...il s’y trouvait aussi quelques cerisiers, mais, leurs fruits n’étant bons que pour les tartes, il était plus facile de laisser les oiseaux les manger que de se donner la peine de les cueillir. Sans compter qu’ils en auraient bouffé une bonne part de toute façon.
Le cuir, voilà qui sent bon. Le papier ne sent rien du tout. Cela dit, il n’y a rien d’aussi agréable que l’odeur du bacon qui frit dans la poêle et… le bacon ne vient-il pas de cet enclos dont l’infection présentement nous assaille les narines ?
Personne n’aurait idée de garer les bijoux de la couronne dans un de nos box. Tout ce qui pourrait avoir de l’importance ou une valeur quelconque, on le met dans un coffre à la banque.
La plupart des durs ont souvent la trouille. C’est même pour ça qu’ils se donnent la peine d’être durs.
Les histoires appartiennent à ceux qui y prennent part et nombreux furent les individus qui jouèrent un rôle dans celle-ci.
Cercle polar : quand les héros s'incrustent. .Cercle polar : quand les héros s'incrustent. Allez savoir pourquoi ! Il arrive parfois q'un héros s'impose à un auteur, jusqu'à ne plus le quitter, jusqu'à vieillir ensemble. le phénomène n'est pas nouveau. Philip Marlowe et Raymond Chandler, Agatha Christie et Hercule Poirot, Arthur Conan Doyle et Sherlock Holmes sont des couples mythiques. Et le phénomène se poursuit, plus encore peut-être depuis le succès des séries télévisées. Fred Vargas et son commissaire Adamsberg, Michael Connelly et Harry Bosch finiront pas fêter leurs noces d'or pour le plus grand bonheur de leurs lecteurs. Car le plaisir est grand, en ouvrant chaque nouvel épisode de leurs aventures, de prendre des nouvelles de ces amis de papier comme on s'inquiète de la santé de nos proches. Matt Scudder va-t- il replonger dans l'alcool, se demandait-on à chaque épisode de la série de Lawrence Block. Ces héros que l'on dit récurrents sont plus nombreux que jamais, en voici trois que vous ne connaissez peut-être pas encore... « le Joker » de John Burdett (Presses de la Cité) « Une affaire d'hommes » de Todd Robinson (Gallmeister) « Aux vents mauvais » de Elena Piacentini (Au-delà du raisonnable)
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