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EAN : 9782081612662
170 pages
Flammarion (19/11/2002)
4.14/5   145 notes
Résumé :
C’est l’histoire d’une mère et de ses deux enfants : Agathe et Jules. Ils ont perdu leur père dans un accident de voiture depuis Jules ne parle plus et n’arrive plus à courir. Agathe, elle ne dort plus car elle fait des cauchemars. Un déménagement va beaucoup les perturber mais tout va finir par rentrer dans l’ordre.
Ce livre m’a paru intéressant car il y a une morale, l’histoire est très triste et le vocabulaire est simple. Il n’ a pas d’images mais il est ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (72) Voir plus Ajouter une critique
4,14

sur 145 notes
Agathe est au Collège. Elle veille de loin sur son frère Jules, muet depuis l'accident de voiture qui a coûté la vie à son père.

Depuis, l'enfant essaye désespérément de continuer à exercer sa passion, la course mais ses pas et ses gestes sont devenus maladroits.

Ils devront de plus faire face au harcèlement mit en place par un autre élève ainsi qu'au déménagement contraint pour raison financière.

Heureusement, ils vont trouver des alliés qui vont les aider à grandir et franchir les obstacles de la vie...

Un beau roman tout en finesse que j'ai eu plaisir à retrouver avec cette nouvelle couverture.

Les personnages sont courageux et solidaires et l'histoire prend la forme d'une enquête pour trouver ce qui a pu déclencher le traumatisme du jeune frère.

Les adultes assurent leur rôle d'éducation et d'étayage. Leur présence rassurante est constante.

Un livre simple et beau à partager !
Lien : http://www.nouveautes-jeunes..
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Quand j'ai emprunté ce livre à la bibliothèque municipale, je ne pensais pas que j'éprouverai un véritable coup de coeur pour ce roman. Certes, j'adore les oeuvres de Pierre Bottero, mais je ne croyais pas aimer autant celui-ci.

Ce roman traite d'un sujet sensible sans aucune sensiblerie : les conséquences de la mort accidentel d‘un père aimant, celui d‘Agathe et de Jules sur leur vie quotidienne. L'intrigue ne débute pas juste après sa mort, mais quelques mois plus tard, quand les personnes commencent à surmonter leur chagrin et à reprendre le cours de leur vie. Marie, la maman, souffre de la mort de son mari, mais n'en délaisse pas pour autant ses enfants. Elle fait face aux problèmes qui se posent (des problèmes financiers notamment) en cherchant toujours les meilleurs solutions pour ses enfants. Agathe, la grande soeur, est la narratrice. Elle tient quasiment un journal de bord : les jours heureux, les jours où la vie normale reprend son cours, et les jours où les incidents viennent perturber leur nouvelle vie. Si nous entendons bien la voix d'une adolescente, en revanche le style est toujours correct mais sans affectation.

Tout n'est pas rose, loin de là, car Jules, le petit frère, ne se remet pas. Il parle de moins en moins, et se montre incapable de courir. Pour ces deux raisons, lui et sa soeur consultent un pédopsychiatre une fois par semaine. Agathe juge sévèrement ce professionnel de la santé, avec une légère ironie et une distance certaine que lui ont donné les épreuves qu'elle a traversées. Fort heureusement, il va être remplacé par une nouvelle praticienne, aux méthodes et aux capacités d'écoute radicalement différentes.

Si Agathe surmonte mieux la mort de son père que Jules, c'est aussi parce que son frère était présent lors de l'accident. Il a été éjecté de la voiture, il a survécu, pas son père, et si le terme de « culpabilité » n'est évoqué qu'à l'extrême fin du roman, c'est aussi parce que c'est seulement à ce moment-là qu'Agathe comprend ce qui empêche son petit frère de courir comme avant.

Ce sujet sensible se double d'un autre : Agathe, Jules et Thomas, son nouvel ami (et même un peu plus au fil du roman) sont confrontés à la violence gratuite de jeunes du collège et de leur cité. Au fur et à mesure que le roman se déroule, Agathe ne va pas se laisser déborder par les événements, dont la violence va crescendo (menaces verbales, puis menaces physiques, pour en venir à la violence physique pure). Elle va chercher à surmonter l'obstacle, en analysant, avec l'aide de Thomas pourquoi Julien et ses amis agissent ainsi, et plus elle aura d'éléments, plus elle va ajuster son comportement envers eux. Pierre Bottero montre qu‘il ne faut pas se laisser déborder par la violence, qu‘il faut oser faire appel à plus fort que soi (c'est-à-dire, dans ce cas, la loi, la justice), sans sacrifier toutefois la solution «télévisée » comme il l'appelle lui-même, presque comique, en tout cas fort réjouissante.
L'épilogue du roman est particulièrement cocasse, puisqu'après avoir suivi le point de vue d'Agathe pendant tout le roman, elle donne la parole à tous les protagonistes, y compris à Ben Johnson (un personnage déterminant pour la guérison de Jules).
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Je suis un peu comme un droguée quand je tombe sur un roman de Bottero comme ça par hasard "il en reste un !"
Parce que c'est toujours une joie de se plonger dans ses mots, un moment rare.

