AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Les tribulations d'Esther Parmen... tome 2 sur 3
EAN : 9782700276541
336 pages
Rageot Editeur (07/07/2021)
4.35/5   145 notes
Résumé :
De sorcière qui s'ignore à sorcière stagiaire, il n’y avait qu’un pas et Esther Parmentier, 19 ans, l’a franchi grâce à la manière brillante dont elle a résolu une précédente enquête sous la direction de l’agent Loan, un vampire désagréable, mais néanmoins très séduisant. Elle est désormais à plein temps au sein de l’Agence qui contrôle les relations entre les humains et les créatures surnaturelles. Mais bientôt, un nouvel arrivant, un dénommé Wolfgang Strøm, loup-g... >Voir plus
Que lire après Les tribulations d'Esther Parmentier, sorcière stagiaire, tome 2 : Trafic sanglant - Vampires sur les dentsVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (58) Voir plus Ajouter une critique
4,35

sur 145 notes
Mais quel plaisir de retrouver Esther et cela dès les premières pages. J'avais hâte de lire ce deuxième tome et autant vous dire que quand il a été disponible sur NetGalley, j'ai sauté sur l'occasion et j'ai été aux anges quand ma demande a été acceptée. Et ni une, ni deux, je me suis lancée dans Trafic sanglant - Vampires sur les dents ! Je l'ai dévoré, et donc bien entendu : adoré.

Le ton est donné dès le départ. Caustique, drôle, mordant, voire révolutionnaire - oui, il faut commencer en fanfare, c'est toujours mieux. Esther et ses collègues se voient donc affublés d'un inspecteur du CRIS et l'agent Loan décide de revenir après une longue absence. Oui, comme ça, comme une fleur. Autant vous dire que notre Esther est loin d'être contente et son franc-parlé nous réjouit de plus belle. Sans compter qu'un trafic chez les vampires met l'Agence sur les dents. Une nouvelle enquête sous tension commence et les enjeux sont peut-être beaucoup plus grands que prévus...

Comme avec le premier tome, j'ai été totalement charmée par le ton que Maëlle Desard. J'adore la façon dont elle fait parler Esther et également toutes ces petites références à notre pop-culture. Je me sens personnellement très proche de notre héroïne, et cela joue énormément dans mes lectures. Avoir ce lien, et très souvent synonyme de passer un très bon moment. Et la magie opère, car au final, Esther est comme nous, catapultée dans un monde étrange dont les règles sortent de l'ordinaire. C'est aussi l'occasion d'en apprendre un peu plus sur l'agent Loan qui reste toujours très mystérieux (oui, cela fait partie de son charme, je sais...). Car les vampires sont mis en avant ici avec un trafic qui pourrait chambouler tout le monde "magique". On apprend ainsi leur mode de fonctionnement, leur hiérarchie, ainsi que ce qu'il a pu se passer lors de la signature des accords après la guerre. Et j'aime beaucoup le fait que petit à petit on en apprenne plus sur l'univers. Les tribulations d'Esther Parmentier est plein d'humour, mais il y a aussi cette dimension politique qui donne plus de poids à l'histoire.

La nouvelle mission de l'Agence est également pleine d'action. On ne s'ennuie pas une seule seconde entre courses poursuites et affrontements. Les enjeux sont sérieux et Maëlle Desard joue très bien sur les deux tableaux. La dérision n'empêche pas l'émotion. Esther n'est pas du genre à se laisser aller, c'est quelqu'un qui va de l'avant, mais ses blessures et le vide laissé par certains de ses proches (Mozzie, tu me manques aussi) sont bien palpables. L'enquête montre aussi combien notre héroïne s'est bien intégrée, et la voir interagir avec notamment Dario et Marine est vraiment plaisant. Quand on sait ce qu'elle a subi avec ses parents, voir qu'elle a su se former une seconde famille fait chaud au coeur.

Trafic sanglant - Vampires sur les dents nous permet de découvrir un nouveau personnage : Wolfgang. Sa mission d'audit fait qu'il n'est pas du tout dans nos petits papiers au tout début. Mais au fur et à mesure, l'exploitation du personnage nous donne une tout autre vision du loup-garou. L'alchimie improbable entre lui et Esther donne un coup de fraîcheur indéniable, sans compter qu'il nous donne l'occasion d'élargir notre horizon. Quant aux autres personnages... Esther est toujours pétillante et débrouillarde. On voit qu'elle a plus d'assurance et que sa place au sein de l'Agence est devenue quelque chose de normal. Dario se dévoile aussi un peu plus, et clairement la nouvelle dynamique autour de Marine est juste géniale. Je trouve toujours le grand chef trop mignon dans son rôle de nounours bourru, et Loan reste Loan. Attention, c'est une bonne chose, j'entends bien.

