AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782226449382
256 pages
Albin Michel (29/09/2021)
3.48/5   74 notes
Résumé :
Louis XVI souhaite traverser la Normandie pour se rendre à Cherbourg malgré les doutes émis par ses conseillers concernant ces terres protestantes. Il effectue donc son premier périple en bateau puis part à la rencontre de paysans, d'ouvriers, de cartomanciennes et de sorcières.
Que lire après Le roi qui voulait voir la merVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (20) Voir plus Ajouter une critique
3,48

sur 74 notes
5
4 avis
4
11 avis
3
2 avis
2
2 avis
1
0 avis
Le voyage de Louis XVI à Cherbourg en juin 1786, au lendemain du procès consécutif à « l'affaire du collier », m'était connu depuis « Les hommes de la liberté » où Claude Manceron s'attarde longuement sur la rencontre du Roi et de Charles François du Perrier du Mouriez, plus connu sous le patronyme Dumouriez, héros de Valmy.

Gérard de Cortanze adopte une narration plus intimiste, moins historique, centrée sur le Roi, qui sort de Versailles pour découvrir son royaume et ses habitants, se rend en Normandie, à Cherbourg, pour voir l'avancement des travaux du port destiné à protéger la cote normande des incursions de la perfide Albion.

Nous suivons le cortège royal traversant Caen, visitant Valognes et arrivant sur le littoral, permettant au monarque âgé de 36 ans de découvrir la mer. Cultivé, fort bien renseigné grâce aux fiches de son frère Artois, Louis XVI stupéfie ses interlocuteurs par sa grande connaissance des vaisseaux et des projets cherbourgeois.

Ce voyage multiplie les rencontres informelles avec les normands et permet au monarque de découvrir la misère d'une partie de la population et l'attachement des paysans à sa personne, au grand dam de ses ministres et conseillers. le retour à Versailles est marqué par contre à partir de Mantes par des manifestations hostiles et des bousculades avec la garde.

Roman passionnant pour qui s'intéresse à l'histoire, à la Normandie et à la Royale. L'auteur évoque la Révolution, la chute de Louis XVI et l'abandon du rêve cherbourgeois.

Ce projet stratégique sera repris sous l'empire, et en 1813, Marie-Louise, alors régente, se rendra à Cherbourg du 26 au 31 aout pour voir son achèvement, un an avant la fin de l'Empire.

