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4,04

sur 153 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Assez peu habituée des romans fantastiques autour du folklore égyptien et des mythes Djinns, j'avoue avoir été totalement charmée par ce premier roman à l'ambiance steampunk de P. Djèlí Clark.

Égypte, 1912. Fatma, agente du ministère de l'Alchimie, des Enchantements et des Entités surnaturelles au caractère bien trempé et très solitaire, se voit confier une affaire très délicate. Un lord Anglais a été retrouvé assassiné de façon violente avec tous les membres de sa confrérie secrète. Mais c'est sans oublier que le Caire ne dort jamais et Fatma va devoir gérer plusieurs dossiers en même temps.

Le maitre des djinns est un roman très généreux comme je les aime ! Impossible de s'ennuyer tant l'univers est foisonnant, les personnages pleins de personnalité et l'intrigue précise et efficace. Avec une écriture nette et envoutante, l'auteur nous offre un univers dense, immersif et plein de surprises. Tout comme dans Ring Shout, le récit est également très engagé sur les thématiques qu'il traite. On y retrouvera du féminisme et surtout beaucoup de tolérance. P. Djèlí Clark est un nom qu'il va falloir surveiller !
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Un mélange très intéressant de steampunk et de fantasy orientale. .

Pour ceux qui l'ont dans leur PAL et n'ont pas encore lu L'étrange affaire du Djinn du Caire du même auteur, je leur recommande de commencer par ce titre qui, de surcroît, est un format nouvelle et se lit plutôt vite. La raison est la suivante : les événements de ce roman font référence très souvent à cette nouvelle. Il y a un élément de l'histoire qui vient de cette nouvelle et qui est même central. Pour ce qui est de l'autre nouvelle, celle du Tramway hanté, on peut lire ce titre sans l'avoir lue au préalable.

Dans Maître des Djinns, on retrouve Fatma, toujours aussi compétente et originale à sa manière. Arborant des costumes d'hommes occidentaux dans une société égyptienne d'un XXe s alternatif, elle détonne, incarnant à sa manière les balbutiements du féminisme du XXe s . C'est un protagoniste auquel on s'attache sans trop de difficultés, séduits par ses valeurs et son désir d'échapper à ce carcan sociétal qui place la femme en position d'infériorité. Côté protagonistes, on retrouve beaucoup de personnages secondaires rencontrés dans les nouvelles, à commencer par la fameuse Siti, mais aussi Hamed et Onsi. On découvre Hadia. L'auteur façonne des personnalités très différentes à ses protagonistes féminins, mais on y trouve un point commun : une remise en question de la condition féminine du début XXe s.

Ce récit est une uchronie : l'Egypte du XIXe s s'est libérée du joug britannique grâce à la réapparition dans notre monde de Djinns. Elle est ainsi devenue une puissance industrielle, capable de rivaliser avec les grandes puissances européennes. Tout en étant dans une société alternative, on retrouve les éléments de ce XXe s : aux débuts du féminisme déjà abordé, s'ajoutent la dénonciation du colonialisme et l'imminence d'un conflit entre puissances européennes, la question ottomane. L'auteur se saisit de ce contexte et le met en arrière toile de son récit avec une grande dextérité.

La présence des Djinns, l'immersion au Caire donne au récit une note de fantasy orientale. Pour ma part, c'est ma première immersion avec cet auteur. J'avoue apprécier. On change les codes de notre fantasy médiévale historique. Je retenterai l'expérience sans hésitation, d'autant que j'ai une trilogie parfaite qui me fait de l'oeil pour ça!
En revanche, j'ai été un peu perdue entre les différents termes et j'avoue qu'un glossaire ne serait pas du luxe!

Pour l'action, j'avoue par contre avoir été moins séduite que dans les nouvelles. J'ai apprécié le synopsis en général mais j'ai trouvé quelques longueurs au milieu du récit, nous donnant l'impression d'une enquête qui s'enlise, et une fin un peu à rebours. Je craignais même que Fatma ne soit au final qu'un simple témoin... En dépit de ces quelques bémols, si l'auteur décide de placer de nouveaux récits dans cet univers, que ce soit des nouvelles ou des romans, je suis preneuse!


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Le Caire. Année 1912.
Fatma, 25 ans, Agente du Ministère Egyptien de l'Alchimie, des Enchantements et des Entités surnaturelles est appelée au domaine de Worthington, un palais digne des contes des mille et une nuit, dans lequel 24 victimes d'un criminel ont péri, brûlées vives. Accompagnée de sa nouvelle partenaire, Hadia, de son chat Ramsès et de son amante Siti, elle va mener l'enquête pour tenter de découvrir l'identité de l'assassin. Ses premières découvertes la mènent vers un mystérieux individu qui prétend être Al-Jahiz, l'homme qui a ouvert la porte du monde des Djinns et transformé le Caire en première puissance économique et mondiale.

