude à la manière inimitable De Balzac des tractations financières au dix-neuvième siècle, les ventes de propriétés, les rachats d'hypothèques, les emprunts etc.

« toute la société, Balthazar était un homme à interdire, un mauvais père, qui avait mangé six fortunes, des millions, et qui cherchait la pierre philosophale, au Dix-Neuvième Siècle, ce siècle éclairé, ce siècle incrédule, ce siècle, etc… »

Ecrit en trois mois entre juin et septembre 1834, on sent la vitesse de la plume, l'urgence de conclure et Balzac, en emmenant son lecteur vers une réflexion philosophique sur la connaissance en général et la recherche obstinée en particulier, nous rend ce personnage de Balthazar Claës agaçant dans son délire dévorant et égoïste mais magnifique dans sa recherche obstinée et les dernières pages en sont sublimées. Ce sont d'ailleurs ces derniers paragraphes qui m'ont fait lire ce roman car ils y sont cités verbatim dans la classe du jeune Doinel des « quatre-cents coups » de Truffaut. Il y a des plagiaires plus incultes !
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La recherche de l'absolu
Balzac
roman « philosophique », ou étude de moeurs, 1834, 302 p, Livre de Poche


Ce livre-là, dans cette collection, se vend 90 centimes en ligne. C'est dire si les classiques sont à portée de tous. La vérité oblige à dire que l'édition n'est pas fameuse, et que les caractères sont petits. de plus, quand on entre dans un roman classique du XIX°, on est saisi dans l'épaisseur, la compacité, de l'écriture, très éloignées de la légèreté, de la fluidité, de certains jeunes auteurs contemporains. le récit n'est pas non plus divisé en chapitres. Je laisse la question du contenu à part. Même si la vision de la femme, dans ce livre, appartient à son époque, soit le début du XIX°, une créature qui mérite tous les éloges, mais reste une créature faible. En tout cas, un des personnages féminins fait exception. Même si des envolées lyriques datent.
Quand l'histoire commence, on est en 1812, fin août, dans une maison bourgeoise et cossue de Douai, « où respire l'esprit de la vieille Flandre ». La maîtresse de maison, riche héritière espagnole, est déjà bien malade, à cause de la folie ou de l'entêtement génial de son époux. Ce qui la caractérise, outre ses imperfections physiques-elle est petite, boiteuse et bossue- c'est sa noblesse d'âme, et l'amour immense qu'elle porte à son mari, pour être en communion de qui elle va apprendre la chimie, science qui chasse la raison, prétentieuse et blasphématoire puisque ceux qui la pratiquent se mettent au-dessus de Dieu qui seul crée. L'époux est Balthazar Claës, un Flamand aisé, cultivé et exemplaire, qui a rencontré un gentilhomme polonais, versé, disait-il, en chimie ; Claës, ancien élève de Lavoisier, ruine alors les siens par sa recherche de l'absolu. Ils ont quatre enfants.
Les années passent, la maison coule, le chimiste croit toujours en sa chance d'une fameuse découverte, la mère meurt, et la fille aînée prend sa place. Un notaire de ses cousins lorgne sur la fortune qui lui reste, mais elle est éprise d'un jeune garçon de condition modeste, dont l'âme répond à la sienne. Cependant elle a promis à sa mère mourante qu'elle ne se marierait pas pour remplir le rôle de gouvernante de la famille.
Grâce à une intendance parfaite, la maison recouvre son lustre d'antan avant de le perdre à nouveau. le roman s'étend sur vingt ans.
Balzac dresse le portrait d'un génie, passionné, qui veut illustrer de gloire sa maison par ses recherches, mais qui, pour elles, est capable de servilité en demandant de l'argent à sa fille. Car, si grands qu'ils soient, les hommes se rattachent à l'humanité par des petitesses. Toutefois, il laisse la chambre de cette dernière en l'état, par reconnaissance pour tout ce qu'elle a fait pour lui, mais aussi par la foi flamande de la parole donnée. Ce génie peut paraître fou aux yeux des ignorants -qui, au spectacle de la vraie douleur, éprouvent une sorte de jouissance qui les dispose à tout absoudre, même un criminel-, mais avec sa grande intelligence, il offre un spectacle formidable et tragique, lui qui, « Titan foudroyé » se condamne lui-même d'avoir dévoré trois fortunes, et que la nécessité muselle. Quoi qu'il en soit, sa passion le dévore -ses pieds lents et traînants semblent déserter par la vie, il ne prend plus soin de lui, son laboratoire est un atelier complètement en désordre. Où est le caractère flamand, que caractérisent l'ordre, le sentiment du devoir et la réflexion? Il vieillit, il délaisse sa famille, et engloutit des sommes folles. Mais l'auteur, d'autant plus qu'il n'était pas indifférent à l'absolu – la chimie était pour lui l'occasion de parler de sa pensée, de sa mystique, de son occultisme- et peut-être ses lecteurs, ne cessent d'admirer la persévérance de cet homme de génie. Alors qu'une découverte est presque toujours le fruit du hasard. Et que, franchement, pensent les médiocres, la quête de la pierre philosophale dans un siècle éclairé ressortit à de l'alchimie. Les créations du génie sont très longtemps méconnues.
