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sur 1334 notes
Si je ne devais emporter qu'un seul livre dans une île déserte ce serait "Don Quichotte", chef d'oeuvre d'entre les chefs d'oeuvre.
Si je ne devais sauver qu'un seul ouvrage d'une bibliothèque en flamme ce serait "El ingenioso Don Quijote de la Mancha".
Si je ne devais sauver la vie qu'à un seul écrivain ce serait celle de Miguel de Cervantès, au soir de la bataille de Lépante (1571), où il faillit vraiment perdre la vie. Et le monde aurait été bien plus pauvre sans son "Don Quichotte" pas encore écrit.
Si je devais faire aimer la lecture à un enfant récalcitrant je lui ferais lire "Don Quichotte" en bande dessinée, ou en version abrégée pour les enfants.
Si je devais avoir la méchante maladie d'Alzheimer j'espère que le dernier livre dont je me souviendrais serait "Don Quichotte".
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N°903– Mai 2015

Don Quichotte . Miguel de Cervantes

Je viens de relire Don Quichotte, oeuvre qu'il est inutile de résumer puisque depuis sa parution on l'a abondamment commentée. Je me suis seulement demandé si cet étrange roman n'était pas toujours d'actualité et si la folie n'était pas un refuge bienvenu surtout dans une société si marquée par la réussite, l'argent, la recherche de la notoriété, du profit, des apparences et si, face à cela qui ne me convient décidément pas, il ne valait mieux pas vivre dans un monde parallèle, si marginal soit-il, pour ne pas vivre selon les critères sus-nommés.
N'est-il pas en effet rassurant de poursuivre des « châteaux en Espagne » (sans mauvais jeu de mots) c'est à dire des choses qui n'ont aucune chance de se produire, ne serait-ce que pour nous aider à vivre dans cette vallée de larmes qu'est la vie. D'aucuns nommeront cela fantasmes, oui, et après ! Poursuivre un rêve, de préférence un peu fou, qu'on peut aussi nommer ambition personnelle n'est-ce pas un peu faire le même parcours que notre pauvre chevalier ? Comme lui on peut toujours rêver de faire quelque chose de notre pauvre vie , de marquer notre passage sur terre et ne jamais y parvenir tant sont nombreux ceux qui ont décidé de nous en empêcher, de nous trahir jusque dans notre immédiat entourage. Il en va de même quand notre pauvre ami décide de faire une confiance aveugle à ceux qu'il rencontre. Dans notre monde où la trahison est presque érigée en règle du jeu, nous savons tous, pour l'avoir expérimenté que s'en remettre ainsi aux autres est une attitude bien risquée. Quant à vouloir à toute force s'improviser redresseur de torts, même si cela témoigne d'une grandeur d'âme, cela ne peut vous attirer bien souvent que des ennuis. L'actualité est riche de ces expériences avortées.
En ce qui concerne la promesse que fait Don Quichotte à Sancho Panza de lui confier le gouvernement d'une île imaginaire, cela me rappelle, toutes choses égales par ailleurs, Don Quichotte n'étant pas susceptible de mauvaise foi, les promesses électorales dont nos élus ne sont pas avares mais qui ont la particularité de ne jamais voir le jour. Un ancien président de la République n'a-t-il pas dit qu'elles n'engageaient que ceux qui les croyaient ? Sauf que dans le cas des politiques il n'y a ni la naïveté ni l'idéalisme du Chevalier à la triste figure.
Quant à se battre contre les moulins, il nous est sans doute arrivé de nombreuses fois dans notre vie de le faire à notre tour sans forcément que l'issue soit semblable à celle qu'a connue notre pauvre chevalier. Cet épisode qu'on retient volontiers, malgré toutes les autres aventures de notre héro, est emblématique et il est évidemment facile de s'en moquer. Pour autant, n'a-t-on jamais fait, sous influence, des choses qui plus tard, la période d'émotion passée, ont heurté notre propre raison et notre propre logique ? Bien malin sans doute qui pourrait affirmer le contraire.
Idéaliser une femme comme le fait Don Quichotte en lui donnant les attributs de la belle Dulcine de Toboso, cela aussi nous l'avons tous fait, et pas forcément pour notre bonheur. Au moins notre chevalier en va-t-il pas jusqu'au mariage, reste-t-il dans son monde et n'est-il pas confronté à la trahison, au mensonge, à l'adultère qui sont souvent les conséquences de cet aveuglement.
Est-ce que cette manière de s'improviser chevalier errant à une période où ils n'existaient plus n'était pas finalement une marque d'originalité, une volonté de se démarquer face à l'instinct grégaire qui veut que chacun ressemble à son voisin ou plus sûrement à des personnages connus ? Plongé dans une société qu'il réprouve et désireux de s'en démarquer, il sera quand même rejoint par ceux qui la font et qui ne manqueront pas de saisir l'occasion d'abuser de sa naïveté et ce malgré la voix de la raison de son bon Sancho qui, à l'occasion, en profite même un peu lui aussi. Et d'ailleurs n'avons-nous pas nous-mêmes parfois saisi de pareilles opportunités au détriment d'êtres plus fragiles pour les mystifier encore davantage.
Quant à la méditation sur la vanité des choses, cela vaut bien tous les messages philosophiques ! Cette histoire sur la relativité des choses humaines est bienvenue. L'homme est naturellement porté vers la puissance, le pouvoir, la richesse. le fait d'être important un jour et le lendemain n'être plus rien est très actuel et carrément éternel, les Romains ne disaient pas autre chose parlant de la Roche Tarpéienne si proche du Capitole.
Quant à cette période un peu folle qui voit Don Quichotte, hidalgo paisible, se transformer en chevalier errant, c'est sans doute aussi la jouissance intérieure que nous ressentons tous quand le hasard nous prête ce « quart d'heure de gloire » si agréable qui nous fait sortir, forcément provisoirement, de la condition de quidam.
En réalité ce roman, derrière des apparences volontiers critiques voire comiques, me paraît camper à travers Don Quichotte un personnage emblématique de la condition humaine. Ce faisant, Miguel Cervantes a évoqué, comme le feront plus tard Shakespeare, Molière, Victor Hugo ou Céline une part de nous-mêmes.