De là à penser que les étapes à Cherbourg signent les fins de règne …
Commenter  J’apprécie          1005
Heureux qui comme Ulysse a fait un beau voyage, heureux qui comme Ulysse a vu cent paysages ...
Et, comme le le sous-préfet alla aux champs, le roi vint à la mer, avec curiosité, délice et gourmandise ...
"Le roi qui voulait voir la mer" est un roman historique de Gerard de Cortanze, publié en 2021 aux éditions "Albin Michel".
En juin 1786, au grand dam de son entourage et de ses conseillers, le roi Louis XVI a décidé d'aller à la rencontre de son peuple.
Mais pas de n'importe quel peuple, non !
Et pas n'importe où ... En Normandie !
Où ça ?
En Normandie ... mais ma parole, vous débarquez !
le bon roi Louis le seizième voulait embarquer.
Il voulait voir la mer ...
A la lecture de ce livre de Gerard de Cortanze, irrésistiblement l'on sent remonter son âme de bon peuple, l'on a envie d'aimer ce roi, de protéger cet homme des dangers et de l'orage dans lequel va le précipiter L Histoire.
Nous avait-on d'ailleurs déjà présenté ce roi comme l'a fait ici Gérard de Cortanze ?
Cet homme curieux, plein d'esprit, pétri de culture et empreint de générosité, avait-il été vraiment présenté à la République naissante ?
Serait-ce un inconnu que cette dernière a guillotiné ?
Sinon quoi ? Ne lui aurait-elle pas fait merci ?
Prospective, analyse fidèle à L Histoire, ou les deux à la fois ?
Ce livre est magnifique.
Il fait d'abord le portrait d'un homme.
Cet homme est le roi, mais il a perdu la puissance que possédaient ses aïeux.
C'est que les temps ont bien changé, ma pauv' dame !
Le roi est isolé à Versailles, entouré de courtisans qui ne lui veulent pas tous que du bien.
Il ne peut compter ni sur le clergé, ni sur la noblesse qui sont arcboutés sur leurs privilèges.
Mais la vieille société s'effrite.
Le roi le sait tant et si bien qu'il a imprimé à son règne de nombreuses réformes, toutes généreuses et tournées vers l'avenir.
Le roi est épris des choses de la mer, le roi qui s'entoure aussi de livres, de bons livres.
Il s'est passionné pour l'expédition de la Pérouse dont il est partie prenante.
Le roi veut donc voir la mer.
A Cherbourg, en Normandie, là où le parler grasseye ; là où il fait toujours beau, au moins quelques minutes, quelques heures par jour, entre deux averses, deux orages, deux tempêtes ; là où flotte encore cet esprit superstitieux et magique qui a soufflé même sur le livre de Gérard de Cortanze un tout petit air d'oracle fantastique.
Il faudra passer par Caen, Sainte-Mère-Église, Valognes et même Saint-Vaast la Hougue ...
Anne, ma soeur Anne, ne vois-tu rien venir ?
Valognes ... le carrosse royal arrive en vue du Versailles normand, où la rue principale qui menait au couvent des bénédictines ne comportait pas moins d'une centaine d'hôtels particuliers.
Quel beau voyage, mes aïeux !
Avec au bout de la terre, la mer qui attend patiemment l'arrivée du roi et la marée qui, pour lui, sera à l'heure ...
Ce livre est d'une richesse étonnante.
C'est d'abord un portrait étonnant, inséré dans un récit presque surprenant.
Mais c'est aussi une pertinente analyse enchâssée dans une plausible prospective, une évidence imbriquée dans une fiction.
La part de réalité se sera arrêtée là où a commencé l'imagination du romancier.
C'est l'arbitrage de l'historien qui en situera la frontière.
Le plaisir de la lecture n'en sera pas modifié.
L'ouvrage viendra se clore sur la tragédie que l'on sait, sur la triste fin d'un roi qui aurait pu être grand et glorieux s'il n'avait pas été si humain et miséricordieux.
Et à Cherbourg, les flots en vinrent à recouvrir aussi les cônes visités par Louis le seizième ... jusqu'au dernier qui aura quelques temps servi de vigie pour embouquer la passe orientale du port ...



