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EAN : 9782824210520
296 pages
La Bourdonnaye (08/04/2015)
4.28/5   25 notes
Résumé :
Le criminel le plus sauvage du pays vient de s’échapper. À l’issue d’un carnage qui promet d’être le premier d’une longue série, il a franchi les murs de son hôpital psychiatrique. Qui l’a aidé ? Et à quelle fin ? De nouveau, Jeanne Lumet, celle qui a permis son arrestation un an auparavant, se dresse sur la route ensanglantée de celui que les journalistes ont surnommé Le Prince. Et de nouveau, elle agit au péril de sa vie, entre Bareuil – son mentor qui joue un jeu... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (23) Voir plus Ajouter une critique
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Ce livre est la suite de L'insigne du boiteux dont je vous parlais il y a quelques jours:

https://livresque78.wordpress.com/2015/03/19/linsigne-du-boiteux-de-thierry-berlanda/

Ce nouveau roman de Thierry Berlanda est tout aussi machiavélique que le précédent, sinon plus.

On y retrouve tous les protagonistes, mais je ne vous dirai pas dans quel état…Je vais simplement vous dire à quel point j'aime le style de l'auteur, j'aime aussi le Prince, qui n'est pourtant pas un héro sympathique et attachant dans cette histoire/ Mais il faut lui reconnaître une personnalité, une motivation et un charisme incroyable.

De nouveaux enquêteurs vont faire leur entrée, ainsi que de nouveaux protagonistes, qui vont croiser le chemin de notre tueur fou.

Jeanne est toujours le personnage central de cette histoire, sa vie s'est arrêtée depuis qu'elle a croisé le chemin de ce criminel qui a terrorisé toutes les familles d'île de France l'année précédente.
Lien : https://livresque78.wordpres..
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Jeanne était déjà une jeune femme pleine de névroses mais l'épisode avec Aravahani (voir l'insigne du boiteux) ne l'a pas épargné et maintenant c'est pire.
Sa pathologie associée à la plume de Thierry Berlanda et vous vivez presque le livre. Vous ne vous retournerez peut-être pas à chaque regard mais vous ressentirez un profond malaise à cette lecture. Comme un souffle sur votre nuque ou un pressentiment du pire… que vous souhaitez et appréhendez. Et ce souhait…malsain et lugubre… Thierry Berlanda va l'exaucer à vos risques et périls.
Tremblez lecteurs !! Votre prochain frisson est proche !!
Aussi proche en tout cas que la folie dans la tête de Jeanne. Serait-elle guérie si le policier plutôt que de tirer dans le thorax d'Aravahani avait visé la tête ? C'est la question qui la hante.
Alors quand elle se rend avec François Savant, le reporter à noeud pap' qu'elle avait pris pour l'assassin chez l'ex-commandant Falier, le lecteur cherche à comprendre. Déjà ! et rien n'a encore vraiment commencé.
Car Jeanne veut guérir et cette visite va la mettre sur la bonne voie ...enfin jusqu'à ce qu'elle apprenne la nouvelle aux infos et là c'est la débandade.
Comme le dit le professeur Bareuil, "l'événement rare est celui qui n'arrive jamais ...sauf quand il arrive."
Très philosophique n'est-ce pas ? Mais sa démonstration est juste. Et nous verrons que l'évasion d'Aravahani entre tout à fait dans cette définition.
Car alors les dommages que cela va entraîner sur la vie des gens seront très supérieurs à ce qui aurait résulté d'une "simple «catastrophe ».

Dans ce tome Jeanne est encore plus fragile et névrosée que dans le tome précédent au point que le lecteur peut se sentir gêné de la voir aussi pleurnicheuse même si nous ne savons pas comment nous aurions réagi à sa place. Elle semble avoir du mal à se prendre en main et continue à fuir ce qu'elle ne veut pas voir. Paul est là ainsi que Leo. Et malgré leur séparation il la soutient du mieux qu'il peut mais il ne peut faire de miracle et j'ai à souventes reprises vanter son abnégation et sa patience. Heureusement dans la deuxième partie du roman elle semble vraiment réagir et du coup l'ambiance va s'en ressentir.

