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4,06

sur 708 notes
Encensé par la critique pour son intrigue haletante, « Pukhtu : Primo » est un copieux pavé constitué de plusieurs niveaux de lecture.

Le premier majoritaire et pour moi le plus réussi, consiste en la description de la vie « sur le terrain » des mercenaires des sociétés de sécurité privées envoyés sur l'un des théâtres d'opérations les plus dangereux du monde.

Face à des talibans rompus à la guerre asymétrique depuis le combat contre les Soviétiques, utilisant un terrain hostile pour la guérilla et les méthodes terroristes pour réaliser des attentats suicides, les forces de l'OTAN et leurs acolytes ont pour eux la maîtrise du ciel avec notamment leurs redoutables drones Predators.

Les scènes afghanes sont donc d'une grande violence mais ce qui choque surtout c'est la barbarie des traditions locales, aboutissant souvent à l'éradication de toute une famille ou un clan pour rembourser de prétendues « dettes d'honneur ».

Les talibans profitent donc de la corruption généralisée dans toutes les strates de la pseudo administration afghane pour financier leur djihad par le narcotrafic et la frontière entre « guerriers de la foi » et narcocriminels s'estompe.

Intense et parfois difficilement supportable sur le sol afghan, l'intrigue se perd quelque peu lors des scènes parisienne, encombrées de lourdeurs et de clichés, telle la jolie et jeune beurette émancipée fréquentant la jet-set ou complètement anecdotiques lorsqu'on parle d'un Français participant au trafic international depuis une société d'import-export bidon au Sénégal.

Et même le journaliste americano-asiatique d'investigation, rentre lui aussi dans le moule à clichés de DOA...

Le tome 1 laisse donc une fin volontairement ouverte sans que l'on comprenne réellement comment les pièces vont s'agencer entre elles. Pas sur, que j'ai envie de rempiler pour un second « contrat » après une lecture aussi éprouvante !
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"It's a man's man's man's world" chantait James Brown. C'est aussi et surtout un mad world.
Quelque part dans les montagnes glaciales d'Afghanistan, en 2008, un contrebandier pachtoune, également chef de clan, perd sa fille lors d'une attaque de drone piloté par une mère de famille à l'autre bout du monde. Fou de douleur et ivre de vengeance, il multiplie les alliances avec ses ennemis talibans et trafiquants pour retrouver les "croisés" responsables de cette mort. Les "croisés" en question sont les membres d'une agence de sécurité opaque, chargée de missions très spéciales depuis une base américaine : opérations de guerre, trafic d'héroïne, blanchiment d'argent ; des mercenaires au cerveau rongé par la coke et bardés d'armes sophistiquées. Il y a aussi des journalistes trop futés, des flics véreux, des hauts fonctionnaires aux moeurs viles, et tous se guettent, s'espionnent, se piègent dans un paysage rude et austère, car "ce monde n'est pas fait pour les humanistes", comme le souligne l'un des personnages : "Derrière le baratin, on veut tous les mêmes trucs, pouvoir, pognon, putes."

Lecture très éprouvante, donc : 800 pages d'immersion totale dans cette guerre d'Afghanistan comme si on y était, et j'ai mis du temps à comprendre les différentes intrigues et à retenir le nom des nombreux personnages qui traversent le roman (certains déjà croisés précédemment), car DOA nous plonge directement dans le grand bain sanglant.
Mais finalement, tout cela importe peu, car ce qui compte, c'est ce que l'auteur raconte au-delà de son histoire : d'abord, l'immense marché qu'est devenue la guerre depuis 2001, les sources de profit qu'elle représente désormais et l'hypocrisie des discours patriotiques vendus par les agences de com'. Ensuite, l'importance du pavot dans l'économie afghane (toléré par les Américains, forcément), au regard de la puissance qu'il procure aux talibans, une fois transformé en narco-dollars. Enfin, cette réalité qu'il faut bien accepter : le choc des cultures entretenu entre l'Asie du Sud et l'Occident, et toutes les tragédies qui découlent de la non-observation de ce constat, qui fait de chacun le barbare de l'autre.
Pour autant, DOA ne fait ici aucun procès : il raconte sans juger, et sans complaisance non plus. J'ai plutôt perçu une forme de lassitude triste dans ses descriptions factuelles des pires exactions. Il nous octroie également quelques incursions dans la conscience de ses personnages principaux, et on se confronte alors à leurs doutes, leur fatalisme, leurs élans purs, leur esprit de fraternité, et finalement le vide de leur vie et le peu de valeur qu'ils lui accordent.

