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EAN : 9781507624876
376 pages
CreateSpace Independent Publishing Platform (25/01/2015)

Note moyenne : NAN/5 (sur 0 notes)
Résumé :
Ruben est un avocat parisien à l’aube de la quarantaine. En quête de lui-même et de réponses, il a mis sa carrière entre parenthèses pendant deux ans, le temps d’un voyage initiatique au cours duquel il a affronté ou parfois fui ses démons.
De retour à Paris, il est déterminé à reconstruire sa vie et à retrouver ses amis. Alors qu’il ne s’y attend pas, il tombe amoureux de Mia, danseuse étoile. C’est la rencontre de deux mondes : l’expression du corps face à ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (15) Voir plus Ajouter une critique
NAN

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Tant de chose ont été écrit sur l'amour, l'amour ne rime pas avec toujours quoique...
Ruben jeune avocat est une sorte d'homme idéal ( je vous vois sourire mesdames) il est généreux, fidèle, attentionné, gentil, bref un extra-terrestre.
On va suivre Ruben de l'adolescence jusqu'à sa vie d'homme, sa vie professionnelle et sa vie sentimentale, ponctuée de flash-back, d'introspections.
Il est en perpétuel recherche de soi, il voudrait tellement ressembler à son père Philippe.
Ruben va rencontrer l'amour avec Suzanne, sa Suzy, il va aimé Ingrid l'avocate en mal d'enfants.
Le temps aura raison de ces amours.
ces échecs lui collent à la peaux, le fragilise un peu plus. c'est un homme qui se perd, qui cherche le chemin, suivre les pas de son père, aveuglé qu'il est par les poussières d'étoiles.
c'est pourtant sa rencontre avec une étoile, une danseuse de l'opéra de Paris qui va ranimé la passion.
Comme un feu qui couve Mia va soufflé sur les braises.
La robe noir de l'avocat, le tutu blanc de la danseuse, le ying et le yang des passions que seul la vérité et la sincérité auraient pu sauver.
j'ai aimé Ruben, difficile de ne pas l'aimer.
J'ai aimé cet amour filial, son amour pour son père, ce joli moment sur le volcan, Suzy tout aussi perdu que lui.
Un beau roman d'amour, mais aussi d'amitié, la découverte du monde de la justice et de l'opéra est aussi agréable.
merci Rose pour cette confiance que tu as eu à mon égard.
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Tout d'abord, je tiens a remercier Rose Bomar, l'auteure de Poussières, qui a eu la gentillesse de m'offrir la version numérique de son roman. Je ne sais pas vraiment si ma critique va être objective, car j'ai vraiment eu un coup de coeur pour ce livre. Au moins vous êtes prévenus !

Tout d'abord, l'écriture est remarquable et fluide, ce qui rend la lecture très plaisante. Il y a des passages très beaux : "Quand j'ai commencé à éprouver ce désir de raconter, de faire savoir, je n'avais qu'une peur : celle de ne pas être capable de trouver les mots pour rendre justice à cette histoire. Les mots peuvent évoquer la beauté un court instant, instant qui se situe dans la formation de la pensée. Mais la retranscription de cette pensée est toujours imparfaite, incomplète. le mot est faible. La beauté réside dans la naissance du sentiment, des larmes, du rire, du haussement de sourcils."

Les personnages sont attachants, surtout Rubens notre héros. Certaines critiques reprochent a l'auteure d'avoir inventé une "homme idéal". Je ne le trouve pas si idéal que ça ou alors j'ai déjà l'homme parfait a la maison. C'est un homme ordinaire et c'est ce qui le rend très attachant. Suzanne m'a fait beaucoup rire quand a Mia, elle est tellement mystérieuse que forcement j'avais hâte d'arriver a la fin pour connaître le fin mot de l'histoire.

La fin justement, sans rentrer dans les détails, ne m'a pas déçu et a été a la hauteur de mes attentes. Je referme donc ce live avec un brin de nostalgie. C'est toujours difficile de dire au revoir a des personnages que l'on a aimé. En tout cas, pour un premier roman, Poussières est une réussite et j'espère que l'auteure ne va pas en rester la au niveau écriture.
Lien : http://missmolko1.blogspot.i..
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Ruben a renoncé à son métier d'avocat et a fui pour quelques mois en Amérique latine. de retour à Paris, il reprend contact peu à peu avec sa réalité et tombe amoureux de Mia, danseuse étoile à l'opéra de Paris...