D'autres personnages reviennent sur le devant de la scène outre Aravahani dans ce second tome.
Le commandant Falier et François Varant qui vont encore s'investir d'une manière ou d'une autre dans cette chasse aux démons pour aider Jeanne mais pour eux aussi.
Malgré leur convalescence ou leur retraite, ils seront là pour la soutenir ou la pousser en avant.
Falier va encore nous surpendre, car derrière son côté bourru le lecteur peut voir qu'il tient à Jeanne et s'en veut encore du décès de ses coéquipiers. Sa conscience le hante pourtant il sait quoi faire car malgré sa retraite il est resté un bon flic qui sait réfléchir.

Nous allons en rencontrer de nouveaux comme cette psychiatre par qui tout arrive : Elisabeth Turner, un nom d'actrice de cinéma, un physique qui va avec et une politique personnelle de la psychiatrie qui ne semble pas au goût de tout le monde.

D'ailleurs ce que l'auteur nous montre de la psychiatrie au travers de la mise en place du traitement particulier de Aravahani est vraiment intéressant et les espoirs des psychiatres sur l'avancée de leurs méthodes pour aider les personnes à problème à retrouver une vie normale ou du moins plus conventionnelle est louable.
Cependant d'autres actions m'ont horripilée et je l'avoue poussée au rejet de certains de ces professionnels.
Le professeur Bareuil, par exemple est un personnage controversé. Je l'ai détesté déjà dans le tome précédent pour sa responsabilité dans la scène finale. Et la suite ne fait que confirmer mes sentiments à l'encontre de ce professeur aux sentiments plutôt paradoxaux envers Jeanne. Il est à lui seul mon remède contre la psychiatrie, ne montrant aucunement l'aide aux autres mais plutôt la manipulation psychique et morale. Il est retors, machiavélique et terrifiant. Mais aussi imbu de lui-même au point d'être persuadé d'être le seul à l'origine de l'arrestation de Aravahani et donc de mieux savoir que les autres tout ce qui touche cet assassin.
Beaucoup de choses sont déjà arrivées parce qu'il n'a pas le même mode de pensée que tout le monde et dans cet opus cela continue.
Quelque part j'ai envie à cause de cette différence, de cette réflexion qui leur est propre de les mettre en parallèle lui et Aravahani.

Et je pense que l'auteur a voulu cette situation pour nous perdre comme il perd les policiers et le reste des personnages. Cela fait ainsi monter la pression et nous amène à nous poser tout un tas de question, à réagir, à vivre aussi l'enquête avec les tripes.
Car Jeanne va reprendre du poil de la bête mais l'on ne sait pas encore si c'est une bonne chose et s'il s'agit seulement de sa psychose qui prend le dessus et la pousse vers des idées farfelues et suicidaires.
Le lecteur ne peut rester serein tout du long de cette lecture. Entre la sensation que nous sommes contaminés par la névrose de Jeanne, les fausses pistes dans lesquelles nous lance l'auteur et les événements qui se déroulent sous nos yeux, rien ne nous permet de nous reposer et j'ai adoré ça.
En apprendre encore et toujours plus sur Francis, prince Avharan, sur son adolescence, sa jeunesse même encore avec son père et sur ce qui l'a mené où nous en sommes aujourd'hui est très intéressant. Je n'irai pas jusqu'à dire que nous le comprenons mais cela nous ouvre des possibilités de compréhension et surtout de jugement plus réfléchi que hâtif.
Et ce final... comment dire? M'a laissé sans voix.
J'avais des doutes sur certains points mais les voir confirmés noir sur blanc m'a fait un choc. Tout comme, je suppose, qu'est le but de cet ultime appel à Jeanne.

