Les bonnes choses sont rares.Il faut les chérir car elles disparaissent trop tôt.
C'est l'Audimat qui dicte la politique éditoriale. Si le public regarde, le sujet reste à l'antenne. Sinon les producteurs doivent se creuser les méninges pour trouver un nouveau jouet afin de récupérer l'attention volatile des spectateurs"
Aujourd'hui, je me dis qu'on ne peut être sûr de rien, surtout quand il s'agit de quelqu'un d'autre. C'est une évidence, mais j'avais besoin d'un piqûre de rappel.
Ce n'est pas comme dans les séries télé: un coup d'oeil au microscope, et on a la réponse"
Si la victime avait pardonné et tourné la page, qui d'autre pourrait vouloir se venger à sa place ?
Dans la vie, on se heurte forcément aux autres. C'est comme ça. Au passage, il y en a qui se prennent des coups. Ces garçons, ils voulaient juste chiper un stupide boxer-short. Leur expédition à mal tourné. Pendant un moment, je les haïs. Mais à quoi ça sert, quand on y pense? À force de cultiver la haine, on finit par passer à côté de tout le reste... vous ne croyez pas?
L'extraordinaire servit à dose quotidienne devient ordinaire.
Les visiteurs avaient beau s'extasier,
l'extraordinaire servi à dose quotidienne devient ordinaire
On a tendance à croire que les bonnes choses durent éternellement. C'est dans notre nature.Les Beatles, par exemple. Ah, mais ils seront toujours là. Les Soprano, on les verra toujours à la télévision. La série Zuckerman de Philip Royh.Les concerts de Springsteen. Les bonnes choses sont rares. Il faut les chérir car elles disparaissent toujours trot tôt
Win.
il était souvent décrit dans les pages people comme un "play-boy international", et ça correspondait bien au personnage. Il descendait d'une vieille famille d'aristocrates fortunés, si vieille qu'à peine débarqués du Mayflower, ils avaient dû réclamer un caddie pour porter leurs clubs et un green pour s'entraîner au golf.