AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

Serge Quadruppani (Traducteur)
EAN : 9782266238304
384 pages
Pocket (10/01/2013)
3.81/5   81 notes
Résumé :

Amateur de bonne cuisine et amoureux de son pays, la Sicile, Salvo Montalbano n'est pas un commissaire comme les autres : à la férocité de la vie, il oppose une intelligence humaniste et une ironie bienveillante.
Passionnels, accidentels, mafieux, les délits dont il s'occupe reflètent la nature humaine. Commis par des vieux, des jeunes, des hommes, des femmes, beaux ou laids, ignorants ou lettrés, ces crimes ont pour point commun le regard pos... >Voir plus
Que lire après Un mois avec MontalbanoVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
3,81

sur 81 notes
5
3 avis
4
7 avis
3
1 avis
2
0 avis
1
1 avis
Composer des nouvelles n'est jamais un exercice facile, les lecteurs ayant toujours la sensation que la nouvelle est trop courte, que la fin n'en est pas vraiment une, qu'ils ont passé trop peu de temps avec les personnages.

Hormis dans les nouvelles policières avec Holmes ou Poirot, puisqu'on peut les retrouver dans bien d'autres…

Pour le commissaire Montalbano, il en va de même : on le connaît bien, on a appris à connaître l'univers dans lequel il évolue, on a croisé ses subalternes, on a fait le tour du village…

Donc, zéro frustration avec ce recueil composé de 30 nouvelles policières qui font le tour de bien des situations qui pourraient se présenter à notre commissaire amateur de bonne chère. Bon, vu la longueur des nouvelles, l'auteur ne perdra pas trop de temps à lui faire faire le tour des restos du coin…

Comme je le disais plus haut, il n'y a pas que des enquêtes pour des crimes de sang, dans ce recueil, mais aussi des disparitions étranges, des règlements de compte entre mafiosos, la présence du diable dans la maison d'une vieille dame, des affaires qui datent de la Seconde Guerre Mondiale, le meurtre d'un clochard,… Il y en a pour tous les goûts.

Lire ce recueil, c'est comme plonger sa main dans un paquet de bonbons qu'on adore (ou de chips, de biscuits, de glace, selon vos goûts) car il est difficile, une fois commencé, de s'arrêter. le maître-mot était "Allez, encore une petite pour la route" et bardaf, à chaque fois j'en ai ajouté une…

Les points forts des romans de Camilleri, c'est d'abord son écriture, mélange entre le sicilien et l'italien que le traducteur, Serge Quadruppani, arrive à rendre en inventant des mots, remplaçant des lettres par d'autres, faisant chanter les dialogues.

L'autre point fort, ce sont les personnages, que ce soit le commissaire Montalbano ou tous les autres qui gravitent autour de sa personne, policiers ou personnages secondaires, qu'ils soient truculents ou sages, tous étant toujours très réalistes.

Ouvrir un Montalbano, c'est mordre à pleines dents dans un morceau de Sicile, aller manger dans les petites trattorias pittoresques et s'en foutre plein la panse tant les plats ont l'air succulents.

Lire un Montalbano, c'est s'offrir une parenthèse de douceur dans ce monde de brutes, c'est oublier la grisaille ambiante, les emmerdements de la vie… C'est voyager en restant au fond de son canapé, avec une minuscule empreinte carbone (mon livre était de seconde main) et ne pas se faire emmerder avec des QR codes ou autres papiers à remplir.

Montalbano, c'est la Sicile à l'état pur, le soleil, la mer, la plage, la bonne humeur (ou pas, le commissaire a aussi ses mauvais jours) et découvrir des petites enquêtes rafraichissantes, qui ne se prennent pas la tête (j'ai découvert souvent le mobile et le coupable), mais qui font du bien au moral.

Certes, elles n'ont pas la puissance de certains romans de l'auteur, la place manque toujours dans une nouvelle, malgré tout, elles restent agréables à lire et bien diversifiées.