Je remercie Thierry Berlanda pour ce roman. Il avait su m'entraîner déjà avec L'insigne du boiteux, cette fois encore, en priorisant la noirceur psychique à la violence physique il a su nous attirer dans le piège de la lecture addictive.
C'est donc sur une sensation ambiguë que je termine ce récit. La nostalgie de voir arriver le mot fin mais aussi un sentiment plus diffus de colère envers certains personnages, de malaise devant cette situation finale qui nous ouvre encore la voie à d'autres réflexions.
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Merci à Babelio et La Bourdonnaye pour ce livre, je me suis lancée dans sa lecture avec un grand plaisir.

Dans ce livre, nous retrouvons Jeanne, Falier, Bareuil et les autres, un an après les événements du livre L'insigne du Boiteux. Mais depuis un an, les choses ont légèrement changées. Jeanne a du mal à se remettre de ce qu'elle a vécue, elle consulte un psychologue afin de réussir à tourner la page de sa rencontre avec le Prince. Elle est depuis insomniaque et craint de voir apparaître le Prince, même si celui-ci a été arrêté. Elle n'est plus vraiment elle-même, elle est devenue beaucoup plus névrosée qu'elle ne l'était au début.

On retrouve aussi Falier, le commandant dans l'enquête précédente, qui a pris sa retraite, et qui a beaucoup changé depuis. On croise aussi François, ce journaliste qui avait eu un rôle important, qui lui aussi a du mal à se remettre mentalement et physiquement de ce qui lui est arrivé. On va aussi recroiser Lartigue, le policier, et Bareuil, qui est loin de nous avoir révélé tout ce qu'il sait.

Mais nous allons aussi faire la rencontre de nouveaux personnages intéressants, dont Elisabeth, une jeune psychologue pleine d'assurance et arrogante. Elle va avoir un rôle assez important surtout dans la première partie du livre.

Ce livre est un peu coupé en deux parties. Dans la première, on refait connaissance avec les anciens personnages et on rencontre les nouveaux. C'est une partie sans trop d'action, on découvre beaucoup de choses sur la psychologie et les méthodes pour traiter les patients atteints de problèmes mentaux, dont le Prince. On découvre les différentes manigances qui se produisent dans l'ombre et les difficultés rencontrées par certains des personnages.

Dans la deuxième moitié du livre, il y a plus d'actions et là l'enquête commence vraiment. Les choses vont s'accélérer et une course poursuite va commencer. Et afin de retrouver le Prince, les participants à la première enquête vont devoir unir leur force. C'est donc pour cela que Jeanne et Falier vont refaire équipe ensemble afin de recoincer le Prince une nouvelle fois. Mais l'instinct de Jeanne va faire douter Falier, car il ne veut pas croire ce qu'elle dit, car elle a des soupçons sur quelqu'un en qui il a confiance. Qui a tort ? Qui a raison ?

J'étais vraiment contente de retrouver tous ces personnages, je les avais vraiment apprécié. Jeanne est toujours aussi intéressante et intelligente surtout dans la deuxième moitié du livre, j'ai vraiment apprécié de la retrouver comme ça. Et l'enquête elle-même est vraiment intéressante et on est encore loin de connaître tous les secrets de tout le monde. Même la première partie du livre, même si elle est assez calme, est vraiment intéressante car ça m'a permis d'apprendre et de mieux comprendre le point de vue de Elisabeth.

Et je dois dire que la fin m'a vraiment laissée sur ma faim, car les choses sont loin d'être finies, surtout pour Jeanne. Même si au fur et à mesure de l'histoire on a des éléments qui vont nous mener vers cette révélation finale, j'ai quand même été surprise par le contenu.

L'auteur arrive facilement à nous mener là où il veut, il m'a fait douter sur pas mal de choses, c'est vraiment ce que j'ai apprécié. Il arrive aussi très bien à nous communiquer les sentiments des personnages. Ca rend l'histoire encore plus passionnante.

