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François Truchaud (Traducteur)
EAN : 9782352944645
384 pages
Bragelonne (20/05/2011)
2.43/5   192 notes
Résumé :
Certaines portes devraient toujours rester fermées...

A Barrington House, un immeuble de grand standing dans un quartier chic de Londres, un appartement est inoccupé. Personne n'y entre, personne n'en sort. Et c'est comme ça depuis cinquante ans.
Jusqu'au jour où April, une jeune Américaine, débarque à Barrington House pour visiter l'appartement que lui a légué une mystérieuse grand-tante. Cette dernière, morte dans d'étranges circonstances, a ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (67) Voir plus Ajouter une critique
2,43

sur 192 notes
Alors que dire de ce livre ? Franchement, le résumé donne très très envie de le lire. On nous laisse entendre beaucoup de promesses comme l'effroi, la terreur et ... au final.. je suis déçue. Comment dire... c'est une sorte de "Shinning", mais sans l'étincelle que sait y instiller Stephen King... C'est un remix d'Amétiville, mais sans la musique en arrière-fond

Au départ, le roman commence bien : nous suivons deux personnages. D'une part, April arrivant d'Amérique suite au décès d'une grand-tante qu'elle n'a jamais connue afin de faire le tri dans les affaires laissées par la défunte ; et, d'autre part, Seth, le gardien de nuit nouvellement engagé à Barrington House.
Les 10 premiers chapitres, nous sentons monter la tension du récit, l'effroi, l'horreur nous prendre par la main et commencer à nous effrayer comme il se doit ... et là, d'un coup, baisse brutale de tension lorsque April se met à chercher des renseignements sur l'ancien locataire de l'appartement 16. Cela dure sur des chapitres pour un résultat moindre et sans grand intérêt. La fin, désolée de le dire : bâclé !!! Il n'y a pas vraiment d'autre mot qui convienne..

Bref, pour résumé, la couverture et le résumé sont plus tentant que le contenu ...
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Les romans d'Adam Nevill sont très différents les uns des autres, « Rituel » m'a carrément déçue car trop grotesque, voire grand-guignolesque à mon goût, « Derniers jours » était excellent et « Appartement 16 » est plutôt bon même si on sent bien que c'était son premier roman. L'idée générale est bien développée mais le reste fait un peu brouillon.
L'histoire est simple, une américaine hérite de sa tante qu'elle ne connaissait pas d'un appartement londonien très chic. Elle se rend donc sur place pour le vider et le vendre, mais l'immeuble tout entier semble abriter des secrets et des forces inconnues.
Le suspense monte crescendo et la tension est palpable dès le début de l'histoire, que ce soit par le biais de phénomènes qui ont lieu dans un appartement en particulier, par la découverte de vieux journaux intimes, ou le récit que font certains habitants de l'immeuble.
Plusieurs idées sont développées tout au long du récit pour être finalement abandonnées au bout que quelques chapitres, sans qu'on sache bien pourquoi.
L'ensemble est plaisant, j'étais même assez captivée par la lecture, mais les personnages principaux sont trop brièvement ébauchés, la psychologie est totalement absente de ces pages et certaines idées intéressantes ont tout bonnement été oubliées en cours de route.
Sur le thème des habitations hantées, ce roman est correct, mais ne vaut pas un bon Masterton.
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La couverture Bragelonne d'Appartement 16 était très attirante. le résumé en quatrième, encore plus. Plaisir de le trouver et de l'emprunter à la médiathèque pour plonger dans les horreurs de cet appart grand standing avec vue sur le parc et atrocités aménagées.

Et bien... le prologue... mouais. Premier chapitre... je déchante. Deuxième chap... Paf! Par-terre le livre! Tombé des mains, je n'irai pas plus loin.
Et au vu des autres critiques sur Babelio, je ne perds pas grand chose. Sinon mon temps à insister. Et trop de bons livres sont prêts à me sauter dans les bras pour perdre du temps à ce que je n'accroche pas. Serait-ce un roman classique ou que je sais ardu mais méritant la persévérance, j'aurais poursuivi. Là, même l'écriture ne retient pas.