Une des causes de la folie de Don Quichotte est la lecture effrénée des romans de chevalerie qui lui auraient asséché la cervelle. La lecture aurait donc des effets néfastes sur le cerveau. C'est vrai que même si la chevalerie n'est pas vraiment ma tasse de thé, j'aime bien les romans. Ils me procurent un dépaysement bienvenu et d'autant plus apprécié que mon quotidien se révèle de jour en jour plus délétère. Et je dois avouer que « ce vice impuni » me taraude depuis bien longtemps, cette chronique en est notamment le témoin. Pourtant, je ne me sens pas menacé. Quoique !

©Hervé GAUTIER – Mai 2015 - http://hervegautier.e-monsite.com
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Je me rappelle de mon appréhension à l'idée de lire Don Quichotte en cours de littérature comparée.
Quoi, nous pauvres étudiants, nous attaquer à ce monument ? Avaler sans coups férir ces centaines de pages d'une langue certes traduite mais probablement érudite ? En serions-nous capables ? Et surtout, allions-nous aimer ça ? C'est qu'il est long le pavé. Et lourd. Et nous en avions tant d'autres à lire...

Mes camarades et moi-même nous sommes lancés. Je ne sais plus ce qu'il en fut pour les autres, mais pour moi, quels fous rires ! Quel plaisir ! Je me suis tant et si bien attachée à l'hidalgo et à son Sancho Panza que je me suis mise en tête de le relire il y a peu. Toujours avec le même plaisir. Et les mêmes éclats de rire.