Alors franchement, what'else ?

Lien : https://thecanniballecteur.w..
Commenter  J’apprécie          224
Quelle déception pour ces premières enquêtes du commissaire Montalbano que je lis !

J'avais adoré "La Révolution de la Lune" et je me réjouissais de retrouver Andrea Camilleri, son style truculent et vif, ses histoires originales et la prestance de son écriture. le bonheur ne fut pas au rendez-vous.

30 nouvelles, 30 enquêtes, beaucoup de redites, c'est sans doute trop pour quelqu'une qui n'est pas adepte du roman policier mais qui ne veut pas mourir idiote. Je n'ai probablement pas choisi le bon livre pour commencer mais j'en ai de reste et j'espère pouvoir être plus positive la prochaine fois.
Commenter  J’apprécie          263
Cela m'est toujours délicat de critiquer un livre de Monzù Camilleri car j'en suis un inconditionnel, inconditionnel mais éclairé avec toutefois une propension certaine à ne pas voir le défaut… quand il y en a...pas trop … parfois même pas du tout...Hum ! Hum !
Une trentaine de nouvelles des bonnes d'autres moins mais toujours trop brèves car on ne voit peu les seconds personnages ceux qui donnent de l'épaisseur aux enquêtes Montalbano: Catarella, par exemple, entraperçu mais qui répondant à un «et ta soeur!»
fait remarquer avec sa naïveté naïvement naïve qu'il est fils unique et mouche pirsonnellement un Montalba d'humeur noir et très ‘ntipatic ce jour-là, La Livia entraperçue, aussi, sur une barque en plein bronzing et punniquic (pique-nique, pour Montalba, la langue sicilienne a des déformations curieuses des anglicismes et des gallicismes {pour armuàr}) qui passe son temps à dormir quand Montalba besogne vigoureusement et ce dans une barque, Mimi Augello grand admirateur de Lolos et Pasquana le légiste et (faux)frère ennemi de Montalba : peu vu mais il fait fort car devant un catafaro poinçonné de 40 coups de couteaux il décrète une « indigestion aux figues de barbarie ».Sans oublier Clementina Vasile Cozzo son ancienne institutrice paralytique, Fagio, Zito le journaliste, les criques siciliennes, les rougets de roches et les vavaluci (escargots siciliens)
Bref tout un pan de la vie de Vigata entr'aperçu trop brièvement
La nouvelle ne convient pas particulièrement aux premiers abords à la verve camillerienne. Toutefois on s'y fait et on voit Montalba sous un autre jour : un fonctionnaire qui résout des petites affaires qui parfois n'en sont même pas, affaires de cornes ou autres petites incivilités, et tel Saint louis sous son chêne distribue les bons ou mauvais point aux malfaisants
On en remarquera, parmi ces toutes nouvelles , deux dont « amour » et le « pacte » qui ont des accents pirandelliens quand à la noirceur de l'intrigue et l'ironique mordante de Camilleri avec une chute abominable et tragique
On appréciera aussi la dernière «Mobile à double tranchant» ( l'histoire des figues) véritable farce enjouée malgré l'atrocité du meurtre et la méchanceté féroce de Camilleri pour son personnage féminin, monstrueuse baleine en pâmoison qui souffle par le nez comme avec des évents: personnage qui n'a rien d'une opulente et sympathique mama sicilienne et qui a bien mérité son sort
On croise d'antique luparas, des carabiniéri (s), des personnages truculents, des pickpockets rigolards même des curés en soutane voire des rats et ce dans des petites tranches de vie bien sicilienne
On nous dit dans une note finale « une petite nouvelle par jour et vous avez passé le mois avec Montalbano». Ce n'est pas tout à fait vrai car premièrement il y a le mois de février qui compte si je ne me trompe pas 28 jours et donc que faire des deux nouvelles de trop et ensuite ces petites écritures se lisent tellement bien qu'on s'en goinfre le soir comme avec des pâtes ‘ncasciata accompagnées de petits poulpes frits à l'huile d'olive
ou de tagliatelles avec du Guatto (maquereau) ou même des sardines a beccafico et donc si on ne se réfrène pas...
Commenter  J’apprécie          61
Ces nouvelles ne sont pas à proprement parlé des nouvelles policières, pas toutes. Ce sont des morceaux de vie en Sicile, qui nous emmènent parfois très loin dans le temps.
L'amour, la jalousie, le désir de vengeance sont les thèmes de prédilection de ces nouvelles, et surtout, jusqu'où ses sentiments peuvent mener une personne. Ce peut être le pire, et les policiers ont alors fort à faire, ce peut être le meilleur – même si des lecteurs bien pensants pourraient se dire que non, décidément, cela ne se fait pas. Mais protéger la personne que l'on aime en causant le moins de tort possible aux autres, n'est-ce pas le mieux qui puisse arriver ? Montalbano, lui, sait bien faire la différence, admirer qui le mérite. Et si je désapprouve la vengeance, même si elle a offert de très belles oeuvres à la littérature (Le comte de Monte-Cristo, le Cid, Colomba), je reconnais que celle d'Edna est magnifique – parce qu'elle agit là où la justice n'y est jamais parvenue, avec pour seule arme la vérité.
Ces nouvelles nous offre un voyage dans le temps, en évoquant la seconde guerre mondiale. Elle permette aussi de découvrir un Montalbano jeune – il a 32 ans lors d'une des nouvelles, et n'est pas encore en poste à Vigatà. Il est toujours passionné par la littérature, et ne manque pas de combler les longues plages d'inactivités par la découverte d'oeuvres littéraires variées. Bien sûr – et l'on remonte presque trente ans en arrière par rapport aux enquêtes actuelles de Montalbano, la Mafia est là, très active – pour fort peu de temps. Elle est même ridiculisée dans ce livre, tant elle vit sur ses acquis (ah ! les anciennes armes ne vaudront jamais les modernes), se contentant du strict minimum pour assurer sa main-mise sur son territoire, bien plus prompte à maintenir l'unité dans ses rangs. Non sans humour, Montalbano est invité à regarder leur lutte comme un match de football, et à ne surtout pas intervenir : ils s'entretuent très bien tout seul.
Il est amusant aussi de retrouver Fazio, et son impressionnante connaissance de l'état civil, Mimi Augello, pas encore marié, donc très attiré par la gente féminine, Catarella, encore plus maladroit qu'avant, et même Livia, au cours d'une nouvelle et d'un trop rare moment en amoureux.
Un mois avec Montalbano est un livre pour les fans de l'auteur, qui connaissent déjà bien son univers.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
Commenter  J’apprécie          70
SAVOIR-FAIRE !

