Il y a ça de bon dans les livres: ils nous donnent la mesure de ce que nous sommes, ils nous renvoient notre propre image, celle qu’on peine à voir et à laquelle on ne peut plus échapper.
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Un jour, tu comprendras que tu es plus qu'une image sur un écran à laquelle tu dois te conformer, que tu es une femme belle dans toute sa complexité, une femme en droit d'exiger d'être aimée et de s'aimer pour tout ce qu'elle est, ce qu'elle n'est pas et ce qu'elle deviendra, une femme prête à voir clair en elle, à s'ouvrir et à s'abandonner. Un jour, comme moi, tu seras une femme obligée à choisir entre la mort et la vie.
(Tu seras obligée de choisir)
J'étais capable d'imaginer qu'elle devait se sentir bien seule depuis que son mari était parti, mais là, après toutes ces années sans personne pour me prendre dans ses bras après une dure journée, sans personne pour me prendre dans ses bras quand j'ai froid, sans personne pour me prendre dans ses bras quand j'ai de la peine, sans personne pour me prendre dans ses bras juste comme ça, j'ai vraiment compris ma mère.
A dit
"Je l'aime ben mais..."
Moi à ce compte-là
ça s'rait
débarrasse