Selon mon père, les mois de juillet et d'août étaient l'époque idéale pour un voyage en Sicile. En réalité, il n'était soleil ni canicule qui eût pu l'obliger à tomber la veste, le gilet et le chapeau, les chaussures montantes, le col dur et la cravate. Dans cette tenue, et une valise à chaque main, il se mettait en route avec moi pour son village. En sa qualité d'employé des Douanes il avait droit à un billet annuel gratuit pour lui et sa famille. Et c'était l'argu... >Voir plus