C'est donc un roman de guerre très viril (MAIS intelligent !), doublé d'une analyse politique et économique pertinente. C'est déprimant, hyper violent, et mieux vaut ne pas le lire en espérant fuir l'actualité désespérante, car il est tout aussi désespérant. C'est également très complexe, à l'image de la situation dans ce coin du monde, et on ne sait pas, on ne sait plus qui sont les bons et qui sont les méchants, et si même il y a des bons et des méchants, tant tout se mélange dans un chaos que l'on peine à comprendre. Mais c'est passionnant, et malgré mes difficultés à lire cet opus, j'ai hâte de retourner dans le bourbier afghan pour découvrir la suite. Pas parce que je suis maso, mais parce que c'est DOA.
A suivre.
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J'ai lu le diptyque il y a bien 5 ans et des passages de l'histoire me reviennent régulièrement en mémoire tellement il m'a marqué. L'intrigue est construite selon un plan très détaillé et extrêmement documenté et est littéralement HALETANTE! On en apprend des tonnes sur l'expérience d'occupation de l'Afghanistan par les US - quelques passages un peu crus spectaculaires sur les soldats et l'héroïne principale - également les personnages principaux reconduits de citoyens clandestins retrouvés avec plaisir 👍
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Il est rare que je m'attaque à des histoires longues comme celle annoncée par Pukhtu et ses deux opus, mais je ne suis pas déçus. Un premier opus qui prend aux tripes, qui vous fait vivre l'horreur de la guerre et la peur constante. le mélange de personnages et de point de vue, militaires, talibans, locaux… donne une dimension forte à l'histoire.
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Je découvre DOA avec cet opus. J'avoue que les critiques avaient vraiment motivé mon choix et je ne suis pas déçue. L'auteur nous immerge de suite dans son univers et l'on finit par s'attacher à ses personnages broyés par la vie et le système. L'écriture est fluide entraînante des phrases courtes qui permettent de donner un rythme soutenu au récit. On se rend bien compte que l'auteur s'est documenté à l'extrême et qu'il mêle fiction et réalité. Tous ces éléments en font un page turner très efficace difficile à lâcher.
Bonne lecture
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Un drôle de roman que ce Pukhtu ! le débat or principal est le théâtre des opérations en Afghnanistan (et au Pakistan…) en 2008. Période où le principal combat était l'Irak. Des paramilitaires us, des affairistes politiciens français, des journalistes, des hauts fonctionnaires libres de leurs actes, des moudjahidines parfois Talibans de circonstance, des trafiquants de droguerie, composent une intrigue complexe qui tend parfois au documentaire. on ne voit pas le bout du scénario et le tome 2 sera utile. vous aimez la géopolitique, la violence des rapports, le décryptage de situations alors ce bouquin est fait pour vous. Si il vous faut des histoires léchées avec un début un millier une fin : fuyez. le sujet réel de Pukhtu est la guerre, brute et sauvage, et surtout la raison pour laquelle on la fait : cette raison est unique. On fait la guerre parce que La finalité EST la guerre.
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Roman reportage en Afghanistan, au Pakistan, au Kosovo et à Paris. Immersion dans un groupe de paramilitaires payés par les USA en lien avec la CIA dans la lutte contre les talibans et les tribus afghanes. Trafic de drogue à partir de l'opium produit en Afgha.
Plans rapprochés sur plusieurs personnages :
- Sher Ali, chef de tribu pachtoune, intelligent, au départ relativement neutre mais entraîné dans le terrorisme après l'assassinat de ses deux enfants. Approche de la mentalité afghane
- Montana, le grand manipulateur français, âgé, séduisant, pervers, cruel
Roman multidirectionnel qui met un temps à poser le contexte et les personnages puis qui devient passionnant. C'est proche d'Ellroy en plus ouvert.
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Vous avez aimé « American Psycho » ? Vous adorerez Pukhtu