Il y a juste deux petites choses qui m'ont un peu déstabilisée. La première le physique de Wolfgang. Je ne sais pas mais lors de sa première apparition, il n'avait pour moi, rien de ragoutant, et pourtant plus tard, il apparaît comme étant un beau gosse. Un peu décontenancée donc, il faudrait que je relise le passage pour voir ce qui m'a échappé. Et cette sensation s'est renouvelée à la fin, où j'ai été un peu perdue avec "l'affrontement" final et les explications données sur les événements. J'ai dû relire deux fois le passage et j'ai encore quelques doutes sur le pourquoi du comment. Rien de bien méchant, je vous rassure, cela ne m'a pas empêché de passer un excellent moment avec nos héros.

Quant à la toute fin ! Non seulement, elle donne envie d'avoir le troisième tome des Tribulations d'Esther Parmentier là, tout de suite, mais en plus elle nous offre un petit quelque chose, que personnellement, j'attendais depuis très longtemps. J'en suis donc ravie. Un des personnages devrait pouvoir s'ouvrir un peu plus à nous, et j'attends vraiment de voir ce que cela pourrait donner. Clairement, si vous cherchez un roman qui sort de l'ordinaire et avec du mordant, je ne peux, comme avec le premier tome, que vous inciter à lire l'oeuvre de Maëlle Desard. Des héroïnes comme Esther, moi, j'en redemande !
Commenter  J’apprécie          407
Il est rare dans une série que le tome 2 soit à la hauteur du 1, par son inventivité, sa créativité. Souvent , ils déçoivent parce qu'on sent que l'auteur va étirer son histoire pour que l'on achéte le plus de tomes possible.
Ou bien, l'auteur va tout donner dans le premier, et stagnera pendant des kms de page, dans le même monde...
Mais pas Maëlle Desard .
Si j'ai moins ri que dans le premier, j'ai souri souvent, très souvent.
Et puis, la fin promet une histoire qui se renouvelle ( même ambiance mais pas tout à fait pareille. )

On retrouve Esther ma sorcière-stagiaire préférée, et son beau Loan de vampire-mentor au mileu de toutes les bébettes surnaturelles que les auteurs ont pu inventer au cours des siècles : sorcières, vampires, goules, faes, djinns, loups-garous,( et j'en oublie d'autres sûrement ...)
De par son côté métissée, mi sorcière/mi goule, Esther a un sang unique (croyait-elle), mais les vampires ont eu vent de ce léger détail anatomique, et du pouvoir qui en résulte, et en ont fait un trafic,
Un trafic sanglant.
L'agence, en la personne de Loan assisté d'Esther, va essayer de faire tomber quelques "méchants", à moins que ce ne soit bien plus compliqué que cela..

Avec le premier tome, le décor était planté, on sait à peu près, ce qui est possible ou impossible, on connait les personnages principaux (les membres de l'agence ).
C'est l'action qui domine, on ne s'ennuie pas une seule seconde dans le monde merveilleux d'Esther où l'on croise à peine quelques humains...
Rythmé, marrant, malicieux, sarcastique, plein de tensions ( vampire viril / stagiaire énamourée mais pas cruche !) , ce roman est un régal au niveau des réparties, des répliques, des sous-entendus, des références culturelles.

Juste délicieux, avalé en une soirée...
A dévorer sans modération (canines aiguisées ou pas !;-)
Commenter  J’apprécie          370
Peut-on faire aussi bien que le premier tome qui fut un coup de coeur grâce à son ton aussi caustique que drôle ? La réponse est clairement oui ! Si vous avez aimé les aventures d'Esther, alors cette suite devrait vous ravir autant que moi, notamment grâce à l'ambiance, le bestiaire, le rythme de l'intrigue, le mélange polar fantastique, les geekeries en tous genres, les notes de bas de page et la plume aussi fluide que fraîche et humoristique de Maëlle Desard. Je n'ai qu'un regret : la suite n'est pas encore là ! Frustration extrême ! Si j'avais pu, j'aurais volontiers enchaîné les volumes, ne serait-ce que pour continuer de profiter de la joyeuse bande…

