La femme parfaite

Abbie.
Une femme disparue (morte ?).
Devenue robot.

Tim. Son mari.
Grand ingénieur de la Silicon Valley.
Son créateur.

L'objectif de Tim : Redonner la vie à celle qu'il a tant aimé
Le vrai objectif de Tim ? Nul ne le sait... mais Abbie semble prête à le découvrir.

Un thriller haletant où les dernières pages vous procurent un dénouement qui vous laisse sans voix.
Un ouvrage où le "tu" prend la place du "je" comme si vous intégriez le cerveau d'Abbie (que dis-je les données d'Abbie).

Sur fond de questionnement autour de la robotique, JP Delaney nous questionne également sur l'autisme, la technologie et les relations toxiques.

Abbie se réveille à l'hôpital après 5 années de coma, mais Abbie n'est plus vraiment tout à fait la même, c'est un « cobot », entendez par là compagnon-robot… hyper intelligente, corps artificiel mais splendide, Tim son mari et créateur, à recréer pour certainement effacer son chagrin, sa femme disparue des années plus tôt…
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Que dire que dire de cette lecture, je ne m'attendais pas trop à ça, j'ai eu du mal à entrer dans l'histoire, ce mélange thriller/SF ne m'a pas convaincu ! Mais je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé non plus…
Pour autant, cette alternance entre la vie passée d'Abbie avec sa rencontre avec Tim, qui est-elle vraiment, sa vie, son quotidien et le présent donne un rythme plutôt correct à la lecture.
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C'est un bon thriller qui traite de l'IA mais je pense qu'il n'était pas fait pour moi. Certains sujets sont par contre hyper intéressants : l'autisme, harcèlement… c'était vraiment une bonne idée de la part de l'auteur de mettre l'accent sur cela, mais ils ne sont pas assez exploités à mon goût !
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La fin ne m'a pas plus transcendé que cela… dommage… j'en attendais peut être un peu trop de cet auteur !

LA FEMME PARFAITE, Jp Delaney

« On nous la présente comme le tout premier robot de compagnie doté d'une intelligence émotionnelle, ce qu'on appelle un cobot »

On est sur un scénario qui correspond parfaitement à la série Black Mirror. (Voir photo 2) Mais dans les faits c'etait parfois assez difficile à concevoir et crédible, car on est sur le robot IA qui développerait un empathie humaine et sur le « deep learning ».

On alterne entre deux temporalités :
Le présent : dans la tête du robot IA programmé comme étant la femme de Tim qui observe cette situation et découvre son environnement et tout les secrets au fur et mesure du livre. On est sur une ambiance thriller psy.

La passé : avec le point de vue de quelqu'un qui ferait partie du bureau de tech de Tim qui décrit sa vie son travail, sa relation avec la Abbey (humaine cette fois-ci)

Le fils de la famille fait partie du spectre autistique (qui s'est déclenché très tôt) l'auteur semble vouloir particulièrement nous éduquer sur son cas. Je pense que ça ne servait pas vraiment l'histoire de nous donner autant de détails sur son cas. Je sais que ça m'a parfois sorti du récit.

J'ai pu voir à la fin du récit que cette histoire est inspiré d'un fait réel, ça fait froid dans le dos : un créateur tech a déposé un brevet en 2015.(voir photo 3 ) Il a réalisé sa propre femme en robot. On peut trouver une vidéo sur youtube ou la femme humaine discute avec son robot qui s'appelle BINA48…

Un livre un peu moins addictif que ma lecture précédente de l'auteur : « La fille d'avant ». L'auteur semble apprécié dépeindre des chefs d'entreprise un peu fou et bizarrement charismatique (selon lui). C'est curieux car c'était aussi le cas dans « La fille d'avant «  avec l'architecte de l'enfer minimaliste.

Lien : https://www.instagram.com/kh..

Ce livre m'a été offert et en lisant la 4ème de couverture, je n'étais pas du tout attiré par le sujet. Mais JP Delaney étant un auteur reconnu, j'ai fini par sortir ce roman de ma PAL. L'histoire est bien menée malgré une résolution de l'énigme très rapide, le style est propre, fluide et la double temporalité fait de ce roman, un page turner efficace. le problème, c'est que je ne suis pas parvenue à m'attacher aux personnages. Je les ai tous trouvés froids et sans âme. L'héroïne principale est un un cobot sensée être dotée d'émotions mais je n'y ai pas cru une seconde. Je n'abandonne pas pour autant l'idée de découvrir d'autres roman de cet auteur. Je pense que le sujet de ce livre n'était juste pas fait pour moi.

J'aime bien les thrillers mais là je suis partagée pour celui-ci. J'ai trouvé un peu long mais surtout j'ai eu comme je m'y attendais du mal avec le monde de la robotique. La science-fiction en générale me fait fuir. Ce qui m'a permis de m'accrocher pour savoir la fin c'est le côté de plus en plus humain de l'héroïne.

