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4,04

sur 154 notes
J'ai apprécié les deux nouvelles du ministère de l'alchimie, des enchantements et des entités surnaturelles mais pas assez pour me lancer dans le roman sans hésitation.
J'ai bien fait d'insister, j'ai adoré ce roman.

Les nouvelles ne faisaient qu'effleurer l'univers, ici on découvre l'Égypte devenue grande puissance grâce à la magie des djinns. On découvre même ce que deviennent les autres pays.
L'enquête de l'agente fatma et de sa coéquipière sur la mort d'une confrérie anglaise, nous mène à travers tous les quartiers du Caire, du cimetière au cités jardins et palais royal. Nous en apprenons également beaucoup plus sur les djinns et leur histoire.

La fraternité d'al jahiz à pour but de rassembler tous les artefacts liés à Al Jahiz, celui qui a ouvert la porte du monde des djinns. Les membres de cette fraternité sont tous brûlés vifs par un homme au masque d'or se prétendant être Al Jahiz lui même. Commence alors l'enquête de l'agente Fatma et Hadia.
En plus de l'univers, l'intrigue est bien menée avec de l'action, de l'humour et des rebondissements , je n'avais d'ailleurs pas deviné la fin avant de la lire.
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Après plusieurs nouvelles et novellas, Phenderson Djèli Clark a décidé de s'essayer à la forme longue avec Maître des Djinns qui est ainsi son premier roman. Il est publié par les éditions L'Atalante qui pour l'occasion proposent deux déclinaisons de la version papier : une brochée et une reliée collector ( couverture cartonnée et tirage limité ) qui est vraiment un bel objet livre. Maître des Djinns se déroule dans le même univers uchronique que la nouvelle L'étrange affaire du Djinn du Caire et le mystère du tramway hanté. Toutefois, les trois sont des récits indépendants qui peuvent être lus séparément. On retrouve dans Maître des Djinns Fatma el-Sha'arawi qui était présente dans L'étrange affaire du Djinn du Caire et quelques allusions à cette histoire, sans qu'il soit nécessaire de suivre cet ordre de lecture. La traduction est à nouveau signée avec brio par Mathilde Montier.

L'univers développé par l'auteur méritait bien qu'on y retourne tellement il est foisonnant et passionnant. Nous sommes en Égypte en 1912. Cependant, un événement a totalement bouleversé l'histoire du pays, les créatures surnaturelles sont connues de tous. Un nommé Al-Jahiz (littéralement « celui qui a la cornée saillante ») a permis aux Djinns et autres créatures magiques inspirées du folklore du Moyen Orient de passer dans notre monde. Cela a permis à l'Égypte de se libérer de la tutelle des Anglais et de beaucoup progresser techniquement. le Caire est ainsi devenue une ville qui peut rivaliser avec les grandes capitales européennes. P. Djèlí Clark décrit d'aillers avec beaucoup de soin la ville qui prend ainsi vie sous nos yeux grâce à des anecdotes, des descriptions très visuelles, notamment concernant des bâtiments extraordinaires. On s'imagine très bien déambuler dans les rues de ce Caire uchronique et découvrir toutes ces beautés et cette technologie.

Pour répondre à tous ces changements entrainés par la venue des créatures surnaturelles, le ministère de l'Alchimie, des Enchantements et des Entités surnaturelles a été créé. Ses missions sont de résoudre les affaires étranges. Fatma el-Sha'arawi est une agente de ce ministère. Elle a une sacrée réputation au sein du ministère, autant pour ses réussites que pour le fait qu'elle préfère travailler seule ou encore pour son style bien à elle et ses costumes trois pièces. Pourtant, pour la dernière affaire qui lui est confiée, elle va devoir changer ses habitudes et accepter de travailler avec une partenaire, Hadia. Les deux femmes vont enquêter sur plusieurs meurtres dont ont été victimes les membres de la fraternité d'Al-Jahiz. Surtout que Al-Jahiz lui-même se prétend de retour et qu'il proclame être l'assassin.