Cette nouvelle enquête reprend peu de temps après le volet précédent. Esther et ses collègues cohabitent comme ils peuvent et sont toujours sous le joug de leur patron lycanthrope tyrannique. Or, celui-ci va les lancer dans une nouvelle affaire mettant en scène un trafic étrange chez les buveurs de sang. À leurs côtés, on distinguera un nouveau personnage qui m'a autant plu qu'intriguée. Wolfgang possède un petit côté gameur qui m'a charmée… On est sur un profil puissant, mais loin d'être invincible, sympathique, capable de passer du temps derrière un écran avec notre héroïne rafraîchissante à la langue acérée. Certes, je sens déjà le triangle amoureux pointer le bout de son nez dans le T3, mais qu'importe ! (De toute manière, pour l'instant, je n'ai pas de crush favori.) Quoi qu'il soit, il forme un bon duo avec notre pétillante sorcière au franc-parler déroutant. Je suis donc vraiment curieuse de voir l'évolution du tandem. Les autres personnages secondaires sont toujours aussi attachants et dynamiques. (Dario, je t'adore !) (Loan aussi, même si tu es assez cliché pour un vampire… Et que je suis plutôt team lycan… #DesopasdesoLoan) Les retrouver ou les voir prendre part à l'enquête fut un réel bonheur !

Si l'on met de côté la narratrice qui m'a arraché plus d'un sourire et son entourage génial, le reste du roman comporte de nombreux atouts. C'est notamment le cas de cette affaire sans temps-morts qui m'a surprise plus d'une fois, que ce soit pour ses révélations (encore une fois, la nature d'Esther est un mystère !), ses situations rocambolesques (la course-poursuite…) ou ses actions de grande envergure (espionnage, séduction, infiltration, etc.) ! L'ensemble est vraiment très plaisant ! Certes, il me manquait un petit fantôme cher à mon coeur toutefois, son successeur amusant/barbant fut assez sympathique. Enfin, on notera que l'autrice a peaufiné son univers, notamment pour tout ce qui est hiérarchie dans les pouvoirs, l'Agence ou dans les espèces surnaturelles. Bref, le cocktail est encore une fois vraiment au top ! J'en redemande et croise les doigts pour que le troisième tome sorte bientôt. À découvrir, notamment si vous cherchez du polar sauce bit-lit avec de l'humour décapant !
Lien : https://lespagesquitournent...
Commenter  J’apprécie          262
Comme le tome 2 des '"malaventures" d'Esther Parmentier vient de débouler sur le présentoir Ado Étranger de notre département jeunesse, je précise donc avoir commencé cette série avec le second tome ( le tome 1 n'étant pas disponible, en plus). Sorte de roman fantastico-policier humoristique, cette série me fait penser aux aventures rocambolesques d'Agatha Raisin. Il faut dire que les deux héroïnes ont des points communs. J'y reviendrai. Une chose est sure, c'est le genre de roman qui appartiens au registre "pause de cerveau", qu'on lit pour les péripéties et les blagues.


Côté histoire, nous sommes quelque part après les évènements ayant eu lieu dans le tome 1, dont certains détails seront ramenés par l'autrice. Ce qui permet de répondre à la question: "Avons-nous besoin d'avoir lu le tome 1?" Non, pas obligatoirement. On comprend assez bien qu'Esther est devenue stagiaire au ACDC ( qui n'a rien de musical), en binôme avec l'Agent Loan , un vampire au physique asiatique apparemment trop beau pour son propre bien - et celui de l'héroïne. Alors qu'ils sont extirpés un beau matin pour une enquête sur une affaire de trafic sanguin impliquant les vampires ( plutôt logique comme affiliation) Esther et Loan apprennent qu'ils font l'objet d'un audit de la part du CRIS par l'intermédiaire de Wolgang Strom, loup-garou de son état, Oméga de son statut. Leur investigation pas toujours très discrète ni toujours très stratégique les mèneront au seuil d'un complot vampirique.