Don Quichotte, c'est ce triste sire espagnol qui ne lit que des romans de chevalerie. Tous y passent : des classiques aux méconnus, des chefs d'oeuvre aux ratés, des romans les plus sobres aux compositions les plus kitsch. Il les dévore avec tant d'ardeur qu'il en devient fou (comme quoi, la lecture est vraiment néfaste pour la santé ! Des années qu'on nous prévient et qu'on persiste et signe dans notre erreur!) et finit par se prendre pour un authentique chevalier errant, Lancelot hispanique mâtiné d'Amadis, dont la mission sacrée est de parcourir l'Espagne pour défendre la veuve et l'orphelin, combattre le mal sous toutes ses formes et oeuvrer pour le Bien avec un grand B. Tout chevalier qui se respecte se doit d'avoir une gente dame à aimer d'amour tendre et à servir. Pour Don Quichotte, ce sera Dulcinée du Toboso, une paysanne de sa région qu'il ne rencontrera jamais mais dont il chantera les louanges et la beauté face à un Sancho médusé -la jeune dame ne lui a jamais paru si gracieuse à lui!-. Parlons-en de Sancho : lui sera le fidèle valet du chevalier. Par appât du gain et un peu par affection aussi, il s'en tiendra à la conception du monde de son maître et le suivra dans toutes ses aventures, la plus ardue étant de rompre l'enchantement qui emprisonne Dulcinée. Enfin, que seraient Alexandre sans Bucéphale et Roland sans Veillantif ? Pour Don Quichotte, ce sera Rossinante, une fière et vieille jument.
Une fois équipé, Don Quichotte part en quête d'aventures. Les moulins à vents pris pour des géants ne sont que l'une d'elles et même si elle est savoureuse, ce n'est pas la plus drôle, car c'est ça Don Quichotte : un roman hilarant. Cervantes ne ménage pas son héros qui ne recule devant aucune occasion de se montrer parfait chevalier et parfaitement ridicule... Toutefois, l'auteur ne peut s'empêcher d'avoir de la tendresse pour son personnage, tendresse qu'il nous transmet. On rit de Don Quichotte sans méchanceté... Et puis, au delà du rire éclatant, il nous serre un peu le coeur aussi l'hidalgo. Il y croit tellement fort qu'il en est touchant, presque poignant. Clown grave et triste, mais clown quand même.
Cette folle histoire n'est pas écrite pour le simple divertissement du lecteur, même si elle relève brillamment ce défi ; elle est aussi pour Cervantes un moyen de parodier la littérature de son temps, ce XVI°siècle obsédé par des romans de chevalerie de plus en plus précieux et abracadabrantesques au détriment d'ouvrages plus concis, plus réalistes, plus en adéquation avec l'époque. Roman comique, plaidoyer pour une nouvelle littérature, Don Quichotte est une oeuvre tonitruante, rabelaisienne d'une étonnante modernité et d'une rare intelligence.
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J'ai essayé : on peut !
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Partout en Espagne, n'importe quel discours officiel que vous écoutiez dans ce pays, vous ne pouvez éviter la grande référence culturelle des Espagnols, leur dédain antédiluvien. le rayonnement de Don Quichotte, de Miguel de Cervantes, dépasse certainement la péninsule ibérique et même le monde hispanique, pourtant bien vaste. Ce monument de la littérature est devenu un socle de la culture universelle. Il est l'un des livres les plus édités et les plus lus dans le monde.
Car l'histoire est des plus curieuse, voire ridicule. Un Hidalgo, seigneur sur ses terres, pétri de romans de chevalerie à l'eau de rose de l'époque, voulut imiter ses héros en allant défendre l'opprimé et les princesses dont l'honneur serait bafoué. Il entraîne avec lui son célèbre valet, Sancho Panza, aussi fantasque que lui, qui ne croit pas un seul mot de son maître, le pense totalement fou, mais va pourtant abandonner épouse, terre et maison pour rejoindre et servir le seigneur qui s'est mis en tête une mission totalement délirante où seuls les mauvais coups sont à prendre.

le pauvre Sancho, sur son âne, suit son maître en étant la risée des lecteurs durant des siècles. Moi je le pense beaucoup plus sympathique et intelligent que cela. Lorsque son épouse ne cessait de lui répéter qu'il avait perdu la tête à vouloir suivre une chimère pareille, sa réponse fut étonnante «Oui, mais au moins, lui, me promet d'être le roi d'une île qui sera la mienne en récompense de mes loyaux services».

Sancho avait compris que sa vie de misérable n'était pas bien plus raisonnable que le rêve d'une promesse, même s'il n'était dupe de rien, effrayé par la folie de son maître. Mais voilà, ce livre écrit au début du 17ème siècle, portant sur une histoire invraisemblable, totalement burlesque, eut une considérable renommée dans toute l'Europe. Il est aujourd'hui le chef-d'oeuvre que nous connaissons. C'est cela le miracle de Don Quichotte et par définition, un miracle est toujours inexpliqué.

Il faut rajouter que « La langue de Cervantes» est considérée comme la référence absolue de la langue espagnole, son étalon dans l'excellence académique. C'est d'ailleurs ce plaisir que nous ne pourrons jamais atteindre dans ses sommets car, la plupart d'entre nous ne lirons que des traductions. Cela suffira à notre immense plaisir vu la qualité exceptionnelle de cette oeuvre, vraiment pas comme les autres.

Bien entendu, chacun aura compris que cette histoire est une critique féroce des croyances aux mythes de la chevalerie des siècles passés. Cervantes ne se privera pas d'une critique tout aussi sévère de la caste nobiliaire au pouvoir qu'il traitera avec un ridicule qui s'est avéré des plus efficace.
Courez lire ce monument de la littérature mondiale, faites-vous une opinion personnelle, positive ou négative, un roman est toujours une découverte, une surprise mais certainement toujours un grand bonheur de culture pour votre esprit.
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Ce roman est sans doute celui qui m'aura demandé le plus de patience ; auquel j'aurais consacré le plus grand nombre d'heures et enfin qui m'aura duré plus d'une demi-année de lecture. Et croyez-moi cela en valait la peine !

Don Quichotte est un roman qui ne se laisse pas approcher aussi facilement. Son auteur Cervantès a utilisé le style du roman de chevalerie pour se moquer de la mode et des auteurs de son temps.
Par ailleurs, ce roman est aussi l'occasion pour lui de rendre hommage à certains de ses amis en y glissant leurs poèmes ou des extraits de leurs oeuvres. J'ai pu remarquer grâce aux notes de traduction le goût de Cervantès pour la répétition qui donne une rondeur aux phrases.