Maître des Djinns est une uchronie mêlant habilement intrigues policières, aventures et technologie steampunk.
L'auteur nous entraînent à travers les rues d'un Caire devenu première puissance économique mondiale grâce à la magie des Djinns revenus dans notre monde.
Ses descriptions des rues animées et colorées rendent le récit très réaliste et immersif. La magie, la technologie et les surprises apparaissent à chaque coin de rue, au coeur des palais ou dans le labyrinthe des souks.
Les turpitudes de Fatma sont rythmées et pleines de divertissants rebondissements.
De nombreuses références au panthéon égyptien sont évoquées et l'auteur développe également sa propre mythologie qu'il avait déjà initiée dans « Le Mystère du Tramway Hanté ».
Une aventure qui offre un bon divertissement pour tout type de lecteurs.
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Le maître des djinns est le premier roman de l'auteur. Il se place après les événements de sa novella « L'étrange affaire du Djinn du Caire » dont je recommande chaudement la lecture avant.

Le roman est paru aux éditions l'Atalante en ce début d'année, dans un très bel écrin.

Le Caire, 1912. Fatma el-Sha'arawi est une agente du ministère de l'Alchimie, des Enchantements et des Entités surnaturelles (j'adorerais travailler pour un ministère comme ça). Fatma est une enquêtrice, et ici, elle va avoir du boulot. car ce sont plusieurs personnes qui sont retrouvées assassinées, toutes membre de la fraternité d'al-Jahiz. Al-Jahiz, ce mystique à qui l'on doit la présence des Djinns et de la magie en Egypte depuis 50 ans. Celui qui a ouvert la porte. Quelle surprise quand il se dit de retour et qu'il proclame haut et fort qu'il est l'assassin !
Fatma doute, mais face à ce mystérieux terroriste doté de pouvoirs surnaturels, le doute est permis. La ville sombre dans un chaos sans nom…

Quel plaisir de retrouver Fatma et le Caire dans cet univers steampunk et mécanique !
C'est beau, coloré, parfumé, oral… tout est une affaire de sens dans ce roman. La traduction de Mathilde Montier est encore une fois remarquable.


J'ai aimé parcourir la ville du Caire entre folklore, contes fondateurs de la culture arabe, magie… Un cocktail qui s'allie parfaitement bien à une uchronie nous plongeant dans une ville mixte, féministe et avant-gardiste. Les personnages magiques côtoient les personnages mécaniques…
Je vous invite fortement à vous plonger dans cet univers palpitant, peuplé de djinns, d'efrits, d'anges, d'automates…
Un univers superbe qui revisite la légende du sceau de Salomon et offre des petits clins d'oeil sympathiques à des références littéraires bien connues et détournées.

Fatma est le personnage qui porte le roman; elle est magnétique, fort, têtue. Je l'aime bien. Autour d'elle gravite toute une tripotée de personnages autant savoureux. Il y a dans ce roman une liberté, une tolérance qui sont un véritable courant d'air frais dans le paysage littéraire.

Mon seul regret réside dans l'enquête, assez classique dans sa structure. Rien de nouveau sous le soleil, des méchants qu'on devine de suite, des péripéties bien dosées au bon moment, c'est certes bien huilé mais pas innovant. En cela le roman ne révolutionne pas le genre, mais après tout, pourquoi forcément changer une recette qui fonctionne bien ?

J'ai pris malgré tout plaisir à me plonger dans ce roman, et j'en redemanderais bien encore !
Lien : https://zoeprendlaplume.fr/p..
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J'espérais dévorer ce livre: plume fluide, contexte super original, de l'action, de la magie et pas mal de péripéties. Malheureusement, il m'a fallu un temps fou pour le terminer, la faute non pas au roman, qui était très prenant, voire palpitant, mais à des circonstances extérieures. A croire que le monde entier s'était ligué pour m'empêcher de lire!

Ma lecture a beaucoup pâti de ces constantes interruptions, j'ai souvent été obligée de m'arrêter au milieu de l'action, puis de revenir un peu en arrière pour raccrocher les wagons, du coup j'ai refermé ce livre avec un sentiment de frustration que le livre ne méritait pas, même s'il y avait quelques longueurs. Longueurs qui s'expliquent par le fait que l'auteur est passé du format nouvelle/novella au format roman, d'une centaine de pages à presque 500.

Avec ce nouveau format, P. Djèli Clark peut prendre le temps de développer un univers très riche et de donner beaucoup de détails, notamment sur les différentes créatures qui le peuplent: multiples races de djinns, anges, divinités, etc. On en apprend également davantage sur l'aspect uchronique, avec une description plus approfondie de la situation de l'Egypte et des questions géopolitiques qui forment la toile de fond de l'intrigue.