Tant pis, j'aurai essayé. Et rien ne dit que je ne lirai jamais aucun autre titre d'Adam Nevill.
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L'appartement 16 est un endroit où il vaut mieux ne pas mettre les pieds. le roman qui raconte son histoire est quant à lui un endroit où il vaut mieux ne pas mettre les yeux.


April est américaine et débarque à Londres. Notez qu'elle pourrait aussi bien être russe, congolaise ou vietnamienne que ça ne changerait rien à l'affaire. Sa nationalité n'est jamais exploitée en tant que telle, rien qu'une astuce narrative consistant à catapulter un personnage dans un contexte qui lui est étranger pour retranscrire ses découvertes au lecteur. Procédé classique mais utilisé ici sans effort de camoufler l'artifice : une simple facilité d'écriture. Résultat, tu te retrouves d'emblée face à de la grosse ficelle qui n'augure rien de bon pour la suite.
Que vient faire la jeune April dans la capitale londonienne ? Elle a hérité d'un appartement. Dans un quartier chic. Paf, un poncif. Toujours des baraques cossues dans des coins huppés. À croire que les fantômes – ouais, parce qu'il est hanté, l'appart', on y reviendra – sont tous de droite et fuient les quartiers populaires. Pas de surprise à attendre de l'environnement, énième déclinaison du quartier tranquille où flotte un parfum aristo-bourgeois déjà respiré dans un nombre d'oeuvres incalculable. Je sais pas, y a une fascination phénoménale des auteurs pour les milieux friqués comme si ça vendait du rêve. Perso, ça ne me parle pas du tout. Je commence même sérieusement à fatiguer de cette littérature qui fantasme sur les nantis et qui, entre rois, princesses, nobles, riches héritières, cadres supérieurs et playboys pleins aux as, véhicule le modèle d'une race supérieure argentée, seule apte à mériter de figurer dans des romans où les pauvres n'ont pas droit de cité.
Mais laissons le fantôme de Lénine reposer en paix et revenons à celui de notre appartement 16.
La casba a été léguée à April par ce que la quatrième de couv' appelle “une mystérieuse grand-tante”. Alerte cliché ! Cette tendance marquée des oncles et tantes de la littérature fantastique à donner dans le pas net… Ils ne peuvent pas être juste normaux, faut toujours qu'ils soient mystérieux, reclus, sombres, détenteurs de lourds secrets ancestraux et tout le tremblement. Ouais ben d'une, comme tous les stéréotypes, c'est relou à force d'itération. de deux, le fantastique naît du décalage et de la confrontation entre la réalité rationnelle et des éléments qui échappent à la raison. le fantastique, c'est le moment du flou, de l'entre-deux. Donc ce genre d'astuce se révèle en vérité contre-productif. Plus tu rajoutes des couches de trucs louches en amont, plus ton contexte perd en normalité et, par conséquent, plus ton décalage entre rationalité et surnaturel perd en force. Il n'y a plus de flou possible si chaque élément est estampillé cash comme relevant de l'épouvante.