Donc comme vous l'avez compris, j'ai vraiment apprécié ce deuxième tome, même si je dois admettre que l'histoire met un peu de temps à démarrer, mais bon ça a permis de poser les bases pour la suite de l'histoire. Maintenant, je suis vraiment impatiente de découvrir ce que la suite nous réserve, car toute cette histoire avec le Prince est loin d'être finie…
Lien : http://mesnouvelleslectures...
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Le criminel le plus sauvage du pays vient de s'échapper. À l'issue d'un carnage qui promet d'être le premier d'une longue série, il a franchi les murs de son hôpital psychiatrique. Qui l'a aidé ? Et à quelle fin ? de nouveau, Jeanne Lumet, celle qui a permis son arrestation un an auparavant, se dresse sur la route ensanglantée de celui que les journalistes ont surnommé le Prince. Et de nouveau, elle agit au péril de sa vie, entre Bareuil – son mentor qui joue un jeu sadique avec elle – et Falier – le flic en fin de parcours censé la protéger.

Alors, attention, si j'avais beaucoup aimé le premier opus "L'insigne du Boiteux", je dois bien avouer que là j'ai eu une bonne petite claquounette ! C'est encore mieux que le premier tome !! C'est déjà très plaisant de retrouver les personnages du premier roman, même si Jeanne m'a un peu gonflé cette fois-ci mais je ne saurai pas dire exactement pourquoi. Peut-être son côté Notre Dame des Sept Douleurs ... Alors oui, je sais bien qu'elle a vécu des trucs très moches dans "L'insigne du Boiteux" mais quand même ...!

L'écriture est toujours très dynamique, on ne s'ennuie jamais. Thierry Berlanda nous embarque littéralement sans aucun temps mort, il se passe toujours quelque chose. J'ai adoré le côté bien psychologique de ce livre, ça change un peu des enquêtes classiques qu'on est amené à lire plus ou moins régulièrement. L'auteur nous propose le même vocabulaire, celui que j'avais vraiment apprécié et qui me fait tellement penser à ce que j'imagine être la "vraie" façon de s'exprimer des flics du Quai des Orfèvres. Petite parenthèse futile, j'ai eu un coup de coeur pour la couverture que je trouve parfaite, exactement adaptée à l'intrigue du bouquin.

J'ai également beaucoup aimé le fait que le Prince ne soit pas beaucoup présent tout au long de l'histoire, on ne fait bien entendu que parler de lui mais il reste très discret. On se demande d'ailleurs pendant une bonne partie de l'intrigue où il a bien pu passer mais chut, je n'en dirai pas plus. J'ai aimé les chapitres consacrés à son enfance en Perse, à ceux qui nous racontent sa relation avec ses parents. Quelque part, ça nous permet de le trouve encore plus effrayant car, à la base, c'est un enfant comme un autre (qui a bien mal tourné je vous l'accorde !).

Et puis alors la fin ! Mais quelle fin !!! Je ne m'attendais pas à ça du coup ! Heureusement que j'ai terminé mon livre dans la salle d'attente de mon médecin sinon je crois que j'aurai lâché quelques jurons pour exprimer ma surprise. Bref, ce n'est pas un coup de coeur mais j'ai été très emballée par ma lecture même si j'ai eu du mal à me plonger dedans.