Commenter  J’apprécie          681
Je dois avouer que le dernier roman que j'ai lu de Gérard de Cortanze (Miroirs) m'a déçue tant par le style de son écriture, trop classique voire académique, que par le traitement de ses intrigues, alambiqué et à distance de ses personnages.
Pourtant, les thèmes de ses romans m'intéressent : Miroirs est une intrigue tirée de la véridique guerre que se livraient les fabricants de miroirs entre l'Italie (Venise) et la France ( La Glacerie dans la Manche) ; Femme qui court ( qui m'attend depuis un certain temps dans ma bibliothèque) est une bio romancée sur Violette Morris, personnage ō combien complexe et passionnant.
C'est donc avec peu d'entrain que j'ai commencé le roi qui voulait voir la mer. Et là, surprise, je me suis un peu réconciliée avec cet auteur. L'émotion surgit enfin entre les lignes. On y découvre un monarque humain et cultivé. Passionné par la mer depuis son enfance, Louis XVI, initiateur des travaux du port militaire de Cherbourg, exhausait alors son rêve, celui de voir cette immensité bleue.
Il faut dire que ce voyage en province, le seul de son règne (ne comptons pas la catastrophique et funeste fuite à Varennes), fut pour lui une bouffée d'iode, un cortège de viva et des démonstrations de ferveur, bien loin de ce qu'il vivait à Versailles... et du noir destin qui l'attendait.
Réconciliation donc, mais très mitigée, car j'ai retrouvé certains procédés romanesques qui m'agacent chez de Cortanze. Ainsi, les rencontres imaginées entre Louis XVI et ses sujets sont peu crédibles et parfois même ridicules (comment imaginer plausible qu'un roi sorte le soir en douce pour aller boire un verre avec des marins dans les bars louches du port...), de même, ses rêves prémonitoires et les apparitions récurrentes d'une mystérieuse femme qui lui prédit sa tragique fin sont un peu ridicules...
Je vous encourage plutôt la bio écrite par Jean-Christian Petitfils sur Louis XVI pour découvrir cet épisode historique.
Bon, finalement, encore une déception. Femme qui court me réconciliera-t-elle avec cet auteur ?
Commenter  J’apprécie          190
Voilà un roman historique qui sort de l'ordinaire. N'y cherchez pas une histoire d'amour à la Dumas, ni une enquête façon Nicolas le Floch ou la peinture de toute une époque (quoique..) à la manière de Fortune de France. Ici c'est avant tout (mais pas que) le portrait d'un homme. Louis XVI, ce roi si calomnié, méprisé, dénigré par ses contemporains et beaucoup d'historiens par la suite.
Gérard de Cortanze nous raconte le voyage que fit le jeune roi (31 ans en ce début 1786) en Normandie pour visiter ports et forteresses. Je savais le roi érudit, passionné de sciences, de géographie, mécène d'explorations mais j'ignorais son amour de la mer et sa passion pour la Marine. Alors, évidemment, l'auteur (et il prévient dès les citations en début de texte) ne prétend pas à une totale exactitude historique. On a le portrait d'un jeune homme qui échappe momentanément aux bassesses et intrigues de Versailles - même s'il traîne avec lui quelques courtisans-, un jeune homme donc qui découvre sa popularité auprès du peuple, un jeune roi qui préfère manger une tartine de poisson avec des marins aux interminables banquets qui l'ennuient, un homme contemplatif à la fois effrayé par sa responsabilité et heureux de pouvoir améliorer la vie de son peuple.
Gérard de Cortanze raconte avec un style très travaillé les beautés de la Normandie, celles de la marine à voiles et de l'océan. C'est très agréable à lire, lyrique parfois. Il ne se gêne pas pour brosser le portrait de courtisans odieux critiquant le roi alors même qu'ils sont à sa table... Les ressemblances avec l'époque actuelle sont évidentes sans que ce livre vire à la politique. 😊 Tout cela parsemé de rêves prémonitoires et de rencontres avec une sorte de pythie qui tente de prévenir Louis de ce qui l'attend 6 ou 7 ans plus tard. Et de rencontres avec des paysans, de simples marins, des "petites gens". La tragédie de cet homme profondément bon, certes indécis, mais réformateur, humaniste et bien intentionné dépassé par les événements. Empêché par une aristocratie arcboutée sur ses privilèges. Aristocratie dont l'auteur fait partie et qu'il n'épargne pas ! le texte est extrêmement bien documenté, malgré quelques incohérences (voir le PS).
Le livre se termine sur un magnifique et bouleversant récit de la mort du roi quelques années après ce périple. L'homme y est respecté et ça n'en est que plus fort. le récit que fait l'auteur des beautés et des misères rencontrées par Louis lors de cette parenthèse enchantée, telles qu'elles sont ressenties par un homme que son destin ne brisera pas, est un vrai plaisir. "Le tyran" l'a bien montré par sa force d'âme le 21 janvier 1793...