Et ce sera comme ça tout du long… Un cortège de balourdises, de clichés, de gros sabots et maousses ficelles. Sans un pet d'originalité, l'histoire va suivre le schéma classique : manifestations surnaturelles, découverte de l'historique de la maison via le found footage d'un journal intime – encore une astuce facile et employée sans finesse –, chasse au fantôme… le cahier des charges y passe au complet sans jamais que le roman ne se démarque d'une histoire lambda de maison hantée.
Certains récits, à défaut de briller par leur inventivité, assurent au moins le taf par leur maîtrise des recettes éprouvées. Appartement 16, non. Il ne parvient même pas à donner dans l'efficacité du classicisme. Prévisible de A à Z, incapable de créer de la tension, trop lent et mou du genou dans son développement, trop rapide dans sa résolution, il ne se montre pas davantage fichu de mettre en scène des personnages consistants. April ? Héroïne fadasse comme pas permis. Les autres locataires de l'immeuble ? Évoqués, esquissés, silhouettes interchangeables, sans personnalité qui se détache alors même que c'est la base dans ce genre de récit. Si tu ne te sers pas des voisins pour ton histoire, quel intérêt de la situer dans un immeuble ? Autant la caser dans une maison individuelle au milieu de nulle part avec personne alentour. La tante ? Toute décédée qu'elle soit, elle aurait pu être un personnage central à travers son journal qui occupe pas mal de place. Sauf que ledit journal n'est qu'une astuce narrative de plus, en se bornant à présenter un récit dans le récit où la tantine fait moins figure de protagoniste que de narratrice désincarnée, sans substance.
Quant au fantôme, qui aurait pu relever le niveau, flop complet. Il n'a ni le charisme de certains croquemitaines (Freddy, Jason, Michael Myers), ni aura de mystère à la Keyser Söze, ni la moindre capacité à foutre les jetons alors que c'est le minimum syndical qu'on est en droit d'attendre d'une entité maléfique (Damien dans La Malédiction et Regan dans L'Exorciste, hauts comme trois pommes et c'est pourtant un autre niveau de frousse…). En plus, il s'agit d'un artiste et ça aussi ça m'a gonflé. Primo, le thème de l'artiste maudit, pas exploité, donc quel intérêt de cette profession en particulier si c'est pour ne rien faire ? Tu mettrais à la place un charcutier, une catcheuse ou un pilote de chasse, ça marcherait tout pareil. Secundo, ben c'est un artiste et ça renvoie à ce que je disais au début sur les fantômes de droite. Faut reconnaître qu'il y a des catégories socio-professionnelles plus enclines que d'autres à donner dans l'esprit vengeur. Immeuble cossu, donc standing, donc fantôme d'artiste. Pas fantôme de l'ouvrier de maintenance ou de la femme de ménage de l'immeuble.


Bâti non pas sur un cimetière indien mais sur des fondations narratives plus branlantes qu'un collégien découvrant la masturbation, cet appartement ne tient pas debout. L'édifice se lézarde dès le deuxième chapitre et s'effondre sitôt que l'ennui commence à poindre, soit très vite, avant d'avoir atteint les cinquante pages. Il en reste plus de trois cents derrière, autant dire un long chemin de croix. Parce qu'on s'ennuie ferme.
Trop lent, trop de révélations appuyées et développées alors qu'on les avait comprises depuis plusieurs chapitres, trop de redites entre le journal de la tante et les événements dont April est témoin. Un bon auteur aurait réussi un doublé en jouant sur le parallèle des péripéties communes aux deux femmes, ici on n'aura droit qu'à du doublon, sans notion d'écho entre les deux trames temporelles, juste de la répétition.
La piaule de l'ennui…
Si vos pas vous conduisent jusqu'à l'Appartement 16 en librairie ou en bibliothèque, passez votre chemin, rien de bon ne vous attend en ce lieu de perdition.


Cette chronique pourrait s'arrêter là. À ce stade, chacun aura compris ce qu'il en est de ce bouquin et ce qu'il y a à en attendre, à savoir rien du tout.
Alors pointer les défauts du roman, c'est bien joli, mais il reste une question, quelque part entre le comment et le pourquoi.
Pourquoi ça a foiré ? Comment ce roman a-t-il pu devenir un tel désastre narratif ?
Parce que c'est une histoire de maison hantée qui se contente de raconter une histoire de maison hantée.
Le récit sonne creux parce qu'il ne parle de rien d'autre et passe par conséquent à côté de l'essence du genre. Enlève les éléments surnaturels, il ne reste que du vide, des pages blanches.
Or, ce qui fait une bonne histoire de maison hantée, ce n'est paradoxalement ni la baraque ni l'esprit qui l'habite. L'intérêt vient de ce qui est raconté en périphérie, tout repose sur le sous-texte, le fantastique n'étant qu'un habillage prétexte.


