Dans son élan éblouissant, l'art moderne n'a cessé de s'épanouir. En nier les conquêtes serait risible comme prôner le retour à la copie servile du réel. Les œuvres les plus marquantes de ce siècle furent réalisées avec une gourmandise, une frénésie de peinture qui se voulait toujours plus dévorante. Mais à son tour le peintre n'est-il pas tenté de se dévorer ?
Nous voyons les suiveurs exploiter les sources, les épuiser, et les formes aussi bien que les geste... >Voir plus