Même si je préfère quand il opte pour le fantastique / fantasy jeunesse, j'ai déjà lu au moins un roman comme celui-là (Tour B2, mon amour) que j'avais assez apprécié.

C'est un petit livre, pas très épais et écrit gros et ça a son importance on le sait pour les plus jeunes (c'est dingue comme ça les rassure généralement).
Il aborde des thèmes assez rudes (la mort d'un parent, la vie en cité, le racket et la violence entre jeunes...) avec sincérité mais optimisme !

Cette histoire d'une famille déchirée par la disparition du père est touchante, la relation d'Agathe avec son petit frère émouvante.
Bottero est particulièrement doué pour mettre en scène des personnages adolescents et nous plonger dans leurs quotidiens et leurs inquiétudes, c'est là encore le cas avec Agathe qui subit quelques pressions au collège de la part d'une petite brute.
On sent la jeune fille en colère dès le début du roman, la tension est croissante...

C'est finalement le déménagement en petit appartement de cité qui va changer la donne, conjugué à l'arrivée d'un nouveau pédo-psy au centre médico-social de quartier.
Tout ça semble bien lugubre je le reconnais, je dois dire qu'au contraire ce roman est plein de vie et d'espoir !
Un des rayons de soleil présent dès le début du livre est l'épicier de quartier, ami du père de longue date à l'accent chantant et à la famille nombreuse et bruyante. J'ai aimé ce tableau de personnages souriants et pragmatiques, qui apportent leur soutien avec naturel et générosité.

On sent qu'une fois le plus gros de la crise passé, les choses ne peuvent qu'aller en s'arrangeant et que peu à peu les épaules d'Agathe s'allègent, qu'elle devient plus insouciante (et peut-être même amoureuse !), tout comme son petit frère revient à la surface de lui-même.

Une fois encore c'est un roman jeunesse émouvant et réussi que nous livre Bottero. Il est sincère pour les jeunes lecteurs, ne cherchant pas à les protéger par le mensonge ou en les leurrant par un récit édulcoré. Il les traite avec intelligence et c'est ce que j'admire le plus chez lui.
Le roman me parait aussi intéressant pour les moins jeunes en exposant une réalité importante de la vie des ados et des enfants.

Certes ce ne sera pas mon livre préféré de Bottero, je l'ai dit plus haut je préfère quand il se livre à la fantasy jeunesse, sa plume m'enchante davantage. Mais ses récits réalistes pour la jeunesse me touchent aussi, différemment.
Lien : http://www.perdreuneplume.co..
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A chaque fois que je termine un livre de Pierre Bottero, je me dis invariablement « Il est encore meilleur que ceux que j'ai lus jusqu'à présent ! » … mais je pense que la vraie explication, c'est tout simplement qu'ils sont tous extraordinaires ! Et contrairement à ce qui arrive parfois avec d'autres auteurs, le fait de dévorer tout ou partie de sa bibliographie en très peu de temps n'entraine absolument pas d'overdose, bien au contraire, on en redemande … Cela fait maintenant jours que je suis complétement immergée dans ces incroyables petits contemporains et je pense que je ne m'en lasserai jamais. Malheureusement, il ne m'en reste plus qu'un à lire parmi ceux que j'ai trouvé à la bibliothèque municipale, il va donc falloir que je sorte de ce petit monde de douceur et de tendresse formé par ces petits romans riches en émotions …

Depuis l'accident de voiture qui a couté la vie à leur père, Agathe, quatorze ans, veille comme elle peut sur son petit frère. Jules, six ans, est plongé dans un mutisme de plus en plus inquiétant et ne semble plus capable de courir : ses bras et ses jambes s'agitent sans qu'il ne parvienne à coordonner ses mouvements, et il finit inévitablement par s'effondrer brutalement au sol. Désemparée, elle ne sait pas quoi faire pour l'aider à retrouver gout à la vie … Et cela d'autant plus qu'elle vit dans l'angoisse permanente de croiser Julien et sa bande, véritables terreurs du collège qui semblent l'avoir pris comme cible privilégiée. Heureusement, il y a Thomas, dont le coeur semble lui aussi alourdi par la tristesse, et dont la simple présence suffit à l'apaiser … Et il y a Cornelia, leur nouvelle pédopsychiatre, qui semble bien décidée à faire sortir Jules de son terrifiant silence …