Alors, côté personnages, sans bouder une certaine saveur "déjanté" de leur part, restent somme toute convenus. Une héroïne indélicate, franche, dont le physique rondelet et les cheveux indisciplinés cache un caractère fort, mais aussi un humour caustique doublé d'une dose de sarcasme, et qui a un béguin irrationnel pour le trop beau, trop classe et trop froid vampire aussi envoutant qu'inaccessible ( et qui ressemble, à ma grande horreur , à un pastiche version asiatique d'Edward Cullen, somme toute le pire personnage vampire de la création littéraire - et je pèse mes mots). Une chance qu'il n'a pas son côté voyeur et hypercontrôlant, mais il est aussi pédant, dominant et égocentrique. Il incarne le personnage le plus ennuyeux du lot, pour ma part. Certes, c'est une beauté, et alors? Il est terne, froid, pas du tout amusant et il gère mal ses propres idées. Heureusement, on est sauvé par l'arrivé de Wolfgang, loup-garou de son état ( Oh, non, pas encore un triangle vampire-loup-garou-humaine!). Mais! C'est un "Oméga", qui sous la plume de son autrice, prend un statut supérieur aux Alphas. L'Alpha des alphas, en somme. Maigrichon, tout en hauteur, les yeux cernés et la dégaine mollassonne, Strom n'a rien des loup-garou gonflés aux stéroïdes et dénués de cervelle des mauvais romans fantastiques, merci bien. En fait, c'est le personnage "un peu de trop" dans l'équipe, qui est plus souvent qu'autrement en danger et qui est là pour des raisons nébuleuses. Et bien sur, le plus attentionné pour Esther, au final. Mais c'est le personnage le moins convenu de tous, alors juste pour ça, j'apprécie. Esther était véritablement drôle, mais honnêtement, son béguin illogique pour Loan la ramène au bataillon des nunuches qui bavent sur les buveurs de sang et elles sont imbuvables! Elle peut résister aux pouvoirs de certaines entités au physique déraisonnablement attirant, mais pas à ce vampire là, évidement. ( soupire blasé) C'est avec un amusement cynique que je constate que les personnages filles dotées d'un pouvoir de type "inhibition" ( le pouvoir des autres ne marchent pas sur elles) sont pourtant toujours sous le pouvoir d'un beau gars, tout-de-même. Ironie, quand tu nous tiens!


Du point de vue du scénario, je dois dire que je trouve le tout un peu diffus ou confus. Parfois, on a des détails de trop, parfois pas assez. Les nombreux acronymes et entités n'aident pas à comprendre l'univers en présence. Certaines explications ne m'ont pas éclairés, surtout vers la fin, avec cette histoire d'invasion. Qui allait où , qui a déplacé qui, qui a fait quoi, on se perdait à un moment donné. le tout assez rondement mené, mais peut-être justement trop?

Esther fait des cours, mais on y assiste une fois et franchement, ça passe en troisième degré cette histoire de formation.

Pour ce qui est de l'enquête, on est dans quelque chose de très simple, très loin des romans policier sérieux. En même temps, nous ne sommes pas dans un roman sérieux. La vocation humoristique est donc le maillon fort du roman, parce que le scénario, sans dire qu'il ne tien pas la route, n'est pas solide non plus. On ne saura d'ailleurs jamais de quelle source est ce fameux "liquide rose" ( pour ne pas divulgâcher la réelle composante dudit liquide aux Lecteurs qui ne l'ont pas encore lu).


Je disais d'ailleurs plus haut que ce roman me faisait penser aux "Agatha Raisin" de Beaton. Comme eux, ce roman est assez léger, sans prises de tête, du policier facile à la porté des non-initiés, de l'humour décapant, des répliques cinglantes et plusieurs circonstances facilités. C'est aussi une sorte de sous-genre policier qui est peut-être addictif, mais qui a vraiment peu de suspens. En outre, Agatha et Esther ont aussi du mal avec leur gros béguin et ont des complexes. Esther moins qu'Agatha, cependant.


Nous avons beaucoup de traits d'humour, souvent caustiques ( tranchant), souvent ironique, appuyé par beaucoup de références geek, cinématographique, littéraire, folklorique et j'en passe. Comme dans la majorité des romans à humour référentiel, une bonne culture générale aide, mais ici, nous sommes souvent aidés de l'autrice avec des bas de page. Je note que c'était le bienvenu, je ne connaissais pratiquement aucune de ces références autrement - même si l'autrice et moi sommes de la même génération. le titre et sous-titres sont amusants.


En somme, ce que j'ai le plus apprécié de ce roman est sa quantité de références assez variées et amusantes - même si certaines étaient incompréhensible pour la québecoise que je suis, simple question de jargon - et Esther reste un personnage relativement attachant avec ses répliques, ses idées saugrenues parfois pertinentes et sa façon de percevoir les choses. Par contre, le tout manque de finesse dans la plume, de structure dans le scénario et de fluidité dans les dialogues.


C'est vraiment une lecture de vacances ou à lire au milieu des bulles du bain.


Pour un lectorat du second cycle secondaire, 15 ans et plus.


