Je suis très triste de ne pas aimer la poésie, parce que si ça avait été le cas, j'aurais lu les poèmes de
Jim Carroll. J'ai adoré ses journaux intimes et je compte bien lire la suite.
En bon modèle américain de Trainspotting, on vit avec Jim ses inquiétudes, ses shoots, ses parties de jambes en l'air. Marrant comme certains commencent tôt à se défoncer. Sans distinction aucune entre drogue dure et drogue douce, il avale tout, snife tout, s'injecte tout.
Sa recherche de pureté à travers les drogues est tellement fascinante. J'aurais pu rester avec lui pendant des centaines de pages.
Je suis et je reste une grande fan du film, qui est terriblement bien adapté, malgré l'absence ou le mix de certains personnages (inévitables à mon sens).
Il fera sans aucun doute partie de mes drogués préférés.