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3,78

sur 405 notes
J'aime la plume tendre et délicate, souvent teintée d'humour mais tellement humaine d'Anne-Laure Bondoux. J'ai toujours apprécié ses écrits pour les ados, mais finalement je n'avais jamais lu de livres écrits pour les adultes, peut-être par peur d'être déçue. Aussi, quand j'ai croisé "Valentine" dans les rayons de la médiathèque, j'ai eu envie immédiatement de faire sa connaissance !

On découvre Valentine alors qu'elle quitte Paris pour se rendre chez sa mère et les premiers instants de leurs retrouvailles montrent bien à la fois tout l'amour qui les unit mais aussi, leur problème de communication...une sacrée personnalité Monette !
Valentine a 48 ans, elle est divorcée et ses enfants, grands à présent, vivent leur vie. Elle vient d'apprendre qu'il va lui falloir quitter l'appartement qu'elle occupe depuis des années. Après une longue période de chômage, elle a enfin été embauchée pour écrire un livre sur la découverte de la sexualité chez les ados, sujet qui la ramène sans cesse à sa propre crise existentielle.
Elle compte bien employer ses quelques jours de vacances dans la maison de son enfance, pour écrire enfin. Mais son salaire ne suffira pas pour autant à lui permettre de se reloger, ni à aider ses enfants ce qui l'angoisse et l'empêche d'être sereine face à l'avenir.
En haut de l'armoire, en faisant des rangements, Valentine tombe sur ses photos de classe. Elle découvre stupéfaite que sur certaines d'entre elles, un visage a été raturé au marqueur noir. Elle ne sait pas qui est la jeune fille ainsi masquée ni qui a utilisé ce marqueur. Elle décide d'enquêter...
Mais voilà que Fred, son frère débarque à l'improviste avec son vélo et ses propres problèmes familiaux.

L'histoire prend tout son sens quand le lecteur découvre que Valentine a des troubles dépressifs depuis que sa mère Monette est décédée quelques mois auparavant. Fred, la sachant seule dans la maison familiale, est venu s'assurer que tout allait bien pour elle, mais aussi lui parler de ce que le notaire lui a appris, concernant la succession.
Tous deux vont être bien obligés de faire leur deuil, et chacun à leur manière, d'affronter la réalité pour laisser derrière eux les fantômes de leur enfance, comme ce père tant aimé, mort beaucoup trop tôt, et cette mère omniprésente qui les a poursuivi de ses conseils, et dont ils n'arrivent pas à faire leur deuil.

J'ai aimé la relation entre Valentine et Fred, la tendresse et la sensibilité des propos de l'auteur qui nous donne-là une belle histoire de famille, avec ses secrets mais aussi ses souvenirs, les bons moments comme les moins bons.
J'ai aimé la façon dont l'auteur traite le long travail du deuil avec ses hauts et ses bas, ses doutes, ses colères et ce cheminement de la pensée qui nous amène souvent bien trop loin, sans prévenir.
J'ai aimé le côté roman contemporain et l'immersion dans la politique par petites touches pleines d'humour (nous sommes en période électorale et mieux vaut ne pas aborder le sujet entre amis !).
J'ai aimé aussi le regard percutant qu'elle porte sur les rêves de la génération post-soixante-huitarde...
Pour Valentine, c'est certain, la première partie de sa vie est désormais derrière elle, et il va lui falloir réinventer la seconde.

C'est un livre profondément humain qui se lit facilement et qui a su me toucher mais me marquera moins que les précédents titres pour ados de l'auteur.
Les personnages sont cependant attachants et tous les ingrédients sont réunis pour en faire un bon roman, parfait à lire en famille avec vos grands enfants lycéens.
Lien : http://www.bulledemanou.com/..
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C'est affreusement difficile de vous présenter ce roman sans lui faire perdre un peu de son mystère, alors je préfère faire bref.

Dans la famille de Valentine, il y a elle, 48 ans, divorcée et sans véritable emploi, ses deux enfants, tous les deux à la fac, son ex-mari, en pleine campagne présidentielle pour Macron, son frère Fred, dont le mariage bat sérieusement de l'aile depuis quelques temps, et surtout, il y a Monette, la matriarche qui règne sur sa maison de Lestrade et sur son chat Léon. Monette et ses convictions politiques inébranlables (à gauche toute !), Monette et ses mots croisés, Monette et ses exigences fantasques ... Quand Valentine, sur un coup de tête, décide de descendre de Paris pour passer quelques jours à Lestrade, histoire de fuir sa solitude et ses angoisses, elle ne se doute pas que dans la vieille maison l'attend une énigme qui pourrait remettre en cause son passé et ses souvenirs d'enfance ... mais à son âge, peut-être le moment est-il venu d'ouvrir les yeux sur la réalité et d'apprendre à vivre avec certaines vérités ... entre jeu de piste et retrouvailles amicales, Valentine, en compagnie de Fred, va remonter le fil de ses souvenirs, de l'histoire de ses parents et même de celui d'une petite ville et d'une époque révolue, celle de l'Eden-Club et des années 60 ...