M comme Maigret, Morse, Montalbano...M. comme Meurtre, Mort, Montalbano...M comme Magique, Mirobolant, Montalbano...

Andréa Camilleri qui produit autant de livres que le Saint et Vénéré Père Dumas (Alexandre de son prénom) décide d'un exercice de style : 30 jours, 30 nouvelles avec le carré magique : Montalbano, Fazio, Augello, Catarella...Une virtuosité imaginative sans égale, un art du déploiement de l'histoire étonnant de maestria, un condensé qui aurait pu donner trente romans, toute la gamme des crimes et meurtres (tragédies personnelles, mesquinerie humaine, racket, vols, vengeances, éxécutions...)...bref de la Haute Voltige dans cette Sicile, parée de sang, de soleil , de sentiments exacerbés, passionnels, féroces, délicats, attendrissants ....Et toujours cet touche qui rend le commissaire Salvo Montalbano, au caractère de cochon trempé dans la colère, vraiment très fréquentable....A lire à la vitesse voulue par l'Auteur (une nouvelle chaque soir) ou par vous......Bref un livre-caviar !
Commenter  J’apprécie          10

Citations et extraits (23) Voir plus Ajouter une citation
— Aujourd’hui, je t’aurais volontiers invité à la maison
pour manger avec nous, avait dit quelquefois Nicolò à
Montalbano, mais malheureusement, j’ai pas l’impression
que c’est le moment.
Cela signifiait que Taninè s’était levée du pied gauche,
d’où pâtes trop cuites (ou pas assez), viande insipide (ou
salée jusqu’à l’immangeable), sauce à laquelle il valait
mieux préférer trois ans de détention dont un à l’isolement.
En revanche, quand ça lui prenait, quand tout était allé à
son goût, quelle lumière du paradis !
Commenter  J’apprécie          40
Dans la cuisine, on ne pouvait pas bouger sans risquer de se souiller de sang, il y en avait jusque sur l’écran du téléviseur qui montrait les images du journal télévisé du matin. L’arme du crime, un coupe-papier à manche d’os, avait été jetée dans un évier, la lame avait encore des traces de sang, le manche, en revanche, avait été soigneusement nettoyé pour faire disparaître les empreintes digitales.
— Alors ? demanda Montalbano au Dr Pasquano.
— Alors quoi ? s’énerva l’autre. Vous voulez savoir de quoi
il est mort ? Indigestion de figues de Barbarie.
Mais ce matin-là, Montalbano n’avait pas envie de se
chamailler avec le médecin légiste.
— Je voulais simplement savoir…
— L’heure de la mort ? Je peux me tromper de quelques
secondes ou je dois dire pile pile ?
Le commissaire écarta les bras, désespéré.
Commenter  J’apprécie          20
Annibale Verruso a découvert que sa femme lui met les cornes et veut la faire tuer. Si ça arrive, ce sera votre responsabilité !
Écrite en capitales au stylo noir, la lettre anonyme était partie de Montelusa avec l’adresse vague « Commissariat de Sécurité publique de Vigàta ». L’inspecteur Fazio, chargé de trier le courrier, l’avait lue et immédiatement remise à son supérieur, le commissaire Salvo Montalbano. Lequel, ce matin-là, étant donné que le vent soufflait du sud-ouest, était d’humeur aigrie, fâché à mort avec lui-même et avec la création entière.