Un roman foisonnant, cruel, complexe, ultraviolent : la guerre encore conventionnelle, telle qu'elle se présente en ce vingt et unième siècle. Ou plutôt la guerilla mais avec de grands moyens.

Nous sommes transportés en 2008, sept ans après le traumatisme du 11 septembre, avec en perspective la crise financière qui va secouer le monde, quelques mois avant la prochaine élection présidentielle américaine.

L'action se déroule en Afghanistan, où ont débarqué en représailles les troupes de l'OTAN, avec toute la logistique militaire qui les accompagne : des bases puissamment protégées, la couverture informationnelle, les armes nouvelles – drones armés – le décryptage des données, l'entraînement d'une armée afghane peu efficace, les troupes de mercenaires. On retrouve l'atmosphère des romans de Cédric Bannel, en plus âpre.

En face : des clans rivaux, des vengeances pour l'honneur, des fournisseurs qui font des bénéfices énormes, de la corruption au plus haut niveau, le rôle des services secrets pakistanais et l'action délétère de la police aux frontières, le trafic de la seule richesse du pays, vitale : l'opium qui sert à fabriquer l'héroïne et en sens inverse des cantines entières de dollars.

L'histoire se focalise sur deux groupes de personnages : Sher Ali Khan Zadran chef de clan pachtoune, alias Shere Khan, qui part en vrille après qu'on ait tué son fils aîné et surtout sa dernière fille, prunelle de ses yeux, en lutte aussi contre les les talibans, qui sont partout. Et, en face, une escouade de paramilitaires stipendiés par une officine dérivée de la CIA, mercenaires sous pseudos Fox, Tiny, Youdoo, Ghost, Wild Bill, Rider, Viper et Data.

Chacun canarde, égorge, se fait sauter en martyr, mieux que dans les jeux vidéo. C'est une littérature de mecs très visuelle, un style ciselé, un mouvement perpétuel. Des notions de géopolitique, encore - ou peut-être encore plus – actuelles. On comprend mieux, depuis son fauteuil, les enjeux d'une guerre « à haute intensité » et les trafics souterrains qu'elle génère. Et aussi pourquoi les Américains (et pourquoi si tard !) ont quitté cette région maudite vouée à subir encore pendant des siècles la guérilla entre factions irréconciliables. Et à abreuver les occidentaux de la drogue qui les tue, une autre forme de destruction massive.

Pour François Busnel, il s'agirait d'un chef-d'oeuvre … Je n'irai pas jusque là et ne lirai sans doute pas la suite de cette histoire.

Un dernier détail, la signification du titre : « Pukhtu, c'est Quis Abdu Rachid, père de tous les Pachtounes, le premier d'entre eux à avoir vu La Mecque et le premier prêcheur de l'Islam à son retour, converti par Mahomet et dont les fils enfantèrent toutes les tribus du Sud, de l'Est et du Nord de l'Afghanistan. »