Dans la droite ligne de L'Aube sera grandiose, j'ai beaucoup aimé ce roman car j'ai trouvé les personnages terriblement attachants, avec leurs failles et leur grande gueule ... on y retrouve aussi d'autres ingrédients comme les secrets de famille, les relations mère-fille et entre frères et soeur. Il flotte sur le roman une atmosphère qui confine au fantastique (si vous vous souvenez de vos cours de littérature, cela signifie que le surnaturel peut affleurer, mais que nous n'aurons jamais la certitude de sa réalité ... ni d'explication ...), mais sans jamais franchir la frontière des genres, donc chacun peut y trouver son compte.

La seule chose qui me gêne un peu, c'est qu'un livre comme L'Aube sera grandiose soit classé en littérature jeunesse, et celui-ci en littérature adulte, simplement par rapport à l'âge du personnage principal. Car vraiment, au niveau style et façon de voir et de dire les choses, ces deux livres sont exactement sur le même plan ... et ça me fait mal de me dire que les éditeurs, dans leur grande sagesse, pense que seul un ado peut s'intéresser à un livre dont le personnage principal a 17 ans, et que seule la ménagère de moins de 50 ans peut se passionner pour les histoires d'une quadragénaire en pleine crise existentielle ... alors que moi, dans ces deux romans, j'ai retrouvé la même façon d'interroger le monde, nos souvenirs, nos certitudes et l'histoire qui a fait de nous les personnes que nous sommes aujourd'hui ...
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Un livre facile et agréable à lire, où pour une fois l'héroïne est crédible, puisque des femmes de 48 ans divorcées, avec quelques bourrelets et une situation financière pas fameuse, il y en a pas mal dans la vraie vie. L'histoire se passe dans une région que je connais, ce qui bêtement me fait plaisir aussi, et même si la fin est un peu convenue (comme lu dans un autre commentaire, la scène finale ressemble un peu trop à une publicité pour être crédible), ce livre me fait le même effet qu'Ensemble c'est tout d'Anna Gavalda. On n'y croit pas trop, mais ça remet un peu les idées en place, et un peu de légèreté, c'est exactement ce qu'il me faut en ce moment,
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Clin d'oeil à mes frangins : comme Valentine et Fred, un jour on s'aime, le lendemain on s'agace ;-)

Dans ce roman, nous faisons connaissance avec Valentine. 48 ans, divorcée, elle retourne dans la maison familiale à la campagne. Son frère Fred, 50 ans, débarque également. Pendant deux semaines de mars 2017, ils vont faire des découvertes sur leur histoire, leur famille, la vie du village. Questionnements, doutes, les deux héros vont passer par une succession de sentiments et d'émotions pour arriver à repartir sur de nouvelles bases.

Secrets de famille, trahisons, relation frère-soeur, amitié, amour. Ce roman est une fiction dans laquelle tout un chacun peut se reconnaître. La personnalité des protagonistes, les conversations entre adultes, le vocabulaire, les remarques et les actes de chacun, tout cela fait que je me suis facilement projetée dans la réalité, et ça tombe bien car en ce moment, j'aime lire ces récits de vie fictifs dans lesquels on peut s'identifier. Je retiens en particulier ce passage : lorsque Valentine déclare : « Moi qui croyais être née dans une famille normale », Fred lui répond «Elle est normale, justement. Tu en connais beaucoup, des familles où tout le monde s'aime, se parle sans hypocrisie ni jalousie, et ne cache rien à personne ? » La remarque prête à réflexion.

Les personnages sont construits, travaillés, ils ont un vécu, une histoire, des sentiments, on s'y attache facilement.

La narration est plutôt "originale", le récit est majoritairement au passé à la troisième personne, entrecoupé par des chapitres à la première personne renvoyant non pas à Valentine (comme on pourrait s'y attendre), mais à son frère, Fred.

Définitivement, je suis fan de la plume de l'auteure : le style d'écriture est fluide, les mots bien choisis, pas de phrases « sans âme », elles sont toutes porteuses de sens, bref j'adhère totalement et au style, et à l'histoire. 407 pages, d'habitude j'aime lire rapidement, pour celui-ci j'ai pris mon temps et ça m'a fait un bien fou !

Même si les découvertes sur la famille ne sont pas drôles dans ce récit, j'ai trouvé qu'il y avait beaucoup d'humour, par le comique de situation en particulier, et des traits d'esprits dans le style d'écriture, bref j'ai ri. Ce qui fait que l'on referme le livre le coeur léger, décidé à continuer de profiter de chaque instant de vie sans prise de tête.