Avec ce roman, P. Djèlí Clark développe plusieurs points de son univers ainsi que ses personnages. Fatma est très réussie, c'est une femme libre et très douée, au fort tempérament, qui prend beaucoup de soins à choisir ses tenues, apprécie tout ce qui est beau et connait beaucoup de choses sur les créatures surnaturelles. C'est un personnage fascinant à suivre et sur lequel repose l'histoire. Les autres protagonistes sont tous intéressants et bien construits, et on retrouve avec plaisir les deux héros aperçus dans le mystère du tramway hanté.

L'intrigue est prenante, efficace avec des rebondissements et de l'action très spectaculaire, sans temps mort. P. Djèlí Clark a enrichi sa trame principale de sous intrigues riches qui font vivre ses personnages et découvrir la ville et ses habitants. Cependant, l'histoire a un côté classique et quelques éléments sont un peu prévisibles et déjà vus. On sent également que l'auteur a voulu rendre hommage à un classique de la Fantasy (où on trouve un anneau) au travers de certains objets et répliques.

Maître des Djinns permet ainsi à P. Djèlí Clark de passer avec succès au format roman, après des nouvelles et novellas très réussies. La grande réussite de ce roman est sans conteste cette Égypte pleine de vie et de magie ainsi que ses personnages éclatants. L'édition collector à la très belle couverture de Stephan Martinière offre un bien bel écrin à ce très bon roman.
Lien : https://aupaysdescavetrolls...
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Encore une fois c'est un coup de coeur !

Décidément cet auteur a su me harponner dès le début, dès la première novella.

Dans ce format plus dense, P. Djèlí Clark a eu la place pour étendre son univers et l'approfondir. Dans un style que je trouve très adapté au cinéma, dans le sens où j'avais l'impression de voir chaque scène en la lisant, il nous dépeint une ville, une mythologie, nous livre un polar fantasy de qualité porté par des personnages humains et puissants, attachants.

Alors qu'arrivée à la moitié je commençais à voir s'amollir mon entrain, ne voyant pas l'enquête avancer, le récit a redécollé en trombe et ne m'a plus laissé le lâcher.

Et encore une fois le petit plus de l'auteur est qu'il distille une lutte contre le racisme, le sexisme et l'homophobie dans son roman, sans que cela ne vienne amoindrir l'intrigue et l'univers qui restent au centre du récit.

Bon dieu, quelle plume !!

PS: petit bémol, n'étant pas bilingue j'aurais aimé que les mots et expressions arabes aient été traduites pour ne pas avoir à chercher sur Google trad...j'apprécie apprendre de nouveaux mots, mais je préfère ne pas être sortie de ma lecture pour ce faire.
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J'avais promis de reparler rapidement de P. Djèlí Clark après Les tambours du Dieu noir. C'est le cas à l'occasion de la sortie de son premier roman, A Master of Djinn. Situé dans sa version steampunk du Caire déjà vue dans The Haunting of Tram Car 015, ou encore The Angel of Khan el-Khalili, ce roman commence quelques mois après L'Étrange Affaire du djinn du Caire et met en scène l'agent Fatma el-Sha'arawi et la mystérieuse Siti, même si Hamed et Onsi, les enquêteurs du trolley hanté sont également de la partie. Dans A Master of Djinn, Fatma el-Sha'arawi se voit contrainte d'accepter une nouvelle partenaire alors même qu'elle doit enquêter sur la mort mystérieuse des membres d'une loge adoratrice d'al-Jahiz, l'homme qui changea la face du monde une quarantaine d'années plus tôt en ouvrant une brèche entre le monde des hommes et celui des entités magiques.
Au cours de son enquête, elle va se retrouver mêlée à la politique internationale (et j'avoue que retrouver Raymond Poincaré en personnage secondaire d'un roman steampunk américain m'a agréablement surprise) et à la politique intérieure de son pays. Si P. Djèlí Clark signe avant tout un roman d'action drôle et touchant, à la différence de ses nouvelles dans cet univers, il y aborde des thèmes qui lui tiennent à coeur comme le racisme ou l'inégalité dans la répartition des richesses. L'esclavagisme et le sexisme flagrant en Égypte comme en Europe seront même au coeur du mystère que doit résoudre Fatma.
Tout n'est pas parfait dans A Master of Djinn, notamment le fait que sans avoir lu certaines nouvelles précédentes, le lecteur risque d'être parfois perdu, mais c'est véritablement un excellent premier roman, avec une attention accordée aussi bien aux héroïnes principales qu'aux personnages secondaires. Avec une mention spéciale pour Ahmad et son sacrifice pour venger son aimée, malgré sa conception des relations humaines assez maladroite. Une fois fini, il donne juste envie de revenir une fois de plus dans ce Caire de légende.
Lien : https://www.outrelivres.fr/a..
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Bienvenue au Caire, au ministère de l'Alchimie, des Enchantements et des Entités surnaturelles. Dans ce roman, nous suivons l'agente Fatma et ses collègues et allié.e.s dans la résolution d'une tuerie mystérieuse. Au programme, donc, enquête, et artefacts magiques mystérieux, avec plein de fausses pistes et rebondissements. le tout dans un chouette univers steampunk uchronique où les djinns vivent au milieu des humains, et où l'on découvre le Caire sous un angle très fun.