Lien : http://www.bigmammy.fr/archi..
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Avant d'acquérir le dernier livre de DOA intitulé "retiaire(s)", je me suis dit qu'il fallait au moins que je lise un de ses best-sellers précédents. Bien m'en a pris car l'auteur m'a impressionné par son rythme, son adaptation au milieu étudié mais surtout par la somme d'infos, d'archives et de recherches qu'il a dû rassembler avant de projeter l'ensemble dans ce polar.
On est immergé avec lui dans une sorte de schizophrénie nationale se manifestant aussi bien chez les autochtones d'Asie Centrale que les américains en place depuis le 11 septembre 2001 voire même jusqu'à l'intérieur des services secrets.
Le décor est planté dès la première page : attentat à Kaboul lors d'une réunion avec le ministre norvégien et une accompagnatrice.
Puis, très vite les personnages locaux afghans qui génèrent la trame de fond sont introduits. Agal le père mélancolique, chef afghan, à qui il ne reste qu'un fils Sher Ali. On suit tous ces vies aussi bien dans leurs luttes que dans leurs cohabitations avec l'ennemi, c'est selon ; selon les circonstances, l'instant présent ou l'opportunité à saisir.
S'imbrique là-dedans la vie des militaires sur le terrain, Ghost, Rider, Fox et quelques autres personnages que DOA dépeint parfaitement.
Pour faire court, les 670 pages visitent une multitude de thèmes et de lieux : OTAN, CIA, talibans, drogues, djihad, Al-Qaïda, chimie, Politique, Argent le tout en surfant entre Russie, Iran, Asie Centrale, le Pentagone et j'en passe.
Argent et honneur, Politique et drogue, Enfants et poussière, Chimie pharmaceutique et planète.
Mais il faut prévenir que cette lecture se mérite. le rythme est rapide et le récit nous plonge dans ce monde que nous ne devinons qu'à peine. Une vie parallèle qui continue même si nous n'avons, hélas, n'avons actuellement d'yeux que pour la guerre en Ukraine.
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Merci au réseau social de lecteurs qu'est Babelio d'avoir mis des extraits de ce livre !

J'ai encore réussi à ne pas acheter un livre de merde.

Les extraits sur Babelio sont à chier : pseudo-provoc-misogynie-moche et beauf  soi disant "politiquement incorrect " ( quel mot horrible et surtout faux ) dans le genre papacito ou baptiste marchais pour ceux qui aiment , bref y'a des tas de gros cons et de gros tas ( pour reprendre leur vocabulaire ) qui écrivent comme ils parlent , c'est à dire laidement et mal , et si les " mâles alpha " sont à la mode c'est  que " les cons sont la majorité c'est donc bien forcé qu'ils gagnent " dixit Céline -vrai écrivain- : en plus c'est recommandé par François Busnel donc ça devrait mettre la puce à l'oreille des féministes et autres gauchistes ronflants de la grande librairie que ce Busnel qui recommande ce " chef-d'oeuvre , lui qui faisait semblant de les pourlècher et de les soupoudrer de compliments , alors qu'il peut tout aussi bien tapiner et " goûter " comme " chefs d'oeuvre " des livres abjects ou il est écrit ceci :

Extrait 1 :
"Pour préserver la confiance, il a même organisé
volontairement sa succession et adoubé un ancien du
Quai d'Orsay issus de l'énarchie, donc
insoupçonnable, ex-ambassadeur essentiellement
réputé pour le faste de ses réceptions passées. Et ses
frasques sexuelles. Un idiot utile, mondain et
priapique, à l'impeccable vernis, comme il s'en
épanouit tant sous les ors de la République "

Analyse :

- Ca c'est pas de la lucidité politique c'est juste des gros Clichéééés !!!

Extrait 2 :

" Tout le mal de ce monde vient de ce qu'on n'est pas
assez bon ou pas assez pervers. Ce n'est pas de moi,
c'est de Machiavel. A son époque, l'Italie vénérait
autre chose que des footballeurs, des pédés créateurs
de mode et des starlettes à gros seins. "

Analyse :

-  là on dirait du Papacito pûr jus, ou alors une vidéo de you-tubeur pâle et boutonneux de 18 ans même pas d'extrême-droite mais d'extrême-bête , comme y'en a des milliers partout en ce moment.

Extrait 3 :

" Bien qu'on soit en zone de conflit, avec des
populations civiles très exposées, souvent de leur
plein gré, les morts prépubères ou de sexe féminin ont
une fâcheuse tendance à provoquer des élans de
compassion absurdes et d'intempestives ouvertures
de parapluie, pardon, d'enquêtes. "

Analyse :
- Eh bah voilà les fachos qui aiment ce genre de truc , vous avez voulu vous révolter contre le politiquement correct , vous voilà juste devenus de gros connards !