Dans Shining, le roman de Stephen King, le thème majeur n'est pas l'hôtel hanté mais la lutte de Jack Torrance contre son alcoolisme et la désagrégation de la cellule familiale qui s'ensuit lorsqu'il replonge dans la bouteille. C'est ce que King a voulu mettre en scène en premier lieu : les ravages de l'alcoolisme. Il le dit noir sur blanc dans Écriture, mémoires d'un métier. Shining raconte la lutte contre ses propres démons avant de raconter la lutte contre l'esprit malin de l'hôtel. King aurait pu ne pas choisir la voie du fantastique et écrire un roman psychologique rationnel, les apparitions surnaturelles devenant imputables à la psyché de Jack et au delirium.
Dans Shining, le film de Stanley Kubrick, Jack Torrance est présenté d'emblée comme schizophrène. Ce Shining-ci raconte moins une histoire de maison hantée que là aussi la désintégration du noyau familial mais cette fois articulée sur le basculement du père vers la folie, débordé par sa pathologie. Tous les éléments surnaturels pourraient aussi bien n'être que des hallucinations tout à fait cohérentes avec la maladie (à l'image du Horla de Maupassant).
Maison hantée de Shirley Jackson est un des meilleurs romans sur le sujet. Sa cahute maudite ne sert jamais que de cadre à ce qu'elle a vraiment voulu mettre en scène : ses personnages. Ils constituent l'ossature de son histoire qui est en vérité un roman psychologique. Avec certes des éléments fantastiques, mais ils ne sont pas là juste pour faire peur, pour meubler ou pour respecter les codes du genre, ils servent de catalyseurs pour révéler les personnalités des protagonistes. Maison hantée est avant tout une étude de caractères.
Sac d'os, de Stephen-King-le-retour, aborde entre autres thèmes celui du deuil à travers son personnage principal hanté au propre comme au figuré par sa défunte compagne. On ne peut pas davantage jouer sur la double grille de lecture littérale et métaphorique de la notion de fantôme.


Chacune de ces oeuvres se situe très loin d'une bête histoire à deux ronds de poltergeist qui déplace les meubles. Tu peux retirer la maison hantée, il reste quelque chose : une thématique. C'est là-dessus que se fonde le récit et que viennent se greffer les éléments surnaturels. C'est surtout là que se trouve le coeur de l'oeuvre, la vraie histoire racontée au-delà des fantaisies d'outre-tombe. Et chaque fois le traitement thématique passe par un travail sur les personnages, qui ont pour mission de véhiculer le propos de l'auteur.
Appartement 16 affiche un un double zéro sur la thématique et la profondeur des personnages. On ne trouve ni l'un ni l'autre, juste une maison hantée traitée au premier degré, une façade avec rien derrière. À partir de là, comment veux-tu que le roman propose autre chose qu'un vide abyssal et des sommets d'ennui ?
Lien : https://unkapart.fr/appartem..
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C'est dans le cadre du challenge Livra'deux pour Pal'Addict organisé sur Livraddict que j'ai lu ce roman que j'avais sélectionné parmi 3 choisis par Michou. La présentation de l'éditeur et la couverture avaient déjà attiré mon attention puisqu'il se trouvait dans ma PAL, et c'était une belle occasion de me lancer, d'autant plus que l'idée de départ était plutôt bonne. Malheureusement, j'ai très vite déchanté !

L'idée de départ était plutôt bonne, disais-je donc : dans un immeuble cossu de Londres, un appartement inhabité où se terre quelque-chose... et Apryl, jeune femme aux goûts datant d'une autre époque, qui vient prendre possession d'un appartement dont elle a hérité, et qui va surtout se retrouver à mener l'enquête. Une histoire que j'espérais baignée de mystère, avec une pointe de terreur pour lui donner du piquant. Sauf que...