L'enquête est bien ficelée, avec des retournements qui ne prennent pas le lecteur pour un idiot (même si on se passerait de certains rebondissements qui ont un côté artificiels pour faire monter la sauce). Au final, c'est très fun et efficace, et les héroïnes du roman sont très cools. Au milieu de tout ça, un propos anticolonialiste et féministe est très bien intégré et rend le livre moins popcorn qu'il n'y paraît de prime abord. Sans être le livre du siècle, c'est du coup un divertissement de bonne qualité.

En revanche, petit bémol, il s'agit d'un roman qui s'inscrit à la suite de deux nouvelles de l'auteur (L'étrange affaire du djinn du Caire, et le mystère du tramway hanté) que je n'ai pas lues : si l'intrigue se suit très bien sans ça, avec une enquête indépendante, les clins d'oeil constants aux deux nouvelles m'ont agacée xD Faut choisir : ou bien c'est une saga, et on l'écrit en gros sur la couverture, histoire de pas lire le tome 3 sans avoir lu le tome 1 et 2, ou bien c'est des livres indépendants, et on met quelques clins d'oeil mais pas trois tonnes, histoire de ne pas frustrer le lecteur ! Mais au delà de ces petits clins d'oeil irritants, je garderai, je pense, un bon souvenir du roman.
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Je rejoins la caravane de Phenderson Djèlí Clark avec un peu de retard, débutant ma découverte de cet auteur avec son roman, sans passer par la case novellas. Si cela ne gêne en rien la lecture, le procédé est un peu dommage car, indéniablement, il m'a manqué quelque chose.
Le décor de Maître des Djinns est proprement génial, car il renverse tous les archétypes du genre, donnant à lire un pur exotisme de très bon aloi. le lecteur plonge avec délice dans cette Égypte du début du XXe siècle, que le retour de la magie et des forces occultes a hissé dans les premiers rangs des puissantes. L'Empire britannique colonial est mis en retrait et le reste du monde n'a pas grande importance. Qui dit nouvelles entités, dit nouvelles administrations pour canaliser tout ce beau monde, notamment le ministère de l'Alchimie, des Enchantements et des Entités surnaturelles dans laquelle oeuvre l'agente Fatma. Cette jeune femme, au caractère bien trempé et résolument moderne, a du pain sur la planche car voilà qu'est annoncé, dans des panaches de fumée et des coups de tonnerre, le retour d'al-Jahiz, le mystique ayant ouvert la porte permettant à la magie de se répandre.
Outre l'aventure, l'exotisme et « l'enquête », l'auteur en profite pour insérer quelques touches personnelles quant à l'émancipation (des femmes, mais aussi des minorités) et au pouvoir de la religion et des croyances, qui n'oeuvrent pas forcément pour le bien de leurs adeptes. Tiraillée entre son rôle et sa stature « scientifique » et terre à terre, Fatma doit trouvée un équilibre entre l'expliqué et l'inexplicable.
Le lecteur se coulera avec délice dans cette grande aventure, colorée, pleine de bruits et de senteurs, et encaissera presque sans rechigner plusieurs facilités scénaristiques et quelques longueurs.
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Quel est le dernier livre que tu as lu sans savoir à quoi t'attendre ?