Extrait 3:

" de toute façon on se marie tous par flemme. Ou par
fatigue. Ceux qui racontent le contraire disent des
conneries. On cherche, on cherche, un jour on en a
plein le cul, on dégote une qui a faim et on la garde,
c'est pas exactement ce qu'on voulait, on se fait un
peu chier, mais c'est pratique.
- Pratique jusqu'à ce qu'elles demandent une pension
alimentaire.
- La tranquillité n'a pas de prix. "

Analyse :

Là c'est du houllebecq pûr jus !
Morgue , généralisations, beauferie et débilité pseudo-cynique ( le cynisme abruti n'est pas un cynisme intéressant, c'est un cynisme lourdingue qui est lourdingue car il n'a rien compris , pourquoi il n'a rien compris ? Parce-qu'il est bête , putain lecteurs de DOA faut tout vous expliquer ! )

Finalement ce livre me fait penser à Anéantir de Houellebecq, ou à un moment il concède qu'une femme est ravissante et sexy pour ensuite écrire qu'elle ne savait pas " serrer la chatte ".

Il suffit de voir la tête de Houellebecq pour comprendre qu'on a affaire à des monstres qui plus ils sont bêtes , beaufs , laids et moralement répugnants se roulent dans la pisse en criant " Je suis pas de gauche donc laissez pas moi chier partout ! , à moi la bastille , le trocadéro ! "

Et puis enfin Busnel considère que c'est un" chef-d'oeuvre " ... ce fameux mot de pub de masse ... , et s'il considère que ça en est un , on est pratiquement sûr que ça n'en est pas un , et pitié ! Ceux qui ont aimé ... me dites pas que je prends un livre hors contexte , on peut déceler si un livre vaut la peine d'être lû en ne lisant qu'une phrase !

Les fachos sont comme les gauchistes qu'ils prétendent combattre, ils croient être fins et raffinés et les voilà transformés en monstres !

Busnel n'est ni de gauche ni de droite , son seul critère pour dire le mot magique " chef-d'oeuvre " c'est que le livre soit mauvais , ou alors éventuellement rémunéré pour ça car ça se fait aussi , et puis enfin se foutre de la gueule de ces cons qui vont encore râler car on leur a fait encore mettre la main au porte-feuille pour de la daube !

Franchement les fachos à la mode je vais vous dire la vérité ...
On lit ce qu'on mérite ....

Non attendez je suis trop méchant en réalité c'est un chef d'oeuvre humouristique !

Extrait :
" - Sans la moindre hésitation, Sher Ali accepte cet
honneur et exécute Manzour, ce traître vendu aux
mécréants. Sang et matière cérébrale giclent derrière
le crâne explosé, aspergeant un petit qui se tenait trop
près, sur le côté. Il n'a pas bronché. Personne n'a
bronché. le corps s'effondre au sol et l'odeur de
poudre brûlée envahit l'espace confiné. Dans la tête de
chacun retentissent les échos de la détonation. Un
des instructeurs engueule le garçonnet souillé, il
aurait dû faire attention à son gilet lesté de pains de
plastic, et lui file une beigne. L'enfant se met à
pleurnicher. "

Analyse :
- mort de rire 🤣

Extrait :

" Cette nuit-là, une des gamines partouzées, une ado
serbe attrapée près de la frontière deux semaines
auparavant, meut d'une overdose vers quatre heures
du matin. Ghost ne s'en aperçoit pas, il y en a
tellement des pouffes à cette teuf, et bien avant qu'il
ne redécolle, elle a été balancée dans l'une des
décharges de la ville. "

Analyse :
- HA HA HA HA 🤣🤣🤣 ...pause - ... attends ... mais en plus c'est ignoble ! 🤢😡
C'est qui ce DOA ? Encore un Hanouna qui se la joue sentimental ???

Bref , A lIRE POUR RIRE.

A moins que l'auteur soit dans la vie réelle un vrai bâtard vu ce qu'il écrit 😡😡😡
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