Un mot sur la couverture : elle est fun, fraîche, annonciatrice d'un roman qui nous fera sourire...

Bref, je recommande ++++++++++++++ ! ;-)
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Valentine vient se réfugier dans la maison de sa mère en Corrèze, où Monette ne l'attendait pas vraiment . Une pause dans une vie qui ne la comble pas. Entre deux pages écrites sur un guide sur la sexualité des ados, elle nous narre son quotidien avec un humour féroce. Quand son frère la rejoint tout s'emballe un peu. Secrets de famille et liens familiaux sont au coeur de de ce roman qui se déroule sur fond d'élection présidentielle.

« Monette manifesta son dégoût en s'adressant au chat :
– Tu entends ça Léon ? Kostas chez Macron ! Kostas avec ce …produit marketing ! Ce jeune banquier encravaté ! Alors ça…c'est incroyable ! »

On ne peut qu'adhérer à ce roman, et la figure de Monette est est le pilier. Jolies descriptions de cette famille et une ambiance qui ne laisse pas indifférent. Je n'oublierai pas de sitôt Monette, Valentine, Fred et les autres…. Ni le chat Léon avec ses airs de « saint-matou ».

Un roman qui fait du bien, mais qui nous questionne aussi et nous renvoie à nos rapports parents/enfants. Il y a de l'humour, de la dérision mais aussi une petite pointe de mélancolie dans ces pages. A découvrir sans attendre.
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Ce nouveau roman d'Anne-Laure Bondoux est vraiment à la hauteur du précédent que j'avais déjà adoré.
Encore une fois, la famille est au centre des préoccupations de l'autrice, encore une fois la relation mère-fille est importante, encore une fois il est question de repenti, de gangster et encore une fois le secret de famille tient une place prépondérante.
Mais cette fois, les liens fraternels apparaissent et sont le coeur du livre.
Qu'ils sont attachants Valentine et Fred, on n'a pas du tout envie de les quitter !
Cette enquête familiale empreinte de poésie et d'une grande tendresse a encore su me toucher en plein coeur.
Bravo belle réussite.
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A l'aube de la cinquantaine, Valentine et son frère aîné, Frédéric, vont devoir affronter de nombreux bouleversements.
Sur fond de campagne électorale présidentielle ,chacun d'entre eux va devoir affronter à sa manière et "digérer" des secrets de famille façon poupées russes , secrets d'autant plus violents qu'ils les obligeront à faire le deuil de l'image idéalisée de leurs parents.
Pour ne rien arranger, Fred comme Valentine doivent simultanément faire face à des tourments personnels...
Centré sur le personnage de Valentine, femme qui a bien à accepter et son corps et la réalité, le roman d'Anne-Laure Bondoux se révèle addictif tant il excelle à croquer des personnages pleins de vie, de doutes mais d'énergie aussi.
Interrogeant les liens subtils, et parfois tortueux, qui unissent frères et soeurs, il brosse aussi en arrière plan le désenchantement d'une certaine gauche idéaliste.
Même si la fin me laisse dubitative, j'ai dévoré à belle dents ce roman qui fleure bon la joie de vivre malgré tout.
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Valentine, dans le rôle-titre, c'est l'anti-héroïne par excellence : déjà elle approche de la cinquantaine, elle a des bourrelets, elle n'a pas de "vrai" boulot, (en tout cas pas celui qu'elle espérait après une école de journalisme), elle est séparée du père de ses deux grands enfants...bref, ça ne roule pas trop pour elle. Pour prendre un peu de recul sur sa vie et essayer d'écrire le guide destiné aux filles de 9 à 13 ans qu'un éditeur lui a commandé, elle va s'installer dans la maison de son enfance, en compagnie de Monette, sa mère, et du chat Léon. Ce chat n'est pas n'importe quel chat, mais un personnage primordial de l'histoire, à travers lui on effleure une dimension un peu surnaturelle...je n'en dis pas plus !
Autour de Valentine vont se réunir de vieux potes d'enfance, son frère Fred avec lequel elle adore se chamailler, ainsi que des nouvelles connaissances. Et peu à peu les secrets bien enfouis des années 70 vont se dévoiler ; ces années où le cinéma du père de Valentine était un lieu central du village, on y rencontrait des artistes, on refaisait le monde et des relations cachées s'y nouaient, parfois même des enfants y étaient conçus.
A force de se questionner sur son passé et son avenir, Valentine va prendre un tournant qui infléchira sa vie, et entraînera dans son sillage sa famille et ses amis.
L'écriture d'Anne-Laure Bondoux est fluide et agréable, on rentre bien dans l'histoire et ses personnages bien campés ressemblent à des gens que nous pourrions connaître. Par contre je n'ai pas trop accroché avec certains aspects, comme par exemple cette reprise du sport qui semble si facile à mettre en oeuvre.Pour l'avoir vécu, ce n'est pas aussi simple ! Et la fin, elle aussi, est bien trop rapide et idéaliste pour être crédible. Il ne suffit pas d'avoir un beau projet pour arriver à le concrétiser en deux temps trois mouvements, ce serait trop beau...
Je reste donc sur une impression mitigée, un peu d'insatisfaction mais rien de rédhibitoire non plus. Mais j'ai beaucoup apprécié Léon !
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Je dois à Gambadou l'achat et donc la lecture de ce roman, et si contrairement à mes habitudes je le fais paraître ce billet le lendemain du livre d'Anne-Marie Garat « Chambre noire », c'est pour souligner à quel point deux récits de secrets de famille peuvent donner des récits différents. Cette auteure écrit souvent pour l'adolescence mais je dois avoir gardé un côté ado , car j'aime toujours lire ses romans. Ici il s'agit d'un roman adulte, mais que les adolescents aimeront lire, j'en suis certaine. Donc après, « le temps des miracles« , « pépites » » Et je danse aussi« , « l'aube sera grandiose , voici donc » Valentine, ou la belle saison ». Autant dans le roman d'Anne-Marie Garat , on sentait l'engagement de l'écrivaine pour obtenir un style recherché, poétique et littéraire, au point de parfois devenir difficile à comprendre, autant Anne-Laure Bondoux cherche à faire passer ses sentiments et son récit dans une langue d'une simplicité qui me va bien. Autant l'une est sûre de ses postions idéologiques de gauche , autant l'autre est dans le doute ce qui me va bien aussi. Et pourtant ce roman se situe en 2017, au moment de l'élection présidentielle qui verra la vctoire d'Emmanuel Macron et divisera autant la droite que la gauche. Ce n'est que la toile de fond du roman, qui décortique un secret de famille à travers une femme de cinquante ans qui est obligée de prendre un tournant dans sa vie : elle a du mal à rester dans le monde de l'écriture, elle doit déménager, car son ex un certain Kostas dont elle est divorcée, avait obtenu grâce à se amis du PS un logement social qu'elle doit quitter. Car depuis l'affaire Fillon, les journalistes seraient plus regardants pour ce genre de passe droit, ses enfants sont pratiquement adultes et elle vient de perdre sa mère.

