Un(e)secte

Le début de l'histoire est intrigant, les insectes auraient-ils la capacité de s'entendre entre eux et de faire bloc contre l'humanité ? Un petit côté les oiseaux de Daphné du Maurier.
Pourquoi ne pas avoir gardé ce côté fantastique, pas de conclusion ou d'explications. Un petit peu de mystère ne fait pas de mal.
Pour chaque être humain sur la terre il y a en face plus d'un milliard d'insectes, ces petites vies grouillantes et invisibles qui nous entourent. Ça semble bien suffisant pour faire flipper.
L'auteur passe donc du mystère au grand-guignol, nous avons inévitablement le héros chevalier blanc, avec sa morale d'airain, qui au prix de son existence, envers et contre sa hiérarchie une grosse vendue qui veut le faire taire, fera triompher la vérité machiavélique. Heureusement ouf il n'est pas seul, son pendant féminin le rejoint dans le dernier tiers du livre.

N'oublions pas le méchant digne de ce nom, milliardaire évidemment (les pauvres n'ont pas le temps de concevoir des plans pour détruire la planète tiens), qui contrôle le monde entier évidemment sinon à quoi ça sert d'être milliardaire, les gouvernements aussi sinon à quoi ça sert d'être milliardaire, que rien n'arrêtera, à part nos héros solitaires et courageux, dans son entreprise diabolique et avec son rire sardonique de rigueur « ah ah M. Bond vous ne m'empêcherez pas de venir à bout de mon projet sinon à quoi ça sert d'être milliardaire ». Ah non zut, je me suis trompée de film.

Ah bah non finalement le méchant est trop bavard et il veut expliquer à James Bond le pourquoi de son plan, révélant toute son entreprise et les détails avec délectation à l'heure de son triomphe. Vous connaissez ce moment où le héros renverse la situation de manière tellement inattendue pendant l'interminable logorrhée du méchant, oui voilà on ne nous l'épargne pas non plus.
Car le milliardaire a finalement une seule ennemie implacable, la solitude, et pas d'ami pour écouter avec une oreille compatissante ses rêves de destruction mondiale.
La plume de Chattam est très efficace et cinématographique. On tourne les pages, on ne s'arrête pas jusqu'au mot fin. Ça fera un bon film de série Z devant lequel s'endormir.

Deux enquêtes palpitantes et intéressantes qui se rejoignent
La première menée par un policier Aticus sur le corps d'un homme retrouvé sans chair avec tes tas d'insectes écrasés autour de lui
La deuxième menée par Kat une détective privée sur la disparition d'une jeune femme qui aurait intégré une secte
Quel peut-être le lien entre les deux ?

Mais où est passé le Maxime Chattan des débuts ? Où est passé la trilogie du mal et autres thriller qui font vraiment peur ? Je suis de plus en plus déçue... c'était mon auteur préféré et depuis quelques années je ne m'y retrouve plus. Avec ce dernier opus, j'ai même été à la limite d'abandonner cette lecture que j'ai trouvé longue, trop longue. Maxime Chattan il faut vous rependre...

Chronique de la LOOSE ici...
L.A.
Un cadavre, ou plutôt, ce qu'il en reste, est retrouvé.
Squelette nettoyé de sa chair alors que le gars était en vie la veille au soir.
Chelou.
A côté du corps. Des insectes écrasés . Pleins.
Atticus Gore, flic gay et music métal addict est mis sur l'enquête.
N. Y. C.
Kat Kordell est détective privée.
Sa nouvelle affaire : retrouver la fille d'Annie Fowling : Lena. Une jeune femme solitaire et dépressive qui a disparu.
Tu sais que les deux affaires vont se rejoindre.
Mais quand ? Comment ?
Hum hum... En suivant les insectes !? 🕷️