PS : peut-être ai-je mal lu, mais j'ai remarqué un marin aux cheveux noirs couleur de nuit (!) qui est roux quelques lignes plus loin, un compagnon du roi qui le quitte à Honfleur pour rentrer chez lui mais qui est toujours là quelques pages plus loin à Rouen, et une messe "dominicale" un lundi... 😉 ça n'est pas très grave... ce texte reste un vrai plaisir.
Commenter  J’apprécie          152
J'ai toujours pensé que Louis XVI était au mauvais moment au mauvais endroit.
l'histoire est un continuum évènementiel porté par des idéaux que bousculent les évènements aléatoires. La révolution, et surtout la terreur, en sont un bel exemple, je vous invite à lire
"Sept Jours" d'Emmanuel Waresquiel qui nous déroule le journal intime de cette période.
Avec "le roi qui voulait voir la mer", Gérard de Cortanze, nous montre un monarque intime et sensible, érudit et progressiste, mélancolique et embarrassé, comme victime de lui-même, artisan de sa propre perte.
Tout commence avec un voyage bucolique à travers une Normandie, terre de légendes et de phantasmes, pour finir en épopée maritime qui voit Louis XVI se muer en vieux loup de mer, le temps d'une pause salutaire loin des intrigues politiques et des cabales de cour.
Ce livre est un roman teinté de poésie humaniste et de songe ésotérique
et la douceur du récit contraste avec la brutalité des évènements qui vont suivre.
C'est très réussi, c'est un roman qui mérite une large audience, et la fin, très inspirée est à l'image du
talent de l'auteur.
Commenter  J’apprécie          110


critiques presse (2)
LeFigaro
13 janvier 2022
Le dernier roman de Gérard de Cortanze s’inspire de cet épisode assez peu connu du règne de Louis XVI. Très fouillé d’un point de vue historique, il fond habilement ce qui tient de la véracité.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
NonFiction
20 décembre 2021
L’auteur cherche à le réhabiliter et le présente comme un roi humaniste, qui rêve d’une société plus juste. […] Ce roman qui détaille un épisode peu connu de l’histoire de France et permet de poser un regard nouveau sur un de ses grands perdants se lit avec plaisir et intérêt.
Lire la critique sur le site : NonFiction
Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
Vous n'y êtes point du tout, messieurs. Je souhaite me rendre en Normandie, sur les bords de la Manche, à Cherbourg.

⁃ En Normandie ?

⁃ Sur les bords de la Manche ?

⁃ À Cherbourg ?

⁃ Quel beau trio de perroquets ! Je sais bien que l’époque est aux singes et aux serins et que nous avons tous lu Les Voyages du Perroquet de la Visitation de Nevers de monsieur Jean-Baptiste Gresset, mais tout de même ! Messieurs, je veux aller au-devant de mon peuple. J'ai le sentiment, désagréable, qu'on ne veut me laisser voir que ma toute-puissance. Qu'on me cache le malheureux état des provinces de l'intérieur, où habite la misère, où l'impôt dévore le pain de tous ces malheureux. Qui, dans mon entourage, a donc si à craindre que quelque homme vrai ose me parler, avec franchise, et me présente les abus et les injustices qu'on perpètre en mon nom ?

⁃ Mais, Sire..., tenta de Coste.

⁃ Taisez-vous ! Tout cela doit cesser ! Un parti hostile nuit à ces retrouvailles, je le sais. Sous prétexte du bien public, il sert avant tout ses passions, ses jalousies et travaille à ses seuls intérêts.
Commenter  J’apprécie          270
On ne renonce pas à la mer, jamais.
Au début, on peut prendre ça pour un jeu, et puis, très vite, la mer et le navire font de vous leur esclave consentant.
- Il arrive un jour où vous croyez les dominer, être leur maître. Mais c'est faux, on ne possède pas la mer, on est possédé par elle.
- Oui, on a toujours à apprendre d'elle. C'est étrange pour un roi qui n'a jamais vu la mer, qui n'est jamais monté sur un bateau, cet univers vous paraît si familier ...
-Je sais. C'est sans doute mon drame et ma richesse. Vous avez la mer, j'ai le peuple de France. J'ai toujours à apprendre de lui.
Je ne le posséderai jamais. Il me possédera toujours ...
Commenter  J’apprécie          261
Observant la mine déconfite des trois hommes, Louis jouit de leur détresse qu'ils avaient tant de peine à cacher. Qu'allaient-ils bien pouvoir lui opposer pour qu'il annule ce voyage ? Les arguments ne se firent pas attendre.