Une fois de plus, Pierre Bottero a su trouver les mots justes pour aborder une thématique très sensible : la mort d'un parent. Si Agathe se remet progressivement de cette terrible perte, malgré les cauchemars qui la hantent chaque nuit, son petit frère semble au contraire s'enfoncer toujours plus profondément dans son désespoir. Il ne prononce désormais plus que deux mots, toujours la même question : « On court ? ». Car voilà l'obsession du petit garçon : réussir à courir à nouveau, sans ressembler à un pantin complétement désarticulé, sans perdre continuellement son équilibre. On ressent la frustration de Jules et le désarroi d'Agathe qui n'en peut plus d'espérer un miracle : elle supporte de moins en moins les regards étonnés, compatissants ou goguenards des passants ou des camarades de classe. Car voici la seconde grande thématique de cet ouvrage : le harcèlement scolaire. Entre Jules qui subit les moqueries de ses camarades à chaque fois qu'il tente de s'élancer, et Agathe qui vit dans l'angoisse perpétuelle de croiser le brutal Julien, le sujet, bien que secondaire, est bien présent dans ce roman.

Malgré tout, cette histoire est loin d'être morose, triste, déprimante. Bien au contraire. Dès le début, le côté dramatique induit par le blocage psychologique du petit Jules et l'attitude menaçante de Julien à l'égard d'Agathe est contrebalancé par la force de l'amour qui unit le frère et la soeur. C'est tellement beau, cette complicité, cette tendresse, que cela met du baume au coeur. Ils sont tellement mignons, ces deux-là, tellement attachants, c'est vraiment adorable ! On le sent bien : ce lien fraternel va avoir son rôle à jouer dans la guérison de Jules, car Agathe est finalement celle qui connait et comprend le mieux le petit garçon … Mais, seule, la jeune fille ne peut rien pour son frère : elle a également besoin de soutien. Et ce soutien va lui être apporté par trois personnes : monsieur Ali, un grand ami de son père dont la bonne humeur est un rayon de soleil dans la morne vie des deux enfants, Thomas, un de ses camarades de classe avec qui elle se découvre de nombreux points communs et qui semble prêt à se battre pour elle, et Cornelia, leur nouvelle pédopsychiatre, qui semble avoir une idée révolutionnaire derrière la tête … L'union fait la force, n'est-ce pas ?

En bref, le doute n'est pas permis : le coup de coeur est bel et bien là. En moins de deux-cent pages, Bottero a réussi à me faire rire et pleurer, mais surtout, il a réussi à me faire me sentir bien. Parce qu'on a tous, au fond de notre coeur, des lourdeurs, des poids qui nous empêche d'avancer, et que ce livre, étonnamment, parvient à les alléger. Ode à l'amitié, ode à l'amour fraternel, plaidoyer contre la violence, contre le découragement, ce livre invite le lecteur à ne pas s'enfermer sur lui-même mais à s'ouvrir à autrui pour trouver du soutien. Des personnages intéressants, une intrigue captivante malgré la simplicité du récit raconté, une plume incroyable qui fait naitre des cascades d'émotions dans le coeur du lecteur … C'est une vraie leçon de vie que nous apporte ce livre, sans en avoir l'air. Mention particulière à l'épilogue, qui donne la parole à tous les personnages, même au plus inattendu … Sans le moindre doute, je décerne à ce livre le statut de « livre-doudou-à-lire-quand-on-ne-se-sent-pas-bien » !
Lien : https://lesmotsetaientlivres..
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« le garçon qui voulait courir vite » de Pierre Bottero est un livre à part dans la sélection junior du défi babelio. Je dois dire que j'ai mis un peu de temps à me remettre sur mes pieds, tant j'ai été déstabilisé par l'histoire.

On est loin des romans jeunesses. Ici, une famille est bléssée à la suite de la mort du père. Une mère et ses deux enfants tentent de se reconstruire. Déménagement obligatoire, perte des racines, un jeune garçon qui ne parle plus, pleure et une jeune fille qui tente de voir le positif voire, découvre ses premiers amours…

Ce livre est très touchant, l'évolution des personnages est réaliste et l'écriture nous emporte facilement dans la lecture. C'est une belle histoire, qui peut se révéler vraie. J'ai beaucoup aimé les passages chez le psy… L'ancien et la nouvelle cassant l'image, parfois négative pour les gamins, de ce professionnel. On ne peut qu'être touché par ce jeune gamin qui surmonte ses difficultés et qui s'obstinent à vouloir courir vite, malgré les échecs.