Le steampunk est un genre qui m'attire de plus en plus donc quand on m'a parlé d'une histoire qui se déroule dans une Egypte peuplée de Djinns et de machines, je n'ai pas hésité.

Je ne saurais dire pourquoi ce livre n'a pas été un coup de coeur puisque je ne peux pas vraiment parler de choses qui m'ont déplu. Je pense que c'est le côté enquête qui m'a un peu ennuyé, puisque ce n'est pas mon genre de prédilection. L'intrigue en elle-même est plutôt simple, mais comme ce n'est pas pour elle que j'étais venue...

En revanche, j'ai adoré l'ambiance : ce Caire moderne, ses Djinns, ses machines mais aussi ses inégalités nourries à la fois par la peur de l'autre, un certain sexisme et une religion parfois trop pesante. Ce point est d'ailleurs très intéressant car il est encore très (trop) rare de voir des héros musulmans dans des livres de fantasy. J'ai beaucoup aimé voir comment nos deux héroïnes conjuguent leurs croyances et leurs devoirs, en maintenant un équilibre subtil.
C'est rafraichissant et ça change de ce que j'ai lu dernièrement !

Les personnages sont très bien écrits, que ce soient des humains ou des djinns, ils ont une personnalité qui leur est propre et apportent beaucoup de diversité. Peut-être que les antagonistes manquent un peu de corps, mais ça ne m'a pas trop gênée.

Pour faire court, ce n'est pas un coup de coeur mais une lecture que je recommande chaudement !
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Maître des djinns est le premier roman de P. Djèlí Clark. Il se déroule dans un monde de Fantasy uchronique dans lequel les djinns ont pu pénétrer dans le monde des humains grâce aux expériences du savant et mage al-Jahiz, qui a ouvert une brèche dans le Kaf, le royaume au sein duquel ils résident. L'ouverture du Kaf a provoqué le réenchantement du monde, mais aussi l'émergence de crimes liés au surnaturel.
Fatma el- Sha'arawi, inspectrice au ministère de l'Alchimie, des Enchantements et des Entités surnaturelles, enquête sur des meurtres de dignitaires britanniques vraisemblablement liés à un retour supposé d'al-Jahiz. le Caire devient alors une poudrière prête à exploser à tout instant.
J'ai beaucoup aimé ce roman, et je vous le recommande !
Chronique complète et détaillée sur le blog.
Lien : https://leschroniquesduchron..
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Dans un monde où l'Égypte est devenue l'une des plus grandes puissances mondiales suite à l'apparition des djinns, nous suivons Fatma, l'une des premières femmes à rejoindre les rangs du Ministère de l'Alchimie, des Enchantements et des Entités Surnaturelles. Lorsqu'un individu prétendant être al-Jahiz, la personne responsable de l'arrivée des djinns sur Terre, commence à apparaître aux quatre coins du Caire et à y semer la pagaille, Fatma va devoir mener l'enquête.