Le récit se concentre sur l'enquête magique menée par Fatma et ses comparses, les relations entre les personnages tenant une place importante dans son avancée. C'est bien ficelé, bien mené, avec beaucoup d'action et de rebondissements. Il m'a semblé assez simple de comprendre le fin mot de l'histoire, mais ça ne nuit pas à la qualité d'une aventure qui reste palpitante jusqu'au bout.

Comme avec les précédents tomes, on aborde des questions plus sérieuses sous couvert de distraire les lecteur-ice-s: condition des femmes, tensions interraciales, intolérance religieuse, questions de genre et d'orientation sexuelle, etc. le contexte du folklore et des légendes moyen-orientaux m'est suffisamment peu connu pour que l'ensemble de l'intrigue me semble inédit. le livre m'a donné envie d'en découvrir plus.

Une très bonne lecture, même si je ne l'ai pas faite dans les meilleures conditions. Je recommande très vivement cette série si vous ne l'avez pas encore lue 🙂
Lien : https://bienvenueducotedeche..
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J'ai apprécié les deux nouvelles du ministère de l'alchimie, des enchantements et des entités surnaturelles mais pas assez pour me lancer dans le roman sans hésitation.
J'ai bien fait d'insister, j'ai adoré ce roman.

Les nouvelles ne faisaient qu'effleurer l'univers, ici on découvre l'Égypte devenue grande puissance grâce à la magie des djinns. On découvre même ce que deviennent les autres pays.
L'enquête de l'agente fatma et de sa coéquipière sur la mort d'une confrérie anglaise, nous mène à travers tous les quartiers du Caire, du cimetière au cités jardins et palais royal. Nous en apprenons également beaucoup plus sur les djinns et leur histoire.

La fraternité d'al jahiz à pour but de rassembler tous les artefacts liés à Al Jahiz, celui qui a ouvert la porte du monde des djinns. Les membres de cette fraternité sont tous brûlés vifs par un homme au masque d'or se prétendant être Al Jahiz lui même. Commence alors l'enquête de l'agente Fatma et Hadia.
En plus de l'univers, l'intrigue est bien menée avec de l'action, de l'humour et des rebondissements , je n'avais d'ailleurs pas deviné la fin avant de la lire.
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J'avais promis de reparler rapidement de P. Djèlí Clark après Les tambours du Dieu noir. C'est le cas à l'occasion de la sortie de son premier roman, A Master of Djinn. Situé dans sa version steampunk du Caire déjà vue dans The Haunting of Tram Car 015, ou encore The Angel of Khan el-Khalili, ce roman commence quelques mois après L'Étrange Affaire du djinn du Caire et met en scène l'agent Fatma el-Sha'arawi et la mystérieuse Siti, même si Hamed et Onsi, les enquêteurs du trolley hanté sont également de la partie. Dans A Master of Djinn, Fatma el-Sha'arawi se voit contrainte d'accepter une nouvelle partenaire alors même qu'elle doit enquêter sur la mort mystérieuse des membres d'une loge adoratrice d'al-Jahiz, l'homme qui changea la face du monde une quarantaine d'années plus tôt en ouvrant une brèche entre le monde des hommes et celui des entités magiques.
Au cours de son enquête, elle va se retrouver mêlée à la politique internationale (et j'avoue que retrouver Raymond Poincaré en personnage secondaire d'un roman steampunk américain m'a agréablement surprise) et à la politique intérieure de son pays. Si P. Djèlí Clark signe avant tout un roman d'action drôle et touchant, à la différence de ses nouvelles dans cet univers, il y aborde des thèmes qui lui tiennent à coeur comme le racisme ou l'inégalité dans la répartition des richesses. L'esclavagisme et le sexisme flagrant en Égypte comme en Europe seront même au coeur du mystère que doit résoudre Fatma.
Tout n'est pas parfait dans A Master of Djinn, notamment le fait que sans avoir lu certaines nouvelles précédentes, le lecteur risque d'être parfois perdu, mais c'est véritablement un excellent premier roman, avec une attention accordée aussi bien aux héroïnes principales qu'aux personnages secondaires. Avec une mention spéciale pour Ahmad et son sacrifice pour venger son aimée, malgré sa conception des relations humaines assez maladroite. Une fois fini, il donne juste envie de revenir une fois de plus dans ce Caire de légende.
Lien : https://www.outrelivres.fr/a..
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Bienvenue au Caire, au ministère de l'Alchimie, des Enchantements et des Entités surnaturelles. Dans ce roman, nous suivons l'agente Fatma et ses collègues et allié.e.s dans la résolution d'une tuerie mystérieuse. Au programme, donc, enquête, et artefacts magiques mystérieux, avec plein de fausses pistes et rebondissements. le tout dans un chouette univers steampunk uchronique où les djinns vivent au milieu des humains, et où l'on découvre le Caire sous un angle très fun.

