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3,83

sur 491 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Je suis restée en lisière de ce roman tout le long de sa lecture. Peut-être à cause du style trop travaillé et pompeux. Arrivée d'un bateau d'immigrés à New York. Sera raconté la nuit d'un père et de sa fille qui va perdre sa virginité dans les bras d'un musicien au premier regard. On y trouve également un bourgeois qui fait des photos en amateur. D'une femme pleine de chagrin. Et d'autres. Des relations se nouent entre eux. le sujet visé est le changement de pays et l'intégration. Je n'ai pas adhéré aux façons d'agir des personnages. Et bien sûr les seuls qu'ils veulent aider financièrement sont pour les seuls qui n'en ont pas besoin.
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Décidément cette auteure ne me convient pas. Son écriture est maniérée, nuisant à l'histoire, engloutissant ce roman choral sous des lignes de mots, vainement.
L'histoire d'Ellis Island et de ses habitants d'un jour est pourtant passionnante. Mais Benameur la réduit à un chassé croisé amoureux, avec une héroïne forcément très belle, très intelligente et très déterminée. Et tout est bien qui finit bien. Bref, une mièvrerie.
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J'ai aimé ce livre pour les thèmes abordés. L'exil d'abord. Pourquoi décide t'on de quitter son pays ? Pour fuir la guerre ou la misère ? Mais pas seulement ! C'est ce que l'on découvre dans ce roman.
Et puis j'ai aimé le regard du jeune photographe américain Andrew, sa façon à lui de voir le monde au travers de son objectif.
J'ai aimé aussi la place que Gabor le musicien prend avec son violon, la musique étant un langage universel.
Toutes les personnes que nous "rencontrons" dans ce roman sont attachantes et prennent leur vie en main.
En revanche, j'ai moins aimé le style d'écriture de ce roman et j'ai parfois trouvé la nuit un peu longue...

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Une lecture décevante ; je ne connaissais pas Jeanne Benameur mais en avais eu des échos très positifs. de retour d'une visite à Ellis Island et son musée de l'immigration, j'en attendais donc beaucoup. La déception n'en fut sans doute que plus forte.
Hormis les 80 premières pages qui introduisent les différents acteurs de l'histoire et nous appâtent, le roman se traine ensuite interminablement sur toute « la première nuit » passée à quelques miles du continent support de tous les espoirs.
La langue se veut poétique et littéraire ; elle est verbeuse et redondante : je me suis noyée dans cette logorrhée sentimentalo-intellectuelle me surprenant à dire « encore ces délires charnels » et à tourner plus vite les pages, pressée d'en finir.
Le thème de l'immigration ne m'est apparu que comme un prétexte; la psychologie des personnages est caricaturale, digne d'une série américaine. Ils sont bons, beaux, intelligents, forts et pleins de talents artistiques divers et variés qui vont pouvoir s'épanouir sur cette terre de Liberté.
Je repense aux photos vues à Ellis Island ! Et vraiment ce livre ne me les évoque en rien !
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J'ai lu plusieurs romans de Jeanne Benameur et je les avais vraiment bien aimés (Les Insurrections singulières, Otages Intimes). Pour celui-ci, je suis un peu déçue.
L'écriture reste de qualité, imagée et poétique. L'histoire est intéressante: suivre des émigrés qui arrivent sur Ellis Island avant d'avoir le droit de rejoindre la vraie ville, New York. Ce moment d'entre deux, où ils sont partis de chez eux et arrivés nulle part. Jeanne Benameur choisit de suivre quelques personnages, qui vont se lier d'une façon ou d'une autre pendant cette tranche de vie. Il y a aussi un jeune photographe, qui lui est New Yorkais, et qui se prend d'attache pour une jeune Italienne qui arrive avec son père.
Dans cet espace-temps restreint il se passe à la fois beaucoup de choses entre ces personnes mais pas assez pour rendre ce livre captivant du début à la fin. le manque d'actions dans un livre n'est pour moi pas un défaut systématique. Mais ici il le devient à mon sens, car on ressent de la lenteur et j'ai fini par m'ennuyer. Par moment le lyrisme prend le dessus et je me suis laissée emporter comme dans un comte ou une légende. Mais cela n'a pas suffit sur la longueur.
Un peu déçue donc, mais cela ne m'empêchera pas de retenter un roman de cette auteure.
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Trop de descriptions pour un récit (les trois dialogues m'ont sortie de mon apnée) qui ressemble à une aquarelle. C'est parfois beau, mais c'est figé et les couleurs ne sont pas vives.
Je n'ai pas accroché aux personnages, caricaturaux tous autant qu'ils sont.
Je trouve qu'on passe à côté de la substance de ce que devait être ce no man's land entre l'ancien pays/monde/vie et le rêve américain.
Les scènes de sexe sont en trop.
C'est un livre qui s'écoute parler.
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L ‘histoire et les personnages sont intéressants mais le livre est loooong et verbeux tant les états d'âme et les introspections nuisent au rythme. J'ai eu du mal à aller au bout
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Ceux qui partent est le premier roman de Jeanne Benameur que je lis, mais je n'ai adhéré ni au fond, ni à la forme. En une nuit se nouent les destins d'un certain nombre de personnages, dont aucun ne m'a semblé réaliste. Une jeune femme belle, intelligente, artiste comme presque tous les personnages qu'elle croise cette nuit-là, devient soudainement et farouchement assoiffée d'indépendance. L'écriture ne m'a pas charmé non plus, le style est mièvre et plein de redites. Un rendez-vous manqué
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emballé par la lecture de "Profanes" j'ai souhaité découvrir plus avant d'aures romans de Jeanne Benabeur. une recommandation et le titre m'ont guidé à m'avancer dans la lecture de "Ceux qui partent" . le thème sur l'arrivée des migrants à Elis Island à New york avait également tout pour plaire. Je n'ai pas retrouvé malgré cela le même souffle que celui qui m'avait tant plu précédemment : cela est dû sans doute au manque de relief et de couleur des personnages
et à une histoire conventionnelle malgré des caractères bien dessinés.
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