- Il y a quelque chose de très pauvre et de malpropre chez ce peuple du Cotentin. Dans ses vêtements, dans ses chaumières, dans ses manières. Les peuplades qui vivent dans ces régions sont tenues à l'écart de toute civilisation. La dégradation des chemins vicinaux y est telle qu'elle apparaît comme une véritable source de misère. C'est une zone reculée, inhospitalière. Habitée par...

- Des sauvages, Ségaut, c'est cela ? Des nègres d'Afrique ? demanda le roi.
Commenter  J’apprécie          242
_ Je m’appuie sur une phrase de Louis XIV et en même temps vous expose le désaccord que j’ai avec lui. Cela vous trouble à ce point ? Le singe-peintre du tableau de Jean-Baptiste Deshays est plus intelligent que vous, messieurs ! Un roi est plein de contradictions. Vous devez les accepter. Donc voici mes ordres, destinés à arrêter toutes les dispositions envisagées pour ce voyage, dit Louis en leur tendant la feuille qu’il venait de noircir sous leurs yeux et sur laquelle il avait apposé sa signature.
La missive était d’une clarté redoutable, comme tout ce que Louis écrivait. Une écriture régulière, légèrement inclinée, un style simple, sans effet, disant sans détour ce qu’il avait à dire et qui ne laissait aucune marge à l’interprétation, qui n’est rien d’autre que le possibilité offerte aux divergences de se manifester.
Penchés sur le parchemin, comme de mauvaises fées sur un berceau, les trois passèrent en quelques secondes de l’euphorie à une colère d’autant plus basse et honteuse qu’ils ne pouvaient la laisser éclater.
Commenter  J’apprécie          142
La mer était pour lui une chose mystérieuse, profonde, inconnue, un pays de mirages et de fantasmagories, où l'on devait sans aucun doute voir des choses qui ne sont pas, entendre des bruits que l'on ne connaît pas, où l'on devrait trembler sans trop savoir pourquoi Certains prétendent que la mer cache dans son sein d'immenses contrées bleuâtres, où les noyés roulent parmi les grands poissons, au milieu d'étranges forêts et dans des grottes de cristal Il se disait que des drames lugubres racontés par le hurlement des vaguesdevaient sans cesse y éclater
Commenter  J’apprécie          190

Videos de Gérard de Cortanze (31) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Gérard de Cortanze
Tina Modotti, photographe et militante politique italienne, a marqué l'histoire de la photographie par son engagement politique d'extrême gauche. Soucieuse des classes laborieuses et défenseuse des idées révolutionnaires et marxistes, elle a photographié toute une histoire économique, des paysans mexicains aux manifestations du 1er mai.
En quoi les photographies de Tina Modotti dénoncent-elles les conditions de vie des défavorisés et les inégalités sociales et économiques dans le Mexique du début du XXe siècle ?
Pour parler de ses travaux, Tiphaine de Rocquigny reçoit : Gérard de Cortanze, essayiste, traducteur et critique littéraire Eugénia Palieraki, maîtresse de conférences en histoire et civilisation de l'Amérique latine à Cergy Paris Université.
#photographie #mexique #economie -----------------------------------------------------
Découvrez les précédentes émissions ici https://www.youtube.com/playlist?list=PLKpTasoeXDrqogc4cP5KsCHIFIryY2f1h ou sur le site https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/entendez-vous-l-eco
Suivez France Culture sur : Facebook : https://fr-fr.facebook.com/franceculture Twitter : https://twitter.com/franceculture Instagram : https://www.instagram.com/franceculture TikTok : https://www.tiktok.com/@franceculture Twitch : https://www.twitch.tv/franceculture
+ Lire la suite
autres livres classés : roman historiqueVoir plus
Les plus populaires : Littérature française Voir plus


Lecteurs (149) Voir plus



Quiz Voir plus

Quelle guerre ?

Autant en emporte le vent, de Margaret Mitchell

la guerre hispano américaine
la guerre d'indépendance américaine
la guerre de sécession
la guerre des pâtissiers

12 questions
3182 lecteurs ont répondu
Thèmes : guerre , histoire militaire , histoireCréer un quiz sur ce livre

{* *}