La sagesse féminine, sensée, active, constante, sert de pare-folie, en se contraignant à une économie drastique, et en veillant à la respectabilité du savant qui s'abîme dans son idée fixe. Avec Marguerite, la fille aînée des Claës, Balzac brosse une âme forte et sensible, qui sauve la fortune de sa fratrie, conserve la dignité à son père, et peut goûter le bonheur avec un homme aussi pur qu'elle.
Balthazar et sa fille sont des êtres sublimes.
C'est aussi une ville de province qui est peinte, Douai, ville qui se modernise le plus de toutes les villes du Nord, où l'amour du progrès social est le plus répandu ; à cause des vicissitudes politiques, elle appartient ou non à la France, voit les aristocrates s'écarter des bourgeois. Elle est soucieuse de ses traditions, avec la chambre de l'épouse considérée comme un sanctuaire, avec sa soupe au thym égayée de boulettes de viande, avec sa vaisselle, ses dîners, et son parterre de tulipes, et la fameuse tulipa Claësiana , avec ses fêtes de Gayant.
S'il est un aphorisme à retenir de ce roman, ce serait celui-ci : « Sois célèbre mais sois heureux aussi ». Claës aura manqué la célébrité et n'aura pas connu le bonheur à la fin de sa vie. le génie coûte cher.
Si l'on veut entrer dans le roman, on lira une histoire prenante, on s'attachera aux personnages, on sera happé par la peinture de la déchéance qui malgré tout laisse l'homme déchu grand.
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L'histoire ici d'un scientifique qui en avance su son temps fait des decouvertes fabuleuses mais est freine par les savants de l'epoque qui remettent en cause ses deouvertes: Un hef d'oeuvre en tant que tel que ce roman sur e savant qui obnubile par sa reherhe finit par sombrer dans la folie ! A lire et relire sans moderation !
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Ce n'est pas le roman le plus connu De Balzac, mais il le mériterait ! Alors que je commence à bien connaître l'ensemble monumental de son oeuvre en avançant dans mes lectures, je peux reconnaître les qualités de ce texte. Pourtant, parmi les "Etudes philosophiques" au sein de la Comédie Humaine, la plupart des textes ne sont pas mes préférés de l'auteur, soit parce qu'ils sont trop mystiques comme Seraphita, soit parce qu'ils représentent un homme si absorbé par son art que le récit de son génie m'échappe - je n'ai peut-être pas les connaissances suffisantes pour comprendre le récit d'un opéra imaginaire comme dans Massimila Doni par exemple.
Certes, certains passages rapprochent bien ce roman de ceux que j'ai cités : Balthazar est tellement absorbé par ses expérience scientifiques qu'il délaisse la vie matérielle - et les quelques pages sur le contenu pratique de ses recherches en chimie et en physique ne m'ont pas séduite. Mais finalement, Balzac nous le présente comme un alchimiste anachronique qui, en plein XIXème siècle, siècle du progrès sous toutes ses formes, ressemble à un sorcier du Moyen-Âge, dans ses travaux blasphématoires comme dans son apparence physique. Il est avare, non par amour de l'or, mais pour le faire brûler, au sens propre. Et si lui même ne finit pas sur un bûcher, ses déchéances physiques, morales et sociales, l'excluent de la société comme en témoigne sa fin.
Mais ce qui me plaît surtout dans ce roman, ce sont les deux portraits de femmes, la mère et la fille, dévouées jusqu'à la folie à leur mari et père. Marguerite est encore plus digne, n'ayant pas l'excuse de l'aveuglement amoureux, risquant quasiment sa vie pour un ingrat qui ne s'en rend pas compte - elle risque d'être violée ou battue en protégeant son argent.
Un roman violent sur la folie destructrice tempérée par la générosité sublime.
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Ce livre est tout simplement époustouflant.

Après "Le curé de village", c'est la deuxième oeuvre De Balzac à laquelle je me suis attaquée. La densité du texte est largement effacée derrière la fluidité de l'écriture de l'écrivain. Certains passages sont beaux.

Comment ne pas tomber sous le charme de ce savant un peu fou qui sacrifie jusqu'à l'amour de sa vie à la science.
Ce n'est pas l'oeuvre De Balzac la plus célèbre, mais elle gagnerait à l'être davantage.
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