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3,73

sur 1884 notes
Pour chaque être humain sur notre bonne vieille planète,on dénombre 1,4 billion d'insectes !
Le ratio est difficilement imaginable tellement il est énorme.Alors imaginons une seconde que tout ces insectes puissent unir leurs forces afin de nous placer sous leurs domination ? Telle est la formidable idée que Maxime Chattam a eu de mettre en récit
Un très bon thriller mêlant roman d'anticipation et enquête dans les milieux sectaires.
Une enquête parallèle avec des personnages principaux atypiques ( un flic gay en plein Los Angeles !)
Il fallait oser tout de même…
J'ai déjà eu l'occasion de lire des roman de cet auteur que j'avais déjà trouvé très bon , mais celui ci est clairement pour moi le meilleur ( en attendant d'autre roman bien sûr, ce dont j'espère)
Très bien documenté, ce livre permet aussi de réfléchir au relations que nous entretenons avec nos voisins les insectes. Après lecture de cet ouvrage , je vois notre monde différemment, je prend encore plus conscience de toute cette vie minuscule que nous côtoyons chaque jour sans nous en rendre compte.
Nous sommes de passage et les insectes étaient là avant nous et seront très certainement encore là quand nous aurons disparus.
Mais avant de penser à tout cela , je vous conseille vivement la lecture de ce roman
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Autant vous l'avouer tout de suite, je ne suis pas un aficionados de Maxime Chattam. Toutefois, je passe régulièrement un agréable moment à la lecture de ses thrillers.

Qu'en est-il de celui-ci ? Rien de plus que d'habitude ! Comme d'habitude, je n'ai pas trouvé le petit plus qui m'aurait donné l'envie de revenir vers cet auteur dans un avenir proche. Ce nouveau thriller de Maxime Chattam est donc pour moi un OK-book, c'est-à-dire un livre qui fait le job sans plus. Un livre qui ne me laissera pas un souvenir impérissable sans que je puisse expliquer pourquoi.

Maxime Chattam est le seul auteur qui me fait cette impression. Quand je suis devant ses livres dans une librairie, j'ai envie d'en acheter un et dans le même temps je n'ai pas envie et je me tourne vers un autre auteur.

C'est dommage car j'aurais tellement voulu vous aimer Monsieur Chattam !
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Chaque roman de Maxime Chattam est attendu avec une impatience non feinte, et un(e)secte ne déroge pas à la règle.
Difficile d'être déçu avec cet auteur, qui change régulièrement de registres tout en gardant à l'esprit de déranger le lecteur en le confrontant à ses peurs primales.
L'inspecteur du LAPD, Atticus GORE, mène une enquête pour le moins particulière, car il se retrouve avec un cadavre à l'état de squelette, dans ses habits du jour, où des tas d'insectes écrasés parsèment le chemin jusqu'à celui ci. En parallèle, Kat KORDELL, détective privée de NY, est approchée par une mère démunie ayant perdu la trace de sa fille depuis une dizaine de jours.
Quand on tire une ficelle, il ne faut pas craindre ce qui se trouve au bout, et nos deux héros vont vite l'apprendre à leur dépens.
Ce polar ose flirter avec la science fiction, avec une belle réussite. Malgré des passages plus dérangeant qu'effrayant, je reste sur ma faim sur le côté frisson.
Bien ficelée, l'intrigue nous mène avec plaisir jusqu'à la chute finale, sans réelle surprise.
L'élément le plus glaçant est sans conteste le fait que le contrôle des insectes n'est plus une utopie dans le monde qui est le nôtre, mais bien une réalité gardée au chaud par des organismes préférant ne pas attirer la lumière sur leurs recherches.
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Poux
Puces
Punaises de lit
Moustiques
Moucherons

Les petites bibites, ne mangent pas les grosses.

Et bien,... non

Soyez avertis
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C'est la couverture qui m'a d'abord attirée. Les insectes grouillants, se réunissant pour former une masse informe et puis le titre peu engageant. Je n'aime pas plus que cela les insectes et avec les arachnides c'est une longue histoire de désamour.

Le prologue est joyeusement phobique, j'en ai eu froid dans le dos. Puis le soufflé est rapidement retombé. Un(e)secte est un petit polar des familles mais rien de plus.
Le postulat de départ avait tout pour offrir un texte horrifique et j'ai à peine frissonné.

Et puis c'est long mais long ! Chattam rabâche à l'envie les mêmes infos et étire inutilement son récit. Avec 200 pages de moins on gagnait en rythme et en intensité.

Quant à l'histoire, elle est on ne peut plus convenue. Deux enquêteurs qui bossent sur la même affaire sans le savoir et qui finissent par unir leur force pour dégommer le méchant moche psychopathe (qui n'est pas effrayant pour deux sous).