A cela s'ajoute l'histoire d'amour, mignonne de deux ados qui se trouvent dans une histoire de Tolkien, se découvrent et se protègent.

Un beau petit roman donc, une pépite, qui je l'espère, touchera nos élèves comme elle m'a touchée.
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Citations et extraits (39) Voir plus Ajouter une citation
(premières lignes)

Debout derrière la grille de la vieille école des Buissons, je me suis demandé si je devais intervenir. Là-bas, au milieu de la cour, entouré d'enfants deux fois plus grands que lui, Jules semblait perdu, et j'en étais malade.
Je me suis penchée pour mieux regarder à travers les barreaux. Les institutrices qui surveillaient la récréation ne semblaient pas considérer que le rassemblement sortait de l'ordinaire et discutaient tranquillement.
J'ai fait une grimace en poussant un grognement. Ne se rendaient-elles donc pas compte que la situation de Jules était particulière ? Ne pouvaient-elles pas lui accorder toute l'attention qu'il méritait ?
Au centre de la cour, quelqu'un avait dû prononcer la phrase magique car Jules s'est mis à courir.
Enfin, courir était un bien grand mot.
Ses bras battaient l'air comme s'il avait été ivre, ses pieds semblaient dotés d'une vie propre, tout son buste était tordu.
Il avançait à peine plus vite que s'il avait marché...
Autour de lui, l'attroupement avait grossi et de ma place, j'ai entendu les rires.
Je me suis sentie envahie par un flot de rage. Personne n'avait le droit de se moquer de mon frère. Personne !
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J'ai pensé à ce qu'elle venait de me dire.
Je ne me suis jamais intéressée aux garçons. Pas le temps, pas envie, pas besoin et un tas d'autres "pas..." Jusqu'à aujourd'hui, j'étais même persuadée que les filles de mon âge qui sortaient avec un garçon le faisaient plus pour se faire remarquer que par réelle envie.
Avec Thomas, la situation s'éclairait d'une lumière différente.
Je n'étais pas amoureuse de lui, bien sûr. Je ne le trouvais ni particulièrement séduisant, ni spécialement intelligent. Je n'avais pas envie de me blottir dans ses bras comme les stars de cinéma le font avec leurs héros et quand je le voyais mon coeur n'explosait pas dans ma poitrine.
Non, rien de tout ça.
J'étais juste bien avec lui, tranquillement heureuse quand nous parlions. C'était tout, et c'était beaucoup.
L'idée que c'était peut-être ça "être amoureuse" ne m'a même pas effleuré l'esprit.
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- Heureusement, j'ai une solution. Toi ! Je considère que, puisque tu l'as soutenu, tu es complice de ce chat déserteur. Je te charge donc de t'occuper de son fils à sa place !
Jules a écarquillé les yeux.
Le docteur Olderty a plongé la main dans un grand sac posé à côté d'elle et en a tiré une minuscule boule de poils qu'elle a posée sur les genoux de mon frère.
La boule de poils a poussé un bref couinement de protestation et mon frère un petit cri de joie.
Le docteur s'est reculé sur sa chaise et a souri.
- Comment vas-tu l'appeler ?
Sa voix était redevenue douce, naturelle, mais j'ai senti qu'elle était tendue comme un arc, que l'expérience qu'elle venait de tenter sur mon frère se jouait là, maintenant.
- Il est génial ! Je vais l'appeler Ben Jonhson.
Jules n'avait pas hésité une seconde, et sa phrase était la plus longue qu'il eût prononcée depuis des semaines.
J'ai senti des larmes inonder mon visage.
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"_Maman?
_Oui,Agathe?
_Papa m



e manque beaucoup et pourtant et pourtant je suis heureuse.Tu crois que∆
"Maman s'est assise surle bord de mon lit et a serré fort ma main entre les siennes .J'ai guetté sa voix,parce que dans l'obscurité je ne voyais pas son visage et que j'avais peur que ma question lui ait fait de la peine.
_Ce n'est sûrement pas mal,ma chérie,au contraire. Comment imaginer qu'un amour aussi fort que celui qui nous lie tous interdise le bonheur ? Il faut que tu sois heureuse.Il le faut encore plus maintenant que papa n'est plus là ,parce que c'est ce qu'il voulait par-dessus tout.
Maman avait parlé doucement mais je n'avais pas perçu aucune tristesse dans sa voix. Je l'ai attrapée par le cou et je l'ai attiré jusqu'à moi.
_Je t'aime ai-je soufflé.
_Moi aussi, je t'aime.
Je me suis endormie très vite.
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Un père qui part alors qu'il aurait pu demeurer
Un père qui meurt alors qu'il aurait voulu rester
Un livre qui s'offre à partager
Une encre qui livre son secret.
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