Je remercie les Editions de la Bourdonnaye pour l'envoi de ce livre ...
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Après avoir passé un très bon moment avec « L'insigne du boiteux », j'attendais cette suite avec impatience. Je me suis donc jetée dessus dès que je l'ai reçu et je n'ai pu m'empêcher de le dévorer.
l y a presque un an que j'ai lu son prédécesseur et je n'ai eu aucun mal à me plonger dans l'histoire. L'auteur a su faire la transition entre ses deux romans de façon à ce que le lecteur qui a attendu ce deuxième volet se remémore très vite les événements.
Les mots seraient trop peu pour vous décrire à quel point j'ai ressenti les sentiments des différents protagonistes. Thierry Berlanda manie les émotions et joue avec nos nerfs avec beaucoup de talent. Une fois la première page tournée, on ne peut s'empêcher de vouloir avancer tellement on est happé par l'histoire.
Ce deuxième opus est encore plus intense que le premier et j'en ressors avec un énorme coup de coeur.
Le suspense est à son comble jusqu'à la dernière page, on ne s'ennuie à aucun moment et niveau révélations et rebondissements on n'est pas en reste.
Au niveau des personnages, encore une fois j'ai été totalement conquise par le prince et son côté psychopathe.
Jeanne est également très intéressante, j'ai aimé suivre l'évolution de son caractère au fil des pages.
Quant aux autres, ils apportent eux aussi une touche agréable à l'histoire mais je préfère vous laisser les découvrir par vous-même.
Encore une fois, je suis arrivée à la fin complètement scotchée et convaincue par la plume de l'auteur. Ce roman m'a fait trembler et frissonner à un tel point qu'il m'est difficile de l'exprimer et j'ai adoré ça.
Je ne peux terminer ma chronique sans une mention spéciale pour la magnifique couverture de cet ouvrage qui reflète à merveille le côté glauque de l'histoire.

Bref, si vous avez aimé « L'insigne du boiteux », n'hésitez pas à vous jeter sur ce roman dès sa sortie. Et si vous ne connaissez pas encore l'auteur, qu'attendez-vous ?
Lien : http://lestribulationsdunele..
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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
-Je reste quand même sur mes positions aussi, parce que les partisans de la psychiatrie carcérale traditionnelle sont forcément dans l'erreur. Et ils sont dans l'erreur, parce que la civilisation et la démocratie vont partout de pair avec une amélioration de la condition des malades, y compris s'ils sont auteurs d'homicides, et même de meurtres monstrueux. Et je suis convaincue que cette amélioration de leur condition est dans l'intérêt même de la société tout entière. Ou alors, si la doctrine des modernes est erronée, il faut admettre que la civilisation et la démocratie le sont aussi, et par essence.
Parce que la psychiatrie de boucher, ou même d'électriciens, c'est dans les dictatures qu'on la pratique encore ! Vous savez, quand un pays commence à renvoyer ses fous en prison ou au poteau ou au bûcher, c'est toujours un signe de régression morale, puis de perversion politique, et enfin de délitement social, qui finit par abîmer l'ensemble des ses habitants.
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- L’événement rare est ce qui n’arrive jamais…Sauf quand il arrive. Qu’est-ce à dire ? Un, que plus les systèmes de prévention des catastrophes sont sophistiqués, moins il arrive de catastrophes ; mais deux, que lorsqu’il en arrive une, alors les dommages qu’elle entraîne sont très supérieurs à ceux qui auraient résulté de catastrophes, j’allais dire ordinaires. Vous comprenez ?
-Bien sûr. Simplement, votre événement rare, il faut tout de même qu’il soit possible. Or tout n’est pas possible. S’évader de cette unité de soins, par exemple, est rigoureusement inconcevable.
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Thierry Berlanda offre avec La Fureur du Prince une suite grandiose à L'Insigne du Boiteux. Merci !
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Le nommé Lartigue est trop tendre et son patron, Calvet, un imbécile. Comme beaucoup d'imbéciles, il ignore d'ailleurs qu'il l'est, ce qui de surcroît en fait un con !
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Vidéo de Thierry Berlanda
Polars Urbains - enquêteur du Club VIP de BePolar - a rencontré l'auteur Thierry Berlanda, à l'occasion de la sortie de son techno-thriller "Cerro Rico" aux Éditions du Rocher.
© Polars Urbains - Juin 2019
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