45ème de la liste du journal le Monde. Son titre m'a interpellé. Lu jusqu'au bout car seulement 114 pages. Un homme à l'agonie, entouré d'une femme qui le nourrit et d'une gamine qui le distrait. Pas compris grand chose aux délires d'animaux. Premières pages, je cite : « Maintenant, je sais que les cygnes sont des chameaux avec de l'eau jusqu'aux couilles. » le style de tout le livre est à peu près comme cela. Pas mon genre de lecture, à moins d'avoir un décodeur.
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"Je peux y passer d'un moment à l'autre. Je veux disparaître en beauté, avoir le dernier mot, musical et léger comme un brin d'herbe entre les dents de l'empailleur."
Suis-je déjà trop vieux pour mourir ?
«Bêtes de littératures» avec Éric Chevillard
Hérissons, orangs-outans, tortues, flamants roses, insectes… Les bêtes peuplent les livres d’Éric Chevillard. S’interrogent à cette occasion les enjeux de la présence d’animaux, et par là d’altérités non humaines, dans la littérature. Comment rendre compte, avec l’écriture, d’intensités animales au-delà de l’allégorie ou de la fable ? Donner vraiment la parole aux animaux, est-ce pour autant se couper du symbolique ? Et l’humour dans tout cela ? L’entretien sera ponctué d’une lecture d’extraits de «Zoologiques» (Fata Morgana, 2020).
- Modération : Sandra de Vivies
La Fondation Jan Michalski, le 11 septembre 2021
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