Minou, toi qui me connais, tu sais que j'attends toujours avec IMPATIENCE le nouveau Chattam
Hiiiiiiiiiiii #KoeurKoeurKoeur
Là : Cette couverture. 🖤 Noire. Grouillante à souhait. Des insectes. Hum oéééé !!!
mon 5/5 spécial tropique à portée de main et voilà . Suis prête pour une lecture en apnée !
Héééé Bah en fait...
ALeeeeeeeerte... D. E. C. E. P. T. I. O. N.
OH putain la douche froide ici.
🤔🤨😐😑😶😣

▪️Prologue : Miam !! Ca promet.
▪️🤔P85. Ok... C'est moi où c'est long à démarrer !? J'ai été habituée à beaucoup mieux. Soit.
▪️🤨P254 !!!!
Ok. On a progressé dans les deux enquêtes mais c'est plat. Je ne lâche pas hein. Mais c'est plaaaat.
Et sinon DouK' Y sont les insectes bordel !?
A part quelques trucs écrasés ya rien qui grouille ici.
Je voulais frissonner moi.
Je lis. Mais c'est plat. (jlai déjà dit nan!?) Je tourne les pages mais sans gout. Impression de ne pas être dedans et pourtant j'y suis !!
▪️😐😑P294....
Aaaaah! Ça commence on dirait. Ça grouille. Oé. Enfin... Un peu.
Le final va être ouf c'est sur. Toutes ses longueurs, ce n'est pas pour rien. NAN !? 😶
▪️😶😣Ah. Ben c'est fini. Pis cette fin-là.... C'est moi ou c'est bâclé !!? ! 😥
GNÉ.

Je chuis GRAVE grave grave DECUE....
Franchement, Minou, je me suis demandée si j'avais lu le même livre que les gens en lisant les avis plus qu'emballés sur un(e)secte.
Les peurs panique et autres terreurs nocturnes?
Heuuuuuuuu

Alors déjà les insectes... FAUT ARRETER hein !!
Je pensais que ça allait grouiller à me gratter pendant la lecture !
Autant le prologue démarrait fort mais après pffffff.... rien. Mou. Plat.
Que dalle.
Pas l'ombre d'une araignée ou d'un mosquito.
Il faut attendre le final en quelques pages pour en retrouver. Et encore !!
Je voulais de l'horreur. du frisson.
Rien.
Je n'ai rien ressenti.
Electrocardiogramme plat de chez plat.
Et ça me fait bien chier de dire ça de Chattam didon.
(je t'aime encore. T'inquiète M.🖤)

Allez, un point positif ? (quand même ):
J'ai bien aimé les protagonistes.
Ca change. Ça fait du bien.
Ca tombe bien, ça annonce une nouvelle saga avec les mêmes personnages
J'espère qu'il se rattrapera....🤞

Je vais garder en mémoire LE SIGNAL 🖤 Beaucoup mieux.

Allez next. ET VITE!!
La ptite bête qui monte qui monte est vite redescendue.... Jte le dis. PaF !

* A TANTOT ~ BISOUS LES MINOUS *

Mon premier Maxime Chattam et je ne suis pas déçu du voyage. Un détective en manque de réussite dans ses enquêtes et en mal d'amour se voit confier une affaire des plus troublantes où il doit résoudre le mystère d'un squelette entouré de grappes d'insectes écrasés. Une privée doit retrouver une fille qui semble avoir des penchants pour les rites sataniques et les fréquentations douteuses à souhait. le lien entre les deux affaires qui se déroulent aux deux extrémités des States n'est pas flagrant, mais comme on dit, lentement mais surement, les deux enquêteurs découvriront la toile qui se cache derrière ces événements aussi perturbants que glauques. Des personnages forts, une écriture accessible et imagée à souhait, des réflexions sur la vie et sur le monde, quelques frayeurs, un zeste de bestioles rampantes et trébuchantes, vous avez là tous les ingrédients pour réaliser un bon Thriller aux accents de Fantastique (et peut-être même de SF si on cherche bien). Quelques facilités scénaristiques et un antagoniste pour lequel l'on ne ressent que peu d'émotion tout comme une fin un peu expédiée viennent ternir un tableau pourtant très sympa. Je ressors donc de cette lecture avec un bon sentiment, une belle découverte et fort heureusement, aucune phobie d'insecte n'est apparue à la fin de l'ouvrage. Un Thriller efficace que je recommande.
Lien : https://evasionimaginaire.wo..

