J'aime les gones d'Aurélie, en plus j'ai lu le début de cette histoire dans le TGV qui n'emmenait à Lyon pour un week-end de tourisme avec mon cher et tendre. Vous dire si j'étais dans l'ambiance.
Cette fois-ci l'auteure nous fait découvrir Liam un garçon d'une douceur et d'une gentillesse qui vous fera fondre, mais il est aussi en souffrance, en cause une famille qui n'accepte toujours pas sa transition, qui se refuse à l'accepter, qui le mégenre, qui l'appelle toujours pas son deadname, il aimerait fuir sa famille, mais il a encore du mal, il les aime encore et il espère tellement un changement qui ne vient jamais. Mais il y a aussi ses histoires d'amour, qui malheureusement ne l'aide pas, sa transidentité finie toujours par être rejeté, trop
femme pour les uns, trop homme pour les autres…
Alors oui il a des amis exceptionnels, il y a Vik, Alicia… mais il y a des jours ou cela ne suffit pas, ou la souffrance prend le pas sur tout, ou le compagnon, l'âme soeur manque, ou le désespoir et le noir envahi tout, même la raison !.
Mais il y a aussi des rencontres, mais il y a aussi Roman, mais ce dernier à aussi ses souffrances, son handicap, lui aussi a eu des histoires d'amour qui on laissé des traces, alors arriveront-ils à s'aimer, se construire, à détruire les murs de la différence ! il faut lire le livre 😉 pour le savoir.
La plume d'Aurélie est toujours aussi addictive, toujours aussi attachante, elle nous livre une histoire très très slow, ce qui est logique et normal, vu le sujet, peut être est ce un peu trop slow, mais c'est mon goût, c'est très personnel, parce que finalement à la fin quitter Liam et Roman ainsi que la tribu à encore été un déchirement. Il faut reconnaître à Aurélie la maîtrise de ses sujets, je la remercie parce que j'ai appris beaucoup de choses sur la transidentité, et j'en suis content.
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