Le Zahir

Je n'aime pas trop lorsque l'Auteur commence à parler de spiritualité, c'est clair que c'est le thème favorie de "Coelho" que je respecte mais que je l'apprécie PLUS quand il parle de la vie en générale !

Ceci dit j'ai aimé des parties dans le Zahir et détésté d'autres !
Mais je n'ai surtout pas aimé la FIN, je ne veux pa dire que je m'attendais à une autre fin, mais je n'ai pas aimé le fait d'évoquer que Esther est enceinte, et son mari ne lui dit pas grand chose à ce sujet, comme si "etre enceinte" n'est pas grand chose !
C'est une chose que je n'arrive pas à comprendre !

On ne sait si ce livre est un roman ou une biographie de l'auteur. Peut-être est-ce un peu des deux ?
J'avoue m'être égaré dans les méandres de ce roman dont l'auteur est à la recherche de son amour perdu.
Un parolier et écrivain au succès mondial, se perd dans sa notoriété. Sa femme s'ennuie et ne reconnait plus le jeune homme plein de fougue du temps passé. Elle s'en ira, laissant tout de même un jeu de piste pour remettre en selle son cavalier. Lui n'aura plus qu'une obsession : la retrouver. le chemin qu'il arpente et les personnages qu'il rencontre lui apprendront à changer son regard sur lui-même et l'univers qui l'entoure.
C'est long et plat, un peu gonflant, limite un peu chiant. Paulo Coelho nous a habitué dans ces livres à suivre une quête spirituelle, dans celui-ci je ne comprends pas le but, sinon celle de parler et de parler encore, d'histoires de couples qui s'aiment et qui ne s'aiment plus.
Là où ça me gêne le plus, c'est que lorsqu'il entreprend la recherche de sa femme, le narrateur n'hésite pas une seconde à se trouver une maitresse qu'il balancera le moment venu. Comment peut-on être en paix avec l'univers et soi-même lorsque l'on agit ainsi ? La solution ? Arrêter de se regarder le nombril et de se masturber avec les mots.

Meilleur livre lu de cet auteur à ce jour.

Mêle harmonieusement quête de soi, spiritualité et amour. Écriture poétique qui peut paraitre lourde à certains mais qui m'a personnellement permis de rentrer parfaitement dans son monde.

C'est avant tout une histoire d'amour, d'incompréhension et de redécouverte de soi.Il faut avoir l'âme un brin philosophique pour se laisser porter entièrement mais c'est nettement accessible à tous.
Et vraiment beau.

Parler de spiritualité, c'est le thème favori de Coelho que je respecte... Mais là, il s'étend, s'étend et s'étend toujours davantage dans l'espoir de nous faire rentrer dans son fort intérieur. Et moi, j'ai trouvé ça long et stagnant.

Un écrivain célèbre remet en cause tous les principes qui ont gouverné sa vie lorsque sa femme disparaît sans laisser de traces. Au fil d'un périple qui le conduira de Paris jusqu'en Asie centrale, il traverse la steppe, son désert, sa magie et ses légendes pour retrouver celle qui donne plus que jamais un sens à sa vie.
Mais avant de partir dans les Steppes, l'auteur se lamente et se traîne durant des pages et des pages... Je n'imaginais pas du tout ça du personnage !
C'est décevant.

Il faut tout de même avouer que sa quête est belle, courageuse et que la remise en question est réussie. Car Paulo Coelho revisite mythes antiques et traditions lointaines pour évoquer les thèmes de la quête de l'amour, de la femme éternelle, du pèlerinage, de la recherche de soi et des origines de la croyance. II recourt à l'autobiographie pour décrire avec ironie l'état du monde moderne, parler de la liberté et de la solitude, et s'interroger sur l'avenir de l'homme en quête de repères, d'amour et de spiritualité.

Donc son séjour dans les Steppes est superbe ; les descriptions donnent envie d'y être et l'ambiance est magique. Mais pour le reste il faut rester bien accroché...

De l'hyperactivité occidentale à la tranquilité sauvage du Kazakstan, la route est longue et éprouvante, surtout si elle passe par le chemin de Compostelle...

