Âhni, tome 3 : Le souffle de la déesse

Ce tome 3 est un ascenseur émotionnel : de l'indignation (Guilhem : Zut à la fin !), des soupirs (Gyorg, Kalan, on croit en vous), de l'amour (clan de la Déesse for ever), de l'enthousiasme (à-bas les balastes !), de la nostalgie (Aylim, t'as fait des choix pas faciles), des interrogations (Sylwen, comment tu vas pouvoir t'en sortir ?), de la frustration (où est le tome 4 bon sang !!!)
Une belle plume, des personnages qui risquent de vous hanter un moment, une plongée merveilleuse au coeur de la fantasy.

Un tome tout simplement époustouflant ! Les éléments des deux tomes précédents nous permettent maintenant de continuer l'histoire qui nous était présentée au tout début du tome 1. On y découvre le point de vue de tous les personnages. 😁
Ces derniers sont d'ailleurs incroyables, tous autant qu'ils sont ! L'auteure a réussi à donner une personnalité bien marquée et défini à chacun d'entre eux. On a parfois envie de les gifler ou de les étreindre, et j'aime cette compassion qui découle de leur construction si bien ficelée. 🤩
L'intrigue est très sympa. On est, du début à la fin, dans un climat de guerre. Les batailles ne sont pas très nombreuses, mais on y découvre les points de vue de chacun, bien que de grosse zones d'ombres restent à découvrir. 😱
J'adore la culture Helonsk. C'est elle qui nous est principalement décrite, et c'est super novateur. On y voit toute la question du sexisme et d'une façon de vivre complètement différente de l'autre camp. Aucun n'est gentil, aucun n'est méchant. Chacun a ses motivations, et cette culture prétendument barbare est fascinante ! 🤪
Bref, un tome qui promet une fin tout aussi incroyable que le talent de Myrtille Bastard ! 🥳
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