Je n'ai pas eu le coup de coeur que j'espérais de cette lecture mais j'ai vraiment adoré, bien que j'ai eu un peu de mal à rentrer dedans au départ. Bon, si j'ai eu du mal à pleinement m'immerger dans l'histoire, je pense que c'est avant tout un souci de timing puisque je n'ai clairement pas entamé ma lecture au moment où j'en avais le plus envie. Ceci dit, il y a aussi des raisons plus concrètes qui ont fait que je n'étais pas à fond pendant la première moitié. L'une de ces raisons est l'omniprésence de termes en arabe sans explications (en tout cas pour la version originale, ce n'est peut-être pas le cas en VF). Si c'est un gros plus en terme d'immersion, ça peut aussi ralentir un peu la compréhension des lecteurs qui, comme moi, n'ont pas forcément ce vocabulaire (même si on finit par s'y faire, je vous rassure). J'ai aussi eu l'impression qu'il y avait quelques longueurs pendant la première moitié mais c'était probablement surtout dû à mon état d'esprit au moment de ma lecture.

Pour se reconcentrer très vite sur le positif, l'univers que l'auteur avait déjà commencé à créer dans ses novellas est toujours aussi incroyable, très visuel et imaginatif. J'ai adoré en apprendre beaucoup plus sur les djinns même si j'avoue que mes créatures préférées dans cet univers sont les anges (pas assez présents à mon goût), alors même que ce ne sont généralement pas des créatures qui m'intéressent beaucoup.

L'autre énorme point fort de cette histoire réside dans l'aspect humain et relationnel. J'adore les personnages, en particulier Fatma et Siti, et toutes les valeurs de tolérance et d'inclusivité qu'ils véhiculent. L'auteur réussit à nous proposer quelque chose de vraiment moderne malgré le fait que l'action se déroule en 1912, et il aborde beaucoup de notions très importantes, comme c'était déjà le cas dans ses novellas. Mais contrairement aux novellas, les relations entre les personnages sont bien plus approfondies ici, notamment celle de Fatma et Siti que j'ai vraiment adoré. J'ai aussi beaucoup apprécié la dynamique entre Fatma et Hadia, sa nouvelle partenaire au ministère, que j'ai trouvée très réussie.

Un truc que j'ai aussi vraiment adoré, c'est la façon dont l'auteur aborde la notion d'illusions et leur fonctionnement. C'est loin d'être l'élément le plus majeur du récit mais j'ai beaucoup aimé la dimension « sociale » des illusions.

Si je devais émettre un petit bémol dans le déroulement de l'histoire, c'est qu'au milieu de cette intrigue hyper bien ficelée, certains éléments manquaient malheureusement de subtilité. Je pense ici à l'identité de l'antagoniste que j'avais deviné avant même d'avoir atteint la moitié du roman. Je suis quand même un peu déçu que l'auteur n'ai pas réussi à brouiller un peu plus les pistes à ce niveau là, surtout quand on voit à quel point le reste de l'intrigue est bien pensé. C'est cependant loin de m'avoir gâché la lecture.

Quoiqu'il en soit, je vous recommande chaudement de découvrir ce roman si vous n'avez pas déjà été convaincus par les ribambelles d'avis qui pullulent sur les réseaux en ce moment !
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J'ai beaucoup aimé la nouvelle dont est issu ce roman (L'Étrange Affaire du djinn du Caire), et j'y ai retrouvé ce qui m'avait plu : les personnages et leurs personnalités, le folklore et la mythologie, le mélange entre fantasy et histoire...
Ce roman fait vraiment suite à la nouvelles, plusieurs références directes y sont faites, je conseille donc de lire la nouvelle au préalable (et je pense même que j'aurais dû la relire juste avant, car j'ai l'impression d'avoir rater quelques allusions). D'ailleurs, j'ai trouvé par moment que trop d'éléments étaient repris dans le roman, et j'ai eu peur que les intrigues se ressemblent. Ca n'a pas (trop) été le cas et j'ai apprécié l'enquête, bien rythmée mais parfois trop rectiligne, qui nous fait découvrir le Caire et toutes ses créatures.
Je ne sais pas ce que l'auteur prévoit, mais je lirai avec plaisir d'autres aventures dans cet univers, avec les mêmes personnages ou pas.
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