Il est loin le temps où je disais haut et fort que Maxime Chattam était mon auteur favori.

Maintenant j'aborde ses livres avec presque une forme d'appréhension, prête à la déception.

Ce livre-là est beaucoup moins décevant que le précédent mais franchement on est loin du bonheur des début.

C'est pas mal, ça se lit bien et c'est agréable dans l'ensemble mais y a pas de quoi en frémir de plaisir non plus. le meilleur est dans le prologue (c'est dommage, non ? ).

Premier livre de Maxime Chattam pour ma part et bien que détestant les insectes, j'ai adoré l'intrigue, on s'y croirait !

Deux enquêtes sont menées en parallèle, l'une avec le policier Atticus Gore, la seconde avec la détective privée venant de New-York, Kat.
Le premier enquête sur un cadavre découvert, apparemment dévoré par des insectes en pleine forêt dans des circonstances étranges, la seconde sur la disparition d'une jeune fille qui n'a laissé aucune trace.

Petit à petit, on comprend que les insectes sont un élément clé de ces deux enquêtes et qu'elles seront très certainement liées, même si on ne sait pas forcément de quelle manière.

Bien que j'ai trouvé que la fin du livre est un peu "Hollywood movie", j'ai beaucoup aimé le style d'écriture. Les chapitres sont courts et l'on a envie d'en lire un, puis un, et encore un, jusqu'à se rendre compte que l'on a finalement dévoré ce livre très vite pour comprendre la fin de l'intrigue.
On y apprend également beaucoup de petites choses sur nos amis (ou pas) les insectes, et l'on s'y croirait. J'ai vraiment eu la sensation par moment d'avoir des insectes autour de moi. Certaines scènes sont également très réalistes et font froid dans le dos (sans trop vous spoiler : la scène où Kat regarde sous le lit et découvre qu'il y a quelque chose...).

A s'abstenir de lire si la phobie des insectes est trop présente.

J'ai découvert Maxime Chattam avec le sang du temps, qu'une collègue m'avait prêté. À la suite de cette lecture, j'ai dévoré presque toute sa bibliographie et il est très vite devenu l'un de mes auteurs préférés en termes de thrillers. Malheureusement, depuis quelques années, je suis déçue par ses publications qui manquent cruellement d'intensité à mon goût et un(e)secte ne fait pas exception à la règle. J'en suis la première affligée, notez bien. Décortiquons un peu tout ça…

Tout commence par un prologue assez dérangeant, surtout pour l'entomophobique que je suis ! Il nous donne un aperçu de ce qui nous attend, ou du moins il devrait car en réalité, on est loin du compte. Kat est détective privé à New York, elle enquête sur la disparition d'une jeune femme qu'elle soupçonne très vite d'être tombée sous influence. Atticus est flic à Los Angeles, il est en perte de vitesse lorsqu'il se voit confier une affaire atypique : un corps rongé par des insectes en l'espace de quelques heures à peine, ce qui est en principe totalement impossible. Vous vous en doutez, les deux cas finiront par converger, les deux héros par se rencontrer et par tomber… Non, pas d'histoire d'amour là-dedans, Dieu merci !

En revanche, l'intrigue est très classique et le sujet en lui-même ne suffit pas à remporter les suffrages. Maxime Chattam essaie de nous expliquer en postface que tout cela est plausible, voire probable car de nombreuses études sont en cours. Soit. Sauf qu'à aucun moment, il n'a réussi à convaincre tout à fait la peureuse des insectes que je suis. C'est quand même un comble, sachant que le terreau était sacrément fertile ! Je craignais ce livre, entre son titre, sa couverture et les retours que j'avais lus sur le prologue. J'ai repoussé sa lecture pendant des semaines et au final… Rien, ou pas grand chose.