– Putain, qui c’est, ce Verruso ?
– J’en sais rien, dottore.
– Essaie de te renseigner et puis viens me le raconter.
Deux heures plus tard, Fazio se présenta de nouveau et, sur un coup d’oeil interrogatif de Montalbano, attaqua :
– Verruso Annibale, fils de Carlo et de Castelli Filomena, né à Montaperto le 3/6/1960, employé à la coopérative agricole de Montelusa mais résidant à Vigàta, 22, rue Alcide de Gasperi…
Le gros annuaire de Palerme et de sa province qui, par hasard, se trouvait sur la table du commissaire, s’éleva dans les airs, traversa toute la pièce, et alla s’abattre contre le mur d’en face, entraînant la chute du calendrier aimablement offert par la pâtisserie Pantanro & Torregrossa. Fazio souffrait de ce que le commissaire appelait le « complexe de l’état civil », chose qui lui faisait venir les nerfs même par beau temps, alors quand le vent du sud-ouest soufflait…
– Excusez-moi, dit Fazio en allant ramasser l’annuaire. Posez-moi des questions, j’y réponds.
– C’est quel genre de type ?
– Casier judiciaire vierge.
Montalbano saisit l’annuaire d’un air menaçant.
– Fazio, je te l’ai répété mille fois. Casier judiciaire vierge, ça ne veut rien dire du tout. Je répète : quel genre ?
Commenter  J’apprécie          00
Cinq jours avant la réception de la lettre anonyme, Annibale Verruso s’était acheté un 7,65 Beretta, avec la boîte de balles assorties. Dans sa déclaration, comme il ne possédait pas de permis de port d’arme, il avait assuré qu’il garderait l’arme dans un tiroir d’une petite maison de campagne, très solitaire, dans le quartier Monterussello.
À ce point, un homme doué de logique aurait conclu qu’Annibale Verruso, dans l’incapacité d’embaucher un tueur, avait décidé de pourvoir en pirsonne au nettoyage de son honneur souillé par la belle traîtresse.
Mais Salvo Montalbano avait une logique qui parfois quittait la route, pour se mettre à tourner follement. Voilà pourquoi il fit téléphoner par Fazio à la coopérative agricole de Montelusa : M. Annibale Verruso, dès qu’il en aurait fini de sa besogne matinale, devrait se présenter au commissariat de Vigàta sans perdre de temps.
– Que fut-il ? Que se passa-t-il ? demanda Verruso, très inquiet.
Opportunément instruit par Montalbano, Fazio galléja.
– Il s’agit d’établir que vous n’êtes pas lui. Je me suis fait comprendre ?
– À vrai dire, non…
– Peut-être que vous êtes lui. Dans le cas contraire, non. Je me suis fait comprendre ?
Il raccrocha, sans savoir qu’il avait déchaîné une angoisse pirandellienne dans la tête du pôvre employé à la coopérative.
Commenter  J’apprécie          00
Parce qu’en matière de sautes d’humeur, lui non plus, il ne plaisantait pas. La première chose qu’il faisait le matin, dès qu’il était debout, était d’aller à la fenêtre observer le ciel et la mer qu’il avait à deux pas de chez lui : si les couleurs étaient vives et claires, il en irait de même de son comportement du jour ; dans le cas contraire, ça tournerait mal pour lui et pour tous ceux qui passeraient à sa portée.
Commenter  J’apprécie          20