Jusqu'à maintenant, les livres que j'ai lus de Delaney m'ont bien plu. C'est donc plutôt confiante de passer un bon moment de lecture que je me suis lancée dans cette oeuvre. J'avais pas lu la 4e de couverture, je ne savais pas à m'attendre ; quelle surprise de me rendre compte qu'on allait être dans le monde de l'IA. le roman s'ouvre sur Abbie qui se réveille dans ce qu'il semble être une chambre d'hôpital. Elle ne se souvient de rien. Tim, son mari, est présent à ses côtés. Il lui annonce qu'elle est morte, et qu'elle est un COBOT, robot pourvu d'une intelligence émotionnelle et intuitive. le choc. Elle servira donc à apaiser la peine de Tim, qui n'est toujours pas remis de la mort de sa femme. Bon d'accord !!

Au fil des chapitres, on se rend compte que la disparition d'Abbie est plutôt mystérieuse. Elle tentera donc d'éclaircir la situation. En plus, certains chapitres nous ramènent dans le passé, pour tenter de comprendre la genèse de tout ça. C'est pas mauvais, mais bon, nous sommes vraiment dans un monde SF (robot, IA, etc)… donc, on repassera pour le thriller. J'ai trouvé la narration au TU très étrange également. C'est très particulier, et ça prend un bonne période d'adaptation. Et puis, le personnages étaient, pour ma part, plutôt clichés. Abbie, artiste frivole, tatoué, libre, consommatrice. Tim, jeune propriétaire de starup, comptant pas ses heures, froid, distant, colérique, manipulateur… Seul le personnage de Danny, jeune enfant autiste est vraiment très bien construit. Et pour cause, nous apprenons à la fin du livre que Delaney a lui-même un enfant autiste.

Bref, une lecture plutôt mitigée. Avec un suspense pas très présent. Ça se lie, mais ce n'est certainement pas un coup de coeur.

J'ai hésitée... une histoire de robot... Finalement, j'ai continué, car je suis une fan de J.P. Delaney et je ne suis jamais déçue par ses histoires. Tout le long, c'est bien intrigrant, on se pose beaucoup de question et je ne suis pas sûre d'avoir bien compris la fin :D Ce fut une agréable histoire. Par ailleurs, je suis restée bien surprise par le mot de l'auteur à la toute fin (je n'en dit pas plus ;)
Cependant, La fille d'avant, reste mon top#1.

Abbie est une jeune femme assurée curieuse de tout et encore plus de la technologie. Lorsqu'elle est engagée pour une période dans l'entreprise de Tim, elle tombe amoureuse de son pdg mais surtout à l'ambition d'aller encore plus loin dans l'innovation et le développement des cobot. Abbie se retrouve à l'hôpital et découvre qu'elle n'est plus humaine mais ressuscitée comme un cobot (compagnon-robot). Tim est tellement fier d'y être arrivé, à créer sa femme parfaite, empathique, douée de raisonnements. C'est bien beau tout ça mais où est la vraie Abby? Elle a simplement disparu il y a 5 ans malgré toutes les recherches de la police et de ses proches.
Suite à quelques flashbacks, Abby la cobot décide de mener seule l'enquête en faisant tout comme sa prédécesseur. Suite sur instagram
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"Je me donne à toi pour l'éternité "

Voici les voeux de mariage prononcés par Tim, passionné de nouvelles technologies et de robotiques, et la sublime artiste Abbie. Des voeux qui semblent idylliques pour une histoire d'amour unique que Tim veut éternelle. Au point de construire une nouvelle Abbie, 5ans après la disparition de cette dernière. Un robot dotée d'une intelligence artificielle exceptionnelle, capable d'amour, d'empathie, de prises de décisions autonomes et avec des émotions, dont les souvenirs seront téléchargés petit à petit. Mais les apparences sont parfois trompeuses et les "histoires d'amour finissent mal en général "selon les Rita Mitsouko.

Un thriller psychologique extrêmement bien ficelé et très addictif où de nombreux thèmes, au delà des AI, sont abordés dans ce roman avec des personnages très complexes et passionnants.
L'emprise que peuvent avoir certains hommes sur leur femme. La femme idéalisée, la femme objet, la vénération pour celle qui enfantera, celle qu'on pourra aimer mais ne pas désirer et celles qu'on désirera mais qu'on aimera pas. Certaines expressions employées par le mari sont parfois glaçantes.
L'autisme et les méthodes parfois brutales de certains traitements expérimentaux sont aussi largement abordés avec Danny, enfant de la vraie Abbie et de Tim, qui souffre du syndrome de Heller.

C'est le 2ème roman publié sous ce pseudo par Anthony Capella. Et si j'avais déjà dévoré le romab #lafilledavant, je ne connais pas encore les oeuvres publiées sous son vrai nom. Mais dès que ma PAL diminue je compte bien remédier à ce manquement.

Un super roman que je n'ai pas pu lâcher ! Je me suis fait entraîner de surprises en surprises. Je ne m'attendais pas du tout à une telle intrigue ! Ce roman est parfait de bout en bout. A la fin j'ai eu peur d'un élément qui allait me gâcher le plaisir et en fait non.

Ce roman pose plein de concepts très intéressants sur le rapport homme / femme notamment. le tout se mélangeant dans un thriller moderne, mais pas violent pour autant. Bref, le roman parfait !