Pour les bibliothécaires et profs: On retrouvera de nombreuses allusions plus ou moins salaces dans le roman, mais aucune sexualité explicite ni violence outrancière. Pas vraiment de grossièretés non plus, mais le langage est davantage destiné aux vieux ados et jeunes adultes.
Commenter  J’apprécie          27
Décidément, j'aime beaucoup suivre les aventures d'Esther Parmentier. Après un premier tome réussi, ce tome deux nous replonge dans la même ambiance un brin potache et l'on suit avec bonheur les nouvelles tribulations d'Esther et de son mentor Loan, suivi cette fois par l'agent Wolfgang, chargé de faire un audit sur leur travail.
Je me suis beaucoup amusée à la lecture de ce roman, avec des péripéties toujours aussi farfelues, une héroïne ingénieuse, mais toujours avec des idées tordues pour s'en sortir et des personnages secondaires haut en couleurs qui offrent de plus en plus d'épaisseur au monde créé par Maëlle Desard. Quant aux notes de bas de pages, elles sont vraiment tordantes.
Bon, et puis la fin, franchement... J'ai juste envie de dire "enfin" ! Mais évidemment, il faut maintenant attendre le tome trois. Et çà va être long...
Commenter  J’apprécie          160

Citations et extraits (35) Voir plus Ajouter une citation
[...] alors que nous nous glissions dans un appartement au rez-de-chaussée.
Enfin, dans une boutique plus exactement. Mais le genre de boutique privée qui n'a pas pignon sur rue, parce qu'elle est au-dessus de ça. Le genre de boutique privée qui a toujours un bouquet de fleurs dans un vase en cristal posé sur un guéridon en marqueterie. Le genre de boutique privée où on te sert des coupes de champagne dans des fauteuils tapissés de brocard emperlé et où jamais, au grand jamais, on ne parle d'argent - parce que l'argent c'est vulgaire quand on en a .
Commenter  J’apprécie          120
- Donc, si je récapitule, repris-je en combattant les palpitations qui menaçaient de me faire bégayer. Vous êtes en train de me dire que votre plan, c'était d'aller enquiquiner le petit-fils du vampire le plus puissant d'Europe ? Vous avez un penchant pour les suicides de groupe non consentis ?
Commenter  J’apprécie          150
Je m'avachis un peu plus, mais ne résistai pas au désir de l'observer à la dérobée. C'est toujours un plaisir un peu douloureux, comme de croquer dans une gaufre encore chaude et de se brûler le palier au troisième degré juste pour ce moment fugace de félicité où le chocolat nous enchante les papilles...
L'agent Loan était d'une beauté dévastatrice.
Commenter  J’apprécie          60
Effectivement, je devinais un cycliste plus loin qui pédalait comme si l’enfer était à ses trousses. À sa décharge, une sorcière à laquelle s’agrippe un vampire, tous deux chevauchant une monture à l’effigie d’une saucisse sociopathe, devait sans doute correspondre à une certaine vision de l’enfer.
Commenter  J’apprécie          70
- Agent Loan ! l'interpellai-je avant qu'il en s'éloigne. Sur une échelle de un à dix, on est à quel point dans la mouise ?
Il ne se retourna pas pour me répondre.
- Ils ont envoyé un Omega. Oubliez l'échelle, nous sommes déjà au sommet.
Commenter  J’apprécie          70

Videos de Maëlle Desard (7) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Maëlle Desard
À l'occasion de la 39ème édition du festival de Montreuil, Maelle Desard vous présente son ouvrage "Dents de soie" aux éditions Slalom.
Retrouvez le livre : https://www.mollat.com/livres/2887594/maelle-desard-dents-de-soie
Note de musique : © mollat Sous-titres générés automatiquement en français par YouTube.
Visitez le site : http://www.mollat.com/ Suivez la librairie mollat sur les réseaux sociaux : Instagram : https://instagram.com/librairie_mollat/ Facebook : https://www.facebook.com/Librairie.mollat?ref=ts Twitter : https://twitter.com/LibrairieMollat Linkedin : https://www.linkedin.com/in/votre-libraire-mollat/ Soundcloud: https://soundcloud.com/librairie-mollat Pinterest : https://www.pinterest.com/librairiemollat/ Vimeo : https://vimeo.com/mollat
+ Lire la suite
autres livres classés : fantastiqueVoir plus
Les plus populaires : Jeune Adulte Voir plus


Lecteurs (244) Voir plus



Quiz Voir plus

A un cheveux

Comment s’appelle le frère de Emma?

Jacob
Louis
Enzo
Christophe

5 questions
1 lecteurs ont répondu
Thème : À un cheveu de Maëlle DesardCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..