L'enquête est bien ficelée, avec des retournements qui ne prennent pas le lecteur pour un idiot (même si on se passerait de certains rebondissements qui ont un côté artificiels pour faire monter la sauce). Au final, c'est très fun et efficace, et les héroïnes du roman sont très cools. Au milieu de tout ça, un propos anticolonialiste et féministe est très bien intégré et rend le livre moins popcorn qu'il n'y paraît de prime abord. Sans être le livre du siècle, c'est du coup un divertissement de bonne qualité.

En revanche, petit bémol, il s'agit d'un roman qui s'inscrit à la suite de deux nouvelles de l'auteur (L'étrange affaire du djinn du Caire, et le mystère du tramway hanté) que je n'ai pas lues : si l'intrigue se suit très bien sans ça, avec une enquête indépendante, les clins d'oeil constants aux deux nouvelles m'ont agacée xD Faut choisir : ou bien c'est une saga, et on l'écrit en gros sur la couverture, histoire de pas lire le tome 3 sans avoir lu le tome 1 et 2, ou bien c'est des livres indépendants, et on met quelques clins d'oeil mais pas trois tonnes, histoire de ne pas frustrer le lecteur ! Mais au delà de ces petits clins d'oeil irritants, je garderai, je pense, un bon souvenir du roman.
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Je rejoins la caravane de Phenderson Djèlí Clark avec un peu de retard, débutant ma découverte de cet auteur avec son roman, sans passer par la case novellas. Si cela ne gêne en rien la lecture, le procédé est un peu dommage car, indéniablement, il m'a manqué quelque chose.
Le décor de Maître des Djinns est proprement génial, car il renverse tous les archétypes du genre, donnant à lire un pur exotisme de très bon aloi. le lecteur plonge avec délice dans cette Égypte du début du XXe siècle, que le retour de la magie et des forces occultes a hissé dans les premiers rangs des puissantes. L'Empire britannique colonial est mis en retrait et le reste du monde n'a pas grande importance. Qui dit nouvelles entités, dit nouvelles administrations pour canaliser tout ce beau monde, notamment le ministère de l'Alchimie, des Enchantements et des Entités surnaturelles dans laquelle oeuvre l'agente Fatma. Cette jeune femme, au caractère bien trempé et résolument moderne, a du pain sur la planche car voilà qu'est annoncé, dans des panaches de fumée et des coups de tonnerre, le retour d'al-Jahiz, le mystique ayant ouvert la porte permettant à la magie de se répandre.
Outre l'aventure, l'exotisme et « l'enquête », l'auteur en profite pour insérer quelques touches personnelles quant à l'émancipation (des femmes, mais aussi des minorités) et au pouvoir de la religion et des croyances, qui n'oeuvrent pas forcément pour le bien de leurs adeptes. Tiraillée entre son rôle et sa stature « scientifique » et terre à terre, Fatma doit trouvée un équilibre entre l'expliqué et l'inexplicable.
Le lecteur se coulera avec délice dans cette grande aventure, colorée, pleine de bruits et de senteurs, et encaissera presque sans rechigner plusieurs facilités scénaristiques et quelques longueurs.
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Quel est le dernier livre que tu as lu sans savoir à quoi t'attendre ?

Le steampunk est un genre qui m'attire de plus en plus donc quand on m'a parlé d'une histoire qui se déroule dans une Egypte peuplée de Djinns et de machines, je n'ai pas hésité.

Je ne saurais dire pourquoi ce livre n'a pas été un coup de coeur puisque je ne peux pas vraiment parler de choses qui m'ont déplu. Je pense que c'est le côté enquête qui m'a un peu ennuyé, puisque ce n'est pas mon genre de prédilection. L'intrigue en elle-même est plutôt simple, mais comme ce n'est pas pour elle que j'étais venue...

En revanche, j'ai adoré l'ambiance : ce Caire moderne, ses Djinns, ses machines mais aussi ses inégalités nourries à la fois par la peur de l'autre, un certain sexisme et une religion parfois trop pesante. Ce point est d'ailleurs très intéressant car il est encore très (trop) rare de voir des héros musulmans dans des livres de fantasy. J'ai beaucoup aimé voir comment nos deux héroïnes conjuguent leurs croyances et leurs devoirs, en maintenant un équilibre subtil.
C'est rafraichissant et ça change de ce que j'ai lu dernièrement !

Les personnages sont très bien écrits, que ce soient des humains ou des djinns, ils ont une personnalité qui leur est propre et apportent beaucoup de diversité. Peut-être que les antagonistes manquent un peu de corps, mais ça ne m'a pas trop gênée.

Pour faire court, ce n'est pas un coup de coeur mais une lecture que je recommande chaudement !
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