Videos de Andrea Camilleri (7) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Andrea Camilleri
Certains personnages ont la vie dure, traversant les années comme si auteurs et lecteurs ne pouvaient pas les quitter. Harry bosch, le fameux détective de L.A., est de ceux-là, créé en 1992 par Michael Connelly. Deux ans plus tard, Andrea Camilleri donnait naissance à son fameux commissaire sicilien Montalbano. Que deviennent-ils ? Leurs nouvelles aventures, qui viennent de paraître, valent-elles encore le coup ? Quant à Don Winslow, l'auteur de la fameuse trilogie La griffe du chien, il publie un recueil de six novellas dont deux remettent en scène les héros de ses plus anciens romans. Alors ? On a lu, on vous dit tout.
Incendie nocturne de Michael Connelly, traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Robert Pépin, éd. Calmann-Lévy. Le manège des erreurs d'Andrea Camilleri, traduit de l'italien (Sicile) par Serge Quadruppani, éd. Fleuve noir. Le prix de la vengeance de Don Winslow, traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Isabelle Maillet, éd. Harper Collins. Vous avez aimé cette vidéo ? Abonnez-vous à notre chaîne YouTube : https://www.youtube.com/channel/¤££¤36Abonnez-vous20¤££¤4fHZHvJdM38HA?sub_confirmation=1
Retrouvez-nous sur les réseaux sociaux ! Facebook : https://www.facebook.com/Telerama Instagram : https://www.instagram.com/telerama Twitter : https://twitter.com/Telerama
+ Lire la suite
>Littérature (Belles-lettres)>Littérature italienne, roumaine et rhéto-romane>Romans, contes, nouvelles (653)
autres livres classés : romans policiers et polarsVoir plus
Les plus populaires : Polar et thriller Voir plus


Lecteurs (238) Voir plus



Quiz Voir plus

la vie et les polars d'Andrea Camilleri

Andrea Camilleri est né en Sicile en 1925. Il s'est mis au polar sur le tard, avec un très grand succès. C'était en :

1985
1992
1994
1998

10 questions
68 lecteurs ont répondu
Thème : Andrea CamilleriCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..