Parmi les deux tomes, mon préféré restera le tome 2 où Don Quichotte a acquis une certaine notoriété en voyant ses aventures publiées (oui oui, vous ne rêvez pas à l'intérieur du livre dans sa ville fictive de la Manche ses aventures ont été publiées). Mais il se voit contraint de reprendre du service pour lutter par aventures interposées contre un "faux" Don Quichotte dont les aventures sont publiées (dans le livre et dans la réalité) comme étant la suite de ses aventures.

Cervantès ne pouvait laisser passer l'affront et revoilà notre héros plus fantasque que jamais !

Hormis quelques couacs dans le livre comme un âne volé, que le propriétaire continue de monter quelques pages après... Ce livre est un chef d'oeuvre de la littérature classique, il vaut le détour. Ne serais-ce que pour lire enfin le passage de son aventure contre les moulins à vent !
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Tout simplement le meilleur roman d'aventures jamais écrit selon moi. Chaque chapitre a son lot d'aventures incroyables et on en demande toujours plus. le langage est plein d'esprit et d'humour. Heureux de m'être enfin lancé dans la lecture de ce chef d'oeuvre.

Le genre de bouquin qu'on doit lire plusieurs fois dans une vie tellement c'est brillant et exquis. La portée métafictionnelle est incroyable et on comprend vite pourquoi la réputation de Quichotte est aussi vivace plus de 400 ans après sa première apparition. Cervantes a été touché par la grâce quand il a conçu cette oeuvre dont l'influence sur l'art littéraire mondial est immortelle. le vaniteux Quichotte et son compère Sancho Panza forment un sacré duo!!

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En voila un classique qu'il faut lire pour ne pas mourir idiot.Plus de mille pages qui raconte l'incroyable histoire de Don Quichotte aussi fou qu'il est sage aussi lucide que rêveur, il est accompagné dans sa tache par un drôle de loustic Sancho Panza qui tartine ses discours de proverbe plutôt bien sentit des punchlines on va dire, j'arrête la le spoil. Dans la traduction des édition Point la lecture y est très facile et fluide et j'ai beaucoup rit( J'avais même la banane par moment). J'ai le sentiment profond que Cervantes en dépit qu'il à de l'affection pour ses personnages se moque d'eux aussi (Il doit détester les romans de chevalerie) Mention spécial sur les chapitres se passant à l'auberge.Bref classique des classique qu'il faut lire absolument.
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Premier roman moderne dit-on... Cervantes nourrit son roman d'éléments de sa vie : bataille de Lépante, captivité à Alger... comme un romancier de l'aventure... mais c'est là une fausse piste, car sa critique pleine d'humour du "goût du temps" pour les romans de chevalerie s'impose bien vite au lecteur, ainsi qu'une gouaille hidalguesque qui n'a rien à envier à ses contemporains Shakespeare ou Rabelais.
En négatif, je n'ai pas apprécié les débuts un peu trop longs à mon goût, une mise en place à la Flaubert... mais par la suite la verve prend le dessus et j'ai alors trouvé du Boris Vian et de l'Italo Calvino dans ce Don Quichotte, que je ne connaissais auparavant que par son héros à la triste figure...
Sur le fond, cette oeuvre me fait aussi penser à un conte philosophique voltairien ; contes dans le conte, en tiroirs, qui sont autant de prétextes pour réfléchir sur le sens de la vie, sur les vertus et vices de la création artistique... faut-il plaire au public ou l'amener à s'élever ? la raison est-elle la mesure de toute chose ou bien le petit grain de folie d'un Don Quichotte n'est-elle pas ce qui donne à l'existence son goût d'inconnu sans quoi rien ne se fait hors de sentiers battus ? Combattre les moulins et s'élever chevalier errant à la force d'un plat à barbe devenu armet... une belle leçon d'actualité, pour poursuivre sa vraie quête personnelle dans un monde qui ne semble plus croire en rien, désenchanté...
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Ce récit célèbre est riche en humour et en sagesse. Beaucoup de scènes sont coquasses et nous font sourires à de nombreuses reprises.Quant au récit en lui-même, il contient de belles leçons de vie retranscrites d'une façon qui ne m'a pas paru lourde.

En ce qui concerne les personnages, Sancho est un personnage attachant. Ses paroles sont souvent d'une justesse simple mais efficace. Don Quichotte est quant à lui assez touchant dans sa folie. Ses intentions sont bonnes et entraînent le récit dans des aventures farfelues qui finissent pas faire grandir nos deux héros.

C'est un classique que j'ai aimé découvrir.
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