On reste alors, tous ensemble, à sentir de drôles de vagues nous frôler, et nous toucher enfin. Et ce n'est pas le vent, mais l'air, ou plutôt l'air du temps qui de la belle soirée trace, en nuages très fins, le grand chemin.
Nouvelle éditions poche du Castor Astral, juin 2021
texte © François de Cornière, tous droits réservés
musique, instruments, voix, mise en images Franklin Hamon, tous droits réservés