Du côté des personnages, si Kat a su me toucher par ses contradictions, j'ai eu plus de mal avec Atticus qui m'a semblé manquer de naturel, comme un pantin qu'on aurait du mal à animer. Leur duo est plutôt sympathique, mais on n'a pas vraiment le temps d'en profiter. le dénouement est trop rapide et sans réelle surprise, car on devine facilement où l'auteur veut nous emmener. Il soulève pourtant nombre de questions intéressantes sur les dérives de notre société, le problème de la surpopulation, la solitude et les laissés-pour-compte.

Au final, cette histoire avait un énorme potentiel, mais elle souffre à mon sens d'un gros problème de rythme. L'intrigue met un temps fou à se mettre en place pour s'achever en deux coups de cuillère à pot. En outre, j'attendais plus de Maxime Chattam, plus d'insectes, plus de peur, plus d'intensité. Ses romans me paraissent de plus en plus édulcorés, comme s'il essayait de plaire au plus grand nombre au mépris de son identité, celle qu'il affichait au moment de la Trilogie du Mal en tous cas. Et c'est bien dommage, car c'était cet auteur qui me plaisait !
Lien : http://etemporel.blogspot.co..

J'ai longtemps été une fana de Maxime Chattam, j'ai adoré ses trilogies, retrouvant un peu le frisson offert par King lors de mon adolescence. Et puis les années passant ses romans ne m'ont plu trop enthousiasmée, je les trouvais plats et plutôt convenus, vraiment loin de l'ambiance qui m'avait rendu accro.
Celui ci m'a été offert récemment et comme la personne qui m'a fait ce cadeau m'a demandé comment avait été ma lecture, j'ai dû m'y « coller » et j'avoue l'avoir commencé sans grand entrain.
Finalement, ce fût une bonne surprise, une lecture agréable, un bon thriller mais bien loin de la plume du Chattam dont je suis nostalgique, bien trop « gentillet », s'il l'avait publié sous un pseudonyme je n'aurai jamais imaginé qu'il en était l'auteur.
Donc, nostalgie purement fanatique de côté, c'est un très bon polar. Par contre si vous avez envie de retrouver un peu de la trilogie du mal, faites l'impasse.

Je me faisais une joie de le lire et le prologue m'a de suite emporté. Un couple de retraite tranquillement chez eux. Lui dans le jardin et elle qui s'installe confortablement sur la véranda pour lire un livre. Et là horreur elle se fait attaquer par des insectes. Ces 8 pages sont justes glaçantes.
Puis nous enchainons sur la découverte du corps d'un journaliste free-lance dont il ne reste plus que les os. Mais comment une personne encore vivante la veille peut être à ce point decomposé. Ce n'est pas normal. C'est au policier Atticus Gore que revient l'enquête. Lui qui aime tant les mystères et si connaît un peu dans les insectes.
Et enfin nous faisons la connaissance de Kat, une détective privée, engagée par une mère pour retrouver sa fille dépressive qui a mystérieusement disparu en ne laissant qu'un message à sa mère en glissant une référence à sa soeur... morte !

Ma lecture commençait bien mais très vite l'angoisse, l'appréhension, l'envie de découvrir ce qui était arrivé au couple du prologue c'est effacé. J'ai eu du mal à lire ce thriller. Il y a tellement de longueurs, on avance pas dans l'intrigue. Trop de descriptions ou de faits qui ne font pas avancés l'histoire plombent la lecture. Arrivé au dernier tiers du livre, l'intrigue s'emballe enfin... mais la fin ne m'a pas du tout convaincue. Autant j'avais aimé "Le signal" qui m'a fait pensé à du Stephen King avec cette ville coupée du monde et des phénomènes inexpliqués, autant là la sauce n'a pas prise. Vraiment dommage.
L'intrigue sur les insectes tueurs étaient bien pensé mais pas assez présent dans le récit. Il me manque vraiment quelque chose.
Dommage !