J'ai sauté des pages pour venir à bout de ce pavé qui ne me laissera pas un souvenir durable.
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Le thème des insectes tueurs et qu'un homme puissant et riche veut imposer sa vision du futur persuadé que son idéal est juste reste intéressant. le principe d'un meurtre spectaculaire dont les circonstances sont aux limites d'une implication fantastique me plait.
Entre un crime horrible et la disparition inexpliquée d'une jeune femme, les chemins du détective Atticus Gore et de la privée Kat Kordell vont s'entremêler.
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Avec ce dernier opus de Maxime Chattam, j'ai retrouvé le style de son « cycle de l'homme » composé par, « Les arcanes du Chaos », « Prédateurs » et «La théorie Gaïa ».
Il utilise les thématiques de la déviance humaine, la mégalomanie, le complotisme, toujours agrémenté d'un décor ténébreux, essentiellement américain, comme les basfonds de New-York, et de crimes odieux à la limite du gore. Maxime Chattam est né dans le val d'oise et il pourrait donner plus d'importance à des décors de son pays natal. Il le fait assez bien avec la « théorie Gaïa » où une partie de l'histoire se passe sur l'observatoire du pic de midi. Je n'ai rien contre les états-unis mais il y a suffisamment d'auteurs américains pour nous dépeindre ce pays sous toutes ses coutures. Stephen King, par exemple, pour rester dans le style.
Le récit démarre sur la découverte de cadavres tués par des insectes. Cette première partie de mise en place est alléchante et nous entraîne à poursuivre la lecture. Les deux protagonistes principaux vont mener l'enquête chacun de leur côté : Atticus Gore, inspecteur de police atypique, et Kat Kordell, détective privé à la recherche d'une disparue mandatée par la mère. Deux paumés dans leur vie personnelle enfermés dans leur bulle. J'ai eu un peu de mal à m'attacher à l'un ou à l'autre en raison d'un manque de fonds.
Le plein phare sur ces deux personnages permet à l'auteur d'utiliser sa technique déjà éprouvée. Des chapitres assez courts qui se terminent sur une action, une révélation avec l'un des deux personnages pour embrayer un nouveau chapitre avec l'autre personnage. In fine, le puzzle se constitue et l'entonnoir déverse tous les éléments dans le même tuyau.
Ce rythme de style ne réussit pas à dissimuler de nombreuses longueurs et des chapitres peu utiles.
Après la déception ressentie avec son avant dernier opus « le signal», co-écrit par Stephen King (joke), je suis de moins en moins surpris par ses récits, que je commence à trouver redondants.
Je vais prendre le temps de lire « la trilogie du mal » qui semble faire partie de ses meilleurs romans.
Pour conclure un polar megalo fiction divertissant auquel il manque ce petit quelque chose.
Bien à vous tous amis Babeliens !

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Malgré une effrayante introduction qui annonçait du lourd, je n'ai pas été emballé plus que ça par ce Chattam. Ce n'est pas mauvais, mais ce n'est pas très bon non plus. Les protagonistes ont beaucoup de potentiel et les revoir dans un prochain tome sera un plaisir. L'histoire en elle-même m'aura fait ressentir beaucoup d'ennui. C'était bien souvent plat. ce récit manquait de "peps" comme on dit.
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Chattam construit son intrigue autour de deux enquêtes simultanées se déroulant des deux côtés des États-Unis.

Atticus Gore, flic de la division homicide d'Hollywood, récupère le cas d'un étrange cadavre, entièrement rongé de l'intérieur, avec la présence de nombreuses espèces d'insecte piétinées tout autour de la scène de crime. Tout montre que le mort n'est décédé que depuis quelques heures, mais certains des insectes sur place sont ceux qui habituellement viennent curer les corps en décomposition depuis des semaines. Atticus, passionné d'entomologie, entraîne son partenaire dans cette enquête qui va vite s'avérer sensible.

Kat Kordell, détective privée à New-York, est chargée de retrouver une jeune femme disparue à la demande de sa mère. Mère et fille ne s'entendait plus guère, la fille dépressive s'était semble t-il repliée sur la magie noire…

Ce Maxime Chattam là m'a immédiatement fait penser dès les premières pages à sa Trilogie du mal, surtout au tome 3 Maléfices. Lecture aisée, chapitres courts, rythme efficace. Pour autant, j'ai assez rapidement déchanté: .

C'est bien dommage, car le livre se lit rapidement avec plaisir, les personnages sont consistants et l'auteur maîtrise toujours autant l'ambiance américaine. de plus, les réflexions sur le pouvoir non contrôlé des Gafa et les intrusions dans la vie privée qu'ils mènent sont pertinentes.

.

Le tout forme donc une lecture de détente qui déçoit un peu au final.
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Qui sont les véritables terriens, les habitants de la Terre, nous? Pas si sur.
En réalité les plus nombreux en nombre, en poids et en masse ce sont les insectes sur Terre et le plancton dans les océans.
Nous ne sommes pas grand chose , si un jour tout ce "petit" monde décidait de sauver leur territoire en danger, la solution adéquate serait de détruire la cause.
Ils n'ont pas l'arme nucléaire, ni pétrole, ni charbon, mais de solides mandibules, et à un milliard contre un ( c'est apparemment la proportion existante, qui glace un peu le sang quand même) nous ne pesons pas lourd.
Alors si un humain décide et trouve comment "diriger" toute cette armée piquante, mordante et grouillante...pour sauver la Terre qui se passera très bien de notre présence....On est mal barré, vivement que l'on aille envahir Mars, cela laissera quelques millénaires ( deux peut être) pour faire durer encore un peu "l'espèce".
A déconseiller à ceux qu'effraie les petites bestioles, mais efficace pour faire ouvrir les yeux à ceux qui les ferment encore.

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