Paulo Cohelo reprend la plume de l'Alchimiste dans sa quête éperdue d'une spiritualité envisageable au quotidien mais ne fait que nous confondre en conjectures, se bornant à remettre en cause nos habitudes et notre si confortable hygiène de vie... belle métaphore de la quête du moi qui passe par l'amour éperdu de l'autre, mais quelle solution nous offre-t-il ? aucune, si ce n'est celle de partir et de prendre la fuite sans jamais affronter la réalité tangible qui fait pourtant notre quotidien.

Et ce style lourd et impersonnel qui est le sien enlève à tant de poésie ; phrases longues et insipides dont seule l'essence touche le lecteur. Spiritualité orientaliste à succès, le Zahir n'est qu'une belle parabole de ce que chacun prône mais ne peut faire au quotidien, sinon le rêver... dommage...

Je venais de finir Brida, dont je ne garde pas vraiment un bon souvenir. Et le Zahir m'as transporté! Il rejoint L'Alchimiste dans mes livres marquants. Par contre je ne remercie pas la personne qui dévoile plus bas dans les critiques la toute dernière page du roman .... Aucun intérêt! Si ce n'est gâcher le plaisir des autres lecteurs!!!! En effet la fin manque un peu d'explications, de détails, on voudrait en savoir plus mais pour moi rien de gênant , toutes les histoires doivent avoir une fin . J'ai trouvé ce livre passionnant .

Changement d ‘éditeur et retour de Paulo Coelho : après « Maktub », chez Anne Carrière, qui sentait le raclage de fonds de tiroirs, voilà le Coelho nouveau, chez Flammarion… Nouveau ? Pas vraiment, mais re-nouveau, c'est sur.
« le zahir » nous ramène aux préoccupations habituelles de l'auteur ; et qui ont fait son succès passé : introspection, spiritualité, amour…
Un écrivain célèbre raconte la disparition de sa femme, sans un mot, sans un début d'explication et la longue quête obsessionnelle qu'il entreprendra à la recherche de lui même et de son « zahir » qu'il finira par rejoindre à l'autre bout du monde.
Paulo Coelho, comme à son habitude, invite le lecteur à s'interroger sur ses choix, à réfléchir sur ses actes ; en un mot, à se remettre en question. La recette n'est pas nouvelle, me direz-vous, chez Paulo Coelho… Certes, mais une fois encore, elle fait mouche.

Le Zahir est une quête spirituelle qui ne m'a pas enthousiasmée. J'ai trouvé le temps long tant le personnage central (l'auteur ?) m'a déplu. Il ne cesse de se plaindre avant de partir à la recherche de sa femme. S'ensuit une quête spirituelle et des tas de réflexions insipides et bien moralisatrices sur le monde moderne.

Le style est pesant, les phrases sont longues et j'ai eu la sensation que l'auteur martelait le même propos à répétition. En bref, j'ai trouvé l'ensemble chiant.
Reste le séjour dans les steppes qui recèle de beaux passages descriptifs.

Un célèbre écrivain découvre que sa femme l'a quitté. Pendant des années, il tente de retrouver sa trace. Cette période de purgatoire émotionnelle est l'occasion pour lui de faire le point sur sa vie. Tentant de comprendre la décision de son épouse, il en revient à remettre en question la façon dont il l'a aimé et dont il a mené sa propre vie. Autofiction jouissant d'une belle écriture, le Zahir nous renvoie à nos propres failles et fêlures et nous donne aussi l'impression de vivre aux côtés de Coelho en sa quête de l'Amour. Un roman précieux.

je possédais ce livre depuis sa sortie et c'est seulement maintenant que je me suis décidée à le lire et j'ai été agréablement surprise par cette lecture.
Notre héros, écrivain à succès, est au sommet de sa gloire quand sa femme disparaît, suspecté un moment, on va vite s'apercevoir qu'elle a disparu volontairement.
Commence pour notre héros, une quête, qui va l'emmener à rencontrer beaucoup de personne, qui vont tous lui apporter quelque chose qui va le faire évoluer dans sa recherche de lui-même.
J'ai beaucoup aimé l'écriture de l'auteur, l'histoire se tient bien, les personnages sont plaisants et les pages tournent facilement sans avoir à subir la lecture.