Elle retourne donc chez sa mère dans un village rural, (que j'ai situé en Aveyron) et là on comprend peu à peu que Valentine n'accepte pas la mort de sa mère qui revient vers elle sous forme d'hallucinations. le passé de Valentine est douloureux, même si elle ne s'en souvient pas très bien, elle a oublié ou refoulé des souvenirs traumatisants à propos de son père.

Peu à peu les fils de l'histoire vont se remettre en place et la fin est surprenante. Bien sûr, c'est un peu idyllique mais tout à fait dans l'air du temps : la vie en communauté intergénérationnelle est sans doute une des solutions pour aider les personnes âgées. à supporter la solitude.

Son frère Fred, le champion cycliste au coeur tendre, part lui aussi dans un divorce qui va être compliqué. le retour au village de sa soeur va sans doute l'aider. Toute la petite communauté du village où ils ont grandi, crée une société d'entraide ambiance sympathique que l'on peut trouver un peu facile, mais parfois on a besoin de romans où tout n'est pas noir ni glauque ! Les secrets de la famille viennent de la vie de leur parents ! ah la génération de 68 et la libération sexuelle : ça laisse des traces et des problèmes à résoudre aux enfants, ce n'est pas toujours faciles pour eux

Bref un roman agréable et qui permet de passer des soirées loin des problèmes si graves de notre planète.


Lien : https://luocine.fr/?p=17491
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Je connaissais surtout les romans pour ados écrits par Anne-Laure Bondoux bien que son écriture et les sujets abordés en font des textes qu'on lit avec intérêt à tout âge. "L'aube sera grandiose" se rapproche de ce récit pour le secret de famille et tout ce que cela déclenche comme remises en question apportant un nouveau point de vue sur la vie familiale qu'on croyait si familière...
Valentine dont la vie piétine espère trouver l'inspiration à la campagne dans la maison de son enfance où sa mère, Monette, l'accueille volontiers et cherche à lui prodiguer des conseils. Mais la réalité va lui éclater au visage en ouvrant un carton contenant de vieilles photos qui lui font prendre conscience qu'elle ne connaît peut-être pas si bien que ça sa mère...
Son frère va venir à la rescousse avec son vélo.
C'est parfois du psychologiquement mais c'est tendre et beau avec de la solidarité.
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