Après un premier chapitre à l'écriture un peu froide et académique, le voile se lève et on s'intéresse enfin au héros qui prend vie. Les émotions arrivent. Les phrases perdent leur rigidité, on entre dans la vie, dans le vivant. On se prend d'amitié avec Ruben, le héros, qui nous conte, avec pudeur et émotion, ses premières amours, son enfance, ses études et enfin sa profession, bref ce qui a fait de lui l'homme tel qu'il est aujourd'hui.
C'est aussi l'occasion pour le lecteur de découvrir le métier d'avocat et toutes les facettes qu'il comporte, de découvrir aussi le monde de la danse et pas seulement par le petit bout de la lorgnette.
La construction du roman nous renvoie à d'incessants aller-retour passé-présent, qui peuvent lasser mais qui aident le lecteur dans la compréhension des personnages. Petit à petit sont révélés tous les ingrédients de la personnalité de Ruben, de Mia et des autres personnages.
La fin est un peu convenue, c'est dommage, mais le parallèle avec Giselle (l'opéra) est une belle idée.

En tout cas, je remercie sincèrement Rose Bomar, l'auteure, qui a bien voulu partager son roman avec moi et qui a pris le risque de lire ma critique. C'est un beau geste et une redoutable épreuve.
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Ruben, c'est l'homme passionné dans sa toute beauté et dans sa toute faiblesse. N'ayant pas peur d‘aimer, ses femmes, son travail, son père, entre autres, il a en revanche plus de difficultés à ressortir indemne des aventures où le plongent tout entier les élans de son coeur…

Dans cet agréable roman, notre homme se raconte, évoquant plus particulièrement une période de sa vie, celle d'une histoire d'amour, la plus grande peut-être. Mais l'ordre des choses n'étant pas ici chronologique, c'est à travers une grande partie de son existence qu'il nous promène avec des vas et viens entre le présent et le passé, et nous perds même un peu parfois, pour notre plus grand plaisir…

Dans ces jolies pages, il va donc s'agir d'amour surtout, d'amour fou qui mange tout, d'amour doux qui donne tant… D'amour qui donne envie d'aimer ! Car si Rose Bomar sait une chose, c'est donner envie d'aimer ! Ses descriptions de l'état amoureux sont d'une grande force et d'un tel réalisme qu'on ne peut pas, à la lecture, ne pas se souvenir de ses amours et rêver à de nouvelles…

C'est un bien beau roman dans ce sens, puisqu'il pousse vers l'amour! C'est vrai qu'il met un peu de temps à s'installer puisque passé la première cinquantaine de page on ne sait pas encore vraiment où il veut en venir, mais une fois entré dans l'histoire, dans la psychologie des personnages, le récit coule et le lecteur ne lâche plus. Une certaine platitude au début laisse le pas à une intensité qui va crescendo jusqu'au final de charme.

Si je pourrais déplorer certaines longueurs inutiles ainsi que quelques dialogues parfois un peu creux et pas très réalistes, notamment entre Ruben et Suzanne étrangement, je dois dire que de manière générale le style est vraiment agréable et le récit prenant. Un joli brin de lecture en somme, et l'auteur me semble être une plume qu'il vaudra la peine de suivre !
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Autant en convenir tout de suite : la littérature purement sentimentale m'ennuie et me laisse froide, sauf si le travail du style et celui de la composition compensent l'inévitable banalité d' intrigues généralement stéréotypées. Je ne suis donc pas, et je m'en excuse, la lectrice idéale.

Je crois que Rose Bomar avait un vrai sujet mais elle l'a noyé dans les péripéties convenues d'une histoire d'amour trompé et déçu.

On ne s'intéresse guère au narrateur, perdu entre trois femmes qu'il n'aime pas, au fond : Ingrid, son ex compagne lui réclamait un enfant et rivalisait avec lui sur le plan professionnel : il l'a quittée. Suzanne- encore une ex- est devenue sa meilleure amie : la voici désormais une icône intouchable. Reste la fameuse Mia, la danseuse étoile.

On y croit encore moins : coup de foudre et bouquets de fleurs, cohabitation quasi immédiate, lune de miel puis flottement, mystère, tromperie, rupture, éloignement… Tout s'accumule dans les dernières pages, comme s'il fallait liquider cet amour-là aussi, en finir avec cette histoire- comme si là n'était pas le propos.

Et je crois en effet qu'il est ailleurs : dans l'ombre omniprésente d'un père admiré, aimé, disparu - étranger à tous les sens du mot. Et dont le narrateur n'arrive pas à faire le deuil.

Ne quitte-t-il pas son travail d'avocat au moment de la mort du père, alors que lui, cet homme sans enfant et qui n'en veut pas (parce qu'il en est encore un lui-même), est en train de s'attacher quasi paternellement et jusqu'à la faute professionnelle à un jeune délinquant portugais (comme le père du narrateur)?

Tant de signes sont troublants, même si j'ai conscience de faire de la psychanalyse sauvage plutôt que de l'analyse littéraire…

Le vrai livre est là, caché, parmi les clichés de l'histoire sentimentale. C'est celui-là qu'il faudrait exhumer et écrire.
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