Sauf que le style de l'auteur est d'une lourdeur incommensurable, c'est un véritable enfer. Certains passages, ceux qui concernent le peintre Felix Hessen et son Vortex en particulier, sont alambiqués au point qu'on est parfois obligé de les relire plusieurs fois pour y comprendre quelque chose. Mais le pire, c'est qu'en dehors des divagations terriblement malsaines d'un portier de nuit, il ne se passe en définitive pas grand chose à Barrington House. C'est d'un ennui... Pour le frisson d'effroi, il faudra repasser !

Les personnages eux-mêmes manquent de substance. Apryl, la jeune Américaine perdue à la fois dans son époque et les évènements, que j'avais trouvée fraîche comme le printemps au début du roman, s'avère finalement être assez fade, et sa détermination à comprendre ce qui se passe envers et contre tout me demeure inexplicable. Seth quant à lui est beaucoup trop torturé pour faire un héros auquel on s'attache, sans parler de tous les vieux croulants qui peuplent Barrington House, renfermés sur eux-mêmes, méchants, à la limite de la folie.

Au final, j'ai ramé sur cet ouvrage, terriblement. Je me demande même comment j'ai réussi à aller au bout ! Une trame sous-exploitée, des personnages sans intérêt quand ils ne sont pas carrément repoussants, un style laborieux au possible... Pire qu'une déception, une véritable douche froide ! J'espère que Michou aura plus de chance que moi avec Les furies de Calderon, de Jim Butcher...
Lien : http://etemporel.blogspot.fr..
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critiques presse (1)
SciFiUniverse
02 novembre 2018
Avec une vision de Londres dure et glauque, Adam Nevill livre ici son histoire de maison hantée avec ses revenants et ses secrets. Barrington House est l'immeuble victorien chic anglais par excellence, vestige d'une époque luxueuse et désormais décrépi.
Lire la critique sur le site : SciFiUniverse
Citations et extraits (19) Voir plus Ajouter une citation
Cela ne s'adressait pas à elle, mais à la détresse froide et implacable de sa vie. Aux rues sales, aux HLM grises et laides, aux grillages et à l'herbe grise, éclairés seulement en partie par la faible lumière orange des réverbères dont le halo n'atteignait pas les ombres denses qui grignotaient les contours de toute chose.
Les gens ici n'avaient pas besoin de rêver de choses terrifiantes. Ils vivaient parmi elles.
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Une règle aussi stricte n'avait rien d'inhabituel pour les immeubles avec portiers à Knightsbridge. Même en gagnant gros à la loterie, un appartement de Barrington House restait hors de portée. Les logements avec trois chambres à coucher ne se vendaient jamais moins de un million de livres, et les charges s'élevaient à 11 000 livres par an.
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- Elle n’avait pas d’amis ?
- Pas que je sache. Pas une seule visite depuis que je suis ici. Vous comprenez… (après un silence, il se frotta la bouche) elle était très excentrique. C’est la manière la plus polie d’exprimer cela, et je ne veux pas me montrer irrespectueux.
Il semblait vraiment mal à l’aise. Il avait même baissé la voix. « Folle », voilà ce qu’il voulait dire.
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Jamais des cauchemars ne lui avaient paru si réels, même s'il était incapable de se les expliquer. Peut-être était-il trop malheureux et léthargique pour se
préoccuper de nouveaux signes l'alertant qu'il s'éloignait de la voie suivie par les autres. L'inertie tuait la motivation. La solitude le rendait paranoïaque. La pauvreté le mettait dans une situation pitoyable.
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C'est ce qui se passe quand on assure un service de douze heures ici. On n'espionne jamais, mais on ne peut s'empêcher de remarquer des choses. Et on nous paie pour être attentifs.
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